Théodore Monod (1902-2000)
" La belle image de la montagne unique à gravir par des sentiers différents n'est pas nouvelle : c'est déjà celle que décrit le prophète Esaïe 'où ne se fera ni tort ni dommage, où l'on n'a plus à apprendre la guerre', où les hommes réconciliés entre eux le seront enfin aussi avec les autres animaux. "
Courrier du 28 mars 1997