Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Sciences et Avenir (février 2012) : Masculin/Féminin : des rôles fabriqués

    http://www.esope-editions.com/images/thumbnails/0000/0989/SCIEAV_790_201102_large.jpg

    Sciences et Avenir - Masculin, féminin, des rôles fabriqués.

    N° 780 - février 2012 - article audio - 14 mn d'écoute - 13 Mo

    Science et Avenir - Collection : Sciences et Avenir - février 2012

    Présentation Open

    Masculin, féminin, des rôles fabriqués.
     
    ***
    Contre le différentialisme hommes / femmes.
    A bas l'essentialisme, vive l'universalisme.
  • Les musulmans de l'Europe ont annoncé le djihad aux chiens

    © Flickr.com/warmrobot/сс-by-nc-sa 3.0

    © Flickr.com/warmrobot/сс-by-nc-sa 3.0
     


    Les islamistes tentent d’expulser les chiens de l'Europe.

    Il y a peu, un représentant du Conseil municipal de La Haye, membre du parti « Démocrates Islamistes »  Hasan Koutchouk  s'est prononcé en faveur de l'interdiction de ces animaux dans la ville, et il a appelé les pouvoirs municipaux à reconnaitre que la possession d’un chien dans la mégalopole était un crime de droit commun.

    Nous savons depuis longtemps que dans l'Islam, le chien est considéré comme un animal " sale ".

    Une des légendes musulmanes annonce que ce quadrupède aurait mordu une fois le prophète Mohammed, c’est pourquoi tous les chiens sont maudits.

    Les sceptiques affirment que les musulmans avaient emprunté aux Juifs l'aversion pour ces animaux.  

    En effet, dans l'ancien testament, parmi les trente mentions du chien, elles n'ont pas de sens négatif seulement dans deux cas.

    L'hostilité des anciens Juifs vis-à-vis des chiens était suscitée par la haine envers les Egyptiens et les Romains qui, respectaient, eux, les chiens et qui les déifiaient.

    " L'Islam n'a rien contre les chiens, cependant, il prescrit des règles sévères de leur présence aux côtés de l’homme ", a expliqué dans l'interview  à  La Voix de la Russie  l'imam de la mosquée synodique de Moscou Islam-hazrat Zaripov.

    Du point de vue de l'Islam, nous pouvons avoir des chiens.

    Cependant, il faut respecter certaines conditions.

    Le chien ne doit pas se trouver dans un même local avec les gens.

    La salive et les poils du chien ne doivent pas se retrouver sur les vêtements et le corps de l’homme, ainsi que sur les objets d'usage courant.

    Il faut bien comprendre que l'Islam n’a pas d’attitude négative envers les chiens.

    Par exemple, dans certains Hadiths, on raconte l’histoire d’une femme qui nourrissait un chien. Pour cela,  elle a été admise au paradis.

    Il est important que l'on respecte strictement les conditions de l’entretien du chien.

    La proposition du politique-islamiste hollandais pourrait provoquer seulement un sourire, si c’était un cas unique quand les musulmans européens se prononcent durement contre les chiens.

    Au milieu de l’année 2011, dans la ville de Lerida dans le Nord-Est de l'Espagne, les musulmans qui constituent environ 20 % de la population, ont demandé aux autorités locales d'interdire le séjour de ces quadrupèdes dans les transports en commun.

    Quand la municipalité a refusé d'accomplir les exigences des musulmans, la ville a connu une vague d’empoisonnements des chiens.

    En Grande-Bretagne, les voyageurs aveugles avec les chiens-guides sont de plus en plus souvent obligés de sortir des autobus, parce que les conducteurs musulmans ou les voyageurs objectent contre leurs compagnons « sales ».

    Les cas semblables de l'intolérance religieuse sont observés en France, en Ecosse, aux Pays-Bas et dans d'autres pays européens.

    L'hostilité aussi ancrée envers les quadrupèdes et les nombreuses exigences agressives des musulmans européens de nettoyer les villes des chiens, suggère aux européens l’idée que les islamistes préconisent non la pureté de leur propre foi, mais tentent plutôt d'imposer aux pays de l’UE les normes de la Charia - l'ensemble des règles juridiques, morales et religieuses de l'Islam.

    D'autant plus que parmi les chrétiens, l’attitude envers ces quadrupèdes amis de l’homme est depuis toujours bienveillante.

    Dans l'orthodoxie, il n'y a aucunes interdictions au sujet des chiens, bien qu'il ne soit pas recommandé d’entrer dans les églises avec eux, explique le représentant du patriarcat de Moscou, le prêtre Vladimir Vigilyansky.

    Dans les anciens recueils de prescriptions religieuses, il est dit que les chiens ne doivent pas entrer dans l’église.

    Il y a des prières pour les consécrations des églises, si par hasard des chiens, des porcs ou des serpents y entraient soudain.

    La croyance est que ces animaux peuvent profaner le lieu sacré.

    Cependant, il n’existe aucun canon qui interdise d’avoir un chien dans la maison.

    Dans les pays catholiques, depuis 1931, on marque le Jour des animaux le 4 octobre.

    Cette fête est liée au nom de Saint-François d’Assises  - le protecteur des quadrupèdes.

    Ce jour-là, dans toutes les églises catholiques, se fait un office spécialisé pour les animaux domestiques, et les paroissiens peuvent même amener dans l'église leurs chouchous  - des chats, des lapins, des perroquets et, bien sûr, des chiens.

    Milena Faoustova

    http://french.ruvr.ru/2012/02/12/65914143.html?fb_action_ids=457373687619338&fb_action_types=og.recommends&fb_source=other_multiline&action_object_map

  • "Des orques portent plainte pour esclavage" (7 sur 7)

    media_xl_4614148.jpg

    © photo news

    Un tribunal américain fait face à une plainte peu commune.

    Il doit en effet décider si cinq orques ont le droit de poursuivre leur employeur pour esclavage.

    Tilikum, Corky, Katina, Ulises et Kasatka sont cinq orques qui passent leur temps à effectuer des numéros dans les parcs Seaworld d'Orlando et de San Diego, aux Etats-Unis.

    Des cétacés qui, selon l'association de défense des animaux PETA, sont maltraités et "soumis à la servitude involontaire" par le parc aquatique, rapporte l'Agence France Presse.

    PETA a donc décidé de porter plainte au nom des cinq animaux, et espère obtenir gain de cause de la part du tribunal.

    Mais Seaworld ne voit pas la chose du même oeil.

    Pour les responsables du parc aquatique, le tribunal ne peut recevoir la plainte, car "le treizième amendement protège uniquement les personnes".

    Un argument que PETA rejette.

    "L'esclavage ne dépend pas plus de l'espèce de l'esclave que de la race, du sexe ou de l'ethnie.

    La contrainte, l'avilissement et l'assujettissement sont les caractéristiques de l'esclavage et ces orgues endurent les trois", a déclaré l'avocat de l'association.

    C'est donc maintenant au tribunal de décider si la plainte des orques est recevable ou non.

    Le problème majeur étant de savoir si la loi peut s'appliquer aux animaux ou pas.

    Seaworld crie haut et fort que si le tribunal "franchissait ce pas sans précédent, il ouvrirait certainement une boîte de Pandore aux problèmes inextricables et aux conséquences absurdes", et affirme également que la plainte de PETA est une "perte de temps, d'énergie et d'argent".

    Mais les membres de PETA, eux, comptent se battre jusqu'au bout et défendre ces orques, qu'ils considèrent comme prises au piège du parc aquatique et soumises à des pratiques peu honorables.

    Les cinq orques sont représentées par des membres de PETA, un ancien dresseur de cétacés, un biologiste, le fondateur d'un réseau de protection des orques et d'ex-dresseuses ayant officié à Seaworld. (mlb)

    http://www.7sur7.be/7s7/fr/2668/Especes-Menacees/article/detail/1391832/2012/02/08/Des-orques-portent-plainte-pour-esclavage.dhtml