Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Go vegan! - Page 28

  • Antivivisection : l'oeuvre scientifique d'Antidote Europe récompensée

    http://www.charliehebdo.fr/uploads/pics/S884-Puce-Honore-1.jpg

    L'association Antidote Europe a reçu hier le Prix Pietro Croce* pour sa contribution à la prévention des maladies et à la santé humaine.

    La cérémonie se déroulait à Rome, au Palazzo dei Conservatori, sous les auspices du maire de Rome et du ministère de la Santé italien, avec la participation de plusieurs chercheurs et professeurs d'universités italiennes.

    Il s'agissait de la troisième édition de ce prix, décerné par le comité scientifique Equivita et le Movimento Ecologico Nazionale UNA.

    Antidote Europe oeuvre depuis sa création pour l'évaluation scientifique des risques des substances chimiques, notamment en développant une approche de la toxicogénomique et en obtenant dès 2005 l'introduction de cette méthode dans le règlement REACH (Enregistrement, évaluation, autorisation et restriction des substances chimiques).

    Cette méthode vient de faire l'objet d'une session spéciale lors de la réunion la semaine dernière à Bruxelles des responsables des comités scientifiques de l'UE en charge de l'évaluation des risques.

    Antidote Europe mène depuis plus d'un an une campagne d'information internationale sur le bisphénol A.

    Cette substance, produite à raison de 3 milliards de kilos par an, est relâchée dans nos aliments par la plupart des emballages plastiques en contact.

    Nos études de toxicogénomique sur des cellules humaines ont mis en évidence sa dangerosité, notamment par sa capacité à mimer les effets d'hormones (voir www.danger-bisphenol.com).

    C'est sans doute l'un des principaux responsables de l'explosion du nombre des cancers du sein et de la prostate depuis deux décennies.

    Dans cette même perspective, Antidote Europe mène actuellement sur des cellules humaines des études sur les effets de pesticides et de leurs combinaisons telles que présentes dans notre organisme, afin d'en apprécier enfin les effets cumulatifs ou synergiques.

    Antidote Europe est une association à but non lucratif créée par des chercheurs issus du Centre national de la recherche scientifique (CNRS, France) oeuvrant pour une science moderne et responsable.

    Contact médias :
    André Ménache 44 7906 446 889 (portable, Royaume Uni)
    Claude Reiss 33 (0)4 76 36 35 87 (fixe, France)

    Retrouvez ce communiqué en anglais sur : www.antidote-europe.org/cp26nov09_gb.htm

    * Le Professeur Pietro Croce, aujourd'hui décédé, était membre du Collège américain de pathologistes et l'un des plus célèbres critiques italiens de l'expérimentation animale.

    Ecrivain prolifique et conférencier, il a été le fer de lance du mouvement international pour abolir l'expérimentation animale et pour instaurer, à la place, des méthodes modernes de recherche scientifique.

     

    http://www.antidote-europe.org/cp26nov09_fr.htm

  • La fondation Bardot fait campagne contre la consommation de viande de cheval

    Horse in flowers.jpg

    par Isabelle TOUSSAINT (AFP)

    PARIS — La Fondation Bardot vient de lancer une campagne contre la consommation de viande de cheval et annoncé une proposition de loi pour modifier le statut juridique de la plus noble conquête de l'homme afin qu'elle ne finisse plus dans les assiettes.

    L'objet de cette proposition de loi, qui doit être déposée par Lionnel Luca, député (UMP) des Alpes-Maritimes, est de modifier la classification juridique de l'équidé (cheval, âne, poney...) pour que d' "animal de rente", il soit désormais classifié comme "animal de compagnie".

    "Il semble légitime de reconnaître déjà le statut particulier du cheval, ami de l'homme. L'objet de cette proposition de loi est de mettre en concordance l'opinion de nos compatriotes et le statut juridique qui lui est réservé", précise le texte.

    Il rappelle que "le gouvernement a déjà pris en compte cette relation particulière qui unit l'homme au cheval" en autorisant l'incinération des chevaux.

    Ainsi, depuis 1992, les chevaux de la garde républicaine ne sont plus envoyés à l'abattoir en fin de carrière, mais peuvent être rachetés par les cavaliers ou confiés, à titre gracieux, à une association de protection animale.

    L'abattage des chevaux est similaire à celui des bovins.

    Ils reçoivent dans le cerveau une balle attachée à une tige métallique tirée par un pistolet.

    Ensuite, ils sont accrochés par une jambe à une chaîne et tués par saignée, en leur coupant la veine jugulaire et l'artère carotide.

    La fondation Bardot a présenté à la presse à Paris un film de six minutes, difficilement soutenable, sur les chevaux de boucherie.

    L'association a réalisé son enquête de terrain en France et en Pologne, en caméra cachée, au cours des mois de septembre et octobre 2009.

    On y voit notamment des animaux blessés qui sont transportés en camion pendant 48 heures sans être nourris ni abreuvés.

    Certains sont suspendus encore vivants à un crochet par une jambe avant d'être égorgés.

    Jointe au téléphone par la fondation, Brigitte Bardot s'est dite "scandalisée" par les conditions de transport et d'abattages des chevaux.

    "J'ai le coeur retourné, je ne comprends pas cette déshumanisation", a-t-elle déclaré.

    "Je suis très choquée par ses images. J'avais l'impression que l'on ne mangeait plus de cheval", a dit l'actrice Mathilde Seigner, marraine de la campagne contre la consommation de viande à l'issue de la projection.

    "J'ai deux chevaux et je n'imagine pas une seconde que l'on puisse manger du cheval, du chien ou du chat. Je suis en colère", a-t-elle ajouté.

    De son côté, Lionel Luca a dit qu'il faisait "confiance" à Bruno Le Maire, ministre de l'Agriculture, dans ce dossier.

    En 2008, 15.820 chevaux ont été abattus pour leur viande en France, dont 7.220 importés vivants depuis la Pologne, l'Argentine et l'Espagne, selon la fondation Bardot.

    Aujourd'hui, la consommation de viande chevaline "connaît une tendance baissière comme toutes les viandes de boucherie", a indiqué pour sa part Célia Pasquet, chargée de mission de l'interprofession Interbev-Equin (producteurs et vendeurs de viande de cheval).

    La consommation de viande chevaline en France a atteint 20.830 tonnes en 2008.

    http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5gt9r7RhRRlQhZnLpg85h0izcN16w

  • Massacre de Gadhimai : halte au relativisme culturel

    4_Nepal_Animal_Sacrifice.sff.jpg

    Mass sacrifice of animals is a tradition that belongs in the past

    Two stories in today’s news represent opposite extremes in global attitudes to animal welfare.

    In Australia, the world’s oldest sheep, Lucky, has died at the age of twenty three in her home in Australia.

    She lived in an air-conditioned shed, was hand-fed with crushed grain (having lost her teeth, she was unable to graze normally), and she was allowed into the family home to watch television.

    Meanwhile, over the next two days, up to a million Hindu worshippers are gathering in a village in Nepal near the Indian border, where nearly 300000 rats, pigeons, poultry, pigs, sheep and buffalo will be slaughtered in the world’s biggest animal sacrifice.

    It happens every five years, in a traditional religious ceremony.

    Participants expect that if they want anything over the next five years, all they need to do is bring along a live animal, sacrifice it to the goddess Gadhimai.

    The sacrifices are not carried out humanely: the animals have their throats slit with traditional blades, and then they’re decapitated.

    It’s gory, the animals suffer as they die, and the ritual has raised protests from thousands of animal welfare activists both locally and around the world.

    They say that it’s tradition, it’s been done for hundreds of years, and in the name of cultural relativism, we should all shut up and let them get on with it.

    Where should a line be drawn?

    If humans were being treated savagely, would we tolerate it out of respect for a different culture?

    I know that our world in the West is far from pure: for every over-pampered sheep like Lucky there are tens of thousands of sheep, pigs, poultry and cattle, being crammed into slaughterhouses and killed.

    But at least our killing is done humanely, as far as we can judge.

    Regulations ensure that animals are stunned prior to the cut of a knife, so that they do not suffer pain at the end.

    And yes, slaughter may sometimes be done in an inadequate way so that animals do suffer, but this should be the exception rather than the rule.

    Science has taught us how to recognise pain in our fellow sentient beings, and how we can prevent it.

    The deliberate infliction of pain on animals can, and should, be stopped, whether it’s in Manchester, New York or Nepal.

    Tags: , ,

    http://blogs.telegraph.co.uk/news/peterwedderburn/100017781/mass-sacrifice-of-animals-is-a-tradition-that-belongs-in-the-past/

  • Anti-vivisection : concert de soutien à International Campaigns le 6 décembre à Paris

    Affiche0512_560.jpg
    versoflyer560.jpg

  • Anti-vivisection : conférence d'Antidote Europe et International Campaigns à Toulouse


    Mieux vaut finir à l'abattoir ?
    (regardez jusqu'au bout)

    Conférence (et débat) sur la vivisection : Stop aux Animaux dans les Laboratoires d'Expérimentation ! 

    Avec Hélène Sarraseca d'Antidote Europe et un animateur d'International Campaigns

    toulousenov09.jpg (111052 octets)

    Salle de Canal Sud - 40 , rue Alfred Duméril - Toulouse - De 16 h à 19h

    Conférence organisée par l'association pour les droits des animaux A.V.I.S.

    (C) Charlie Hebdo 18.11.09

    http://www.international-campaigns.org/ic/action/programme-actions.htm#TOULOUSE

  • Les grenouilles sont plus vivantes avec les cuisses

    grenouille verte.jpg

    Tuer une grenouille pour manger ses cuisses est aussi absurde qu'abattre un éléphant pour son ivoire.

    C'est la position de la Société vaudoise pour la protection des animaux, qui part en campagne.

    Explications.

    Chaque année, les Suisses avalent 120 tonnes de cuisses de grenouilles, dont 90% sont importées d'Indonésie.

    Après la fourrure et le foie gras, la Société vaudoise pour la protection des animaux a lancé le mois dernier une campagne dans le plus grand des cantons francophones du pays, histoire de convaincre ses habitants de boycotter la délicate gourmandise batracienne.

    Ses militants jugent inacceptable le commerce de grenouilles. Manger les cuisse de grenouilles est cruel, nuisible sur le plan écologique, et encourage un gaspillage « choquant ».

    « Une grenouille pèse 125 grammes. Vous lui enlevez les cuisses, qui représentent 20% du poids total, et jetez le reste », selon le président de la Société vaudoise pour la protection des animaux (SVAP).

    Dans le cas du bœuf (50%) et du porc (40%) aussi le gaspillage est grand, mais pas à ce point, ajoute Samuel Debrot.

    Dans sa campagne, la SVPA qualifie le commerce mondial de grenouilles d'absurdité écologique et sociale.

    En Indonésie, premier exportateur mondial (5'000 tonnes), les grenouilles sont capturées et vendues par les agriculteurs qui en tirent un revenu d'appoint.

    « Mais moins de grenouilles, c'est davantage de moustiques et d'autres insectes », explique Samuel Debrot.

    Résultat, les agriculteurs indonésiens sont contraints d'acheter de pernicieux insecticides en grande quantité pour protéger leurs récoltes.

    Raison qui a poussé l'Inde à interdire l'exportation de grenouilles.

    Point de bascule

    Les cuisses de grenouilles fleurissent aux quatre coins du monde, des cafétérias scolaires aux restaurants huppés en Europe, jusqu'aux bancs des marchés et la table familiale en Asie et en Amérique du Sud.

    Selon les experts, un milliard environ de grenouilles sont prélevées de leur milieu naturel pour finir dans l'assiette des humains chaque année.

    La France et les Etats-Unis sont les deux principaux importateurs.

    Quelque cinq millions en font les frais en Suisse, essentiellement dans la région francophone du pays.

    Elles sont importées congelées d'Indonésie et de Turquie.

    La loi suisse par contre, sur place, protège les grenouilles et interdit de les tuer, de les capturer et de les élever.

    A l'échelle mondiale, un tiers des amphibiens sont officiellement en danger, conséquence de la destruction des habitats, du changement climatique, de la pollution et des maladies.

    Et leur commerce qui croît pourrait conduire à l'extinction une partie de ces espèces.

    Certains scientifiques vont jusqu'à craindre que le commerce de grenouilles reproduise la situation des grandes pêcheries.

    « Le fait est que le processus n'est pas graduel", selon Corey Bradshaw, professeur associé à l'institut de l'environnement à l'Université d'Adelaïde, cité par le Guardian.

    « Il y a un point de bascule.

    C'est exactement ce qui s'est passé avec la surexploitation de la morue dans l'Atlantique Nord.

    Avec les grenouilles, on ne dispose d'aucune donnée, aucun traçage, ni gestion du stock.

    Nous aurions dû apprendre de l'expérience de la pêche, mais il semble que ce n'est pas le cas.»


    Fermer boutique

    Sylejman Gjocaj, propriétaire à Payerne du restaurant du Cheval-Blanc, spécialisé dans la cuisse de grenouille, est préoccupé par la campagne anti-cuisses, qui s'ajoute à la récente interdiction de la cigarette dans les établissements publics.

    « Si j'arrête de cuisiner les cuisses de grenouilles, je peux fermer boutique », assure-t-il.

    Huit clients sur dix viennent chez lui pour ses fameuses cuisses au beure, persil, échalotes, accompagnées de frites.

    Un menu qu'il propose depuis quinze ans.

    Ceci dit, Sylejman Gjocaj dit comprendre l'argument du gaspillage et considère l'élevage de grenouilles comme une piste.

    L'argumentation de la SVPA porte sur un autre point encore. De l'étang à l'assiette, les grenouilles endurent des « souffrances injustifiables ».

    Chassées de nuit à la lampe par des agriculteurs armés de filets et de crochets, elles sont capturées et mises dans des sacs par 300, avant d'être transportées sur de longues distances sur lesquelles beaucoup meurent.

    Les grenouilles vivantes sont par la suite découpées et éviscérées.

    Dans la plupart des cas, elles agonisent durant de longues minutes, selon la SVPA.

    Un impact incertain

    « Mais la chose n'est pas aussi cruelle que couper l'aileron des requins avant de les remettre à la mer », compare dans le quotidien 24 heures le propriétaire du restaurant du Tramway à Lausanne.

    Les cuisses de grenouilles de Pierre Meylan sont importées de Turquie par Les Escargots du Mont-d'Or à Vallorbe.

    La Turquie, qui protège les grenouilles durant les trois mois de la saison de l'accouplement, ce qui rend les choses plus écologiques, juge Bernard Fivaz, directeur de l'importateur.

    En Turquie, les grenouilles sont du reste endormies par le froid avant d'être tuées, ajoute ce dernier.

    A ce stade, l'impact de la campagne de la SVPA est incertain.

    Selon un mini-sondage du journal gratuit 20 minutes, 56% des personnes interrogées n'estiment pas cruel de tuer les grenouilles pour les manger.

    De l'autre côté de la frontière suisse, en France, les activistes des droits des animaux ont déjà tenté par le passé de convaincre leurs compatriotes de boycotter la délicatesse française la plus stéréotypique.

    Mais ils ont fait choux blanc, à quelques cuisses près.

    Simon Bradley, swissinfo.ch
    (Traduction de l'anglais: Pierre-François Besson)

    http://www.swissinfo.ch/fre/a_la_une.html?siteSect=109&ty=st&sid=11484440

  • Mister President, what are you doing for animals?...

    afp20091109_11471369_0.jpg

    Barack Obama en amateur de cuisses de grenouilles durant sa campagne présidentielle. (AFP)

    Le champion toutes catégories du "changement" peine à évoluer sur certains dossiers, à commencer par celui de la cause animale.

    Barack Obama, encore un effort pour être vegan !

  • JIDA (Journée Internationale pour les Droits des Animaux) : 1o décembre 2009

    poster_jida_miniature.jpg

    Bienvenue sur ce site militant animé par International Campaigns et dédié au relais de la Journée Internationale pour les Droits des Animaux (JIDA) en France

    - 12ème édition - Jeudi 10 décembre 2009

    Période d'actions recommandée : du samedi 05 au samedi 12 décembre 2009

    Cette campagne annuelle est animée par l'organisation antivivisection et pour les droits des animaux Uncaged Campaigns et relayée dans les pays francophones par International Campaigns.

    La JIDA a pour objectif de faire reconnaître les droits des animaux au moyen d'une véritable Déclaration Universelle (Universal Declaration of Animal Rights - UDAR).

    CONTEXTE DE LA CAMPAGNE

    Le 10 décembre de chaque année, jour anniversaire de la ratification de la Déclaration des Droits de l'Homme, ou alentour (comme pour l'édition 2007), des militants pour les droits des animaux du monde entier participent à la Journée Internationale pour les Droits des Animaux pour dénoncer l'hypocrisie qui consiste à ne pas reconnaître les droits fondamentaux des animaux non humains.

    Le relais de cette campagne s'effectue par le biais de manifestations silencieuses (veillées) organisées devant des sites où les droits des animaux sont bafoués, notamment des laboratoires pratiquant des expériences sur les animaux (entreprises, facultés et autres établissements de recherche).

    Pour une visibilité encore plus grande de votre action, il est important de la poursuivre jusqu'en soirée.

    La nuit tombe vite en hiver et vos bougies et autres sources de lumière attireront sans peine l'attention du public sur la Journée Internationale pour les Droits des Animaux et sur le non respect de ces droits par l'établissement devant lequel vous êtes installés.

    COMMENT REUSSIR VOTRE ACTION JIDA ?

    • Utilisez en priorité absolue les supports militants dédiés à cette campagne que vous trouverez ici en téléchargement.
    • Se déroulant en hiver, cette campagne vous permet d'attirer d'autant plus l'attention des passants en allumant dès la tombée de la nuit des bougies dans des bocaux ouverts (pour protéger la flamme contre le vent). Bougies vegan en vente ici. Lampes commerciales de faible consommation également souhaitables en cas de vent ou de pluie.
    • En plus de distribuer à titre particulier ou dans le cadre d'une table d'information le tract JIDA et la documentation UDAR associée (voir les Supports militants), n'hésitez pas à afficher des posters et affiches mentionnant "Journée Internationale pour les Droits des Animaux".
    • Sur votre stand ou devant l'établissement devant lequel vous avez choisi de manifester  (site pratiquant la vivisection, abattoir, élevage industriel, magasin de fourrure, etc.), disposez des photos de grande dimension (A3 minimum) dénonçant les sévices et abus dont les animaux sont victimes.

    Pour vous inspirer, consultez les rapports d'action et les album-photos des précédentes éditions relayées en France depuis 2004 (colonne de droite, rubrique "Archives").

    Pour envoyer votre rapport d'action et vos photos numériques (200 Ko par photo environ) : info[at]journee-internationale-droits-animaux.org

    NB : Il est conseillé de faire une déclaration auprès des autorités locales (préfecture, mairie) dans un délai raisonnable afin d’obtenir l’autorisation nécessaire.

    Plusieurs milliers de signatures de la déclaration UDAR récoltées depuis le 10 décembre 2004. En outre, Uncaged Campaigns a depuis reçu en parallèle plus de mille premières signatures de toute la France.
    Cliquez ici pour amplifier le mouvement !
  • Gary Steiner : "Animal, Vegetable, Miserable" (The New York Times)


    Published: November 21, 2009

    Lewisburg, Pa.

    LATELY more people have begun to express an interest in where the meat they eat comes from and how it was raised.

    Were the animals humanely treated?

    Did they have a good quality of life before the death that turned them into someone’s dinner?

    Some of these questions, which reach a fever pitch in the days leading up to Thanksgiving, pertain to the ways in which animals are treated. (Did your turkey get to live outdoors?)

    Others focus on the question of how eating the animals in question will affect the consumer’s health and well-being. (Was it given hormones and antibiotics?)

    None of these questions, however, make any consideration of whether it is wrong to kill animals for human consumption.

    And even when people ask this question, they almost always find a variety of resourceful answers that purport to justify the killing and consumption of animals in the name of human welfare.

    Strict ethical vegans, of which I am one, are customarily excoriated for equating our society’s treatment of animals with mass murder.

    Can anyone seriously consider animal suffering even remotely comparable to human suffering?

    Those who answer with a resounding no typically argue in one of two ways.

    Some suggest that human beings but not animals are made in God’s image and hence stand in much closer proximity to the divine than any non-human animal; according to this line of thought, animals were made expressly for the sake of humans and may be used without scruple to satisfy their needs and desires.

    There is ample support in the Bible and in the writings of Christian thinkers like Augustine and Thomas Aquinas for this pointedly anthropocentric way of devaluing animals.

    Others argue that the human capacity for abstract thought makes us capable of suffering that both qualitatively and quantitatively exceeds the suffering of any non-human animal.

    Philosophers like Jeremy Bentham, who is famous for having based moral status not on linguistic or rational capacities but rather on the capacity to suffer, argue that because animals are incapable of abstract thought, they are imprisoned in an eternal present, have no sense of the extended future and hence cannot be said to have an interest in continued existence.

    The most penetrating and iconoclastic response to this sort of reasoning came from the writer Isaac Bashevis Singer in his story “The Letter Writer,” in which he called the slaughter of animals the “eternal Treblinka.”

    The story depicts an encounter between a man and a mouse.

    The man, Herman Gombiner, contemplates his place in the cosmic scheme of things and concludes that there is an essential connection between his own existence as “a child of God” and the “holy creature” scuffling about on the floor in front of him.

    Surely, he reflects, the mouse has some capacity for thought; Gombiner even thinks that the mouse has the capacity to share love and gratitude with him.

    Not merely a means for the satisfaction of human desires, nor a mere nuisance to be exterminated, this tiny creature possesses the same dignity that any conscious being possesses.

    In the face of that inherent dignity, Gombiner concludes, the human practice of delivering animals to the table in the form of food is abhorrent and inexcusable.

    Many of the people who denounce the ways in which we treat animals in the course of raising them for human consumption never stop to think about this profound contradiction.

    Instead, they make impassioned calls for more “humanely” raised meat.

    Many people soothe their consciences by purchasing only free-range fowl and eggs, blissfully ignorant that “free range” has very little if any practical significance.

    Chickens may be labeled free-range even if they’ve never been outside or seen a speck of daylight in their entire lives. And that Thanksgiving turkey?

    Even if it is raised “free range,” it still lives a life of pain and confinement that ends with the butcher’s knife.

    How can intelligent people who purport to be deeply concerned with animal welfare and respectful of life turn a blind eye to such practices?

    And how can people continue to eat meat when they become aware that nearly 53 billion land animals are slaughtered every year for human consumption?

    The simple answer is that most people just don’t care about the lives or fortunes of animals.

    If they did care, they would learn as much as possible about the ways in which our society systematically abuses animals, and they would make what is at once a very simple and a very difficult choice: to forswear the consumption of animal products of all kinds.

    The easy part of this consists in seeing clearly what ethics requires and then just plain doing it.

    The difficult part: You just haven’t lived until you’ve tried to function as a strict vegan in a meat-crazed society.

    What were once the most straightforward activities become a constant ordeal.

    You might think that it’s as simple as just removing meat, eggs and dairy products from your diet, but it goes a lot deeper than that.

    To be a really strict vegan is to strive to avoid all animal products, and this includes materials like leather, silk and wool, as well as a panoply of cosmetics and medications.

    The more you dig, the more you learn about products you would never stop to think might contain or involve animal products in their production — like wine and beer (isinglass, a kind of gelatin derived from fish bladders, is often used to “fine,” or purify, these beverages), refined sugar (bone char is sometimes used to bleach it) or Band-Aids (animal products in the adhesive). Just last week I was told that those little comfort strips on most razor blades contain animal fat.

    To go down this road is to stare headlong into an abyss that, to paraphrase Nietzsche, will ultimately stare back at you.

    The challenges faced by a vegan don’t end with the nuts and bolts of material existence.

    You face quite a few social difficulties as well, perhaps the chief one being how one should feel about spending time with people who are not vegans.

    Is it O.K. to eat dinner with people who are eating meat?

    What do you say when a dining companion says, “I’m really a vegetarian — I don’t eat red meat at home.” (I’ve heard it lots of times, always without any prompting from me.)

    What do you do when someone starts to grill you (so to speak) about your vegan ethics during dinner? (Wise vegans always defer until food isn’t around.)

    Or when someone starts to lodge accusations to the effect that you consider yourself morally superior to others, or that it is ridiculous to worry so much about animals when there is so much human suffering in the world? (Smile politely and ask them to pass the seitan.)

    Let me be candid: By and large, meat-eaters are a self-righteous bunch.

    The number of vegans I know personally is ... five.

    And I have been a vegan for almost 15 years, having been a vegetarian for almost 15 before that.

    Five.

    I have lost more friends than this over arguments about animal ethics.

    One lapidary conclusion to be drawn here is that people take deadly seriously the prerogative to use animals as sources of satisfaction.

    Not only for food, but as beasts of burden, as raw materials and as sources of captive entertainment — which is the way animals are used in zoos, circuses and the like.

    These uses of animals are so institutionalized, so normalized, in our society that it is difficult to find the critical distance needed to see them as the horrors that they are: so many forms of subjection, servitude and — in the case of killing animals for human consumption and other purposes — outright murder.

    People who are ethical vegans believe that differences in intelligence between human and non-human animals have no moral significance whatsoever.

    The fact that my cat can’t appreciate Schubert’s late symphonies and can’t perform syllogistic logic does not mean that I am entitled to use him as an organic toy, as if I were somehow not only morally superior to him but virtually entitled to treat him as a commodity with minuscule market value.

    We have been trained by a history of thinking of which we are scarcely aware to view non-human animals as resources we are entitled to employ in whatever ways we see fit in order to satisfy our needs and desires.

    Yes, there are animal welfare laws.

    But these laws have been formulated by, and are enforced by, people who proceed from the proposition that animals are fundamentally inferior to human beings.

    At best, these laws make living conditions for animals marginally better than they would be otherwise — right up to the point when we send them to the slaughterhouse.

    Think about that when you’re picking out your free-range turkey, which has absolutely nothing to be thankful for on Thanksgiving.

    All it ever had was a short and miserable life, thanks to us intelligent, compassionate humans.

    Gary Steiner, a professor of philosophy at Bucknell University, is the author of Animals and the Moral Community: Mental Life, Moral Status and Kinship.

    http://www.nytimes.com/2009/11/22/opinion/22steiner.html?pagewanted=1&_r=1&partner=rss&emc=rss&adxnnlx=1258999957-AA67fq2m3kDPcsdzPn5QOw

  • Commentaire : World Vegan Day - 1er Novembre 2009

    http://www.offthehoof.co.uk/ecard/ecard-front.jpg

    Chers collègues,

    Joyeux World Vegan Day à tous !

    Dans ce commentaire, je parle de l’état du mouvement végan.

    La mauvaise nouvelle : les grosses associations de promotion du bien-être animal ont fait un gros travail de marginalisation du véganisme.

    La bonne nouvelle: ces dernières années, nous avons vu la naissance d’un mouvement abolitionniste qui voit le véganisme comme une base morale, rejette les campagnes de reformes et les campagnes ciblées et considère le véganisme comme essentiel à toute théorie non-violente cohérente.

    Si vous n’êtes pas encore végan, alors commencez dès aujourd’hui.

    C’est facile.

    C’est meilleur pour votre santé et la planète.

    Et le plus important : le véganisme éthique représente votre engagement dans la justice, l’abolition de l’exploitation animale et la non-violence.

    Gary L. Francione

    Standard Podcast: Hide Player | Play in Popup | Download

    http://www.abolitionistapproach.com/fr/