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GHOST DOG - Blog végan abolitionniste, féministe universaliste, iconoclaste - Page 51

  • Concert classique Rossini le 10 mars à Paris donné par la pianiste végane Michèle Scharapan

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    Venez nombreux à ce concert qui promet d'être magnifique.

    Le cachet de Michèle ira aux animaux.

    Samedi 10 mars 2012 à 20 heures 30


    Gioachino Rossini
    Petite messe solennelle

    Théâtre du Conservatoire National d'Art Dramatique de Paris
    2bis rue du Conservatoire 75009 Paris

    Tarif : 20 € (réduit :15 €)

    Réservation des billets sur le site de la compagnie
    www.lesfoliesdutemps.com

    Version pour douze chanteurs, accordéon et piano

    Distribution :

    Ensemble Vocal des Folies du temps - Orianne Moretti - Sylvie Pascal - Valentine Roos - Mathilde Cardon - Juliette De Cointet - Claire Garraud - Louis Zeitoun - Antonin Caors - Denis Mignien - Arnaud Guillou - Jean-Christophe Marq - Aurélien Pernay

    Piano - Michèle Scharapan

    Accordéon - Anthony Millet

    Direction - Olivier Dejours
     
  • Sciences et Avenir (février 2012) : Masculin/Féminin : des rôles fabriqués

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    Sciences et Avenir - Masculin, féminin, des rôles fabriqués.

    N° 780 - février 2012 - article audio - 14 mn d'écoute - 13 Mo

    Science et Avenir - Collection : Sciences et Avenir - février 2012

    Présentation Open

    Masculin, féminin, des rôles fabriqués.
     
    ***
    Contre le différentialisme hommes / femmes.
    A bas l'essentialisme, vive l'universalisme.
  • Les musulmans de l'Europe ont annoncé le djihad aux chiens

    © Flickr.com/warmrobot/сс-by-nc-sa 3.0

    © Flickr.com/warmrobot/сс-by-nc-sa 3.0
     


    Les islamistes tentent d’expulser les chiens de l'Europe.

    Il y a peu, un représentant du Conseil municipal de La Haye, membre du parti « Démocrates Islamistes »  Hasan Koutchouk  s'est prononcé en faveur de l'interdiction de ces animaux dans la ville, et il a appelé les pouvoirs municipaux à reconnaitre que la possession d’un chien dans la mégalopole était un crime de droit commun.

    Nous savons depuis longtemps que dans l'Islam, le chien est considéré comme un animal " sale ".

    Une des légendes musulmanes annonce que ce quadrupède aurait mordu une fois le prophète Mohammed, c’est pourquoi tous les chiens sont maudits.

    Les sceptiques affirment que les musulmans avaient emprunté aux Juifs l'aversion pour ces animaux.  

    En effet, dans l'ancien testament, parmi les trente mentions du chien, elles n'ont pas de sens négatif seulement dans deux cas.

    L'hostilité des anciens Juifs vis-à-vis des chiens était suscitée par la haine envers les Egyptiens et les Romains qui, respectaient, eux, les chiens et qui les déifiaient.

    " L'Islam n'a rien contre les chiens, cependant, il prescrit des règles sévères de leur présence aux côtés de l’homme ", a expliqué dans l'interview  à  La Voix de la Russie  l'imam de la mosquée synodique de Moscou Islam-hazrat Zaripov.

    Du point de vue de l'Islam, nous pouvons avoir des chiens.

    Cependant, il faut respecter certaines conditions.

    Le chien ne doit pas se trouver dans un même local avec les gens.

    La salive et les poils du chien ne doivent pas se retrouver sur les vêtements et le corps de l’homme, ainsi que sur les objets d'usage courant.

    Il faut bien comprendre que l'Islam n’a pas d’attitude négative envers les chiens.

    Par exemple, dans certains Hadiths, on raconte l’histoire d’une femme qui nourrissait un chien. Pour cela,  elle a été admise au paradis.

    Il est important que l'on respecte strictement les conditions de l’entretien du chien.

    La proposition du politique-islamiste hollandais pourrait provoquer seulement un sourire, si c’était un cas unique quand les musulmans européens se prononcent durement contre les chiens.

    Au milieu de l’année 2011, dans la ville de Lerida dans le Nord-Est de l'Espagne, les musulmans qui constituent environ 20 % de la population, ont demandé aux autorités locales d'interdire le séjour de ces quadrupèdes dans les transports en commun.

    Quand la municipalité a refusé d'accomplir les exigences des musulmans, la ville a connu une vague d’empoisonnements des chiens.

    En Grande-Bretagne, les voyageurs aveugles avec les chiens-guides sont de plus en plus souvent obligés de sortir des autobus, parce que les conducteurs musulmans ou les voyageurs objectent contre leurs compagnons « sales ».

    Les cas semblables de l'intolérance religieuse sont observés en France, en Ecosse, aux Pays-Bas et dans d'autres pays européens.

    L'hostilité aussi ancrée envers les quadrupèdes et les nombreuses exigences agressives des musulmans européens de nettoyer les villes des chiens, suggère aux européens l’idée que les islamistes préconisent non la pureté de leur propre foi, mais tentent plutôt d'imposer aux pays de l’UE les normes de la Charia - l'ensemble des règles juridiques, morales et religieuses de l'Islam.

    D'autant plus que parmi les chrétiens, l’attitude envers ces quadrupèdes amis de l’homme est depuis toujours bienveillante.

    Dans l'orthodoxie, il n'y a aucunes interdictions au sujet des chiens, bien qu'il ne soit pas recommandé d’entrer dans les églises avec eux, explique le représentant du patriarcat de Moscou, le prêtre Vladimir Vigilyansky.

    Dans les anciens recueils de prescriptions religieuses, il est dit que les chiens ne doivent pas entrer dans l’église.

    Il y a des prières pour les consécrations des églises, si par hasard des chiens, des porcs ou des serpents y entraient soudain.

    La croyance est que ces animaux peuvent profaner le lieu sacré.

    Cependant, il n’existe aucun canon qui interdise d’avoir un chien dans la maison.

    Dans les pays catholiques, depuis 1931, on marque le Jour des animaux le 4 octobre.

    Cette fête est liée au nom de Saint-François d’Assises  - le protecteur des quadrupèdes.

    Ce jour-là, dans toutes les églises catholiques, se fait un office spécialisé pour les animaux domestiques, et les paroissiens peuvent même amener dans l'église leurs chouchous  - des chats, des lapins, des perroquets et, bien sûr, des chiens.

    Milena Faoustova

    http://french.ruvr.ru/2012/02/12/65914143.html?fb_action_ids=457373687619338&fb_action_types=og.recommends&fb_source=other_multiline&action_object_map

  • "Des orques portent plainte pour esclavage" (7 sur 7)

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    © photo news

    Un tribunal américain fait face à une plainte peu commune.

    Il doit en effet décider si cinq orques ont le droit de poursuivre leur employeur pour esclavage.

    Tilikum, Corky, Katina, Ulises et Kasatka sont cinq orques qui passent leur temps à effectuer des numéros dans les parcs Seaworld d'Orlando et de San Diego, aux Etats-Unis.

    Des cétacés qui, selon l'association de défense des animaux PETA, sont maltraités et "soumis à la servitude involontaire" par le parc aquatique, rapporte l'Agence France Presse.

    PETA a donc décidé de porter plainte au nom des cinq animaux, et espère obtenir gain de cause de la part du tribunal.

    Mais Seaworld ne voit pas la chose du même oeil.

    Pour les responsables du parc aquatique, le tribunal ne peut recevoir la plainte, car "le treizième amendement protège uniquement les personnes".

    Un argument que PETA rejette.

    "L'esclavage ne dépend pas plus de l'espèce de l'esclave que de la race, du sexe ou de l'ethnie.

    La contrainte, l'avilissement et l'assujettissement sont les caractéristiques de l'esclavage et ces orgues endurent les trois", a déclaré l'avocat de l'association.

    C'est donc maintenant au tribunal de décider si la plainte des orques est recevable ou non.

    Le problème majeur étant de savoir si la loi peut s'appliquer aux animaux ou pas.

    Seaworld crie haut et fort que si le tribunal "franchissait ce pas sans précédent, il ouvrirait certainement une boîte de Pandore aux problèmes inextricables et aux conséquences absurdes", et affirme également que la plainte de PETA est une "perte de temps, d'énergie et d'argent".

    Mais les membres de PETA, eux, comptent se battre jusqu'au bout et défendre ces orques, qu'ils considèrent comme prises au piège du parc aquatique et soumises à des pratiques peu honorables.

    Les cinq orques sont représentées par des membres de PETA, un ancien dresseur de cétacés, un biologiste, le fondateur d'un réseau de protection des orques et d'ex-dresseuses ayant officié à Seaworld. (mlb)

    http://www.7sur7.be/7s7/fr/2668/Especes-Menacees/article/detail/1391832/2012/02/08/Des-orques-portent-plainte-pour-esclavage.dhtml

  • Omne Datum Optimum : "Les Moissons Ecarlates - Requiem pour les Sans-Voix"

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    Je viens de recevoir ce matin Les Moissons Ecarlates, le disque d'Omne Datum Optimum, en vente ici : http://www.cynfeirdd.com/

    Ce disque est une pure merveille artistique. Les textes et la musique sont somptueux, d'une beauté, d'une force et d'une profondeur rares.

    Je vous invite à vous le procurer le plus rapidement possible : c'est de l'art, et de l'art vegan par-dessus le marché.

    Autant dire un joyau.

    Méryl

    ***

    Ci-dessous une interview - excellente - d'Omne Datum Optimum par le magazine Obsküre :

    Omne Datum Optimum

    En complément de l’entrevue parue dans Obsküre Magazine #5, www.obskuremag.net publie ces extraits inédits de notre entretien avec Omne Datum Optimum

    Obsküremag : La forme en requiem s’est-elle imposée d’elle-même pour Les Moissons Ecarlates ?

    Plus ou moins. Au départ, j’avais plutôt imaginé un ‘opéra’, puis en cours de composition, au vu du nombre d’animaux tués (on parle alors en millions d’individus tués chaque jour), une prière pour les âmes des défunts m’a semblé plus appropriée, il m’est alors apparu évident et bien plus juste de composer un requiem, même si ce dernier est un terme un brin présomptueux de ma part si l’on se réfère à ceux écrits jadis par des personnages ô combien plus talentueux que moi…

    Tu as pris le temps pour faire ce disque. Doit-on le voir comme un aboutissement ? La fin de quelque chose ?

    L’aboutissement de 3 ans de composition et de réflexion, d’hésitations et de doutes, d’envie de tout arrêter en cours de route, de tout stopper au moment où les disques pressés sortent de l’usine car un imprévu s’est infiltré dans ma conception globale de ce que devait être l’objet tel que je l’avais imaginé au final… en fait, la fin d’un projet qui me tenait à coeur, sorte de parenthèse qui fera sans doute figure d’ovni aux yeux des personnes qui ne me connaissent qu’au travers de ma musique, un soulagement aussi d’avoir mené l’enfant à terme si je puis m’exprimer ainsi et ce malgré les obstacles qu’il m’a fallu franchir et les déceptions personnelles relatives à cet album et pour lesquelles j’ai, comme on dit, beaucoup pris sur moi…

    Pour donner voix aux sans voix, tu as démultiplié ta voix, remplaçant une chorale à toi tout seul. Comment procèdes-tu pour mettre en place et conjuguer ces harmonies vocales ?

    Comme beaucoup, je compose une base au clavier, sur laquelle se greffe une voix, puis deux, puis trois… Les harmonies et les tessitures viennent soit naturellement, lorsque le morceau lui-même me guide dans le choix des voix et des tonalités, imaginant ce que j’aimerais ressentir en écoutant le morceau achevé, soit elles viennent lentement après plusieurs essais jusqu’à ce que LE truc se passe, l’alchimie faisant que quelque chose de quasi vivant s’opère en notre for intérieur et que l’on sait qu’on a touché le but dans la création du titre en question. Ensuite, pour étoffer un morceau, je superpose des voix d’harmonies et octaves différents pour donner l’impression d’un choeur comme dans le titre « Agnus Dei » qui comprend 21 voix. Comme je suis tout seul, je compose avec les moyens du bord, c’est-à-dire moi…

    Cet album est peut-être celui qui se rapproche le plus de la musique classique, tout en s’éloignant de l’aspect très médiéval de ton précédent « Missa XXI » (bien qu’on le ressente toujours, notamment sur « Le Flûtiste de Hamelin »). Ce choix est lié au sujet de l’album ?

    Oui et non. Oui parce que les ambiances médiévales ne collaient pas vraiment au thème ni au choix du requiem. Et non parce que l’album a été composé alors que j’écoutais beaucoup de musique classique et que je ressentais le besoin d’explorer le côté plus baroque de mes possibilités vocales. Tout cela a été en fait assez naturel, je ne savais pas vraiment où j’allais, mais quelque chose me guidait inéluctablement dans cette voie et dans ces voix. Ainsi le côté plus «classique» s’est imposé de lui-même.

    Pour ce qui est des clins d’œil et des citations (on ne m’a pas envoyé le livret, mais il me semble qu’il y a des reprises, dont la sublime version de « Ich würd auf meinem Pfad » de Mozart version haute-contre proche des ambiances à la Peter Greenaway), comment as-tu opéré tes choix ?

    Je me suis en fait inspiré de ce que j’écoutais lors de la maturation de l’album, quelques titres classiques se sont imposés (dans la limite de ce que je pouvais interpréter compte tenu de mes possibilités vocales, j’entends) dont le «Ich würd auf meinem Pfad…» auquel tu fais allusion et que je me suis bien réapproprié (!!!), mais aussi le titre traditionnel «Ich hab’ die Nacht getraümet…». Aussi quelques lectures ont fait écho avec mes ressentis et souhaits du moment, d’où l’utilisation d’un texte de Victor Hugo ou d’un passage remanié extrait du livre de Charles Patterson «Un Eternel Treblinka».

    Le contraste entre la douceur apaisée des compositions (« Iguana Paradiso » par exemple) et la violence du propos crée un décalage ironique intéressant et plus cruel encore, qui renvoie à ce que disait un compositeur de musiques de films comme Riz Ortolani, et que des images violentes étaient bien plus violentes encore quand on les mêlait à une musique douce. As-tu souhaité travailler sur ce décalage ?

    Je suis content que tu me poses cette question, car effectivement, c’est ainsi que j’ai procédé, me refusant à emprunter les sentiers battus. Il aurait été plus évident, vu le thème, d’user de samples de cris d’animaux torturés, ou de sons plus industriels poussés à l’inaudible… D’ailleurs, les rares titres sur lesquels je m’essaie à cette approche sont plus lourds et pas forcément ceux que les gens préfèrent. La situation actuelle de l’exploitation des animaux non-humains me plonge davantage dans une mélancolie et une tristesse -toutes deux bien sûr nimbées de révolte parfois- que dans un état de croisade permanent. De ce fait, les titres sonnent plus nostalgiques voire désespérés que belliqueux et révoltés… Concernant l’ironie dont tu fais mention, notamment avec le titre « Petite promenade dominicale »(*), je pense que si nous -vegans et autres défenseurs de la cause animale- n’avons point un brin d’auto-dérision, alors nous sommes bons pour nous foutre àla Seine. Il ne se passe pas un seul jour sans que nous ne soyons confrontés à la triste mais bien réelle « marginalité » de notre éthique, il nous faut donc souvent vivre face à cette cruauté qui nous entoure au quotidien ; sans une once de recul, ce serait invivable.

    « Iguana Paradiso » est un titre en hommage à mon compagnon iguane que j’ai sauvé d’une mort certaine et qui a partagé 11 années de ma vie… alors que je lui donnais à peine quelques mois lorsque je l’ai vu dans une animalerie et que j’ai décidé de lui donner une chance de s’en sortir… Il m’a quitté en septembre 2008, j’étais alors en pleine composition de l’album… Quant à (*), petit, j’allais le dimanche me promener dans la forêt avec mon père, chasseur, et ladite promenade était rythmée par des coups de fusil pour dégommer ici un faisan, là un lapin ou un chevreuil…

    On ressent un certain lyrisme gothique dans tes compositions, comme il a pu se développer à la fin des années 80 et au début des années 90 avec des formations comme Sopor Aeternus, Ataraxia, Rosa Crux ou les plus obscurs Artwork et Renaissance Noire, eux-mêmes marqués par Dead Can Dance auquel le titre « Al Ahrmen Dian’ » semble faire référence (on pense à « Dreams made flesh » en particulier). Ce sont tes origines musicales ?

    Bon choix, tu ne cites ici que des groupes que j’affectionne… Sopor pour sa capacité à se créer un univers complètement hors du temps et fantasmé, Ataraxia pour les quelques 20 années d’amitié qui nous lient Francesca (et donc le groupe) et moi, Rosa+Crux pour l’hermétisme et la rigueur dans l’esthétisme de leurs productions, Artwork pour le côté baroque de certains morceaux et le phrasé d’Oswald Henke… (me souviens d’un magnifique titre de ce groupe intitulé «Staub» dont les paroles en allemand étaient assez crues et d’un concert de ce groupe en Belgique, période 94/97…), Renaissance Noire qui promettait et avec qui j’étais en contact début 1990, puis Thierry a subitement disparu après leur concert de l’Arapaho en 95… Concernant Dead Can Dance, il est évident qu’avec l’utilisation du Yan’t'chin, il y a peut-être un peu de Dreams Made Flesh dans mon titre Al Ahrmen’ Dian Dö, mais sans volonté aucune de faire du DCD, juste parce que les sonorités de cet instrument évoquent immédiatement Lisa et Brendan. Mes origines musicales sont en partie là, oui, mais tout autant issues de groupes comme Kastriete Philosophen, Life Garden, Cocteau Twins, Ordo Equitum Solis, Orchis, Malicorne, Christian Wolz, Revolutionary Army of The Infant Jesus… pour m’arrêter là dans la liste non exhaustive de ce que j’apprécie.

    Qu’envisages-tu suite à cet album ?

    Soit partir vivre sur une île que j’aurai achetée avec les royalties touchées sur les ventes de cet album, soit essayer de rester en vie, ici, et faire ce que j’ai à faire du mieux qu’il me sera possible de le faire…

    http://www.facebook.com/pages/OMNE-DATUM-OPTIMUM/131662940242355

    http://www.myspace.com/omnedatumoptimum

    http://www.reverbnation.com/omnedatumoptimum

    http://my.zikinf.com/omnedatumoptimum

    Lien de l'interview : http://www.obskuremag.net/articles/omne-datum-optimum/

  • Célébrer la paix durant les fêtes (Gary L. Francione)

    http://www.americaforpurchase.com/wp-content/uploads/Christmas_Peace_Love___Joy.jpg

    J’entends souvent des gens dire qu’ils se sentent dépassés par la pauvreté et la violence de la vie moderne.

    Nous vivons certainement une époque difficile et pleine de défis.

    Mais cela ne veut pas dire que nous ne pouvons pas agir.

    Nous le pouvons.

    Voici trois suggestions pour vous aider à célébrer la paix durant cette saison des fêtes :

    Premièrement, ne consommez pas.

    Prenez l’argent que vous prévoyiez d’utiliser pour acquérir des choses dont vous n’avez pas besoin et donnez cet argent à une famille qui a besoin d’aide dans ces moments très difficiles.

    Ou utilisez cet argent pour procurer de la nourriture végane et des couvertures sans laine à un site Occupy local.

    Deuxièmement, si vous n’êtes pas végan, devenez-le et arrêtez de manger, porter ou consommer des produits d’origine animale.

    Il n’y a aucune justification pour cela.

    Et consacrez une partie de chaque jour à une éducation au véganisme créative et non-violente.

    Vos possibilités d’éducation peuvent prendre de nombreuses formes différentes.

    Troisièmement, adoptez un animal sans foyer.

    Il y a tant d’individus qui ont besoin de vous.

    Si vous n’avez pas la place ou les ressources pour un chien ou chat, adoptez un hamster, un lapin ou un poisson.

    Il y a forcément un animal réfugié qui s’adaptera à votre mode de vie.

    Et si vous en adoptez un (ou plus), vous n’aurez pas seulement sauvé la vie d’un autre, mais cela vous permettra aussi d’enrichir votre propre vie de façon incommensurable.

    Gary L. Francione
    Professeur, Rutgers University

    ©2011 Gary L. Francione

    http://fr.abolitionistapproach.com/2011/12/20/celebrer-la-paix-durant-les-fetes/

  • Wespiser pleine de bonne volonté mais pas végane (ni même végétarienne)

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    Je n'ai pas l'habitude de rencenser, sur ce blog ou ailleurs, les nouvelles du milieu du spectacle, dont sont si friands la majorité des humains d'aujourd'hui, et moins encore toutes les manifestations du genre Miss France qui sont, à mes yeux féministes, notoirement antiféministes.

    Néanmoins, je fais une exception ce soir pour Delphine Wespiser, sacrée Miss France 2012 le 4 décembre dernier.

    Qu'elle continue à choquer cette brave France spéciste, qu'elle commette encore de nombreux "faux pas" (dixit nos journaleux) de ce genre, qui sont, au contraire, de très beaux pas, qui vont dans la bonne direction : celle de la reconnaissance de l'égalité animale.

    Bref, que Delphine Wespiser aille moralement jusqu'au bout de la philosophie qu'elle a choisi d'épouser en devenant végane (1), le véganisme étant le seul mode de vie garantissant réellement les êtres sentients nonhumains de l'exploitation.

    Méryl Pinque

    (1) Wespiser n'est même pas végétarienne (contrairement à ses propres allégations) puisqu'elle mange encore les poissons et les fruits de mer.