Tellement facile de remplacer les animaux dans votre assiette !

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.



Abattre les animaux lorsqu'ils sont bébés est une pratique banale et normalisée, qu'ils soient élevés en exploitation industrielle ou en exploitation "humaine", "durable", "naturelle", "plein air", "sans cage", "nourrie au fourrage", "locale" ou encore "biologique".
Ne participons plus à l'holocauste.
Plus aucun produit d'origine animale dans nos vies.
Devenons végans.




"Il faut dire que je n'apprécie pas plus que ça la compagnie de mes semblables, lui préférant nettement celle des arbres et des animaux, beaucoup plus beaux à regarder et bien moins enclins à péter, à forniquer et à se battre."

"Je connais peu de lieux aussi splendides et aussi paisibles que Cooper Lake [Etat de New York]. Seul ou accompagné de mon épouse, je vais m'y balader presque tous les matins. Une seule personne habite sur la route qui y mène, mais sa qualité d'être humain en fait comme de juste un authentique connard, qui fait hurler sa musique de merde pour déranger les promeneurs venus profiter du lac. Mieux vaut donc garer sa voiture au-delà de sa maison. Comme ça, il ne soupçonne même pas que quelqu'un est en train de goûter à la sérénité de la nature, de savourer un moment de paix et de lui dire "je t'emmerde"."

"Le fabuleux Mill Stream, dont les méandres serpentent en bordure de la ville [de Woodstock, Etat de New York], était utilisé dans le temps pour l'industrie forestière ; aujourd'hui, ses abords servent plutôt de cadre à mes méditations sur l'existence, face au gracieux spectacle des hérons blancs qui se foutent pas mal du sens de la vie. Le week-end, les autochtones débarquent pour la baignade avec une flopée de gamins et passent leur temps à brailler en projetant des gerbes d'eau, mais on peut toujours les regarder du haut du pont et rêver de noyade..."
Shalom Auslander