Sommet de Copenhague : le véganisme EST la (seule) solution (le végétarisme ne suffit pas)
Go Vegan For Planet Earth
envoyé par veganfuture
+ Signez en ligne l'appel de Copenhague : http://www.copenhague-2009.com/confirmation_appel
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+ AQUASCUTUM
Projection de The Cove par "Vivre Ethique" au Havre dans le cadre de la JIDA 2009 le 10 décembre.
http://www.international-campaigns.org/ic/action/programme-actions.htm#lehavre
Evénement organisé à l’occasion du Téléthon 2009.
Diffusion de vidéos, signature de pétitions.
Yvonne Lacontre est partagée entre la tristesse et la colère. Porte-parole de six propriétaires et locataires de la résidence Ibos à Tarbes, elle ne comprend pas qu'une jeune chatte sauvage et ses cinq petits, dont ils se sont pris d'affection, vont se voir priver de leur abri.
Elle raconte.
« Il y a un an environ, une chatte sauvage est arrivée ici. Un locataire lui a donné à manger, l'a caressée. Elle est restée. Au printemps dernier, nous l'avons vu arriver avec cinq petits chatons. Elle était d'une maigreur à faire peur », dit-elle.
La solidarité s'organise : les six habitants décident de financer l'achat d'une niche.
« Ca nous a coûté 200 €, mais peu importe le prix. Avec l'hiver qui va arriver, on ne pouvait les laisser ainsi », poursuit Yvonne qui ajoute : « Nous savions que quinze jours avant, un abri pour chat avait installé à la résidence Panorama, avec l'autorisation du syndicat commun Foncia ».
La cage est placée à l'angle d'une clôture de maison, dont les propriétaires ont accepté son installation, et d'un garage.
À l'intérieur, il y a un distributeur d'eau et de croquettes.
Et à l'entrée, un petit panneau avec écrit : « Chats libres protégés » par l'APPA Équidés.
« Notre objectif était ensuite de les faire stériliser par un vétérinaire pour qu'ils ne se reproduisent pas. J'ai réussi à attraper la mère, l'opération a été réalisée. Nous avons poursuivi avec un petit. Mais le vétérinaire mais m'a dit que pour les autres, il fallait attendre l'âge de 6 mois », explique-t-elle.
La pose de cet abri ne fait pas l'unanimité dans la résidence.
« Il y a cinq personnes qui font partie du bureau du syndic, et parmi elles quatre se sont opposés à cet abri », regrette Yvonne.
Qui ne comprend pas car « l'hiver est là et ils vont se retrouver sous la pluie, le vent, la neige, et n'auront plus de repères. La SPA n'en veut pas : les chats sauvages ne sont pas adoptables. Que reste-t-il, l'euthanasie, mais le vétérinaire ne veut pas. Parmi eux, il y en a deux protégés car tatoués, donc déclarés à l'Association des chats libres protégés de Toulouse », souligne-t-elle.
Mais voilà : dans un courrier qu'elle a reçu, le syndic Foncia demande que la niche soit enlevée, faute de quoi elle sera retirée ce lundi 30 novembre, arguant que « dans cette affaire, nous sommes contraints de faire respecter le règlement de copropriété qui prévoit que ''nul ne pourra, même temporairement, encombrer les parties communes, ni y déposer quoi que ce soit, ni les utiliser pour son usage personnel, sauf exception décidée par l'assemblée générale», est-il écrit dans la lettre.
« Je ne comprends pas alors qu'il y a des problèmes plus urgents à régler : les grilles de sécurité dans les colonnes des compteurs électriques, les compteurs de gaz, vieux de plus de 50 ans, à changer ; dernièrement, nous avons eu une fuite ; les extincteurs qui n'existent pas… », énumère Yvonne.
En tout cas, la niche est toujours en place. Verdict aujourd'hui .
Du côté du syndic Foncia, qui représente la copropriété et gère les parties communes, on explique que l'application du règlement de copropriété s'impose quand il n'y a pas de consensus entre les copropriétaires.
« La pose de cette niche ne fait pas l'unanimité, il y a des personnes à qui ça ne plaît pas. Étant donné que cela n'a pas été soumis aux règles de la copropriété, c'est-à-dire que la demande n'a pas été faite et soumise au vote de l'assemblée générale après avoir été portée à l'ordre du jour, elle doit être enlevée. »
La seule solution alors : faire la demande et la soumettre au vote de la prochaine assemblée générale qui aura lieu l'an prochain.
Lien de la première partie
Lien de la deuxième partie
1) "J'ai vu ce film il y a 4 ans en cours d'esthétique de l'image, et depuis je n'ai plus jamais mangé de viande.
J'ai regardé Diet for a New America il n'y a pas longtemps, et je pense arrêter de consommer des produits issus d'animaux, donc de devenir vegan.
Il reste un film à voir en tous les cas, moi ce qui m'a marqué (en dehors du fait que c'est un film dur et brutal qui montre comment on tue les animaux... barbare) c'est que le film est en noir et blanc, mais qu'on ressent quand même les flots de sang qui s'écoulent.
C'est vraiment impressionnant, et j'étais mal à l'aise.
Je l'ai quand même revu il y a quelque temps, histoire de me rappeler..."
2) "C'est plutôt un documentaire [...] sur les méthodes d'abattage des chevaux, vaches, veaux et moutons de l'époque (1949).
[...]
Résumé pour ceux qui ne veulent pas regarder : on est à Paris, dans la cour de l'abattoir, on amène un cheval blanc, un gars lui assène un énorme coup entre les deux yeux avec une sorte de tournevis pointu, il tombe, gigote, un mec lui taille le cou et il se vide de litres et de litres de sang, ensuite on lui coupe les genoux, il est suspendu, un mec désigné enlève la peau de l'animal en quelques secondes avec beaucoup de précision et en même pas 5 minutes ils commencent à le tailler en plus petits morceaux...
Ensuite c'est au tour d'une vache, pareil, gros coups entre les deux yeux, l'animal tombe et gigote encore, le gars lui rentre une sorte de câble de fer très long (genre 1m) dans le trou qui lui a été fait dans le crâne et l'animal ne bouge plus.
Ensuite il est égorgé, un mec secoue l'animal pour qu'il se vide plus vite de son sang puis, même chose qu'avec le cheval...
Puis les veaux, ça c'est le plus dur à regarder, ils sont trimbalés comme des sacs de patates, on les "couche" (en les faisant retomber lourdement) sur des tables, on attache leurs pattes, puis l'animal attend, avec des grands yeux, impuissant, apeuré, un gars arrive avec son couteau aiguisé, coupe pratiquement toute la tête de l'animal...
Et enfin des moutons, on les entasse dans un minuscule enclos en les jetant dedans, un gars en prend un, le retourne sur une longue table en longueur et le pose sur le dos, de l'autre côté de la table un gars saisit la tête de l'animal et lui découpe directement toute la tête au niveau de la gorge (comme si il coupait dans du beurre), on prend le suivant, on le cale à côté de l'animal qui se vide de son sang et on lui coupe la tête comme au précédent, on continue avec les autres puis dépeçage, débitage et tout le bazar.
Productivité maximale, ils ont tous leur rôle et sont tous rapides et précis...
C'est assez troublant, on ressent [...] une banalité de quelque chose de monstrueux... et parfois on entend siffler ou chanter des mecs pendant leur "travail".
Mais quand on voit ça on est bien content d'être végétarien.
[...]"
de Daniel-San
Mon chien
de Georges Franju
France/1955/ 25'/16 mm
Avec Jacqueline Lemaire.
Les vacances, que faire de son chien encombrant ?
Le bon père de famille l'abandonne dans la forêt, malgré les pleurs de sa petite fille.
L'animal, lui, réussit à retrouver son chemin et la villa vide de ses maîtres à Paris.
Obligé d'errer dans les rues, il se fait capturer par les gardiens de la force publique qui le conduise à la fourrière.
Franju décrit toute l'atrocité vécue par ses chiens abandonnés et qui finissent la plupart dans la chambre à gaz des fourrières.
Sur l'Aïd : à partir de la 13e minute
Extrait :
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Présentation de France Culture ("Les Matins" du 27/11/2009) :
La société arabo-musulmane est malade en bien des points.
D'une part en terre d'islam : retard économique et social, déficit démocratique, panne culturelle, conflits armés en certains endroits.
D'autre part en occident : la population immigrée et sa descendance, même si elle réussit à emprunter l'ascenseur social, souffre de manque de reconnaissance et de discriminations.
Par ailleurs, des extrémistes se réclamant de l'islam mobilisent certains versets coraniques pour justifier des actions meurtrières.
L'islam serait-il devenu à la fois la religion des oppresseurs et des opprimés ?
Violence et exclusion sont-ils intrinsèques à la religion musulmane ?
L'islam est-il incompatible avec la modernité ?
Non, répond l'écrivain et universitaire Abdelwahab Meddeb à ces questions recurrentes mais non résolues, dans son dernier livre Pari de civilisation au Seuil.
Abdelwahab Meddeb est directeur de la revue internationale Dédale. Il enseigne la littérature comparée à l'Université Paris X. Ecrivain et poète, il anime l'émission hebdomadaire «Cultures d'islam» sur France Culture.
http://sites.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/matins
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