Recettes de cuisine véganes
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Ce splendide miel végane doré, aux notes florales complexes et délicates de fleur d'oranger, évoque des visions d'orangeraies espagnoles. Sa saveur douce et profonde est par ailleurs boisée.Avec des prébiotiques.Parfait pour ajouter dans vos boissons préférées, votre porridge ou sur du pain grillé. Et pourquoi ne pas en arroser généreusement sur de belles crêpes fumantes ?!Ingrédients : sucre, inuline, jus de pomme, fleurs naturelles, jus de citron, eau de fleur d'oranger, mélasse.230ml
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JUST EGG : l'oeuf végétal qui s'apprête à conquérir l'Europe
"Nous avons eu la chance de redécouvrir une légumineuse qui a déjà eu des répercussions sur notre système alimentaire pendant des milliers d'années.
Nous n'avons certainement pas inventé le haricot mungo ni enseigné à un seul agriculteur comment le cultiver. Nous avons eu la chance de redécouvrir cette légumineuse qui a déjà eu des répercussions sur notre système alimentaire pendant des milliers d'années et de la transformer en un repas qui aura des répercussions sur des milliers d'autres. "Ce n'est pas tous les jours que vous voyez quelque chose qui vous surprend de la sorte", a déclaré José Andrés, un chef et restaurateur de renommée internationale.
Just Egg est exempt d'antibiotiques et de cholestérol. Il nécessite moins d'eau et moins d'émissions de carbone. Et il a bien sûr un goût d'œuf, mais il est encore plus que ça. "Il a des applications infinies et illimitées. C'est ce qui est génial à son sujet ", a déclaré Marut Sikka, l'un des meilleurs chefs de l'Inde.
À bien des égards, la construction d'un système alimentaire plus juste commence par le petit-déjeuner.
Un œuf est la protéine animale la plus abondante au monde et une partie de notre alimentation qui consomme trop de ressources. Il y a quelques années, nous avons décidé de travailler avec des agriculteurs pour voir si nous pouvions trouver une approche à long terme pour un déjeuner plus durable et savoureux pour des milliards de personnes. Cela semble être une entreprise importante et compliquée, et c'est le cas, mais notre travail avec les agriculteurs n'est pas si compliqué. Parce que les agriculteurs, bien plus que notre équipe, connaissent leur terre et leur sol et savent comment construire un système alimentaire sain et durable.
Nous avons appris des vrais experts et construit une plate-forme de découverte pour trouver le meilleur de ce qu'ils cultivent depuis des milliers d'années, y compris notre haricot mungo magique. Ensuite, nous l'écaillons et le brouillons pour vous tou.te.s, à partir de maintenant !"
Les poules, poussins et coqs vont enfin voir une partie de leur esclavage cesser grâce à des initiatives telles que Just Egg. Encore faut-il qu'elles se généralisent à l'ensemble du monde.
Site : https://justforall.com/en-us/stories/egg
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Joyeux Noël Végan : pour que tout le monde soit heureux, c'est la recette infaillible !
Joyeux Noël Végan à toutes et tous !
Les animaux comptent sur vous : ils tiennent à leur vie tout comme nous tenons à la nôtre.
Alors ne les consommez pas : aimez-les, respectez-les.
Que tout le monde sur terre soit heureux, en paix, respecté dans sa chair et sa dignité. -
NEW ROOTS (Suisse) : certainement les meilleurs fromages végans au monde !
Vous en rêviez ?
NEW ROOTS l'a fait.
De délicieux fromages végans et biologiques... dont le goût est strictement le même que celui du "camembert" ou d'autres fromages "traditionnels" bien connus !
Liens directs : http://www.newroots.ch/shop/casheeze-gereift/
et : http://www.newroots.ch/shop/casheeze-frisch/
Vous trouverez également d'autres délicieux produits végans à déguster :
http://www.newroots.ch/shop/kale-chips/
Les créateurs en sont deux jeunes Suisses très talentueux, Alice et Freddy.
"De vrais aliments faits à la main en Suisse à base de plantes biologiques."
Des produits, un site et des gens à faire connaître d'urgence !
Site : http://www.newroots.ch
Page Facebook : https://www.facebook.com/newrootsfoodsfromplants/
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La chaîne de supermarché Veganz déferle sur l’Europe
Le fondateur, Jon Bredack. Photo: Veganz Gmbh
Veganz est la première chaîne de supermarché 100% vegan, créée en 2011 par Jan Bredack, un vegan de 42 ans. Trois ans plus tard, cette success story s’étend dans plusieurs pays d’Europe, dont la Suisse, avec l’ouverture prochaine d’une franchise à Zürich.
Devenu vegan en 2009, c’est un burn-out qui a déclenché un changement de style de vie pour l’ancien senior manager de Daimler (Mercedes Benz). Après divers voyages en Scandinavie et aux USA, l’idée d’un supermarché 100% vegan ne quitte plus son esprit et prend forme lors de l’ouverture du premier magasin à Berlin en 2011.
L’Europe, mais pas seulement
Avec actuellement des magasins à Berlin, Hamburg, Munich, et Frankfurt, la franchise agrandit son réseau avec l’ouverture de plusieurs supermarchés dans six autres villes allemandes. L’année prochaine, c’est au tour de Vienne, Londres, Amsterdam, Barcelone, Milan, Copenhague et Zürich d’accueillir leur premier Veganz.
Mais l’infatigable Bredack ne compte pas s’arrêter là: après l’Europe, les Etats-Unis! En effet, un magasin ouvrira en 2016 à Portland, qui proposera des produits alimentaires, des chaussures, des vêtements et un restaurant.
Pour finir (!) un food truck, une remorque vendant des hot-dogs et des hamburgers végétaliens, va parcourir l’Europe et s’arrêtera lors de diverses manifestations, comme des festivals de musique ou des événements sportifs.
Un travail intense et stressant pour cet homme, mais Bredack assure que l’argent n’est pas la motivation: « Je le fais car cela vient du cœur. C’est la chance de faire quelque chose de bien dans la vie. »
Fromages végétaux, dérivés de tofu et tempeh (saucisses végétales, imitation « poisson », imitation « viande »), yaourts, crèmes… les supermarchés Veganz ressemble à tout autre supermarché, avec son lot de produits transformés, de sodas et de junk food.
Jan Bredack veut montrer qu’il est facile d’être vegan, peu importe son style de vie.
Côté éco, il assure que les produits importés le sont par transport en bateau cargo, afin de limiter l’empreinte écologique.
http://veggieromandie.ch/la-chaine-de-supermarche-veganz-deferle-sur-leurope/
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De la facilité de devenir végan et d'inviter chez soi des végans sans craindre le qu'en dira-t-on
Celles et ceux qui font mine de s’étonner du fait que les végans refusent de manger avec des non-végans doivent comprendre que cela leur est impossible pour la simple raison que voir manger devant soi les animaux est d’une grande violence, un peu comme quelqu’un que l’on forcerait à côtoyer à table un cannibale (rappelez-vous le banquet d'Hannibal Lecter).
De fait, manger les animaux est d’une grande violence de l’ordre préhistorique, et il est temps que l’humanité, qui se targue de posséder une conscience et n’a pas besoin de produits d’origine animale pour vivre (et qui donc n’en mange que par futilité et gourmandise), se civilise un peu en faisant passer l’éthique élémentaire - laquelle consiste à ne pas exploiter, tuer ni dévorer autrui - avant son estomac.
D’autre part, ce sont généralement les cannibales en question qui n’acceptent pas de voir les végans à leur table et le leur font très vite sentir, ce qui entraîne des discussions désagréables pour les deux parties, les végans se voyant forcés de se justifier de vivre sans causer la mort (un comble), et les cannibales éprouvant de leur côté (ou n’éprouvant pas d’ailleurs) le besoin de se justifier, sans jamais y parvenir et pour cause, de vivre en la causant — leur mauvaise conscience, doublée de leur absence d’arguments valables, les rendant généralement très agressifs.
Leur mauvaise foi alors est immense, mais ils n'en ont cure : n'oubliez pas qu'ils savent que la majorité est de leur côté, ce qui leur permet, toute honte bue, d'être fiers, arrogants, et convaincus de leur bon droit.
Vous hésitez donc à rassembler ces deux camps ennemis autour de votre table, de peur que l'amicale rencontre ne vire au pugilat - ce en quoi vous n'avez pas tort, non à cause des végans encore une fois, mais bien de ceux de vos hôtes préhistoriques qui ne le sont pas.
La solution ?
Elle est simple : cuisinez végan pour tout le monde !
Osez franchir le pas.
Songez qu’il est facile d’inviter chez soi des végans, qui sont gens accommodants pour peu que l'on ne dévore pas leurs frères et soeurs nonhumains sous leurs yeux, ce qui est, avouons-le, la moindre des choses et la première des politesses.
Pour les plus paresseux et les moins inventifs, il suffit d’acheter des spaghettis, de les plonger dans l’eau bouillante, d’ajouter ensuite une noix de margarine végétale et une cuillère à soupe d’huile d’olive, de mettre un peu d’ail, de sauce tomate et de sel, et le tour est joué !
Vos hôtes, quel que soit leur camp, seront comblés et le clan préhistorique oubliera de manifester sa mauvaise humeur née de sa mauvaise conscience.
On pourra accompagner ces pâtes d’une entrée tout aussi délicieuse, peu onéreuse et simple à préparer : une salade composée (laitue, noix, tomates, maïs, avocat, etc., les combinaisons sont nombreuses !).
En dessert, un flan sans œufs (dont on trouvera la poudre dans n’importe quelle grande surface) préparé avec un simple litre de lait de soja calcium (lui aussi disponible dans n’importe quelle grande surface), ou bien encore des sorbets (sans lait ni cochenille) ou de simples fruits.
Sans oublier Internet qui regorge de centaines, non, de milliers de recettes végétaliennes élaborées et délicieuses : pour cela, tapez simplement "recettes véganes" ou "recettes végétaliennes" dans votre moteur de recherche !
Vous ne pourrez plus dire ensuite que vous ne saviez pas.
J’espère que ce billet vous convaincra du fait qu’inviter des végans chez soi est facile, et que devenir végan soi-même l’est tout autant : la preuve, bien des gens y sont parvenus, et vous êtes tout aussi capables et doués de conscience qu’eux, n’est-il pas vrai ?
Comme eux, vous comprenez qu'en 2014 il est temps de faire passer la vie d'autrui avant son plaisir gustatif.
Il suffit de prendre vraiment conscience du fait – et non seulement en surface – que les animaux sont des êtres sensibles et conscients possédant pour cette raison des droits élémentaires que nous leur nions, qu’ils sont des individus dignes de respect et qu’à ce titre ils ne se mangent pas.
Souvenez-vous-en : pas de demande, pas d’offre.
Les élevages, les abattoirs et les bourreaux qui y travaillent n’existent qu’en raison de la demande de la population en produits d’origine animale.
Il ne sert donc à rien d’incriminer les abattoirs et les bourreaux.
Le changement commence par soi-même, et la paix débute avec ce que l’on mange et ce avec quoi l’on se vêt.
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Vins : le label "vegan" débarque en France
Label "Vegan" sur l'étiquetteLes vins certifiés sans produits issus d'animaux émergent en France. Au lieu d'utiliser de la colle à base de blanc d'oeuf, de la caséine de lait, de la peau et du cartilage de poisson ou de la gélatine de boeuf ou de porc pour agglomérer les lies en suspension après la fermentation, des domaines clarifient le vin avec des protéines végétales (pois, soja), de la poudre d'algues ou de l'argile (bentonite). Il n'existe pas de signe officiel: les rares pionniers français le mentionnent sur l'étiquette.
Notre conseil: optez pour le domaine Ampelidæ (Haut-Poitou) de Frédéric Brochet, premier en France à être certifié par la Vegan Society de Londres, ou les huit vins végétaliens sélectionnés par le caviste Meilleursvinsbio.com. Le champagne Larmandier-Bernier fait par exemple appel à des Bourguignons pour réaliser un tamisage léger avant la mise en bouteille.
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/tendances/vin-et-alcool/le-vin-bio-sort-des-caves_1505701.html#uGzIXp30vGKuyyeQ.99Label "Vegan" sur l'étiquette (L'Express n° 3274, 2 avril 2014)
Les vins certifiés sans produits issus d'animaux émergent en France.
Au lieu d'utiliser de la colle à base de blanc d'oeuf, de la caséine de lait, de la peau et du cartilage de poisson ou de la gélatine de boeuf ou de porc pour agglomérer les lies en suspension après la fermentation, des domaines clarifient le vin avec des protéines végétales (pois, soja), de la poudre d'algues ou de l'argile (bentonite).
Il n'existe pas de signe officiel: les rares pionniers français le mentionnent sur l'étiquette.
Notre conseil : optez pour le domaine Ampelidæ (Haut-Poitou) de Frédéric Brochet, premier en France à être certifié par la Vegan Society de Londres, ou les huit vins végétaliens sélectionnés par le caviste Meilleursvinsbio.com.
Le champagne Larmandier-Bernier fait par exemple appel à des Bourguignons pour réaliser un tamisage léger avant la mise en bouteille.
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/tendances/vin-et-alcool/le-vin-bio-sort-des-caves_1505701.html#uGzIXp30vGKuyyeQ.99
Label "Vegan" sur l'étiquetteLes vins certifiés sans produits issus d'animaux émergent en France. Au lieu d'utiliser de la colle à base de blanc d'oeuf, de la caséine de lait, de la peau et du cartilage de poisson ou de la gélatine de boeuf ou de porc pour agglomérer les lies en suspension après la fermentation, des domaines clarifient le vin avec des protéines végétales (pois, soja), de la poudre d'algues ou de l'argile (bentonite). Il n'existe pas de signe officiel: les rares pionniers français le mentionnent sur l'étiquette.
Notre conseil: optez pour le domaine Ampelidæ (Haut-Poitou) de Frédéric Brochet, premier en France à être certifié par la Vegan Society de Londres, ou les huit vins végétaliens sélectionnés par le caviste Meilleursvinsbio.com. Le champagne Larmandier-Bernier fait par exemple appel à des Bourguignons pour réaliser un tamisage léger avant la mise en bouteille.
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/tendances/vin-et-alcool/le-vin-bio-sort-des-caves_1505701.html#uGzIXp30vGKuyyeQ.99 -
Être vegan et manger équilibré : à bas les idées reçues !
Charlotte est végane, et en a un peu assez des idées reçues sur ce mode d’alimentation encore méconnu.
Suivez le guide pour vous débarrasser des clichés !
Que mange un/e végétalien/ne, pourquoi, qui sont-ils, quels sont leurs réseaux ?
Je tenterai modestement d’apporter quelques éléments de réponse à ces questions et bien d’autres soulevées sur le forum après l’article de BleuKobalt, à partir de mon expérience.
Avertissement : je ne suis pas le porte-drapeau des végétaliens de France et de Navarre.
Je rechigne d’ailleurs à m’attacher l’étiquette.
Pour moi, être végé, vegan, ce que vous voulez, c’est un peu comme être féministe : c’est une philosophie de vie, des valeurs auxquelles je crois sans vouloir nécessairement les imprimer sur ma carte de visite.
Il s’est écoulé 8 ans entre ma “prise de conscience” et le moment où j’ai exclu le dernier produit laitier (le parmesan) et le dernier animal (le sashimi saumon) de mon alimentation.
Je n’ai pas lu Faut-il manger des animaux, j’ai lu Fast Food Nation.
Au final, j’étais devenue une végé-dilettante : un peu comme certain/es ne fument qu’en soirées, je ne mangeais “normalement” qu’en société.
Et ces repas “sociaux” sont au fil du temps devenus des efforts, puis des contraintes.
À l’aide d’amis végétaliens (vivant malheureusement à l’autre bout de la planète) j’ai finalement sauté le pas.
Le plus dur n’était pas “d’exclure” des produits sur lesquels mon choix ne se portait plus depuis longtemps.
Le problème était d’assumer publiquement ce qui est perçu comme une différence… dérangeante.
Pour tout vous dire, j’avais bien pensé à proposer mon témoignage sur Mad, et puis non, j’avais peur d’être étiquetée, réduite à mon assiette.
La team Mad étant composée des gens les plus ouverts et les plus tolérants que je connaisse, je vous laisse imaginer mon niveau de paranoïa…
Mais les idées reçues ont la vie dure.
Dégommons-les ensemble s’il vous plaît, ça me fait plaisir.
Idée reçue numéro 1 : Les carences
Ce n’est pas parce que vous mangez “de tout” que vous mangez “équilibré”.
La difficulté, c’est d’équilibrer.
C’est d’autant plus difficile que “l’équilibre” n’est pas le même pour tout le monde, il n’est pas figé dans le temps, bref, il n’existe pas de recette gravée dans le marbre de l’équilibre alimentaire.
Au sortir de mes 5 années d’études dont une d’Erasmus, autant vous dire que j’avais oublié qu’un repas se prenait à table, à heures fixes, avec différents groupes alimentaires…
Bière + chips constituait pour moi un dîner tout à fait valide.
Afin d’entrer dignement dans la vie active (et ceux qui subissent en ce moment la transition savent qu’adopter un rythme “travail” après la vie étudiante est épuisant), j’ai été suivie par une diététicienne pendant 6 mois.
Prescription : pas de produits laitiers, c’est beaucoup trop gras.
Pour le calcium, 4 yaourts nature par jour (pas allégés, ces produits maudits, et pas de sucre).
Un repas, c’est 125g de protéines animales (125g = un steak haché.)
Pas de porc, c’est trop gras, plutôt poulet, boeuf ou poisson gras (saumon) et 300g de légumes.
Pas de féculents, sauf si on fait beaucoup de sport.
Dans une vie sédentaire, ça s’accumule.
Soit.
Admettons (mais je sens que cette version du “régime équilibré” est facilement attaquable : “lâchez vos com’s” !).
Au bout de 6 mois, j’ai capitulé.
J’en avais vraiment marre du poulet, du saumon, du steak.
En revanche, j’ai redécouvert les légumes (300g sérieux, ça cale) et les féculents me manquaient.
J’ai donc remanié le régime à ma sauce.
Notez que 125g de viande, ce n’est pas énorme.
On arrive facilement à récupérer l’équivalent en protéines végétales.
Le tofu est un substitut “facile” : je lui colle une sauce aux légumes ou un curry selon mes envies, je suis tranquille en protéines.
Mais ça marche aussi en incluant du soja frais à votre wok de légumes, ou en utilisant les fameux couples de légumineuses ; j’alterne riz + haricots rouges (en burritos végétaliens, mmmmh), pâtes + pois chiches (tomates/basilic, ou huile/ail/piment), lentilles (j’ai appris le Dal indien, ma nouvelle drogue), j’accompagne mes ratatouilles bio de quinoa, en été je m’en fais des tupperwares froid pour les pique-niques (une variante de taboulé).
Mes astuces pour ne pas carencer en protéines sont aussi et surtout les noix, le houmous (purée de pois chiches), le tahini (purée de sésame) et les falafels.
Un de mes plats spécial re-boost si je me sens à plat est un pad thaï maison : udon noodles, légumes sautés (oignons, poivrons, soja, choux chinois et/ou brocolis), avec une sauce soja + beurre de cacahuètes + piment + sucre + jus de citron.
Plein de saveurs, tout ce qu’il faut pour décoller.
Et c’est addictif tellement c’est magnifique.
Les protéines végétales sont ingérées en plus faibles quantités, mais elles sont plus efficaces, c’est-à-dire qu’on les absorbe mieux.
Donc on s’y retrouve assez facilement.
C’est certain que s’il fallait ingurgiter l’équivalent de 250g de steak en protéines végétales, j’aurais fait une overdose de soja en 2 jours.
Je ne parle pas des quantités ; voilà l’élément variable.
Ça dépend des gens !
Si vous devenez vegan du jour au lendemain, vous aurez une DALLE MONSTRE les premières semaines.
Si vous y allez progressivement, même sans vouloir arrêter complètement les produits animaux, vous ressentirez les bénéfices tout aussi rapidement.
Je ne m’étais jamais dit que je voulais arrêter les produits laitiers.
Mais en l’espace de quelques semaines, j’ai ressenti un tel changement, dans le confort de digestion, l’après-repas, que je ne pourrais sans doute plus y revenir.
Moi qui fut fan de fromage pendant quelques années, le confort d’une vie sans produits laitiers compense largement pour le “sacrifice” d’une vie sans raclette.
C’est dit.
Le fer et le calcium ?
On les trouve essentiellement dans les légumes verts (brocolis, épinards, haricots, petits pois, choux, etc… )
Astuce ?
Si vous les agrémentez d’un jus de citron, vous absorbez plus efficacement le fer.
La carence en calcium est la plus facile à éviter, tant les substituts sont nombreux : laits de soja ou d’amandes sont parfaits pour votre chocolat chaud du matin ou du 4h, j’en utilise abondamment dans mes gâteaux (mes collègues ont récemment salué mon carrot cake vegan ; c’est la minute “je me la pète”).
Certains laits sont fortifiés en B12 (dont nous reparlerons).
On trouve également facilement du calcium dans les légumes verts.
C’est sûr qu’un verre de lait contient plus de calcium qu’une portion de brocolis.
Mais le calcium d’origine animale augmente l’acidité de l’organisme, qui doit puiser dans le calcium des os pour faire baisser cette acidité.
Le calcium du lait animal n’est donc pas la panacée.
Ah oui, tous les végétaliens que j’ai rencontrés étaient assez calés en diététique et en métabolisme humain.
Effet collatéral d’un régime “non-conventionnel” qui oblige à se documenter soi-même, sans doute…
Depuis que je suis « strictement » végétalienne, je goûte religieusement.
J’ai toujours des barres de céréales dans les poches ou dans le sac, un fruit si je peux, et une réserve d’amandes que je grignote vers 16h.
…Mais… ET LA B12 ?
Oui.
La vitamine B12 ne se trouve pas dans les produits végétaux.
Ni la D3 qu’on trouve essentiellement dans le poisson (ceux/elles qui n’en mangent pas, vous êtes sans doute carencés en D3 de toute façon).
Donc oui, je prends des gélules de B12 et de D3 de temps en temps.
Niveau contrainte, c’est rien comparé à la pilule ; si j’oublie ma B12, je la prends quand je veux.
Quant à choisir un régime “par défaut carencé”, je dois vous avouer que cet argument m’a longtemps, longtemps retenue.
Mais on en revient toujours au premier point : la clé, c’est l’équilibre.
Quand j’étais omnivore, j’étais systématiquement carencée en fer et en vitamine C.
J’absorbais mal le fer animal.
Je prenais régulièrement des gélules de fer et des pastilles de vitamine C.
Depuis que je mets du jus de citron sur mes brocolis (et du poivre pour le goût), deux révolutions ont eu lieu dans ma vie : 1/ j’aime les brocolis, 2/ je n’ai jamais eu d’aussi bons bilans sanguins.
Cet équilibre vaut bien une prise de gélule en concession, à mon avis.
Vous devez trouver votre équilibre, avec l’aide de médecins, de diététiciens, d’amis, de forums Internet, de ce qui vous permet d’accorder vos choix avec votre santé.
Oui, je recommande même des sources non scientifiques, ainsi que cet océan d’incertitude et d’intox qu’est Internet.
Mais toi qui dans la semaine alterne pâtes jambon-beurre-gruyère, pâtes bolo, pâtes pesto (pour la verdure), pâtes Sodebo (« boh, j’avais pu de casserole propre…« ), pizza, bière+chips+vodka le samedi, admets que tu n’as pas besoin d’un gourou de la médecine moderne pour t’aider à “corriger” ton équilibre alimentaire…
J’ajoute que je suis très sportive (5 jours sur 7) et que j’avais la solide habitude de tomber malade 3 fois par hiver (un trio gastro-angine-rhino).
Aujourd’hui je suis toujours très sportive, je me blesse moins, je ne suis pas (vraiment) tombée malade les 3 dernières années.
Ça ne prouve rien à personne, mais ça me conforte dans mes choix.
Idée reçue n°2 : la privation
Si je ne vous ai pas fait saliver avec mon pad thaï maison, mon dal ou mon carrot cake, attendez que je vous parle de mes muffins banane chocolat…
Le fameux carrot cake et son smoothie aux fruits
La privation c’était AVANT.
Mange pas ci, mange pas trop de ça, mange 5 fruits et légumes par jour, ne mange pas trop gras, trop sucré, trop salé, pratique une activité sportive régulière.
Mais bon, si tu demandes des légumes sans beurre à la cantine, alors là, c’est la levée de boucliers.
Un pain au chocolat tous les 15 jours et ma mère me tombait dessus comme si je mettais ma santé en péril, mais en revanche “bon, il reste une part de quiche lorraine, faut la finir” (pour ceux qui l’ignorent, la quiche lorraine c’est pâte brisée = beurre, flanquée d’une omelette au lard et au fromage, en gros).
Bref, avant, j’avalais en un repas l’équivalent calorique d’une journée entière.
Donc quand j’avais envie de M&M’s au ciné c’était non, les calories. Le mal.
Forcément, maintenant, c’est l’inverse.
Je tartine le beurre de cachuète sur mon pain multicéréales le matin en avalant 3 fruits différents, j’emporte un muffin et un stock d’amandes “pour tenir l’après midi”.
Et M&M’s vient de sortir une variété chocolat noir SANS LAIT.
Mesdames et messieurs, Dieu existe (et il est vraisemblablement végétalien).
Quant à toutes ces choses qu’il FAUT aimer sous peine de commettre un suicide social assuré, type les glaces, le Nutella, et j’en passe : je distingue deux types d’aliments.
La catégorie “Nutella”, qui comprend également les Kinder, etc., correspond à la pression sociale.
Je ne me suis jamais mise à fumer malgré la “pression sociale”, j’ai fini par adopter le même raisonnement avec les aliments.
De toute façon, je n’ai jamais aimé le Nutella !
La 2ème catégorie est ce que j’appelle les attaches émotionnelles.
Il se trouve que les spaghettis carbonara sont LE plat de ma famille.
J’ai tellement de souvenirs autour de ce plat que quand je vivais loin, il me suffisait de le cuisiner pour me retrouver à table avec eux.
Ces aliments sont les plus difficiles à supprimer.
Mais il s’agit finalement d’une simple prise de conscience.
Je n’aime pas moins ma famille parce que j’ai décidé de ne plus manger d’aliments que je n’apprécie pas pour leur goût mais pour les émotions qu’ils me rappellent.
Je garde ces émotions précieusement à l’intérieur de moi, et je n’ai pas besoin d’une odeur de lard grillé dans tout mon appart pour penser à mes proches.
Il en va de même pour le chocolat chaud de mon enfance et la tarte aux myrtilles de ma grand-mère.
Leurs versions vegan existent, et ce sont de nouveaux souvenirs qui s’y attacheront.
Je garde un souvenir indélébile de mon premier carrot cake vegan.
Grandir, c’est aussi lâcher prise sur certaines choses, en découvrir et en aimer d’autres…
Mes parents m’ont justement éduquée de sorte que je devienne une adulte indépendante, apte à faire ses propres choix, intelligemment et dans le respect d’autrui.
J’ai le sentiment de faire honneur à leur éducation dans ce sens.
À très bientôt pour casser de nouvelles idées reçues concernant les végétalien-ne-s !
En attendant, n’hésite pas à venir réagir dans les commentaires !
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Chacun doit boire le lait de son espèce pour le bien de tous
Voici un article intéressant pris sur le blog "Candeur Verte" (http://candeurverte.canalblog.com/archives/2013/01/26/26253586.html)
Le lait de vache, le réflexe poison
PARTIE 1
Aujourd’hui, qui ne donne pas du « bon lait de vache » à ses enfants pour le petit déjeuner, ou le goûter ?
Qui ne fait pas sa purée, son velouté avec du lait de vache ?
Très peu de gens !
Avec des pubs où les vaches ont l’air tellement heureux dans leur jolie prairie, qui pourrait se douter de l’enfer qui se cache derrière nos briques de lait ?
Trop peu de gens.
Il est grand temps de lever le voile de l’ignorance sur ce liquide.
On veut nous faire croire que le lait de vache est bon pour notre santé et qu’il n’y a aucun risque à en consommer tous les jours et à tous les âges.
Alors comment expliquer les intolérants au lactose ?
Comment expliquer que dans les pays où l'on consomme le plus de lait d'origine animal, le taux d’ostéoporose soit terriblement plus élevé que dans les pays où le lait animal n’est qu’à peine présent ?
Grand mystère n’est-ce pas ?
Le saviez-vous ?
- Le lait maternel contient 50% de calcium de plus que le lait de vache.
- « Dans la nature, aucun animal, excepté l’être humain, ne consomme le lait d’une autre espèce. L’homme est le seul être vivant à continuer à boire du lait après l’âge adulte. Et il considère qu’un tel comportement alimentaire, pourtant contre nature, est essentiel pour sa survie! »
Rien ne vaut l’allaitement de la mère à son enfant, ne l’oublions pas, le lait des femmes humaines et fait pour les bébés humains.
Est-ce qu’on donne du lait humain aux petits veaux ?
Non, alors pourquoi du lait de vache à nos enfants ?
Le lait maternel immunise les bébés contre toutes sortes de maladies, les aident à bien grandir et à se développer correctement.
Pour faire du lait de vache, il faut que la vache ait un petit, donc on la féconde par insémination artificielle à l'aide d'un tube d'insémination qui dépose le sperme contenu dans la paillette à l'entrée de l'utérus.
Voilà encore quelque chose de vraiment TRES naturel vous en conviendrez.
Une fois que le petit veau est né, que devient-il ?
On le laisse téter le premier lait de sa maman qui se nomme le colostrum et qui n’est pas commercialisable.
Ensuite, on sépare le veau de sa mère.
Les vaches à qui on arrache leurs petits sont perturbées, meuglent pendant plusieurs jours à la recherche de leurs enfants.
Imaginez-vous mère ou père, on vous arrache votre enfant quelques jours après l’avoir mis au monde sur cette belle planète.
Vous ne savez pas où est le fruit de vos entrailles, vous avez peur et vous êtes impuissant devant cette situation...
Tous les veaux mâles et la plupart des femelles sont tués pour être transformés en viande.
1°. Un déchirement.
2°. Des retrouvailles.
A vous de voir quelle vidéo vous préférez cautionner…
Pour qu’une vache produise autant de lait qu’elle le fait actuellement on lui donne des antibiotiques pour parer sa fragilité.
Cette surexploitation des animaux est à l’origine de nombreuses maladies, principalement des infections du pis, qui sont traitées au moyen de… médicaments !
Elles ont souvent des mammites.
« Ce que l'on sait encore moins, c'est que le lait contient aussi du pus, pudiquement appelé « cellules somatiques ».
C'est en effet par ces cellules somatiques que se traduisent les mastites à répétition dont sont victimes un tiers des vaches laitières.
Le taux de cellules somatiques d'un lait sain est inférieur à 100 000/ml, mais l'industrie laitière a le droit de mettre sur le marché du lait présentant un taux de 400 000/ml, taux qu'elle obtient en mélangeant des laits très contaminés avec des laits qui le sont moins.
On trouve aussi dans le lait des résidus anti-parasitaires, anti-inflammatoires, des pesticides et des aflatoxines fortement cancérigènes ». Peta
Dans les élevages industriels, les vaches sont traitées comme des « machines à fabriquer du lait ».
Après quelques années la production de lait diminue fortement chez la vache qui n’est donc plus rentable.
Elle est alors envoyée à l’abattoir.
"Bon alors passons au bio !"
Oui c’est déjà mieux que le non-bio, surtout pour les antibiotiques.
Toutefois le veau est également séparé de sa mère après sa naissance pour être élevé seul et, après quelques mois, il est abattu pour être transformé en viande de veau bio.
Le veau est parfois envoyé à l’engraissement dans des élevages conventionnels.
Dans les élevages de masse traditionnels, le veau bio est détenu isolé et engraissé avec de la nourriture non naturelle, puis, après une vie de misère, il est abattu.
Sa nourriture ne contient souvent pas de fer pour que la viande soit blanche et tendre, comme le veulent les consommateurs ; les veaux souffrent d’anémie.
Ça aussi c’est vraiment naturel n’est-ce pas ?
Les vaches ne sont pas des machines à lait, mais des êtres vivants qui ont besoin d’énergie absorbée sous forme de nourriture. Cette nourriture produit aussi des déchets polluants (urines et excréments). Et puis pour nourrir cette vache, il faut procéder de la même façon que pour les autres animaux d’élevages.
Le calcium il n’y en a pas que dans le lait animal ! Si, si, c’est bien vrai !
Le persil, le cresson, le soja, le sésame, l'orge, les pois chiches, les noisettes, les amandes, les pistaches, les figues sèches, les algues, les épinards, le brocoli, les choux fleurs, le céleri en branche, les navets et certains légumes verts feuillus, haricots secs, haricots blancs, les lentilles, le soja, les fruits secs... etc.
Quel lait dans vos céréales du matin?
Personnellement je ne bois jamais de lait tel quel, je n’ai jamais aimé cela, je préfère les infusions, par contre je les utilise quand je cuisine.
Oh, et petite anecdote, j'ai grandi au lait de soja.
Et j'ai beaucoup grandi ;)
- Le lait d’amande : je l’utilise beaucoup pour faire mes purées, mes gâteaux, mes crêpes, etc.
- Le lait de noisette : un membre de ma famille qui le boit nature - mon testeur omnivore - m’a dit : « Ce lait laisse un goût de pâte à tartiner dans la bouche ». Amateurs de Nutella [à bannir car non végan] et autres pâtes à tartiner, ce lait est fait pour vous.
- Le lait de soja : lui aussi je l'utilise beaucoup pour cuisiner, comme le lait d'amande.
* Sachez qu'un grand nombre de laits peuvent être trouvés avec des goûts différents (vanille, chocolat...).
Quelques autres laits : le lait d’avoine, le lait de riz, le lait d’épeautre, le lait de coco...
Voici une jolie trouvaille de quelques minutes pour finir :
http://candeurverte.canalblog.com/archives/2013/01/26/26253586.html
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Qu'attendez-vous pour passer aux laits végétaux ?
« Lors de l'enlèvement d'un veau destiné à l'abattoir, sa mère ayant échappé à la surveillance des fermiers s'est ruée, folle de douleur, vers le camion qui emmenait son petit.
Cette pauvre mère s'est mise à courir, à courir en beuglant désespérément derrière le camion.
Au bout d'un long moment, alors qu'elle s'était comme évanouie dans la campagne, les fermiers l'ont retrouvée gisante sur le sol.
Elle est morte d'un arrêt cardiaque, tant elle avait couru, comme n'importe quelle mère l'aurait fait pour défendre son enfant.
Ce jour là, j'ai compris que les vaches aiment leurs petits autant que les humains aiment leurs enfants. »
Nina Ceccarelli
LES VACHES LAITIERES, LE MARTYRE DES MERES NON-HUMAINES
Ces 40 dernières années, on a transformé à coup de sélections génétiques, médicaments, hormones et subventions européennes (payées avec nos impôts), de paisibles mammifères ruminants... en véritables MACHINES à lait.Une vache peut aujourd’hui produire entre 6.000 et 12.000 litres de lait par an ou 20-40 litres par jour ; c’est 10 fois plus que son ancêtre dans les années 50.
La moyenne "naturelle" de production de lait d’une vache qui allaite son petit est de maximum 1.000 litres par an.
C’est à l’âge d’environ 15 mois que commence le cercle infernal : insémination, mise bas, retrait du petit, insémination... car pour produire du lait, une vache comme une femme ou tout autre mammifère, doit d’abord avoir un petit.Chaque grossesse dure 9 mois et chaque mise bas se fait systématiquement par césarienne car les sélections génétiques ont créé des veaux devenus trop larges pour passer par le canal naturel de mise bas.
Le petit veau est séparé de sa mère dans les 24 heures après la mise bas, ce qui procure angoisse et désarroi pour la vache autant que pour le petit.Des études ont démontré que le deuil de la séparation dure des semaines entières, tandis que la vache totalement désorientée, pleure et cherche son petit.
Trois mois après la naissance de son premier veau, la vache est à nouveau inséminée.
Ce qui signifie qu’elle a constamment les mamelles pleines correspondant à une charge de plus de 50 kg.
À force de pousser l’animal au-delà de sa limite biologique, la vache est devenue anormalement difforme (bassin et pis hypertrophiés), ce qui engendre douleurs, boitements, infections mammaires entre autres maladies traitées à coup d’antibiotiques.Le petit veau finira en pâté pour chien et chat s’il est conduit à l’abattoir dès qu’il est retiré de sa mère.
La présure, substance provenant de son estomac, sera alors extraite pour servir à la fabrication des FROMAGES.
Ou bien, il passera 5 longs mois, enfermé dans l’étroitesse d’une caisse en bois, totalement isolé de ses congénères, où il n’aura pas même la place de se retourner.
L’industrie laitière fait intégralement partie de l’industrie bouchère : la viande de veau et la fabrication des fromages grâce à la présure extraite de son intestin en sont la démonstration : 70 % de la viande de bœuf provient des vaches laitières.En résumé, prétendre qu’une vache élevée pour sa viande souffre plus ou soit moralement moins acceptable qu’une vache élevée pour son lait est tout simplement ABSURDE.
Il en est de même pour leur impact sur la planète et sur la santé humaine.
http://www.lepost.fr/article/2009/12/11/1836299_d-ou-vient-le-lait.html
http://www.lait-vache.info/