Logique

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DEVENEZ VEGANS SI VOUS RESPECTEZ VRAIMENT LES ANIMAUX.
Inutile de vous apitoyer sur leur sort si par ailleurs vous les consommez sous une forme ou sous une autre.
Consommation de produits d'origine animale = collaboration à l'exploitation animale.
Pas d'offre sans demande.
Pensez-y.

En Navette depuis l’aéroport Charles De Gaulle
RER B3 de Paris Gare du Nord, sur le quai n°43 et descendez à l’arrêt « Aéroport Charles De Gaulle Terminal 1, Terminal 3″. Guichet « Parcs de Loisirs ».
Tarif Aller/Retour :
8,50€ /adulte à partir de 12 ans
7,50€/enfant de 3 à 11 ans
Gratuit pour les moins de 3 ans
Heures de départ : Toutes les 30 minutes, de 9h et jusqu’à 1h00 après la fermeture du Parc
Heures de retour : idem
ATTENTION IL EST PREFERABLE DE RESERVER A L’AVANCE POUR ETRE SUR D’AVOIR LES PREMIERS BUS ET D’EVITER LA FILE D’ATTENTE !
Pour réserver : http://www.cif-bus.com/exec/home.asp?NumRub=2006
(Si vous vous organisez, vous pouvez profiter des tarifs de groupe)
ATTENTION: évitez la navette du parc qui part du Louvre.
Trop chère et il n’y a qu’un aller / retour seulement à 9h et 18h30.
En minivan privatif depuis l’aéroport Charles De Gaulle.
Trajet en minivan 8 places (opéré par SuperShuttle), tarif fixe par trajet en fonction du point de départ et à partir de 79€ pour 8 places. Heure déterminée par les voyageurs.
Pour réserver https://reservations.supershuttle.fr/default.aspx?content=GroupReservations&GC=ASTER
http://www.vegactu.com/evenements/manifestation-internationale-contre-les-delphinariums/

Il n'y a sans doute rien de plus répugnant sur le plan moral que de voir des humains idolâtrer d'autres humains.
Les premiers se prosternent, les seconds paradent.
L'annuelle bouffonnerie cannoise sur tapis rouge en est l'un des meilleurs exemples.
Assister à ce spectacle m'a toujours fait honte pour mon espèce : j'y vois la preuve de son impossible émancipation.

Des particuliers font naître des chevreaux à domicile pour leur agrément personnel quand d'autres naissent pour finir dans les abattoirs. L'éthique ? Elle n'est nulle part.
Voici un échange que j'ai eu sur un groupe Facebook censément de protection animale, intitulé : "Les chèvres et les boucs ont droit au bonheur aussi", destiné - du moins je le croyais - au sauvetage et au placement de caprins en danger et non à leur reproduction, fût-elle "responsable" comme il est affirmé ici.
De même qu'il n'y a pas d'exploitation éthique des animaux par les humains, il n'y a pas, non plus, de reproduction éthique de ces mêmes animaux par ces mêmes humains.
Faire se reproduire des animaux pour le bénéfice des humains est en soi de l'exploitation.
Les animaux abandonnés en recherche d'un foyer sont légion. Les chevreaux que l'on fait naître pour les envoyer à l'abattoir sont également légion. Des associations passent régulièrement des annonces pour placer les rares d'entre eux qui échappent à ce terrible sort dans des familles d'accueil. Or, il y a pénurie de familles d'accueil.
Etant donné cette réalité, il n'est ni responsable, ni moral de faire naître de nouveaux animaux sous prétexte que cela nous fait plaisir : l'adoption (et la stérilisation) s'impose, qu'il s'agisse de chiens, de chats, de caprins ou de poissons rouges.
Cela sonne comme une évidence, et pourtant.
Ainsi qu'on va voir, la cohérence et l'éthique élémentaires vous condamnent à essuyer mauvaise foi et agressivité, avant de vous désigner au bannissement.
Les noms des participantes ont été supprimés. A la place, nous aurons donc A, B, C (que je remercie pour son soutien éclairé) et D.
Le début de l'échange n'est malheureusement pas visible. Je n'ai pu le récupérer étant donné que le post a été supprimé par B, la modératrice du groupe.
M. P.

A : Bonjour je recherche un bouc nain pouvant s'accoupler avec ma petite cacahuète ( naine ), car nous voudrions avoir des petits merci ( ps j a habite dans le tournaisis (Belgique) d avance un grand merci

"L’élevage, cette horreur, avait également disparu. Élever, chérir des bêtes pour les livrer ensuite au couteau du boucher, c’étaient bien là des moeurs dignes des barbares du XXe siècle. Le « bétail » n’existait plus. La viande était « cultivée » sous la direction de chimistes spécialistes et selon les méthodes, mises au point et industrialisées, du génial précurseur Carrel, dont l’immortel coeur de poulet vivait encore au Musée de la Société protectrice des animaux.
Le produit de cette fabrication était une viande parfaite, tendre, sans tendons, ni peaux ni graisses, et d’une grande variété de goûts. Non seulement l’industrie offrait au consommateur des viandes au goût de boeuf, de veau, de chevreuil, de faisan, de pigeon, de chardonneret, d’antilope, de girafe, de pied d’éléphant, d’ours, de chamois, de lapin, d’oie, de poulet, de lion et de mille autres variétés, servies en tranches épaisses et saignantes à souhait, mais encore des firmes spécialisées, à l’avant-garde de la gastronomie, produisaient des viandes extraordinaires qui, cuites à l’eau ou grillées, sans autre addition qu’une pincée de sel, rappelaient par leur saveur et leur fumet les préparations les plus fameuses de la cuisine traditionnelle, depuis le simple boeuf miroton jusqu’au civet de lièvre à la royale.
Pour les raffinés, une maison célèbre fabriquait des viandes à goût de fruit ou de confiture, à parfum de fleurs. L’Association chrétienne des abstinents, qui avait pris pour devise : « Il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger » possédait sa propre usine. Afin de les aider à éviter le péché de gourmandise, elle y cultivait pour ses membres une viande sans goût.
La Brasserie 13 n’était qu’une succursale de la célèbre usine du bifteck-frites, qui connaissait une grande prospérité. Il n’était pas une boucherie parisienne qui ne vendît son plat populaire. Le sous-sol de la brasserie abritait l’immense bac à sérum où plongeait la « mère », bloc de viande de près de cinq cents tonnes.
Un dispositif automatique la taillait en forme de cube, et lui coupait, toutes les heures, une tranche gigantesque sur chaque face. Elle repoussait indéfiniment. Une galerie courait autour du bac. Le dimanche, le bon peuple consommateur était admis à circuler. Il jetait un coup d’oeil attendri à la « mère » et remontait à la brasserie en déguster un morceau, garni de graines de soja géant coupées en tranches, et frites à l’huile de houille. La fameuse bière 13, tirée de l’argile, coulait à flots.
François, son bifteck achevé, se fit servir une omelette et un entremets au lait.
Il ne serait pas venu à l’idée des Européens du XXe siècle de manger des foetus de mouton ou des veaux mort-nés. Ils dévoraient pourtant des oeufs de poule. Une partie de leur nourriture dépendait du derrière de ces volatiles. Un procédé analogue à celui de la fabrication des viandes libéra l’humanité de cette sujétion. Des usines livrèrent le jaune et le blanc d’oeuf, séparés, en flacons. On ne commandait plus une omelette de six oeufs, mais d’un demi-litre.
Quant au lait, sa production chimique était devenue si abondante que chaque foyer le recevait à domicile, à côté de l’eau chaude, de l’eau froide et de l’eau glacée, par canalisations. Il suffisait d’adapter au robinet de lait un ravissant petit instrument chromé pour obtenir, en quelques minutes, une motte d’excellent beurre. Toute installation comportait un robinet bas, muni d’un dispositif tiédisseur, auquel s’ajustait une tétine. Les mères y alimentaient leurs chers nourrissons."
Barjavel, Ravage (1943)

Modèle de lettre à adresser à la Mairie de Paris (ou à votre mairie) :
http://www.paris.fr/contacts/Portal.lut?page_id=5722&document_type_id=12&document_id=10737&portlet_id=12354
Bonjour,
Je suis en colère de voir qu'à Paris, on ne respecte pas la nature et qu'on taille les arbres (notamment les platanes) en dehors de leur période de dormance, c'est-à-dire l'hiver.
Non : à Paris, on taille les arbres en mai, quand leur feuillage est là et que les oiseaux y ont fait leurs nids.
Quel exemple d'écologie et de respect de la nature Paris donne-t-il au monde !
C'est une véritable honte.
Cordialement,
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