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Qu'attendez-vous pour passer aux laits végétaux ?

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« Lors de l'enlèvement d'un veau destiné à l'abattoir, sa mère ayant échappé à la surveillance des fermiers s'est ruée, folle de douleur, vers le camion qui emmenait son petit.

Cette pauvre mère s'est mise à courir, à courir en beuglant désespérément derrière le camion.

Au bout d'un long moment, alors qu'elle s'était comme évanouie dans la campagne, les fermiers l'ont retrouvée gisante sur le sol.

Elle est morte d'un arrêt cardiaque, tant elle avait couru, comme n'importe quelle mère l'aurait fait pour défendre son enfant.

Ce jour là, j'ai compris que les vaches aiment leurs petits autant que les humains aiment leurs enfants. »

Nina Ceccarelli

LES VACHES LAITIERES, LE MARTYRE DES MERES NON-HUMAINES

Ces 40 dernières années, on a transformé à coup de sélections génétiques, médicaments, hormones et subventions européennes (payées avec nos impôts), de paisibles mammifères ruminants... en véritables MACHINES à lait.

Une vache peut aujourd’hui produire entre 6.000 et 12.000 litres de lait par an ou 20-40 litres par jour ; c’est 10 fois plus que son ancêtre dans les années 50.

La moyenne "naturelle" de production de lait d’une vache qui allaite son petit est de maximum 1.000 litres par an.

C’est à l’âge d’environ 15 mois que commence le cercle infernal : insémination, mise bas, retrait du petit, insémination... car pour produire du lait, une vache comme une femme ou tout autre mammifère, doit d’abord avoir un petit.

Chaque grossesse dure 9 mois et chaque mise bas se fait systématiquement par césarienne car les sélections génétiques ont créé des veaux devenus trop larges pour passer par le canal naturel de mise bas.

Le petit veau est séparé de sa mère dans les 24 heures après la mise bas, ce qui procure angoisse et désarroi pour la vache autant que pour le petit.

Des études ont démontré que le deuil de la séparation dure des semaines entières, tandis que la vache totalement désorientée, pleure et cherche son petit.

Trois mois après la naissance de son premier veau, la vache est à nouveau inséminée.

Ce qui signifie qu’elle a constamment les mamelles pleines correspondant à une charge de plus de 50 kg.

À force de pousser l’animal au-delà de sa limite biologique, la vache est devenue anormalement difforme (bassin et pis hypertrophiés), ce qui engendre douleurs, boitements, infections mammaires entre autres maladies traitées à coup d’antibiotiques.

Le petit veau finira en pâté pour chien et chat s’il est conduit à l’abattoir dès qu’il est retiré de sa mère.

La présure, substance provenant de son estomac, sera alors extraite pour servir à la fabrication des FROMAGES.

Ou bien, il passera 5 longs mois, enfermé dans l’étroitesse d’une caisse en bois, totalement isolé de ses congénères, où il n’aura pas même la place de se retourner.

L’industrie laitière fait intégralement partie de l’industrie bouchère : la viande de veau et la fabrication des fromages grâce à la présure extraite de son intestin en sont la démonstration : 70 % de la viande de bœuf provient des vaches laitières.

En résumé, prétendre qu’une vache élevée pour sa viande souffre plus ou soit moralement moins acceptable qu’une vache élevée pour son lait est tout simplement ABSURDE.

Il en est de même pour leur impact sur la planète et sur la santé humaine.

http://www.lepost.fr/article/2009/12/11/1836299_d-ou-vient-le-lait.html

http://www.lait-vache.info/

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