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Véganisme abolitionniste - Page 3

  • Parution du livre de Cédric Stolz, "Des animaux sur la Terre"

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    Quatrième de couverture :

     

    "Le moment est venu de refonder le statut de l'animal, en questionnant l'image que nous avons construite de nous-mêmes.

     

    Mais tandis que la philosophie peine à se détacher de traditions dépassées pour penser notre rapport à l'animalité, la science est insuffisante pour rendre compte des animaux.

     

    Cet essai entreprend alors une déconstruction profonde des barrières qui structurent notre horizon de pensée, par la construction même d'une voie alternative débarrassée de nos présupposés.

     

    C'est en dévoilant la richesse des mondes animaux qui coexistent sur la Terre, que s'envisage la naissance d'une vision globale où la réalité n'est plus restreinte à la seule perspective humaine.

     

    L'ouvrage propose une compréhension de l'existence animale qui rend possible une véritable reconnaissance des animaux pris dans leurs diversités et singularités."

     

    Présentation de l'éditeur :

    http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&isbn=978-2-343-12845-0&utm_source=phplist&utm_campaign=message_21803&utm_medium=email&utm_content=lienImage

    Page Facebook du livre :

    https://www.facebook.com/DesAnimauxSurLaTerre/

     

    Cédric Stolz est enseignant en philosophie et porte-parole d'une association nationale qui milite pour le reconnaissance des intérêts fondamentaux des animaux.

  • Journée Mondiale des Animaux : engagez-vous réellement pour celles et ceux que vous prétendez aimer

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    Pour que la Journée Mondiale des Animaux ne se réduise pas à un simple slogan commercial, engagez-vous réellement pour celles et ceux que vous prétendez aimer : devenez végan.e.s.

     

    Comment mieux s'engager en leur faveur que de ne PLUS les consommer ?

     

    Les animaux nonhumains sont des êtres conscients et sensibles pourvus pour cette raison de droits fondamentaux que nous leur nions arbitrairement.

     

    Le véganisme est le seul mode de vie à même de les leur garantir.

     

    Devenons végan.e.s.

     

    Maintenant.

  • Vivre un jour comme le mien

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    Go vegan. Now.

  • Joyeuses Pâques Véganes !

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    La vie des animaux est plus importante qu'une vieille tradition.

    Joyeuses Pâques sans injustice.

    Joyeuses Pâques véganes.

  • Alice en enfer

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    "Tu as l'air un peu intimidée, permets-moi de te présenter à ce gigot de mouton, dit la Reine Rouge. Alice... Mouton ; Mouton... Alice."

     

    Lewis Carroll, De l'autre côté du miroir.

  • France Culture censure les végans

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    France Culture censure la parole végane.

    Drame en 3 actes.

     

    France Culture pratique la censure et méprise assez ses auditeurs végan.e.s pour ne pas leur donner d'explications quand ils lui en demandent.

     

    Voici la 3e fois que je poste (en vain) un commentaire ici : https://www.franceculture.fr/emissions/hashtag/comment-notre-consommation-de-viande-est-en-train-de-changer#xtor=EPR-2-[LaLettre03032017]

     

    J'ai été censurée chaque fois. Pourquoi ? Mystère.

     

    Le véganisme dérange-t-il à ce point ? Refuser de consommer les animaux nonhumains est-il révolutionnaire à ce point ?

     

    Il faut croire que oui, décidément. Même pour une radio soi-disant progressiste comme France Culture.

     

    Voici mon commentaire, objet de tant de... haine (trois "raffinages" n'ont pas suffi à le faire accepter) :

     

    1) "Je suis horrifiée par le bas niveau de certaines interventions - à commencer par celle de la dénommée "Carine", qui a le culot de revendiquer le fait de faire passer son estomac avant la vie des êtres conscients et sensibles dont elle mange la chair... Quel bel exemple d'éthique. Nous sommes décidément bel et bien toujours à l'âge de pierre.
    En outre - et je ne félicite pas les journalistes français dans leur ensemble car tous occultent cette réalité, par ignorance ou à dessein -, je rappelle que le végétaRisme contribue à l'exploitation animale. En effet, arrêter simplement de consommer de la viande ne change rien au sort des animaux, lesquels seront toujours exploités, torturés et tués dans les abattoirs pour les produits laitiers. Comme le dit le théoricien abolitionniste Gary L. Francione, "il y a autant de souffrance et de mort dans un verre de lait, un bout de fromage ou une glace que dans un steak." Industrie de la viande et industrie du lait sont inextricablement liées.
    Le véganisme (suppression de TOUS les produits d'origine animale : chair, lait, oeufs, cuir, laine, fourrure, soie, miel, etc.) est le SEUL mode de vie garantissant aux animaux nonhumains leurs droits fondamentaux : droit à la vie, à la liberté, à ne pas être exploité ni maltraité - tous droits qu'ils possèdent par nature en vertu de leur sentience, seul critère pertinent pour faire partie de la communauté morale."

     

    2) "Je suis horrifiée par le bas niveau de certaines interventions - à commencer par celle de la jeune étudiante qui a le culot de revendiquer le fait de faire passer son estomac avant la vie des êtres conscients et sensibles dont elle mange la chair... Quel bel exemple d'éthique. Nous sommes décidément bel et bien toujours à l'âge de pierre.
    En outre - et je ne félicite pas les médias français dans leur ensemble car tous occultent cette réalité, par ignorance ou à dessein -, je rappelle que le végétaRisme contribue à l'exploitation animale. En effet, arrêter simplement de consommer de la viande ne change rien au sort des animaux, lesquels seront toujours exploités, torturés et tués dans les abattoirs pour les produits laitiers. Comme le dit le théoricien abolitionniste Gary L. Francione, "il y a autant de souffrance et de mort dans un verre de lait, un bout de fromage ou une glace que dans un steak." Industrie de la viande et industrie du lait sont inextricablement liées.
    Le véganisme (suppression de TOUS les produits d'origine animale : chair, lait, oeufs, cuir, laine, fourrure, soie, miel, etc.) est le SEUL mode de vie garantissant aux animaux nonhumains leurs droits fondamentaux : droit à la vie, à la liberté, à ne pas être exploité ni maltraité - tous droits qu'ils possèdent par nature en vertu de leur sentience, seul critère pertinent pour faire partie de la communauté morale."

     

    3) "Le végétaRisme contribue à l'exploitation animale. En effet, arrêter simplement de consommer de la viande ne change rien au sort des animaux, lesquels seront toujours exploités, torturés et tués dans les abattoirs pour les produits laitiers. Comme le dit le théoricien abolitionniste Gary L. Francione, "il y a autant de souffrance et de mort dans un verre de lait, un bout de fromage ou une glace que dans un steak." Industrie de la viande et industrie du lait sont inextricablement liées.
    Le véganisme (suppression de TOUS les produits d'origine animale : chair, lait, oeufs, cuir, laine, fourrure, soie, miel, etc.) est le SEUL mode de vie garantissant aux animaux nonhumains leurs droits fondamentaux : droit à la vie, à la liberté, à ne pas être exploité ni maltraité - tous droits qu'ils possèdent par nature en vertu de leur sentience, seul critère pertinent pour faire partie de la communauté morale."

  • "Le scandale de la maltraitance animale" (Cynthia Fleury)

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    Merci à Cynthia Fleury d'avoir parlé dans cet article, paru le 13 janvier 2017 dans L'Humanité, de l'abolitionnisme, de Gary L. Francione et de Bêtes humaines ? Pour une révolution végane, ouvrage paru en 2015 aux éditions Autrement et que j'ai eu l'honneur de diriger. 

    ***

    Décembre 2016, les parlementaires de six groupes politiques avaient déposé une proposition de loi relative au respect de l’animal en abattoir, l’enjeu étant alors de contrôler les pratiques des 960 abattoirs français et de les sanctionner si de la maltraitance animale y était constatée.

     

    D’emblée, la mesure phare de vidéosurveillance des abattoirs avait été supprimée, sous prétexte qu’elle serait trop coûteuse et aux dépens des salariés.

     

    Autre suppression symptomatique de la non-envie du reste des parlementaires de voir la situation évoluer, celle consistant à visiter les établissements de manière inopinée.

     

    Bêtes humaines ? Pour une révolution végane (Autrement, 2015), dirigé par Méryl Pinque, reprend les grands enjeux de la fin de la maltraitance de l’animal, voire même de la domination de l’homme sur celui-ci.

     

    Si la thèse abolitionniste est loin d’être partagée par tous, la thèse « amélioriste » (néowelfarisme) l’est dorénavant.

     

    « C’est une erreur que de concevoir les problèmes de l’exploitation humaine et animale comme mutuellement exclusifs. Au contraire, toutes les formes d’exploitation sont inextricablement liées », écrit Gary L. Francione, un des spécialistes du droit des animaux, qui pour sa part défend une démarche plus radicale qui considère qu’aucun être sensible ne peut être considéré comme la propriété d’autrui.

     

    Ne plus accepter la désensibilisation sur laquelle prolifère l’exploitation animale relève désormais du consensus, comme de cesser de méconnaître les manquements éthiques liés aux pratiques dans les abattoirs, tout bonnement barbares.

     

    En revanche, la thèse abolitionniste continue d’interpeller tant elle n’est pas simple à tenir jusqu’au bout.

     

    Réduire la consommation des animaux à la stricte nécessité est tout à fait envisageable, ne mettre en place aucun système de régulation envers eux, pour respecter leur condition d’égalité morale, est loin d’être aisé tant la disproportion entre les animaux et les humains est réelle, et nullement en faveur des humains.

     

    L’ouvrage défend à l’inverse un véganisme, qui n’est pas un choix mais, au-delà d’un mode de vie et d’une pratique alimentaire excluant tout produit d’origine animale, « une obligation morale, un engagement profond vis-à-vis de ceux dont nous reconnaissons la valeur intrinsèque ».

     

    Il ne s’agit nullement de se contenter de soulager la conscience humaine, en mettant en place plus de compassion envers les animaux, et pour la plupart d’entre nous les devoirs de compassion sont moins exigeants que les devoirs de justice.

     

    Mme Brigitte Gothière, porte-parole de l’association L214, rappelait encore lors de la commission d’enquête (septembre 2016) sur les conditions d’abattage que « Les animaux souffrent toujours de leurs conditions d’abattage, que celui-ci soit fait conformément à la réglementation ou pas. Les lieux d’abattage, par essence, sont des lieux violents et cruels. »

     

    La déclaration de Cambridge (2012) rappelait quant à elle que les humains ne sont pas seuls à posséder les substrats neurologiques de la conscience.

     

    Cynthia Fleury

     

    Lien article : http://www.humanite.fr/le-scandale-de-la-maltraitance-animale-630293

  • Vivre et laisser vivre

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    Ne rendez pas ce monde semblable à un enfer pour les animaux.

    Faites en sorte que votre présence sur terre

    ne soit pas synonyme de leur tombeau.

     

    Prenez une bonne résolution en 2017 : DEVENEZ VÉGANS.

    Plus aucun produit d'origine animale dans nos vies.

  • Joyeux Noël Végan : pour que tout le monde soit heureux, c'est la recette infaillible !

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    Joyeux Noël Végan à toutes et tous !
    Les animaux comptent sur vous : ils tiennent à leur vie tout comme nous tenons à la nôtre.
    Alors ne les consommez pas : aimez-les, respectez-les.
    Que tout le monde sur terre soit heureux, en paix, respecté dans sa chair et sa dignité.

  • Bibliothèque de l'Université Paris 8, 22/11/2016 à 17 h : conférence sur le véganisme abolitionniste

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    UNIVERSITÉ PARIS VIII - Conférence de Méryl Pinque, mardi 22/11/2016 à 17h.

    "Le véganisme abolitionniste, une éthique de la non-violence"

     

    Alors que les êtres humains n’ont pas besoin de produits d’origine animale pour vivre, plus de 70 milliards d’animaux terrestres sont exploités et massacrés chaque année dans les abattoirs de la planète. Les animaux marins tués se comptent pour leur part en trillions. Ces chiffres astronomiques sont encore amenés à grandir avec l’explosion démographique.

     

    Notre mode de vie, spécialement alimentaire, en dit long sur les fondements de la civilisation qui est la nôtre.  Si nous voulons sortir de la violence, alors il nous faut commencer par l’éliminer de notre vie personnelle.

     

    Rien ne justifie que nous réduisions en esclavage, que nous torturions et assassinions des milliards d’êtres vivants conscients et sensibles — et par là même doués de droits fondamentaux que nous leur nions arbitrairement — pour satisfaire nos propres fins (faims) égoïstes. À l’instar du sexisme et du racisme, le spécisme est un mal moral qu’il est urgent d’identifier afin de mieux l’endiguer.

     

    Le véganisme abolitionniste, parce qu’il refuse l’utilisation de tout produit d’origine animale et vise à la cessation, ici et maintenant, de l’exploitation des nonhumains par les humains, est le seul mode de vie garantissant à tous les êtres vivants sentients leurs droits fondamentaux, ouvrant ainsi l’espoir d’une société pacifiée.

     

    La question étant : puisque nous pouvons le faire, pourquoi ne pas le faire ?

     

    Méryl Pinque est écrivaine et critique littéraire. Elle a dirigé un manifeste végan abolitionniste : Bêtes humaines ? Pour une révolution végane, paru en 2015 aux éditions Autrement (textes de : Gary L. Francione, Valéry Giroux, Patrick Llored, Méryl Pinque et Gary Steiner).

     

    Contact : Laurence Engelhard, Bibliothèque universitaire, Service communication et animation culturelle
    01 49 40 69 92

     

    INFORMATIONS SUR LE LIEU : https://www.bu.univ-paris8.fr/actualites/le-veganisme-abolitionniste-une-ethique-de-la-non-violence