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  • La phrase du jour : Hannah Arendt

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        « C'est dans le vide de la pensée que s'inscrit le mal. »

                                              Hannah Arendt

  • Les "mauvaises" herbes ont (bien sûr) fini par résister au Roundup

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    Le célèbre herbicide Roundup, produit phare de Monsanto, arrive en fin de course. L’enjeu est de taille : lancer sur le marché un produit capable de le surpasser. La santé de la planète attendra.

    Les plus pessimistes l’avaient annoncé, quitte à être traités d’écologistes radicaux et par conséquent ennemis du progrès et de la science.

    Les mauvaises herbes ont fini par résister au célèbre herbicide Roundup. Monsanto en a pris conscience, mais ses solutions ne présagent rien de bon pour la santé des terres cultivables de la planète. Petit retour en arrière.

    En 1970, John Franz, chimiste chez Monsanto, découvre les propriétés d’une substance capable de sécher et de tuer les plantes : le glyphosate. Un produit idéal pour éliminer les mauvaises herbes qui prolifèrent dans les champs cultivés.

    Le glyphosate était considéré comme moins nocif pour la santé que les autres substances de l’époque. Petit inconvénient : cet herbicide, qui sera commercialisé en 1974 sous le nom de Roundup, tue aussi les bonnes plantes à consommer.

    C’était sans compter sur les chercheurs de Monsanto, qui découvrirent un gène capable d’immuniser les plantes contre les effets du Roundup. Il suffisait donc de modifier génétiquement les plantes à protéger afin que l’herbicide ne fasse que son effet sur les mauvaises herbes.

    Un herbicide vedette.

    Pendant des années, Monsanto a donc vendu aux agriculteurs le Roundup avec les graines modifiées génétiquement. Malgré l’opposition de nombreuses associations écologistes et même de certains gouvernements, le succès du Roundup a été fulgurant.

    Les ventes record de l’herbicide vedette ont été accentuées par un phénomène important : en 2000, le brevet qui le protégeait est arrivé à échéance. L’ouverture à la concurrence a permis de faire baisser les prix et le glyphosate s’est vendu comme des petits pains à travers le monde.

    Ces dix dernières années, le succès a été tel que les herbicides à base de glyphosate ont pratiquement supplanté tous les autres. La revue Science du 25 mai 2007 estime que le Roundup a fortement contribué au développement des cultures OGM. Ces onze dernières années, les surfaces agricoles de produits OGM ont été multipliées par soixante !

    Aux Etats-Unis, selon Syngenta, le 56% des cultivateurs de soja n’emploient que du glyphosate. Résultat : de part cette pression sélective, la nature s’adapte et fini par résister. Des mauvaises herbes résistantes ont commencé à pousser un peu partout.

    La première mauvaise herbe « rebelle » est apparue en 1996. Aujourd’hui, on en compte une douzaine. Les pays les plus touchés sont les Etats-Unis, l’Argentine, l’Afrique du Sud et l’Australie.

    Cela prouve que, malgré ce que prétendent les anti-darwiniens, la nature est capable d’évoluer à tout moment et à s’adapter pour survivre. Ces mauvaises herbes sont notamment parvenues à retenir l’herbicide dans leurs feuilles, sans le faire descendre dans les racines, là où il aurait été fatal. Un coup de génie !

    Le plan B de Monsanto.

    Face à cette situation, il existe trois solutions : a) opérer un tournant radical et produire des cultures biologiques sur toute la planète ; b) ralentir l’emploi du glyphosate pour éviter de passer à des substances bien plus nocives, quitte à diminuer le rendement des terres ; c) chercher des herbicides plus puissants et vendre les graines OGM qui vont avec.

    La deuxième solution est appliquée actuellement, mais ce n’est qu’une phase de transition, puisque Monsanto a d’autres idées dans ses tiroirs. L’herbicide de dernière génération s’appelle « dicamba ».

    Il existe depuis quarante ans, mais ce n’est qu’en 2003 que Monsanto a découvert la modification génétique à opérer sur les plantes pour le rendre très efficace. La multinationale de l’agroalimentaire assure qu’il sera commercialisé dans sa nouvelle version dans trois ans, et son brevet durera vingt ans.

    L’assainissement des terres, des rivières et la culture biologique à l’échelle de la planète attendront.

    Sarah Tobias

    Cet article est paru dans le Quotidien il manifesto du jeudi 31 mai. - Traduit et adapté par Luca Benetti. - Source : Le Courrier de Genève, mardi 5 juin 2007 - www.lecourrier.ch

  • Nouvelle mode en Israël : les mariages écologiques

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    Le mariage s'est transformé depuis longtemps en véritable "industrie de la fête", en Israël comme dans le reste du monde. Salles luxueuses, orchestres géants, bijoux onéreux et feux d'artifices sont désormais choses courantes dans un monde où la simplicité et le véritable romantisme sont devenus difficiles à trouver.

    Face à tout cela une nouvelle mode a fait son apparition en Israël ces dernières années: le "mariage écologique". De quoi s'agit-il ? Des jeunes couples pour qui le respect de l'environnement est fondamental ont élaboré un programme original pour que le plus grand jour de leur vie soit conforme à leurs idéaux.

    Pour David et Yaël Pearlman-Paran, deux militants écologiques de Tel Aviv, il était évident que leur mariage refléterait les valeurs pour lesquels ils combattent quotidiennement. "Nous avons renoncé à édifier la Choupa en pleine nature afin d'éviter de porter atteinte à l'environnement et le mariage s'est déroulé malgré tout près d'une réserve naturelle à Neot Kdoumim" raconte Yaël au quotidien Maariv. "Nos invitations étaient en papier recyclé, le menu était végétarien et composé de produits organiques, et nous avons demandé au président du lobby parlementaire pour l'Environnement, le rabbin Michaël Malchior (Avoda-Meimad), de diriger la cérémonie religieuse" poursuit-elle.

    Mais le clou de la fête s'est déroulé le lendemain du mariage. Debout en robe de mariée dans une petite remorque tirée par un cycliste musclé qui n'était autre que son cher mari David, escorté de dizaines d'amis et de proches à vélos chantant tous ensemble "Kol Sasson Vekol Simcha Kol Chatan Vekol Kala", le couple a traversé toutes les artères principales de Tel Aviv sous les félicitations des badauds ravis et émus.

    "Un mariage est souvent un événement qui nuit à l'environnement: la présence de centaines de personnes au même endroit et les préparatifs créent beaucoup de pollution et de déchets" explique pour sa part Shiri Kibni au quotidien Maariv. "Mon époux Elie et moi avions invité seulement 150 personnes pour célébrer notre mariage dans la ferme organique du mont Camoun. Ma robe et les habits de mon mari étaient fait de sorte à pouvoir être réutilisés plus tard car nous n'aimons pas les produits "à usage unique". En outre, le menu était végétarien et le volume de la musique a été réduit afin de ne pas "faire trembler" toute la région. Les restes du repas ont ensuite été donnés à des associations caritatives" raconte-t-elle.

    "Notre intention n'était pas d'organiser un 'show' pour nos invités mais au contraire de célébrer notre mariage conformément aux valeurs de la simplicité et de la modestie qui caractérisent notre style de vie" conclut Shira Kibni. Une phrase qui laisse bien pensif lorsque l'on sait combien d'argent inutile est dépensé par certaines familles dans l'organisation d'un mariage, souvent dans l'unique but d'impressionner l'entourage…

    David Geller

    http://a7fr.net/Default.aspx?tabid=52&articleType=ArticleView&articleId=36013

  • Le foie gras pourrait transmettre une maladie rare

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    Des chercheurs placés sous la direction d'Alan Solomon, de l'Université du Tennessee, affirment que le foie d'oie pourrait transmettre une maladie peu connue appelée amylose, qui pourrait ainsi se propager le long de la chaîne alimentaire sur le modèle des pathologies cérébrales telles que la maladie de Creutzfeldt-Jakob, forme humaine de la maladie de la vache folle.

    Le foie d'oie pourrait transmettre une maladie peu connue appelée amylose, qui pourrait ainsi se propager le long de la chaîne alimentaire sur le modèle des pathologies cérébrales telles que la maladie de Creutzfeldt-Jakob, forme humaine de la maladie de la vache folle, ont déclaré des chercheurs lundi.

    Des tests effectués sur des souris montrent que le foie d'oie, utilisé notamment pour la fabrication de foie gras, pourrait être à l'origine de la maladie chez les animaux génétiquement prédisposés à la développer, précisent les chercheurs placés sous la direction d'Alan Solomon, de l'Université du Tennessee.

    Un tel résultat donne à penser que l'amylose peut être transmise par la nourriture, comme la maladie de Creutzfeldt-Jakob, forme humaine et rare de l'encéphalopathie spongiforme bovine chez certaines personnes ayant mangé de la viande contaminée.

    L'amylose peut affecter divers organes du corps, comme le coeur, les reins, le système nerveux ou l'appareil digestif. Elle se manifeste par la modification de la structure moléculaire d'une protéine, qui, de ce fait, ne se dissout plus et forme des dépôts appelés amyloïdes empêchant le fonctionnement normal des organes.

    Les chercheurs ont utilisé des souris génétiquement modifiées afin de rendre possible le développement de la maladie, qui peut être héréditaire.

    "Quand ces souris ont reçu ou ont ingurgité des amyloïdes extraits de foies gras, elles ont développé des dépôts pathologiques de manière nombreuse et systématique", écrivent les chercheurs dans les Proceedings of the National Academy of Sciences.

    La maladie d'Alzheimer est parfois considérée comme une forme d'amylose.

    Dans le cas de la maladie de Creutzfeldt-Jacob, les protéines à l'origine de la pathologie sont les prions.

    "Sur cette base, nous avançons que cette forme et peut-être d'autres formes d'amylose peuvent être transmissibles, sur le modèle de la nature infectieuse des maladies liées au prion", ajoutent les chercheurs.

    "Outre le foie gras, la viande de mouton ou de bêtes apparemment saines peuvent constituer d'autres sources alimentaires de cette substance."

    19/06/2007 - 08h08 - © Reuters

    http://www.lepoint.fr/content/societe/article?id=188735

  • Jenners 'ethical' foie gras ban

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    Jenners department store will no longer be selling pate de foie gras, following a long campaign highlighting the methods used to produce the delicacy.

    House of Fraser, the Edinburgh store's owner, has banned its sale at all of its premises on ethical grounds.

    Advocates for Animals has spent years campaigning for Jenners to stop selling the product, which is made through the force-feeding of ducks and geese.

    The Duke and Duchess of Hamilton boycotted the store over the issue.

    Foie gras is produced by force-feeding ducks and geese until their livers swell to six to 10 times their normal size.

    Pneumatic pumps are used to force quantities of food into the birds.

    In a letter to the Duchess of Hamilton, House of Fraser said: "I am sure that you will be delighted to hear that last month the decision was taken on ethical grounds to stop selling foie gras in all its forms in House of Fraser stores."

    The Duchess, whose boycott of the store began in 2000, said: "I am indeed delighted that House of Fraser has taken the ethical decision to end the sale of foie gras."

    'Great news'

    "There can surely be no excuse for inflicting such terrible suffering on these animals in order to produce a luxury food such as this. "

    "I am pleased that my husband and I will once again be able to shop in Jenners. I am sure many other shoppers will feel the same."

    Advocates for Animals director, Ross Minett, added: "We have been campaigning for Jenners to end the sale of foie gras for many years so this is great news.

     

    "We congratulate House of Fraser on its ethical decision.

    "There can be no other system of farming in which animals are deliberately raised to become deformed and diseased."

    He added that an EU-wide ban on force-feeding was overdue and urged other stores and restaurants to follow suit and asked the public not to buy foie gras.

    "We look forward to the day when foie gras in Scotland is a thing of the past", he said.

    House of Fraser's new policy follows decisions by other major stores such as Waitrose, Sainsburys and Lidl to end the sale of foie gras.

    http://news.bbc.co.uk/1/hi/scotland/edinburgh_and_east/6734091.stm

  • Le Dalai Lama invite l'humanité à devenir végétarienne pour les animaux

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    Hier, le Dalai Lama en visite au zoo de Crocodile Hunter en Australie a exhorté la foule venue l’entendre – 5000 personnes – à devenir végétarienne. « La chasse, l’élevage… Ces pratiques entraînent la mort de milliards d’animaux », a-t-il dit, critiquant également les compagnies pharmaceutiques indifférentes aux droits des animaux et expérimentant sur eux. « Nous pouvons être tellement cruels envers les animaux », conclut-il.

    Crikey: Buddhism comes to the animals -- Dalai Lama visits Australian Croc Hunter's zoo

    BEERWAH, Australia -- One of the world's most famous animal lovers visited the former stomping ground of another on Wednesday when the Dalai Lama toured the family zoo of late "Crocodile Hunter" Steve Irwin.

    Delicately handling a Burmese python and gingerly petting a frisky koala, the spiritual head of the world's Buddhists visited Australia Zoo and spoke to a sold-out crowd at its open-air, arena-style "Crocoseum."

    The last time the place was this full was nearly nine months ago during a memorial service for Irwin, the late host of the TV wildlife show "Crocodile Hunter" who died last September when the barb from a stingray pierced his chest while he was diving on the Great Barrier Reef.

    The Dalai Lama thanked Irwin's family for their dedication to wildlife. At the same time, he used the occasion to criticize experimentation on animals and encouraged the 5,000-capacity crowd to become vegetarians.

    "Hunting, beef, sheep farms, piggeries, millions, billions, die," said the Dalai Lama. "We can be so cruel to animals."

    The hour-long tour of the zoo was a change for the Dalai Lama, whose 11-day Australian trip has been politicized, as it often is when he is abroad, by lawmakers concerned about meeting the man China considers an exiled troublemaker.

    After weeks of hedging, Prime Minister John Howard agreed to meet with the Dalai Lama on Friday. Howard is anxious not to offend Beijing too much because Australia's economy is closely tied to China's booming demand for natural resources and Australia's ability to supply them, but his government also staunchly defends free speech.

    China, which rules Tibet with military force, has used diplomatic pressure to discourage governments from meeting with the Dalai Lama or otherwise showing him support. It immediately criticized Howard's decision to meet with the Tibetan.

    On a sunny, but crisp winter morning, the Dalai Lama, with his long traditional red robe flapping in the wind, received a standing ovation as took the stage at the Crocoseum.

    Some of the crowd -- who had paid up to 50 Australian dollars (US$42) a ticket -- waved Buddhist prayer flags, and about a dozen Australian native birds, including black cockatoos and rainbow lorikeets, unexpectedly flew into the stadium just as he started his speech.

    Although at times the Dalai Lama's remarks sparked laughter among the crowd, much of his 30-minute address, officially to open "Kindness Week" to animals, took a more serious note as he criticized companies and organizations that "remain indifferent" to the rights of animals by experimenting on them.

    He also spoke of the benefits of vegetarianism, and said he often used to buy animals to save them from slaughterhouses when he was a young man in Tibet.

    Asked by an audience member to speak about the importance of family, the Dalai Lama urged parents to show as much compassion as possible to their children, and suggested that children be taught "warmheartedness" as part of the curriculum.

    The 71-year old also admitted that he's not sure how he'd cope as a parent.

    "I'm a monk, so I have no children ... but I may lose my temper," he said with a laugh.

    The Dalai Lama's visit ended when American-born Terri Irwin, Steve's widow, and their children, Bindi and Bob, came on stage, with Bindi carrying a koala.

    "He looks lazy, just like myself," the Dalai Lama said before presenting the Irwin family with Buddhist scarves. (AP)

    Australian PM says he'll meet Dalai Lama this week

    June 13, 2007

    http://mdn.mainichi-msn.co.jp/international/news/20070613p2g00m0in007000c.html

  • Le végétarisme a le vent en poupe !

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    Depuis qu'Alain Passard, chef étoilé, a totalement rayé la viande de sa carte, et que même Quick propose un "club mozzarella" sans viande, on sent bien qu'il n'est plus ringard d'affirmer ses préférences pour la verdure. Parmi les célébrités les plus connues, on trouve en très bonne place des végétariens convaincus !

    Quelques exemples

    Dans le milieu du cinéma : Rosanna Arquette, Nathalie Baye, Kim Basinger, Arielle Dombasle, Richard Gere, Francis Huster, Lambert Wilson, Sophie Marceau, Anthony Perkins, Robert Redford et même le musculeux Sylvester Stallone : qui a dit que les végétariens étaient maigres et mous ? Dans le milieu sportif : Surya Bonali, Ivan Lendl, Carl Levis ou Martina Navratilova refusent de manger de la viande. Et parmi bien d'autres "stars", nous retrouvons pêle-mêle : Bouddha, Platon, Socrate, Martin Luther, Philippe Starck, Pythagore, Leonard de Vinci, mais aussi Elli Medeiros, Moby, Prince, Madonna, Sting, Tanita Tikaram, Tina Turner, Mac Cartney, Michel Jonasz, Francis Lalanne, Mylène Farmer...

    Les "incontournables" : à lire

    - L'alimentation végétarienne équilibrée, Dr Madeleine Fievet-Izard, éd.de Vecchi : le guide pratique du végétarien débutant.

    - Devenir végétarien, ouvrage collectif, éd. de l'Homme : un bon livre de fond, alliant éthique, études sur la santé et pratique. Seul problème: les recettes proposées en fin d'ouvrage sont canadiennes, donc difficilement transposables chez nous (ingrédients introuvables, système de mesure différent, etc.)

    - L'énergie du cru, Leslie et Susannah Kenton, éd. Jouvence : pour s'initier aux bienfaits de l'alimentation crue, un "régime de 10 jours" où vous mettrez à votre menu 50 à 75% d'aliments crus.

    - Les végétariens, raisons et sentiments, André Méry, éd. La Plage : un livre indispensable pour aller plus loin dans les divers aspects politiques, de santé, économiques, philosophiques et religieux du végétarisme.

    Les "incontournables" : à cuisiner

    - La cuisine végétarienne pour tous, Bertine Pizzigoni, éd. de Vecchi Poche : un petit livre de poche à emporter partout, qui propose 300 recettes gaies et vitaminées.

    - Les cures de santé, Chritopher Vasey, Johanna Brandt, éd. Jouvence : cures de raisins et autres monodiètes, pratiquées à des moments clés de l'année, peuvent vous épargner bien des troubles de santé.

    - Les céréales gastronomiques, Anny Vagnières, éd. Equilibres Aujourd'hui : le livre de bord des macrobiotiques... ou tout simplement des fous de céréales puisque quelques recettes comportent du fromage ou du yaourt, voire même de la viande...

    - La cuisine des cueillettes, Raymonde Charlon, éd. Ouest-France : un vrai bonheur que ces recettes de grand-mère où les légumes et fruits sont à l'honneur. Avec de très beaux dessins qui vous mettent l'eau à la bouche...

    - Légumes d'autrefois, Elisabeth Scotto, éd. du Chêne : encore des légumes, mais qui ne datent pas d'hier! Pâtisson, panais, oignon doux, ficoïde... l'originalité en plus !

    - Festins végétariens, ouvrage collectif, éd. Gründ : toutes ses recettes sont hyper- gourmandes et collent aux saisons.

    - Cuisine saine, cuisine végétarienne, Paul Gayler, Sélection du Reader's Digest : un beau livre haut en couleurs qui proposent des recettes très originales. Nous conseillons vivement ce livre à tous les non-végétariens.

    Les "incontournables" : à regarder

    - www.vegelist.online.fr: un site complet sur le végétarisme

    - www.ivu.org/avf: complet également, abordant les aspects alimentation, santé, idéologie, etc.

    - www.vegebionet.com: le site qui "cogne et mord" avec un bandeau "boycottons les OGM" à mettre sur votre propre site !

    - www.multimania.com/avis: des Toulousains ne sont pas contents et le disent : respectons les animaux, interdisons les corridas, non aux expérimentations animales, avec la liste des labos qui la pratiquent encore et celle de ceux qui ont arrêté, etc.

    http://www.psychonet.fr/articles/bienetre/9-nutrition/lire/1166-1-le_vegetarisme_a_le_vent_en_poupe_.html

  • Foie gras : cruauté

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    CANADA -  CRUAUTÉ

    Il arrache la tête des canards servant à faire du foie gras

    Une Association de défense des animaux a présenté mercredi des images «répugnantes» tournées dans les installations du plus grand producteur de foie gras du pays

    12 Juillet 2007

    Le Matin Bleu & les agences

    Keystone
    Les canards à foie gras sont traités comme des objets.

    On y voit des canards vivants «dont on arrache la tête, qu'on bat, qu'on lance contre les murs, contre des portes, des canetons qu'on laisse étouffer dans des sacs de plastique», a déclaré avant leur présentation un responsable de l'association Réseau Action globale, David Ruffieux. Il affirme que les images ont été tournées sur douze semaines par un ex-employé de l'entreprise Elevages Périgord, filiale de la société française Excel Développement, installée au sud de Montréal. «Une enquête est en cours», a un porte-parole de la police du Québec.

    L'entreprise a reconnu mercredi soir que les images avaient été tournées dans ses installations, mais a dénoncé la «violence gratuite» commise sur la vidéo. «Le type de comportement qui a été dépeint ne fait d'aucune façon partie de nos façons de faire», a assuré le directeur d'Elevage Périgord, Emmanuel Nassans. Ce dernier a dit avoir identifié et suspendu l'employé qui a «perpétré les gestes cruels présentés dans la vidéo» du Réseau Action Globale.

    http://www.lematin.ch/pages/home/actu/monde/actu_monde__1?contenu=277644

  • Pétition contre les publicités ridiculisant les végétariens

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    Signe que le végétarisme est en plein essor, des sociétés mettent régulièrement en scène des « végétariens » dans des spots publicitaires. Herta et Charal rivalisent d’imagination pour ridiculiser les végétariens et leur choix de refuser l’exploitation et l’abattage des animaux.

    Herta vient de relancer son spot publicitaire dans lequel apparaît un pseudo-végétarien, portant un tee-shirt sur lequel on peut lire « je suis végétarien » et qui finit par manger une tranche de jambon. Dans une première campagne de publicité en 2004, de nombreuses personnes, végétariennes ou pas, avaient fait savoir leur indignation. Le BVP (Bureau de la Vérification de la Publicité) ne voyait pas le problème. Que se passerait-il si Herta remplaçait l’inscription du tee-shirt « je suis végétarien » par « je suis musulman » pour leur prochaine campagne ?

    Rappelons que plus de 3 millions d’animaux meurent chaque jour, en France, derrière les murs des abattoirs, un fait systématiquement occulté par les publicitaires. Dans les élevages, les animaux vivent un véritable enfer : les porcelets sont castrés sans anesthésie, leur queue et leurs dents sont coupées à vif, les poulets sont ébecqués et vivent entassés dans des hangars d’où ils ne ressortiront que pour aller à l’abattoir pour y être égorgés. La vie des bovins est tout aussi cruelle et injustifiable.

    De nombreux végétariens trouvent inadmissible le fait de ridiculiser leur choix de ne plus manger d’animaux exploités, puis tués pour un simple plaisir gustatif, et demandent l’arrêt de ce type de spots publicitaires.

    Cette pétition lancée par « Mangez Végétarien » sera adressée aux différents organismes (BVP et CSA) ainsi qu’aux médias (M6, TF1...) diffusant ces publicités.

    En plus de cette pétition, nous vous encourageons à vous manifester auprès des organismes responsables de la diffusion de ces publicités, afin de ne pas permettre à des sociétés de ridiculiser des végétariens pour vendre la chair d’animaux ayant vécu une vie de misère.

    Texte :

    Pétition contre les publicités ridiculisant les végétariens

    La France compte plus d’un million de personnes ayant fait le choix de ne pas ou de ne plus consommer de chair animale. Et pour cause, les animaux vivent un véritable calvaire dans les élevages avant de finir électrocutés ou égorgés dans les abattoirs.

    Cependant, des sociétés se permettent de tourner en ridicule les personnes qui, en devenant végétariennes, refusent de se rendre complice de l’exploitation, la souffrance et la mort des animaux.

    J’approuve et soutiens la demande de « Mangez Végétarien », à savoir l’arrêt des publicités mettant en scène de façon ridicule des végétariens.

    Signez la pétition ici : http://www.mangez-vegetarien.com/petition-publicite.html

  • Une viande de porc garantie sans porc ?

    L'image “http://users.info.unicaen.fr/~karczma/cochon/ProudPig-Small.jpg” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.

     
    UTRECHT, Pays-Bas (Reuters) - Des chercheurs néerlandais travaillent à élaborer une viande de porc artificielle avec l'idée de pouvoir un jour nourrir des millions de personnes sans avoir à élever et tuer des animaux.

    "Nous tentons de créer de la viande sans avoir à tuer des animaux", a déclaré Bernard Roelen, professeur de science vétérinaire à l'université d'Utrecht.

    Si les travaux en sont à leurs balbutiements, l'idée est de remplacer tout le procédé - nourrir, transporter, faire paître - qui, aux yeux du chercheur, pollue à chaque étape.

    "Garder des animaux uniquement pour les manger n'est en fait pas si bien que ça pour l'environnement", a déclaré Roelen. "Les animaux ont besoin de grandir et produisent beaucoup de choses qu'on ne mange pas".

    Les pays développés devraient cette année consommer une moyenne de 43 kg par personne de volaille, de boeuf, de porc et autres viandes cette année, un chiffre en hausse annuelle de 2%, selon les chiffres fournis par le FAO, l'organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture".

    Face au risque que les consommateurs boudent une viande chimique, Roelen répond qu'il est persuadé qu'il y aura une demande énorme, et que la viande telle qu'elle est aujourd'hui consommée est déjà largement transformée, depuis la nourriture des animaux en passant par leurs conditions d'élevage et jusqu'à la préparation de la viande après l'abattage.

    "Je peux imaginer que certains auront des réticences", a-t-il dit. "Les gens peuvent penser que c'est artificiel. Mais certains ne réalisent peut être pas qu'une partie de la viande qu'il mange est artificielle".

    Mais la mise au point d'une viande artificielle prendra des années et le consommateur n'est pas prêt d'en trouver dans les rayons de supermarchés. Et jusqu'ici, Roelen et son équipe ne sont parvenus qu'à faire grandir de fines couches de cellules.

    Les chercheurs isolent dans un premier temps une souche de cellule musculaire, qui a la particularité de pouvoir grandir et se multiplier. Ensuite, il stimule les cellules pour les développer, leur donnent des nutriments et les entraînent avec du courant électrique pour qu'elles grossissent.

    Après avoir perfectionné ce procédé, les chercheurs devront trouver comment couper ces tissus pour ajouter plus de fibres.

    Ensuite se posera la question de la graisse, etc.

    http://fr.news.yahoo.com/01062007/290/une-viande-de-porc-garantie-sans-porc.html