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Humeurs - Page 48

  • La force de venir en aide aux animaux (association "Droits des Animaux")

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    Les animaux sont des êtres sensibles, intelligents et conscients, même si cela n'a été reconnu que très récemment.

    Pour autant, cette reconnaissance n'a pas fait évoluer leur statut : ils continuent d'être traités comme des objets, de la marchandise, de la nourriture.

    Leur point de vue est totalement ignoré et leurs intérêts occultés.

    Droits des Animaux est une association loi 1901 ayant pour but de faire connaître, reconnaître et respecter les droits fondamentaux des animaux : droit à la vie, droit à la liberté, droit à ne pas être maltraité ni exploité.

    Nos trois missions principales sont :

    • Informer le public pour faire évoluer les mentalités (stands vidéo, happenings, conférences...)
    • Rassembler les personnes motivées pour aider les animaux
    • Interventions directes (Hunt sabotages, blocages, ...)

    Vu l'ampleur des moyens déployés par l'espèce humaine contre les animaux, ceux-ci n'ont aucune chance de résister efficacement, même s'ils se défendent quand ils le peuvent.

    C'est donc à nous de les aider à se libérer des humains.

    Rejoignez notre association pour participer à la libération animale !

    L'association ne poursuit aucun but lucratif ou religieux. Elle est indépendante de toute organisation, qu'elle soit confessionnelle, politique ou commerciale.

    http://www.droitsdesanimaux.net/index.php

  • Golfe du Mexique, « zone morte »

    Oil Price, Wayne Madsen, 23 juin 2010

    Les mauvaises nouvelles concernant la catastrophe pétrolière du Golfe continuent à affluer des sources de la Federal Emergency Management Agency (FEMA) et du Corps des ingénieurs de l’armée.

    Les planificateurs des situations d'urgence s’occupent d’une éventuelle "zone morte" dans un rayon de 200 miles autour du site de la catastrophe de Deepwater Horizon dans le Golfe.

    Un désastre environnemental paraît imminent et le déplacement des populations se prépare dans le Golfe.

    Les sources de la FEMA considèrent que le dispersant d’hydrocarbures utilisé par BP, le Corexit 9500, se mélange à l'eau du Golfe qui s’évapore, est absorbé par les nuages, et produit des précipitations toxiques qui menacent de continuer à massacrer la vie marine et la faune terrestre, la flore et les humains dans un rayon de 200 miles autour du site du désastre de Deepwater Horizon dans le Golfe.

    S’ajoutant aux inquiétudes de la FEMA et du Corps des ingénieurs, de grandes quantités de méthane s'échappent du gisement pétrolier sous la zone de forage Macondo du Golfe du Mexique.

    Lors d'une visite récente dans la région sinistrée, le président Obama a promis que la côte du Golfe « retournera à la normale. »

    Pourtant, les fonctionnaires fédéraux qui s'occupent de l'impact à court et long terme rapportent que la « zone morte » de la marée noire, créée par une combinaison de méthane et de pluie de Corexit toxique, nécessite l'évacuation et l'abandon à long terme des zones urbaines dans un rayon de 200 miles (320 km) autour du volcan du pétrole.

    Des plans sont mis en place en vue de l'évacuation obligatoire des villes de : Nouvelle-Orléans, Baton Rouge, Mandeville, Hammond, Houma, Belle Chase, Chalmette, Slidell, Biloxi, Gulfport, Pensacola, Hattiesburg, Mobile, Minette Bay, Fort Walton Beach, Panama City, Crestview, et Pascagoula.

    Les pluies toxiques du Golfe, qui devraient empoisonner les réserves d'eau douce poissonneuses et les lacs, les ruisseaux et les rivières, auront également un impact désastreux sur l'agriculture et l'élevage, ainsi que sur l'eau potable dans la région touchée.

    Les fonctionnaires de la FEMA affirment également que les fonds de 20 milliards de dollars de compensation mis de côté par BP sont loin d'être suffisants pour couvrir les coûts de la catastrophe.

    Les sources de la FEMA disent que la catastrophe coûtera bien plus d’un billion de dollars (1000 milliards), et s’approchera vraisemblablement de 2 à 3 billions de dollars.

    Original :

    oilprice.com/Environment/Oil-Spills/Government-Insiders-Get-Ready-for-the-Gulf-Dead-Zone.html

    Traduction copyleft de Pétrus Lombard

    Gulf of Mexico Oil Diaster - Oiled Wildlife: *The numbers above reflect only wildlife that has been recovered dead; actual numbers of dead wildlife are likely to be much higher.

    As of June 20th, 2010, more than 1,000 birds and hundreds of sea turtles, dolphins and other Gulf animals have been confirmed dead due to the Gulf oil disaster. Many more birds, sea turtles, whales, dolphins and other wildlife may also be injured or die as a result of the ongoing oil spill.

    Notes du traducteur : À cause de sa toxicité, la Grande Bretagne interdit l’usage du Corexit 9500 en Mer du Nord.

    L’eau de mer absorbe en partie le méthane dégagé avec le pétrole.

    Cela produit une réaction consommatrice de l’oxygène dissout dans l’eau.

    Cela risque de transformer les eaux du Golfe en eaux stagnantes mortes, incapables de faire prospérer la vie.

    Le méthane n’est pas le seul gaz dégagé par le puits.

    Il y a aussi des émanations très dangereuses de sulfure d’hydrogène, chlorure de méthyle, benzène, détectées dans l’air à des taux alarmants.

    Voir cette vidéo sous-titrée d’Alex Jones :
    http://www.dailymotion.com/video/xds5g1_alex-jones-maree-noire-de-bp-false_news#from=embed?start=99

    http://www.lepost.fr/article/2010/06/26/2130481_golfe-du-mexique-zone-morte.html

  • Cayenne, chienne de 2 ans volée dans la nuit du 22 juin à la SPA de Salon-de-Provence (13)

    http://i65.servimg.com/u/f65/13/55/97/73/cayenn10.jpg

    Votre appel restera anonyme.

    http://rescue.forumactif.com/provence-alpes-cote-d-azur-f160/staf-femelle-assez-jeune-en-contrat-de-garde-13-t249130.htm

  • Bobox, chien de 4 ans volé au refuge de Béthune (62)

    http://images.boxerami.org/images/eb7339728ee5e3ff380fde821c4b072b.jpg

    Votre appel restera anonyme.

    http://rescue.forumactif.com/nord-pas-de-calais-f120/vole-boxer-blanc-male-4-5-ans-bethune62-t284870.htm

  • Corrida : Marboz (Ain) récidive

    http://feria-marboz.leprogresblogs.fr/album/l_edition_2008/2124827801.jpg

    Marboz : corridas remises en cause (communiqué de l'Alliance Anticorrida)

    Depuis 2008, l’Alliance Anticorrida et l’OABA (Œuvre d'Assistance aux Bêtes d'Abattoirs) se mobilisent contre l'implantation de spectacles qui constituent une porte d'entrée manifeste aux corridas à Marboz, dans l'Ain, département qui n'a aucune tradition taurine.

    Alain Gestas, le maire nous avait pourtant assuré que : « le spectacle organisé par le comité des fêtes local ne comporte aucune mise à mort et depuis trois années, se déroulent des festivités où aucune maltraitance, ni agression vis-à-vis des animaux n'ont été relevées ».

    Or les 24 et 25 juillet prochain doit se dérouler, d'après Le Progrès, une corrida portugaise, spectacle au cours duquel des taureaux sont combattus, à cheval par des rejoneadores, à l'aide de trois rejons de châtiment composés d’une lame à double arête de 18 cm de long, trois paires de banderilles longues ou courtes et trois fers décorés d’une rose en papier qui sont fichés dans le corps de l’animal (c.f. Règlement taurin municipal).

    Sans réponse de la mairie, les deux associations ont saisi Régis Guyot, préfet de l'Ain et la Direction des services vétérinaires qui assurent avoir « entendu leur cri d'alarme ».

    Les pouvoirs publics ont « rappelé au président du comité des fêtes de Marboz la règlementation applicable tant en matière sanitaire qu'en matière de protection animale » estimant, que, « si les conditions prévues par les textes applicables devaient ne pas être remplies, [ils veilleraient] à ce que le spectacle prévu ne puisse avoir lieu ».

    Sans réponse rapide du maire, l’OABA et l’Alliance Anticorrida saisiront le juge des référés pour faire interdire cette corrida, compte tenu du caractère manifestement illicite du spectacle programmé.

    http://www.allianceanticorrida.fr/infos.html

  • Une ingénieure de la NASA démissionne en raison du programme de tests sur des primates de la NASA

    http://desourcesure.com/uploadv3/nasa-logo.jpg

    Ingénieure aérospatiale à la NASA, April Evans a démissionné de son poste d'architecte au sein du programme de la Station spatiale internationale (ISS en anglais) suite à la décision de la NASA d'effectuer des tests d'irradiation sur des primates, et ce après 30 ans de non-utilisation de primates.

    Une décision qu'Evans considère comme un pas en arrière majeur dans l'histoire des tests sur animaux pratiqués par la NASA.

    NASA aerospace engineer April Evans has resigned her position as a space architect on the International Space Station (ISS) program as a result of NASA’s decision to conduct primate irradiation testing after 30 years of non-usage, a decision Evans believes is a major step backward for NASA’s animal testing record.

    Evans argues that not only do primate irradiation experiments fall out of line with the Obama administration’s long range objective of developing new technologies to shield space radiations, but it also risks current and future international relations and partnerships crucial to NASA’s success.

    Take Action! Oppose NASA Space Experiments

    Evans’ concerns and opposition to NASA primate testing have been met with support by the European Space Agency (ESA) along with Animal Defenders International (ADI), a campaign group whose objective is legislative action in protection of animals.

    In an April 1, 2010 letter to ADI, ESA Director General Jean-Jacques Dordain categorically opposed the “necessity of complementary experiments with monkeys in combination with the human research objectives of Mars500,” and further declined “any interest in monkey research and does not consider any need or use for such result.”

    Evans, a nine-year veteran of the Human Spaceflight Program, served as the NASA VIPER ISS Visiting Vehicles Integration team lead for the past three years at NASA’s Johnson Space Center in Houston, Texas, prior to her resignation.

    She is a recipient of the NASA Space Flight Awareness Honoree award, a designation granted to fewer than one percent of the total NASA government and contractor workforce annually for their excellence.

    “After much deliberation, I resigned from NASA because I could not support the scientific justification for this monkey radiobiology experiment,” wrote Evans in a letter last week to Samuel Aronson, director of the Brookhaven National Laboratory, which was contracted by NASA to conduct the tests on squirrel monkeys.

    Instead, Evans has encouraged NASA to focus on developing space radiation shielding.

    “Both astronauts and hardware are at risk from the space radiation environment.

    This is a problem that all space agencies will have to solve for interplanetary space travel.

    Space vehicle radiation shielding is necessary technology for a sustainable long-term human space exploration program.“ Evans said to ADI.

    She believes that scientists and engineers should be given the chance and time to advance shielding technology.

    Pasadena Weekly reported that NASA Administrator Charles F. Bolden defended such experimentation calling it “very strongly peer-reviewed” and “very humane.”

    However, he did not comment on the growing internal debate and apparent contradiction between the proposed test and the new direction NASA received from the Obama administration.

    “These tests were proposed to support a schedule for space exploration that no longer exists,“ said Evans.

    “Experiments on primates only take focus away from the critical need for shielding technology.”

    She wrote in her letter to Samuel Aronson that “the planned monkey experiment focuses on predicting how the human brain may function after space radiation exposure.

    This isn’t solving the problem of space radiation; it’s merely further refining our measurements of the consequences”.

    Animal Defenders International has also written to NASA and Brookhaven National Laboratory, urging them to consider their European counterpart’s decision to not conduct these tests.

    “These tests are not only inhumane, they are also not a wise choice of the times. They are costly and scientifically unsupported.

    We urge NASA to stop ignoring the overwhelming opposition to these tests coming from the international space community, as well as from its own rank” said Jan Creamer, President of ADI.

    “We also would like to urge other NASA employees who object to these experiments to voice their opposition.”

    In the face of a nationwide budgetary crisis, the costs associated with the planned experiments have also raised concern.

    Reports indicate that these controversial radiation tests will cost an estimated $1.75 million of taxpayer money.

    Just two weeks ago, however, NASA announced potential layoffs of up to 5,000 workers, while suspending NASA’s back-to-the-moon Constellation program due to budgetary shortages.

    Take Action:

    Please write a polite letter for the attention of the NASA Administrator Charles F. Bolden Jr. Please request that he reconsider financing such horrific experiments.

    Public Communications Office,

    NASA Headquarters,

    Suite 5K39,

    Washington, DC

    20546-0001

    E-mail: public-inquiries@hq.nasa.gov

  • "A nos escrocs, l'humanité reconnaissante" (Michel Tarrier)

    http://www.theyliewedie.org/ressources/galerie/galleries/Capitalisme/terre-poubelle.jpg

    PARCE QUE ÇA COMMENCE – VRAIMENT - À BIEN FAIRE… !

    Une réflexion bien réfléchie.

    BILLET D’ÉCO-RÉALISME

    Ou : l’écologie n’est plus ce qu’elle était…

    http://www.etyc.org/files/u3/sarkozy_gore.jpg

    Bonjour les « vaincus »,

    « Je voudrais dire un mot de toutes ces questions d'environnement, parce que là aussi ça commence à bien faire. »

    (Nicolas Paul Stéphane Sarközy de Nagy-Bocsa, prenant parti pour l’immonde filière porcine au dernier salon du proxénétisme du Vivant).

    Mais c’est qu’il a raison le nain psychopathe, voyez plutôt…

    99,99 % (j’exagère, mais pas assez !) de Terriens sont scotchés à une coupe du monde de ballon rond…

    Une humanité coupable de non-assistance à planète en danger se passionne donc pour la religion du stade.

    Pauvres de nous !

    C’est vraiment pitoyable !

    Souhaitons donc les pires catastrophes (et ne dites pas « naturelles » !) pour réveiller ces foules serviles, abouliques, à la cervelle lobotomisée.

    CONSTERNANT ! SIDÉRANT ! ACCABLANT ! AFFLIGEANT !

    Homo sapiens modernicus en trimballe décidemment une de ces couches !

    Je nous croyais pourtant plongés dans une crise écosystématique annonçant indéniablement les pénuries d’une prochaine vie invivable que nos enfants subiront par la faute des abus de leurs aînés !

    Mais non, les jeux du cirque priment, les gladiateurs modernes font recette.

    Il faut dire que le bide éclatant du Sommet de Copenhague, où l’on devait sauver le climat, tout comme la débandade du Grenelle de l’environnement, n’ont pas dû aider à comprendre que l’état de la planète demandait un effort de guerre.

    D’ailleurs, dans le hit évènementiel, le fameux ultimatum climatique n’avait-il pas cédé la place à « la main de Thierry Henry » ?!!

    De quoi être objectivement édifié de l’échelle des valeurs dont fait preuve notre humanité !

    Alors l’environnement anthropocentriste d’un président et de gens atteints de cécité écologique ça commence effectivement à bien faire, et qu’on nous laisse pénards piller les restes…

    Et puis finissons-en vite fait avec ce mythe éminemment politicard du développement durable, un filon pourri qui n’a jamais existé que dans la tronche creuse mais cupide des sbires de la ploutocratie, de leurs ONG muselées et de leurs animateurs pathétiques, et ce, pour nous faire accroire à un futur très aléatoire.

    Alors que ce troisième millénaire ne dépassera pas un siècle, l’invention fumeuse de cette formule oxymore ne vise qu’un effet cosmétique et lubrificateur pour les derniers crimes écologiques d’un ultralibéralisme à bout de souffle, de plus en plus inquiet et donc de plus en plus cruel.

    Il ne s’agit que d’un énorme coup de poker des maîtres du monde, pour prolonger le pillage et l’agonie.

    Ils savent bien que le commun des mortels marche à tous les coups ; vous savez, ces gens, spécialement du sexe masculin, qui hurlent comme des damnés devant un match de foot…

    Le développement durable prétend réduire les déséquilibres environnementaux et les déséquilibres en termes de répartition des richesses terrestres.

    Eh bien, s’il avait fallu songer à un tel « développement durable », comme ils disent…, c’eut été dans les années 1960, avant que nous soyons prisonniers de l’inutile consumérisme, avant le pic forestier (déjà derrière nous), avant la mort biologique du sol, avant le déclin galopant de la biodiversité, avant la fin annoncée des énergies fossiles dont l’humanité dépend à 1000 %, avant que le climat ne soit déjanté par nos excès et que la mise en doute d’une telle évidence ne fasse les choux gras d’une boule de suif (qui défiait déjà les dangers de l’amiante de Jussieu)…

    En un mot, avant d’entrer dans l’irréversible.

    Car ce qui est pris n’est plus à prendre.

    La planète est peut-être encore plate pour certains, mais elle n’est pas rechargeable.

    « Ce que nous savons, c’est que nous quittons un univers ouvert, que l’on croyait infini, pour entrer dans un monde qui se rapetisse, car nous sommes de plus en plus nombreux, confrontés à une sorte de finitude tous azimuts, que ce soit en termes d’énergies fossiles, de minéraux, d’eau douce, de ressources issues du vivant... » Dominique Bourg

    TROP TARD, LES JEUX SONT FAITS, RIEN NE VA PLUS !

    Dans un système aussi pervers, tissé de démagogie ordinaire et orchestré par des faux-derches, il est devenu difficile de croire à quelque chose.

    Un excessif batelage chaque fois en amont d’une montagne qui accouche d’une souris met la puce à l’oreille.

    Tenez, même la médiatisation du chef des Kayapos amazoniens Raoni, tenu en laisse par son mentor, me fait penser à un coup de fric pour ceux qui l’instrumentent et en tirent les ficelles, et me renvoie même à l’exhibition de la Vénus Hottentote du grand chic parisien du début du XIXème siècle !

    Chirac a préfacé le livre de Raoni, mais Raoni n’a pas préfacé les mémoires chiraquiennes !!

    Pour sa promo,  le coach de Raoni lui a fait tatouer le maillot du Stade français sur le torse.

    Inévitable !

    Entre deux messes et lors d’un tour de piste dominical chez monsieur Loyal-Drucker, madame Chirac pourrait bien lui refiler quelques pièces jaunes.

    Rien ne changera rien, tout est miné.

    Heureusement que je ne suis qu’écologue, heureusement que je me déclare écosophe, excusez du peu, et pas le moins du monde « écologiste » !

    Parce que, quelle misère, quelle honte !!

    Les écolos, les vrais, les pionniers du temps des sixties, ils écoutaient pousser leur tignasse derrière René Dumont, ils chiaient dans les bottes du pouvoir et ne se laissaient pas fédérer.

    Et les flics leur foutaient sur la gueule.

    Alors, aujourd’hui, ces derniers vrais écolos, ceux qui marchent à quatre pattes parce qu'ils aiment la Terre vue de la Terre, C'EST ÉCOLOGIQUEMENT QU'ILS VOUS EMMERDENT !

    2050 : PRENEZ BIEN DATE ! RIRA BIEN QUI RIRA LE DERNIER !

    Allez donc trier « leurs » poubelles avec Pascal Obispo, faire du compost avec Zazie, suivre la traçabilité de votre bidoche chez Carrefour et acheter un panda en peluche, l’écologisme de pacotille n’arrêtera pas le massacre.

    Bis repetita

    P.S. : Dans la série « Papi fait de l’éco-résistance », protéger la Nature passe par la colère.

    Mais je ne me suis pas renseigné, une nouvelle loi inique interdit peut-être cette colère… ?

    Ce à quoi je crois est consigné dans quelques livres qui n’ont pas les honneurs des plateaux de télé, on sait très bien pourquoi.

    Le tout dernier fait polémique à cause de son titre équivoque…

    Mais ceux qui craignent que je crache dans la soupe seront rassurés par cette fine critique :

    http://www.humaterra.info/?La-dictature-verte

    ***

    DICTATURE VERTE

    Saura-t-on l’éviter, faut-il la souhaiter ?

    300 pages, Les Presses du Midi

    http://www.amazon.fr/Dictature-verte-Tarrier-Michel/dp/28...

    Bonus pour le droit de rêver :

    Un jour, un jour (« Et l’enfant de la femme inutilement né… »)

    Lueur de fol espoir (« la poésie vit d’insomnies perpétuelles », disait René Char), en hommage à Ferrat chantant Aragon

    http://www.dailymotion.com/video/x7rg6y_jean-ferrat-un-jo...

    Bonus pour le droit d’espérer :

    La croisade des enfants

    http://www.youtube.com/watch?v=H7cHb5TeH88&feature=re...

    Bonus pour en prendre de la graine :

    René Dumont : l'homme-siècle

    http://www.onf.tv/selection/nouvellement-en-ligne/visionn...

    Michel Tarrier

    Écosophe

  • Le scientifique australien Frank Fenner ne voit aucun espoir pour l'humanité (et tant mieux !)

    End of mankind.jpg

    L'espèce humaine va s'éteindre dans 100 ans.

    Et s'il n'y avait plus rien à faire pour sauver l'humanité ?

    S'il était déjà trop tard ?

    The Australian nous apprend que pour le scientifique australien Frank Fenner, le destin de l'Homme est scellé.

    Cette éminence en ce qui concerne l'extinction des espèces est plus que sceptique quant à l'avenir de l'espèce humaine :

    L'espèce humaine va s'éteindre.

    Peu importe ce que nous faisons maintenant, c'est trop tard.

    Mais quel crédit accorder à cette assertion ?

    Le journal tient à préciser que Fenner est un scientifique reconnu : membre de l'Académie des sciences australienne et de la Royal Society.

    Son travail a été récompensé par de nombreux prix et il est l'auteur de centaines de textes scientifiques.

    A 95 ans, le scientifique accorde très peu d'interviews.

    En matière d'évolution, il s'y connaît.

    Il a étudié le phénomène sous toutes les coutures : au niveau moléculaire, au plan de l'écosystème jusque dans l'espace.

    Selon Fenner, nous allons disparaître parce que nous sommes trop nombreux.

    C'est donc la croissance de la population mondiale qui est en cause.

    Si l'on en croit l'ONU, la population mondiale atteindra les 6,9 milliards cette année.

    Une tendance démographique qui, couplée à ce que Fenner appelle notre « consommation débridée », mènera à terme à la disparition de l'espèce humaine.

    La conséquence première de nos modes de vie étant le réchauffement climatique, Fenner n'est pas plus optimiste à ce sujet :

    "Le réchauffement climatique n'en est qu'à son début.

    Mais on voit déjà des changements importants dans le temps."

    Et d'ajouter:

    "Homo sapiens va disparaître, peut-être en l'espace d'un siècle.

    Et beaucoup d'animaux aussi.

    C'est une situation irréversible.

    Je pense qu'il est trop tard.

    J'essaie de ne pas trop le dire car il y a des gens qui essaient de faire changer les choses."

    Impossible d'échapper à notre destin pour Fenner : on ne fait que repousser l'incontournable.

    Si beaucoup de scientifiques partagent ce constat, tous ne sont pas aussi catégoriques sur l'impossibilité de changer les choses.

    Ainsi, son collègue Boyden, immunologue reconverti dans l'écologie humaine, est plus optimiste :

    "Frank a peut-être raison, mais certains d'entre nous caressent l'espoir que l'on prenne conscience de la situation.

    Et qu'on en arrive aux changements nécessaires pour en arriver au développement durable."

    En attendant, du haut de son grand âge, Ferner ne peut s'empêcher de céder au sempiternel « c'était mieux avant ».

    Petite pensée pour les générations futures :

    « Les petits enfants des générations actuelles vont être confrontés à un monde beaucoup plus difficile. »

    [Lire l'article sur The Australian]

    http://www.slate.fr/story/23355/espece-humaine-extinction-dans-100-ans

    http://www.portrait.gov.au/collection/2/943/lg_Frank_Fenner_Rae.jpg

    Frank Fenner par Jude Rae

    Frank Fenner sees no hope for humans

    by Cheryl Jones, The Australian

    June 16, 2010

    FRANK Fenner doesn't engage in the skirmishes of the climate wars.

    To him, the evidence of global warming is in.

    Our fate is sealed.

    "We're going to become extinct," the eminent scientist says.

    "Whatever we do now is too late."

    Fenner is an authority on extinction.

    The emeritus professor in microbiology at the Australian National University played a leading role in sending one species into oblivion: the variola virus that causes smallpox.

    And his work on the myxoma virus suppressed wild rabbit populations on farming land in southeastern Australia in the early 1950s.

    He made the comments in an interview at his home in a leafy Canberra suburb.

    Now 95, he rarely gives interviews.

    But until recently he went into work each day at the ANU's John Curtin School of Medical Research, of which he was director from 1967 to 1973.

    Decades after his official retirement from the Centre for Resource and Environmental Studies, which he set up in 1973, he continued a routine established when he was running world-class facilities while conducting research.

    He'd get to work at 6.30am to spend a couple of hours writing textbooks before the rest of the staff arrived.

    Fenner, a fellow of the Australian Academy of Science and of the Royal Society, has received many awards and honours.

    He has published hundreds of scientific papers and written or co-written 22 books.

    He retrieves some of the books from his library.

    One of them, on smallpox, has physical as well as intellectual gravitas: it weighs 3.5kg.

    Another, on myxomatosis, was reprinted by Cambridge University Press last year, 44 years after the first edition came out.

    Fenner is chuffed, but disappointed that he could not update it with research confirming wild rabbits have developed resistance to the biological control agent.

    The study showed that myxo now had a much lower kill rate in the wild than in laboratory rabbits that had never been exposed to the virus.

    "The [wild] rabbits themselves had mutated," Fenner says.

    "It was an evolutionary change in the rabbits."

    His deep understanding of evolution has never diminished his fascination with observing it in the field.

    That understanding was shaped by studies of every scale, from the molecular level to the ecosystem and planetary levels.

    Fenner originally wanted to become a geologist but, on the advice of his father, studied medicine instead, graduating from the University of Adelaide in 1938.

    He spent his spare time studying skulls with prehistorian Norman Tindale.

    Soon after graduating, he joined the Royal Australian Army Medical Corps, serving in Egypt and Papua New Guinea.

    He is credited in part with Australia's victory in New Guinea because of his work to control malaria among the troops.

    "That quite changed my interest from looking at skulls to microbiology and virology," he says.

    But his later research in virology, focusing on pox viruses, took him also into epidemiology and population dynamics, and he would soon zoom out to view species, including our own, in their ecological context.

    His biological perspective is also geological.

    He wrote his first papers on the environment in the early 1970s, when human impact was emerging as a big problem.

    He says the Earth has entered the Anthropocene.

    Although it is not an official epoch on the geological timescale, the Anthropocene is entering scientific terminology.

    It spans the time since industrialisation, when our species started to rival ice ages and comet impacts in driving the climate on a planetary scale.

    Fenner says the real trouble is the population explosion and "unbridled consumption".

    The number of Homo sapiens is projected to exceed 6.9 billion this year, according to the UN.

    With delays in firm action on cutting greenhouse gas emissions, Fenner is pessimistic.

    "We'll undergo the same fate as the people on Easter Island," he says.

    "Climate change is just at the very beginning. But we're seeing remarkable changes in the weather already.

    "The Aborigines showed that without science and the production of carbon dioxide and global warming, they could survive for 40,000 or 50,000 years.

    But the world can't.

    The human species is likely to go the same way as many of the species that we've seen disappear.

    "Homo sapiens will become extinct, perhaps within 100 years," he says.

    "A lot of other animals will, too.

    It's an irreversible situation.

    I think it's too late.

    I try not to express that because people are trying to do something, but they keep putting it off.

    "Mitigation would slow things down a bit, but there are too many people here already."

    It's an opinion shared by some scientists but drowned out by the row between climate change sceptics and believers.

    Fenner's colleague and long-time friend Stephen Boyden, a retired professor at the ANU, says there is deep pessimism among some ecologists, but others are more optimistic.

    "Frank may be right, but some of us still harbour the hope that there will come about an awareness of the situation and, as a result, the revolutionary changes necessary to achieve ecological sustainability," says Boyden, an immunologist who turned to human ecology later in his career.

    "That's where Frank and I differ.

    We're both aware of the seriousness of the situation, but I don't accept that it's necessarily too late.

    While there's a glimmer of hope, it's worth working to solve the problem.

    We have the scientific knowledge to do it but we don't have the political will."

    Fenner will open the Healthy Climate, Planet and People symposium at the Australian Academy of Science next week, as part of the AAS Fenner conference series, which is designed to bridge the gap between environmental science and policy.

    In 1980, Fenner had the honour of announcing the global eradication of smallpox to the UN's World Health Assembly.

    The disease is the only one to have been eradicated.

    Thirty years after that occasion, his outlook is vastly different as he contemplates the chaos of a species on the brink of mass extinction.

    "As the population keeps growing to seven, eight or nine billion, there will be a lot more wars over food," he says.

    "The grandchildren of today's generations will face a much more difficult world."

  • Marche silencieuse contre les massacres de dauphins aux îles Féroé le 12 juin à Paris, Hyères et Saint-Etienne

    La marche silencieuse de Hyères pour protester contre les massacres de dauphins aux îles Féroé ne sera pas la seule.

    La manifestation se déroulera également à Paris et à St Etienne.

    Détail de l’organisation pour chacune des villes

    . Saint Etienne : Départ du Centre Deux à 10 heures, pour finir devant l’Hôtel de Ville.

    . Paris : Devant l’Ambassade du Danemark, 77 rue Marceau, 75016 Paris, à partir de 10 heures.

    . Hyères : Départ devant la Caisse d’Epargne du Boulevard Gambetta à 10 heures.

    Venez nombreux le 12 juin et/ou prévenez un maximum de personnes !

    Plus d’informations

    Les groupes Facebook :

    - Saint Etienne : http://www.facebook.com/event.php?eid=114756255229968&ref=mfnjour
    - Paris : http://www.facebook.com/event.php?eid=126351440709525&ref=mf

    + L’article consacré à la manifestation de Hyères.

    Trois articles sur le sujet pour vous informer :

    . Massacres de dauphins aux îles Féroé

    . Reportage sur les massacres de globicéphales aux îles Féroé

    . Les îles Féroé condamnées par la Cour de Justice Internationale des Droits de l’Animal

    Et une pétition que vous pouvez d’ores et déjà signer : Pétition îles Féroé

    Merci !

    http://www.blog-les-dauphins.com/grande-marche-silencieuse-12-juin-paris-saint-etienne-hyeres-massacres-dauphins-iles-feroe/

  • La mort cachée, dévoilée par Tommaso Ausili

    La mort cachée, dévoilée par Tommaso Ausili

    The Hidden Death ©Tommaso Ausili courtesy of Sony World Photography Awards 2010

    Le photographe italien Tommaso Ausili remporte le prestigieux Iris d'Or des Sony World Photography Awards 2010.

    Ses photos, poignantes, rappellent quel sort cruel nous réservons aux animaux.

    Liens utiles :

    http://bfox.wordpress.com/2010/02/12/tommaso-ausili-slaughterhouse-world-press-photo-2010
    www.charliehebdo.fr/node/430

    www.tommasoausili.com

    http://www.droitsdesanimaux.net/actualites.php