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Société - Page 44

  • Un journal télévisé au hasard : plongée en humaine obscénité

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    Voilà ce que c'est que de regarder le journal télévisé sur internet quand, comme moi, on n'a plus de télévision : on replonge en humaine obscénité.

    Ainsi, voilà ce que l'on pouvait voir au programme de cette édition du 11 octobre à 20 h, sur France 2 :

    - explosion de l'exploitation des gaz de schiste aux USA ;
    - violeurs en bande qui n'écopent que de 1 an de prison ;
    - investissement dans la torture et l'esclavage d'êtres sentients (vaches) ;
    - multiplication des battues aux sangliers, car la facture des mairies augmente : ils détruisent les terrains de golf, pensez donc !

    Ne nous civilisons surtout pas : ce serait dommage.

  • Pakistan : Malala, 14 ans, nouvelle cible des talibans (Le Point)

    Malala Yousafzai a payé cher son combat pour la reconnaissance des atrocités commises par les talibans.

    Une adolescente et militante pakistanaise a survécu par miracle à une tentative d'assassinat à la sortie de son école.

    Malala Yousafzai a payé cher son combat pour la reconnaissance des atrocités commises par les talibans. © Capture d'écran Youtube


    Une adolescente pakistanaise connue pour son combat pour la reconnaissance des atrocités commises par les islamistes talibans a survécu presque miraculeusement à une tentative d'assassinat mardi à la sortie de son école dans le nord-ouest, selon les autorités locales.

    Malala Yousafzai, âgée de 14 ans, était connue à l'étranger pour son blogue hébergé par la BBC dénonçant les violences commises par les talibans dans la vallée de Swat, où ils avaient un court instant pris le pouvoir avant 2009.

    Elle avait reçu l'an dernier le premier prix national pour la paix créé par le gouvernement pakistanais et avait fait partie des nominations pour le prix international des enfants pour la paix de la fondation Kids Rights.

    "Malala montait dans l'autobus scolaire après sa journée de classe lorsque deux hommes armés ont ouvert le feu sur elle. Elle a été blessée", a déclaré à l'AFP un responsable de la police locale, Rasool Shah.

    Le ministre de l'Information de la province du Khyber Pakhtunkhwa, Mian Iftikhar Hussain, a confirmé l'attaque survenue à Mingora, principale ville de la région de Swat, et a accusé des "terroristes" d'en être à l'origine.

    "Une balle a heurté son crâne, mais son cerveau n'a pas été touché. Elle est hors de danger", a déclaré à l'AFP le docteur Taj Mohammed, de l'hôpital Saidu Sharif de Mingora.

    "La balle a touché son crâne et a poursuivi sa trajectoire dans l'épaule opposée", a ajouté le docteur Lal Noor, du même hôpital.

    "Une fille à la mentalité occidentale (talibans)

    Peu après les faits, l'attaque a été revendiquée par le Mouvement des talibans du Pakistan (TTP), principal groupe rebelle du pays et allié d'al-Qaida.

    "C'est une fille à la mentalité occidentale qui passe son temps à nous dénoncer. Quiconque critiquera les talibans subira le même sort", a-t-il indiqué, par téléphone et depuis un lieu inconnu.

    "Nous l'avions prévenue plusieurs fois qu'il fallait qu'elle cesse de parler contre les talibans, qu'elle arrête de soutenir les ONG occidentales et qu'elle prenne le chemin de l'islam", a-t-il ajouté.

    Une équipe de médecins pakistanais s'est rendue mercredi au chevet de la militante anti-talibans de 14 ans pour déterminer si elle avait besoin de traitements à l'étranger.

    Un Boeing 737 du transporteur pakistanais PIA était sur le tarmac de l'aéroport de Peshawar, prêt à transporter, si besoin, l'adolescente à l'étranger, la destination la plus probable étant Dubai, a indiqué à l'AFP le patron du groupe, Junaid Yusuf.

    "Un modèle pour l'ensemble du pays" (ministre pakistanais)

    Les députés pakistanais ont suspendu, mercredi, leurs travaux pour condamner cette attaque et ont prié pour le rétablissement de l'adolescente, qui "est un modèle pour l'ensemble du pays" selon la ministre des Affaires étrangères, Hina Rabbani Khar.

    Le chef de l'armée pakistanaise, le général Ashfaq Kayani, s'est rendu au chevet de l'adolescente et a condamné des "actes haineux de terrorisme commis par des lâches".

    De son côté, la représentante de l'UE pour les Affaires étrangères, Catherine Ashton, a évoqué, mercredi, une "agression ignoble".

    Les États-Unis ont, quant à eux, qualifié l'attaque contre la jeune Malala de "barbare".

    L'armée pakistanaise avait repris en 2009 le contrôle de la vallée de Swat au terme d'une vaste offensive pour y déloger les talibans de Maulana Fazlullah qui en avaient pris le contrôle deux ans plus tôt.

    Malgré des violences sporadiques, le gouvernement tente de promouvoir le tourisme dans cette région jadis surnommée "la Suisse du Pakistan" pour ses paysages montagneux à couper le souffle, ses étés doux et le ski en hiver.

    http://www.lepoint.fr/monde/pakistan-malala-14-ans-nouvelle-cible-des-talibans-10-10-2012-1515489_24.php

  • "Le cerveau reptilien de l'aficionado" (Michel Onfray) et mes commentaires

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    Le conseil constitutionnel vient d’autoriser la poursuite des spectacles de traitements inhumains et dégradants… de l’homme.

    Car assister à une corrida, c’est s’installer dans ce qu’il y a de moins humain dans l’homme : le plaisir pris à la souffrance et à la mise à mort d’un être vivant.

    On a beau envelopper ce rite barbare de fanfreluches culturelles, citer Goya, renvoyer à Picasso, en appeler à Hemingway ou Leiris, les ritournelles culturelles de cette pauvre caste, il n’y a pas de bonnes raisons pour un cortex normalement constitué de travailler en faveur du cerveau reptilien.

    Toute la civilisation est effort d’arrachement de la barbarie pour aller vers la culture : disons-le moins prosaïquement, pour aller du talion à la loi, du viol à sa condamnation, de l’exploitation des enfants à leur éducation – de la corrida à son abolition.

    Il cohabite en chacun de nous un cerveau de l’intelligence et un cerveau de serpent : on doit au premier les artistes, les écrivains, les bâtisseurs, les philosophes, les musiciens, les inventeurs, les pacifistes, les instituteurs ; au second, les tortionnaires, les tueurs, les guerriers, les inquisiteurs, les guillotineurs, et autres gens qui font couler le sang – dont les toreros.

    Sade est le maître à penser des amateurs de corrida : il fut avant les Lumières le dernier penseur féodal pour qui son bon plaisir justifiait le sang versé.

    Il faut en effet un formidable potentiel sadique pour payer son entrée dans une arène où le spectacle consiste à torturer un animal, le faire souffrir, le blesser avec cruauté, raffiner les actes barbares, les codifier, (comme un inquisiteur ou un tortionnaire qui sait jusqu’où il faut aller pour garder en vie le plus longtemps possible celui  qu’on va de toute façon mettre à mort…) et jouir de façon hystérique quand le taureau s’effondre parce qu’il n’y a pas d’autre issue pour lui.

    Dans leur cynisme, les aficionados récusent cette idée de l’impasse dans la mort et renvoient pour ce faire aux rares taureaux graciés - exactement comme le partisan de la peine de mort justifie cette autre barbarie par la possibilité pour un chef d’Etat d’exercer son droit de grâce…

    La preuve que le taureau ne meurt pas toujours, c’est que, selon le caprice des hommes, on décide parfois d’en épargner un sous prétexte de bravoure !

    Qu’un être qui jouisse de l’exercice codifié de la barbarie puisse en appeler à la vertu fait sourire…

    Dans l’arène, il y a tout ce qu’on veut, sauf de la vertu : du sadisme, des passions tristes, de la joie mauvaise, de la cruauté, de la férocité, de la méchanceté.

    J’évite, à dessein, la bestialité, car la bête tue pour se nourrir, pour défendre son territoire, protéger ses petits, vivre et survivre.

    Je ne sache pas qu’il existe dans le règne animal ce spectacle dégradant qui consiste à tuer lentement, pour le plaisir de mettre à mort et de jouir de ce spectacle pour lui-même, avant abandon du cadavre à son néant.

    La mise en scène, l’exhibition de la cruauté, le sang versé pour s’en rassasier, voilà ce qui caractérise l’homme – pas la bête.

    On voudrait également que celui qui n’aime pas la corrida devienne végétarien : c’est ne pas vouloir comprendre que le problème dans la corrida n’est pas la mise à mort, encore que, mais son spectacle à des fins de jouissance.

    Quand le boucher tue pour nourrir la population, il ne jouit pas d’abattre – du moins, il n’entre pas dans sa fonction qu’il en soit ainsi…

    Notre époque sent le sang.

    Quelques-uns s’honorent en ne communiant pas dans cette barbarie défendue par son ancienneté : mais il est dans l’ordre des choses que toute barbarie s’enracine dans la tradition et l’ancienneté.

    L’argument de la tradition devrait être définitivement dirimant.

    Depuis les temps les plus anciens, le mâle viole la femelle, le fort égorge le faible, le loup dévore l’agneau : est-ce une un argument pour que les choses continuent toujours ainsi ?

    Il y a plus d’humanité dans le regard de mes chats que dans celui d’un être qui hurle de joie quand le taureau vacille et s’effondre, l’oeil rempli de larmes et bientôt de néant.

    Michel Onfray©

    http://mo.michelonfray.fr/chroniques/la-chronique-mensuelle-de-michel-onfray-n%C2%B0-89-octobre-2012/

    *******

    Mes commentaires sur ce texte :

    1) Bon point : en finir avec Sade

    "Sade est le maître à penser des amateurs de corrida : il fut avant les
    Lumières le dernier penseur féodal pour qui son bon plaisir justifiait
    le sang versé. "

    Onfray n'aime pas Sade et il le dit.

    Qu'il en soit remercié.

    La dénonciation de cet écrivain... sadique (affaire Rose Keller), surfait (son oeuvre repose sur la violence, le droit du plus fort et une misogynie pathologique), très couru par une intelligentsia blasée en perte singulière de repères, est trop rare pour ne pas être soulignée.

    Je renvoie à : http://www.lepoint.fr/culture/2009-07-23/interview-michel-onfray-sade-est-le-dernier-philosophe-feodal/249/0/363796

    Rappelons d'ailleurs ce que disaient Camus et Steiner à propos de Sade :

    "Le succès de Sade à notre époque s’explique par un rêve qui lui est commun avec la sensibilité contemporaine : la revendication de la liberté totale, et la déshumanisation opérée à froid par l’intelligence […]. Deux siècles à l’avance, sur une échelle réduite, Sade a exalté les sociétés totalitaires au nom de la liberté frénétique."

    Camus, L’Homme révolté                      

    "C’est chez Sade, et aussi chez Hogarth par certains détails, que le corps humain, pour la première fois, est soumis méthodiquement aux opérations de l’industrie. Les tortures, les postures grotesques imposées aux victimes de Justine et les Cent vingt journées établissent, avec une logique consommée, un modèle des rapports humains fondé sur la chaîne de montage et le travail aux pièces. […] On ne peut nier que, dans un sens, le camp de concentration reflète la vie de l’usine, que la ‘solution finale’ est l’application aux êtres humains des techniques venues de la chaîne de montage et de l’entrepôt."

    George Steiner, Dans le château de Barbe-Bleue 

    2) Mauvais point : Onfray ou l'hypocrisie ordinaire

    "On voudrait également que celui qui n’aime pas la corrida devienne végétarien : c’est ne pas vouloir comprendre que le problème dans la corrida n’est pas la mise à mort, encore que, mais son spectacle à des fins de jouissance."
     
    Ah... de l'art de ménager la chèvre (son estomac) et le chou (sa conscience).

    Michel Onfray n'est pas végétarien (moins encore végan), et comme tout homme de bien/humaniste qui se respecte tout en continuant pourtant de consommer des êtres sentients, il trouve une parade en disant que, non, le problème de la corrida "n'est pas la mise à mort, encore que, mais son spectacle à des fins de jouissance."

    C'est singulièrement passer la victime à la trappe.

    Dont acte.

    Mais je veux croire pourtant dans son "encore que", qui contient, en germe, une (r)évolution.

    Michel Onfray, encore un effort si vous voulez être cohérent.

  • Esclavage moderne / La solidarité : une faute professionnelle ?

    http://assets.streetpress.com/system/files/11045/video/esclavage-moderne.jpg?1305305108
    Cher-e membre du réseau « Encore féministes ! »,

    Le 13 juillet 2012, des employés de l’hôtel parisien Concorde-Opéra ont organisé la libération d'une Éthiopienne de 24 ans, asservie par une famille de Dubaï, en alertant le Comité contre l'esclavage moderne.

    La direction de l'hôtel a envoyé à ces employés une lettre de mise en garde.

    Une manifestation de protestation est organisée par la CGT des hôtels de prestige et le Comité contre l'esclavage moderne, avec le soutien de trois associations féministes : Femmes solidaires, la Ligue du droit international des femmes et Regards de Femmes.

    Elle aura lieu mercredi 3 octobre à 12h devant l'Hôtel Concorde-Opéra, 108 rue Saint-Lazare 75008 (métro Saint-Lazare).

    « Encore féministes ! » se joint à cette action de protestation et de solidarité.

    ***********

    Je vous rappelle l’action de notre réseau destinée à rassembler des hommes qui disent NON à la prostitution.

    J’espère que vous-même, si vous êtes un homme, et/ou des hommes de votre entourage, si vous voulez bien leur en parler, se joindront au réseau Zéromacho en signant le manifeste « Nous n’irons pas au bois » sur le site http://www.zeromacho.eu/

    Ils sont déjà 1 170 hommes dans 45 pays.

    Merci de diffuser cette information autour de vous !

    Adelphiquement*,
    Florence Montreynaud

    *Adelphiquement dérive de « adelphité », notion groupant fraternité et sororité.

    En français, soeur et frère proviennent de deux mots différents.

    Le mot « adelphité » est formé sur la racine grecque adelph- qui a donné les mots grecs signifiant soeur et frère.

    Pour travailler entre féministes à un monde sans publicité sexiste, joignez-vous à La Meute des Chiennes de garde en signant le Manifeste "NON à la pub sexiste !" sur le site http://www.lameute.fr/index/

    Rejoignez les Chiennes de garde en adhérant à l’association, voir sur le site http://www.chiennesdegarde.com/

    Ce courriel est envoyé pour information aux membres du réseau « Encore féministes ! », qui groupe 4 667 personnes dans 55 pays. Il s’adresse surtout aux personnes disponibles pour se rassembler à Paris mercredi à 12h.

  • Il n'est pas d'art qui ne soit moral

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    « Ah ! esprits ! soyez utiles ! servez à quelque chose.

    Ne faites pas les dégoûtés quand il s’agit d’être efficaces et bons.

    L’art pour l’art peut être beau,

    mais l’art pour le progrès est plus beau encore.

    Rêver la rêverie est bien, rêver l'utopie est mieux.

    Ah ! il vous faut du songe ?

    Eh bien, songez l'homme meilleur.

    Vous voulez du rêve ?

    En voici : l'idéal. »

    Victor Hugo, William Shakespeare

  • L' "humanisme dévergondé" (Claude Lévi-Strauss), la France, les USA

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  • Le droit de critiquer des idées

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    Les propos qui touchent à l'identité biologique des êtres sont condamnables et à condamner.

    Tout ce qui ressortit au sexisme, au spécisme, au racisme, etc., est condamnable et à condamner.

    Mais critiquer des idées, des opinions (et la religion n'est que cela) ou des cultures en leur barbarie, est un droit, et même un devoir.

    La responsabilité des récentes violences perpétrées n'est pas à imputer à Charlie Hebdo ou au réalisateur du (très mauvais) Innocence of Muslims, mais bien aux "fous de Dieu" décidés à tuer quiconque n'est pas de leur avis, "provocations" ou pas.

  • Sept milliards de problèmes

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    Les problèmes du monde (guerres, pollution, violence, dominations, bêtise, etc.) sont générés par une seule espèce : la nôtre.

    Nous mettons des enfants au monde sans retenue, ce qui multiplie les problèmes.

    Aujourd'hui, nous en sommes à plus de 7 milliards de problèmes.

    Combien deman ?

    Arrêtons les dégâts.

    Choisissons la vie : ne faisons plus d'enfants.

  • Le respect de ceux dont on défend les droits

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    Une fois de plus, le petit monde de la "protection animale" démontre le mépris qu'il a de ceux dont il prétend défendre les droits.

    Martin Luther King aurait-il remporté la lutte pour les droits civiques s'il avait organisé aux Etats-Unis des manifestations caractérisées par la vulgarité, où chacun eût exposé un postérieur peinturluré ?

    Certainement pas.

    Il n'aurait fait que perdre, et montrer le peu de respect qu'il portait aux victimes du racisme.

    De la même façon, les "amis des animaux" démontrent par leur comportement le peu de respect qu'ils vouent en réalité à ceux qu'ils affirment défendre.

    Les animaux sont des personnes nonhumaines : voilà le seul message qu'il importe de faire passer, dans la plus stricte dignité.

    Là, non seulement l'on s'exhibe dévêtu, ce qui ruine déjà le "message" que l'on s'efforce péniblement de transmettre (non que la nudité soit choquante en soi - elle ne l'est pas -, mais elle est toujours hors de propos dans le cadre militant, a fortiori lorsqu'elle est mise en scène de façon triviale), mais encore oublie-t-on de dire ce qui est important.

    Dire que les animaux sont des personnes : voilà une déclaration qui, en vertu de sa justice morale intrinsèque, attirerait enfin l'attention des journalistes.

    En outre, le bon message serait dispensé au grand public, ce qui n'est pas le cas ici : aucun appel au véganisme et à l'abolition de l'exploitation animale ne figure en effet sur les pancartes.

    Seule l'abolition d'une pratique est exigée : celle de la corrida.

    Ce qui ne veut rien dire et ne sert à rien.

    Mais ces "militants" sont-ils seulement persuadés que les animaux sont des personnes ?

    A l'évidence non, puisque pour eux militer est prétexte à mascarade et festivités, ce qui montre le peu de valeur morale qu'ils accordent en fin de compte à ceux dont ils prétendent défendre les "droits".

    Sont-ils végans ?

    Parions que la réponse est non, pour tout ou partie d'entre eux.