Lars Von Trier, cinéaste assassin

On connaissait Lars Von Trier pour son idéologie misogyne (d'une violence rarement atteinte au cinéma).
Il est temps de dévoiler une autre des facettes de ce réalisateur : un âne a réellement été tué pour les "besoins" dramatiques de son film Manderlay (2004), parabole douteuse officiellement antiraciste, officieusement raciste, posant que le bonheur, au fond, se trouve dans l'esclavage ("l'intrigue a été en partie inspirée, de l'aveu même du cinéaste, par la préface, signée Jean Paulhan, de la célèbre Histoire d'O de Pauline Réage. Paulhan y relate la révolte de Noirs, sur l'île de la Barbade, en 1838, demandant à retrouver leur statut d'esclave alors que celui-ci vient d'être aboli" : http://www.allocine.fr/film/anecdote_gen_cfilm=49149.html).
On ne s'étonne pas des sources d'inspiration de Trier.
L'acteur John C. Reilly, qui devait jouer dans le film, a finalement refusé en apprenant qu'un animal devait y être sacrifié.
La scène de l'abattage de l'âne a été coupée au montage.
Lien permanent
Catégories : Art, Féminisme, Film, Humeurs, Libération animale, Société
0 commentaire