Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Chine : peut-être bientôt plus de chat ni de chien dans les assiettes

    Drapeau chinois

    PEKIN — Les Chinois pourraient se voir privés prochainement de viande de chat ou de chien si les députés votent un projet de loi contre les mauvais traitements aux animaux, a annoncé mardi un quotidien régional.

    La consommation de viande de chat ou de chien, répandue dans le pays [...], pourrait valoir aux Chinois une amende de 5.000 yuans (500 euros) et jusqu'à 15 jours de prison, a rapporté le Chongqing Evening News.

    Les "organisations" impliquées dans cette pratique ancestrale pourraient se voir infliger des amendes de 10.000 à 50.000 yuans, aux termes du projet de loi à l'étude depuis un an.

    La cruauté envers les animaux et la consommation de chats et chiens restent largement répandues en Chine en dépit de l'arrivée de plus en plus d'animaux domestiques dans les foyers.

    Des restaurants proposent de la "viande parfumée", autrement dit du chien, dans tout le pays et le chat est largement consommé dans le sud de la Chine.

    http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5gnenQ3uSzfz8aFYD54T8qXwfhW5A

  • "Exploiter l'exploitation" (Gary Francione)

    http://farm1.static.flickr.com/6/68456965_cf2810f7fd.jpg

    Chers collègues,

    En 2007, j’ai écrit un article en réponse au PETA’s State of the Union Undress de 2008.

    PETA a maintenant réalisé le PETA’s State of the Union Undress de 2010, présentant cette fois-ci la nudité totale d’une femme de couleur - tout ceci “pour les animaux”, bien sûr.

    La vidéo de PETA conclut sur une citation de Martin Luther King Jr.

    Quelqu’un pense-t-il vraiment que ceci a un quelconque intérêt “pour les animaux” ?

    Aucun mouvement pour un changement social qui veut des partisans intelligents et progressifs ferait quelque chose de la sorte.

    Je ne vais pas davantage commenter car si vous ne voyez pas le PETA State of the Union Undress (et son sexisme en général) comme terriblement mauvais à différents niveaux, alors il n’y a réellement rien que je ne pourrais dire pour vous convaincre.

    Espérons qu’en 2010, nous ferons des progrès pour convaincre le public que les droits des animaux soulèvent des questions graves et que cela n’est pas juste une excuse pour les comportements juvéniles de ceux qui en profitent pour exploiter l’exploitation des humains et non-humains.

    LE MONDE EST VEGAN! Si vous le voulez.

    Gary L. Francione

    http://www.abolitionistapproach.com/fr/2010/01/22/exploiter-lexploitation/

  • Un refuge porte plainte pour maltraitances sur un golden retriever

    Grâce aux bons soins prodigués par Corinne notamment, Doumia se refait une santé.

    Photo : Nathalie Bourreau

    Pendant que Doumia se remet, le refuge se bat pour que les violences subies « ne restent pas impunies ».

    Sa petite gueule est déformée.

    Sous son poil couleur sable, la peau est brûlée par les cigarettes.

    Son train arrière est affaissé et sa patte fracturée.

    Les deux vétérinaires qui ont eu à ausculter Doumia, très beau golden retriever de sept mois, n'ont pas manqué de le relever.

    Entre autres signes.

    « Fractures de la mandibule gauche, du bassin, nombreuses lésions cutanées de brûlures sur le thorax et l'abdomen, oedème et hématome sous cutané... »

    Ce mercredi, dans les locaux du refuge Des animaux et des hommes, à Bouguenais, Doumia passe la plupart de son temps allongée.

    À la caresser, on mesure les souffrances endurées.

    Et pourtant, Corinne estime qu'elle s'est déjà requinquée.

    C'est dire dans quel état elle l'a trouvée...

    Prostrée, amaigrie

    C'était il y a une semaine.

    « On avait reçu un appel anonyme dénonçant des maltraitances sur un chien », se souvient cette salariée du refuge.

    Corinne s'est présentée à l'adresse indiquée.

    « Mon chien ? Mais il va très bien mon chien ! », lui a répondu le jeune propriétaire bien mis.

    Elle a vite observé le contraire.

    Prostré, l'animal ne pesait que douze kilos.

    « Il fallait l'emmener au plus vite », se souvient-elle.

    « Elle était tellement mal en point qu'on n'était même pas sûr de la sauver... »

    Par chance, le jeune homme accepte de signer l'attestation d'abandon.

    Corinne ravale sa colère et file chez le premier vétérinaire.

    « On ne pouvait pas laisser passer ça ! »

    Aujourd'hui, le jeune golden n'est plus sous morphine, mais toujours sous anti-inflammatoires.

    Il se remet doucement d'un long mois de violences.

    En attendant qu'il subisse plusieurs opérations lourdes, Corinne, elle, se bagarre.

    Dès lundi, une plainte a été déposée en gendarmerie.

    « On ne pouvait pas laisser passer ça ! », estime aussi la présidente du refuge, Dominique Bacot.

    « Malheureusement, on le sait, la justice ne suit pas quand il s'agit de violences ordinaires subies par les animaux.

    Mais là, c'est du sadisme, de l'acharnement !

    Il a fallu la jeter contre les murs pour la mettre dans cet état ! »

    Depuis le temps qu'elles recueillent 300 chiens et chats par an, dans un sale état parfois, Corinne et Dominique n'ont jamais vu une procédure aboutir à une condamnation.

    Mais ces deux-là ne sont pas du genre à baisser les bras.

    Pour donner « plus de poids » à cette action, elles entendent d'ailleurs solliciter le soutien de 30 Millions d'Amis, de la fondation Bardot et de la SPA.

    Les courriers sont déjà prêts.

    Anne-Hélène Dorison
    anne-helene.dorison@presse-ocean.com

    Pour aider le refuge, contactez le 02 40 26 90 00.

    http://www.presseocean.fr/actu/actu_detail_-Un-chien-brule-a-la-cigarette-_9179-1234270_actu.Htm

    Pétition : http://lapetition.be/en-ligne/petition-6122.html

  • Elevage de porcs en Europe : les défenseurs des animaux portent plainte

    http://q.liberation.fr/photo/id/104319/r/03/02/w/459/m/1264092272

    Une majorité des élevages sont en infraction avec la loi de 2003, selon une enquête conduite en 2008 et 2009 dans six pays d'Europe (hors France).

    Des associations de défense des animaux ont porté plainte jeudi auprès de la Commission Européenne à l’encontre de six pays d’Europe pour « violation de la loi de 2003 » sur l’amélioration du bien-être des porcs d’élevage, a annoncé dans un communiqué le Groupe d’action dans l’intérêt des animaux (GAIA).

    Compassion in World Farming et La Coalition européenne pour les animaux de ferme (ECFA) ont mené une enquête de 18 mois (en 2008 et 2009) dans 74 élevages de six pays de l’Union Européenne (Danemark, Hongrie, Allemagne, Espagne, Pays-Bas et Royaume-Uni) qui révèlent que « la vaste majorité des élevages visités étaient en infraction ».

    Selon eux, plus de 90% des animaux étaient amputés de la queue et 67% étaient détenus entassés dans des élevages industriels sur des sols en caillebotis (dalles de bois) sans aucune litière.

    Selon la législation européenne, la loi destinée à améliorer le bien-être des porcs en élevage entrée en vigueur en 2003, impose que les porcs d’élevage aient accès à un matériau manipulable (paille, sciure de bois…) nécessaire à l’expression de leurs comportements naturels d’exploration et de fouille et interdit la coupe systématique des queues.

    « Il est scandaleux que 7 ans après son entrée en vigueur, la loi soit ignorée par tant d’éleveurs à travers l’Europe.

    Les porcs sont des animaux intelligents et explorateurs (…) nous appelons les Etats membres à appliquer la loi qui impose l’accès à une litière et interdit la coupe systématique des queues», a déclaré Peter Stevenson, Conseiller politique pour Compassion in world farming.

    Pour Ann de Greef, directrice de GAIA, « il est inadmissible que la Belgique n’ait pas pris les mesures qui s’imposent pour remédier à cette situation lamentable ».

    (Source AFP)

    http://www.liberation.fr/terre/0101614943-elevage-de-porcs-en-europe-les-defenseurs-des-animaux-portent-plainte

  • Donnons aux baleines un vrai sanctuaire : soutenons Sea Shepherd (pétition)

    http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/0/9/6/large_329061.jpg

    Le 6 janvier 2010, l’Ady Gil, trimaran ultra-rapide de l’organisation de protection de la vie marine Sea Shepherd a été volontairement éperonné par un des navires de la flotte baleinière nippone qui massacre illégalement et en toute impunité depuis plus de 20 ans, des baleines en voie de disparition – en plein sanctuaire baleinier- en violation du moratoire international sur le commerce de viande de baleine et du traité de l’Antarctique.

    Sur les trois dernières années, les activistes de Sea Shepherd ont sauvé plus de 1500 baleines au sein du sanctuaire et ont causé plusieurs dizaines de millions d’euros de pertes à l’industrie baleinière.

    L’Ady Gil devait, du fait de sa vitesse exceptionnelle, encore augmenter l’efficacité des actions anti-chasse.

    Les braconniers conscients de ce fait, n’ont pas hésité à le percuter de plein fouet alors qu’il était à l’arrêt, le sectionnant en deux et manquant de peu de tuer son équipage.

    Alors que les activistes de Sea Shepherd tentaient désespérément de se maintenir en équilibre sur ce qu’il restait de leur embarcation, les baleiniers les aspergeait de jets d’eau à haute pression.

    Au mépris des lois maritimes, ils ont ensuite ignoré leurs appels de détresse et ne leur ont apporté aucune assistance.

    L’Ady Gil gît désormais au fond de l’océan et les braconniers se croient plus intouchables que jamais.

    « …Our vessel the Ady Gil sunk in a vicious and unprovoked attacked by a Japanese whaling harpoon vessel many times its size. The crew barely escaped with their lives and were rescued by our newest vessel the Bob Barker.” déclare le Capitaine Paul Watson, Président -Fondateur de Sea Shepherd.

    Alors que les gouvernements mondiaux affichent une volonté de façade de préserver les baleines et la biodiversité marine en instaurant des lois et que l’opinion publique croit les baleines protégées, les derniers grands cétacés continuent de mourir sous les coups de harpons explosifs.

    Pour donner une chance aux baleines d’échapper à des braconniers suréquipés et massivement subventionnés par leur gouvernement, chaque été austral, les activistes de Sea Shepherd risquent leur vie, seuls, en Antarctique, tentant de faire appliquer les lois internationales.

    Nous demandons par la présente au gouvernement français – à l’origine de ce sanctuaire baleinier - de fermement condamner cet éperonage volontaire et de plaider en faveur du respect du moratoire international sur le commerce de viande de baleine instauré en 1986.

    En signant cet appel pour une protection effective des baleines, vous contribuez à lui donner plus de poids. Merci pour elles.

    Lamya Essemlali
    Présidente Sea Shepherd France

    Signer la pétition / De petitie ondertekenen. Signer la pétition / De petitie ondertekenen.

    http://www.lapetition.be/en-ligne/soutenons-sea-shepherd-6038.html

  • Cirque : l'erreur de Stéphanie de Monaco (Code Animal)

    http://a21.idata.over-blog.com/2/58/60/28//elephant-de-cirque.jpg

    L'erreur de la Princesse

    La princesse Stéphanie de Monaco, avec l'European Circus Association, entreprend actuellement une propagande pour le maintien des animaux dans les cirques.

    Les affirmations avancées ne sont appuyées d'aucune démonstration et visent à présenter les détracteurs comme des « fanatiques ».

    Aussi, notre association, qui intervient tant lors de débats publics que lors de tables rondes dans les ministères tient à réaffirmer sur des bases argumentées les raisons pour lesquelles l'utilisation d'animaux sauvages est remise en question dans plusieurs pays.

    En aucun cas, les associations et fondations ne souhaitent la mort du cirque, mais préconisent une évolution du cirque traditionnel vers un cirque sans animaux.

    Nous rappelons à cet égard, que la présence d'animaux sauvages n'est pas une composante historique du cirque traditionnel, mais un apport issu des conquêtes coloniales du 19è siècle.

    http://www.animauzine.net/IMG/jpg/aff4.jpg

    Stéphanie de Monaco affirme que les animaux sont traités « avec égard, voir avec amour » et qu' « ils ne peuvent pas souffrir de vivre en cage, puisqu'ils y sont nés, certains depuis dix générations ».

    Ces affirmations sont subjectives et ne correspondent en rien à une réalité.

    En effet, chaque animal a un besoin inné d'exprimer des comportements qui lui sont propres (besoins locomoteurs, sociaux, alimentaires...).

    Ces besoins sont programmés génétiquement, aussi, une naissance en captivité ne modifie pas ces besoins, elle rend simplement inapte ces espèces captives à s'adapter à une éventuelle remise en liberté.

    Ne pouvant exprimer son répertoire comportemental, l'animal va «tourner à vide », dans un comportement de stress et/ou d'apathie.

    Franck Schrafstetter, président de Code animal déclare :

    « A l'issue de plusieurs années d'enquêtes dans une centaine de cirques français, nous pouvons affirmer que la majeure partie des animaux détenus dans les cirques présentent des déviances du comportement, de type stéréotypique, ceci corroboré par l'avis de nombreux zoologues et éthologues à travers le monde.

    Ces troubles sont la preuve d'une inadaptation de l'espèce1 à la captivité, voire d'une souffrance chronique 2 ».

    Les interdictions d'exhibitions d'animaux sauvages dans de nombreux pays reposent sur ce décalage entre les besoins de l'espèce et la vie en captivité, principalement accru par le caractère itinérant des cirques.

    ***

    Notes :

    1 BRIDE Mc, GLEN & CRAIG, J.V., « Environmental design and its evaluation for intensively housed animals

    2 WEMELSFELDER, F., "The concept of animal boredom and its relationship to stereotyped behaviour" in : Lawrence, A.B. & Rushen, J. (Éds).
    Stereotypic Animal Behaviour. Fundamentals and Applications to Welfare. CAB International, U. K.,1993.

    http://www.code-animal.com/CP/ErreurdelaPrincesse.pdf

    aff2JPG.jpg

  • Une vingtaine d'ours sauvés d'un trafic de bile au Vietnam

    http://www.reseaulibre.net/rage/ursojaula.gif

    HANOI — Une organisation de défense des animaux a affirmé lundi avoir sauvé 19 ours détenus dans des conteneurs dans une ferme du sud du Vietnam qui récupérait illégalement leur bile.

    Les animaux, transportés près de Hanoï au nord, ont été découverts dans des conteneurs de 12 mètres, dans la province de Binh Duong, près de Ho Chi Minh-Ville (ex-Saïgon), a indiqué l'organisation Animals Asia Foundation.

    Les conteneurs étaient "divisés en sept compartiments avec un ours par compartiment", a expliqué Tuan Bendixsen, responsable pour le Vietnam de l'organisation basée à Hong Kong, dans un communiqué. "

    C'est la première fois que nous voyons des ours détenus dans de telles conditions".

    Un homme d'affaires taïwanais propriétaire des animaux les auraient placés dans ces conteneurs il y a deux mois quand les autorités vietnamiennes l'ont mis en garde contre le caractère illégal des "cellules" en béton dans lesquels il les avaient maintenus pendant plusieurs années, selon Animals Asia.

    Les départements central et provincial de la protection de la forêt auraient eux-mêmes demandé son aide à la fondation il y a quelques semaines pour fermer l'établissement, a poursuivi Animals Asia.

    Les trafiquants extraient la bile d'ours à l'aide d'aiguilles dans un procédé qui met en danger les animaux, affirment leurs défenseurs.

    La bile, extrêmement prisée, est vendue pour ses vertus anti-inflammatoires, comme traitement pour des maladies du coeur et du foie, comme aphrodisiaque.

    Elle est aussi parfois ajoutée dans les shampooings, dentifrices et certaines boissons non-alcoolisées.

    Les fermes spécialisées dans l'extraction de la bile sont interdites au Vietnam depuis plusieurs années, mais les propriétaires sont autorisés à conserver les ours qu'ils possédaient avant l'interdiction.

    http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5gN_qzQ890apV2yF5xSbpF2kyU6VQ

  • Eco-divorce : l’écologie, un nouveau motif de rupture

    100108163732.jpg

    Aujourd’hui, les couples se forment et se séparent pour des raisons de compatibilité alimentaire et/ou écologique !

    Crédit photo : © Susanne Güttler - Fotolia.com.jpg

    L’écologie est l’une des préoccupations incontournables de notre société.

    Pour certains, préserver l’environnement revêt une importance capitale.

    Et pas question d’agir de façon irresponsable vis-à-vis de la planète.

    Quand l’écologie s’immisce dans les couples, attention à l’éco-divorce !

    Il existe autant de raisons pour un couple de se séparer que de couples sur la planète.

    Incompatibilité de caractère, adultère, envie de changement…

    Selon les statistiques, un mariage sur deux finit par un divorce. Désormais, même l’écologie est une cause de rupture.

    Le divorce n’est pas écologique…

    En 2008, des scientifiques américains ont étudié l’impact de ce phénomène sur l’environnement.

    Ils ont mesuré les dépenses engendrées par les couples qui se séparent : ce sont 73 milliards de kilowatts/heure d'électricité et 2 373 milliards de litres d'eau qui auraient pu être économisés aux Etats-Unis.

    Mais l’écologie est un motif de divorce

    Les sites de rencontre écolo fleurissent sur la toile ces derniers temps.

    Les célibataires y trouvent des semblables ayant les mêmes préoccupations qu’eux.

    Végétariens, écologistes, défenseurs des animaux…

    Toutes ces raisons qui les rapprochent sont également autant de raisons de rupture.

    Aujourd’hui, les couples se forment et se séparent pour des raisons de compatibilité alimentaire et/ou écologique !

    « Je t’aime mais tu aimes la viande », « je demande le divorce si tu avales ce steak »

    Une journaliste du New York Times a décrit ce phénomène baptisé l’éco-divorce.

    [...]

    On y découvre également Lisa, une végétarienne, qui a rompu avec son petit ami.

    Le motif ?

    Il a eu envie d’une côte de bœuf !

    On entend souvent que les opposés s’attirent.

    Avec la vague verte qui déferle sur le monde, on peut se demander si c'est encore vrai.

    [...]

    Hélène Toutchkov

    http://www.developpementdurable.com/insolite/2010/01/A3905/eco-divorce-lecologie-un-nouveau-motif-de-rupture.html

  • Frais vétérinaires : de plus en plus d'animaux ont leur mutuelle

    http://media.actu.orange.fr/I/mmd--francais--journal_internet--ins/photo_1262946307198-1-0.jpg

    Photo : Gent Shkullaku, AFP

    Vaccin, stérilisation, tatouage et autres soins vétérinaires : la facture peut parfois faire exploser le budget des propriétaires d'animaux qui sont de plus en plus nombreux à souscrire une mutuelle spécialisée pour Félix et Médor.

    Leader européen pour le nombre d'animaux de compagnie, la France est particulièrement en retard en matière d'assurance.

    En Suède, 80% des chiens et des chats ont une mutuelle contre 30% en Angleterre et 2% en France.

    "J'ai assuré mes chiens pour ne pas devoir les faire euthanasier s'ils tombent gravement malades et que je ne peux pas payer les frais vétérinaires", a raconté Véronique Branda qui a toujours eu des animaux et a choisi d'assurer pour la première fois Vally et Eliote, ses deux jeunes bergers australiens.

    Pour parer aux éventuelles grosses dépenses vétérinaires, elle verse quelque 600 € par an pour ses bêtes à Lybernet Assurances, une société d'assurance qui dans sa gamme de produits propose une couverture "chiens et chats".

    De son côté, Jérôme Salord qui, en 2005, a créé SantéVét, la première mutuelle spécialisée dans les animaux de compagnie, "enregistre une croissance de près de 60% par an et a réalisé un peu plus de 10 millions d'euros de primes d'assurances en 2009".

    Ce président directeur général de mutuelle pour animaux, qui a longtemps travaillé dans l'industrie pharmaceutique vétérinaire, se revendique aujourd'hui comme "l'un des 60 plus gros courtiers français toutes activités confondues".

    Pour faire connaître ses produits qui se déclinent en trois offres (entre 10 et 48 euros par mois), Jérôme Salord, qui veut "booster le marché", a tissé des relations privilégiées avec les vétérinaires qui n'ont pas le droit de vendre les assurances mais peuvent les promouvoir.

    Selon lui, il est important d'assurer les animaux pour mieux les soigner, surtout en cas de lourdes pathologies pour éviter que les propriétaires n'interrompent pas les traitements faute de moyens.

    Mais les maîtres ne peuvent pas tous payer une assurance pour leurs animaux.

    Les dispensaires de la SPA, les écoles vétérinaires, l'association "Vétérinaire pour tous" et la fondation "Assistance animaux" sont autant d'autres possibilités pour réduire les factures.

    Selon une étude menée en 2008 par la Sofres et la Facco (Chambre syndicale des fabricants d'aliments préparés pour chiens, chats, oiseaux et autres animaux familiers), la France est en tête en Europe en matière de possession animale.

    Le pays compte 7,8 millions de chiens et 10,7 millions de chats.

    De nombreuses sociétés d'assurance, à l'instar de ECA assurance, proposent aussi d'assurer des furets, lapins et autres petits rongeurs.

    http://actu.orange.fr/insolite/frais-veterinaires-de-plus-en-plus-d-animaux-ont-leur-mutuelle_472540.html

  • Honneur à la Sea Shepherd (Gérard Charollois/CVN)

    http://www.miwim.fr/blog/ressources/adygil1.jpg

    La SEA SHEPHERD est une organisation internationale, fondée par le capitaine Paul Watson, agissant concrètement sur toutes les mers du monde, grâce à une petite flotille de bateaux, contre les tueurs des océans, ces chasseurs de cétacés du Japon.

    Le navire de la SEA SHEPHERD vient d'être coulé par un baleinier nippon dans les mers australes et les écologistes ont pu être secourus.

    L'action courageuse et souvent efficace de la SEA SHEPHERD permet d'éclairer l'ombre dans laquelle se cache toutes les activités de chasse sur mer ou sur terre, car c'est une constante les tueurs ont besoin de silence et de mensonges pour parer leurs crimes contre des êtres sensibles.

    Des Japonais tentent de corrompre des délégations de divers pays pour qu'elles votent  lors des réunions de la Commission Internationale baleinière en faveur de la reprise des  destructions de cétacés.

    Ils ont échoué jusqu'à ce jour mais perdurent dans  leurs coupables "traditions", au nom "de la  chasse scientifique" !

    La CVN soutient la SEA SHEPHERD dans son combat contre les ennemis des baleines, comme  elle soutient tous ceux qui par le monde oeuvrent contre l'instinct de mort qui se manifeste là-bas, pour "chasser scientifiquement la baleine" et ici pour "réguler", "combattre l'échinococcose" et autres impostures, paravents du sang et de la souffrance des animaux.

    Gérard Charollois pour la CVN