Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Brandon Walters : hommage au jeune héros d'"Australia"

    L'image “http://cache.gawker.com/assets/images/defamer/2008/11/brandon_walters.jpg” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.

    Brandon Walters (né en 1995) est un jeune acteur aborigène australien qui a joué le rôle de Nullah dans le film Australia en 2008.

    Né de parents aborigènes, Janie et Paul[1], il a grandi dans une communauté autochtone près de Broome, en Australie-Occidentale[2].

    On lui a découvert une leucémie à l'âge de six ans, qui a pu être guérie après avoir passé un an dans un hôpital de Perth en 2003[3].

    Le réalisateur australien Baz Luhrmann était à la recherche d'un jeune garçon autochtone pour tenir le rôle de "Nullah" pendant plus de douze mois lorsque l'un des directeurs de casting du film a vu Walters avec son père à une piscine de Broome en 2007[2]; Walters avait également répondu à un appel radio recherchant des candidats pour les auditionner[4].

    Il reçut ensuite une lettre de Luhrmann disant qu'il l'intéressait énormément.

    Walters, qui n'avait jamais quitté l'Australie-Occidentale[3], et un groupe de garçons qui avaient été auditionnés pour le rôle ont été invités à Sydney, en Nouvelle-Galles du Sud pour faire des castings à la Fox Studios Australia[4].

    Sa famille et lui campaient avec Luhrmann à la Eighty Mile Beach à Broome quand Walters reçut le rôle et fut engagé pour le film[4],[5].

    Quand il rejoignit le reste des acteurs, il n'avait jamais entendu parler de Nicole Kidman ou de Hugh Jackman, les acteurs principaux du film[2].

    Walters avait vu seulement quelques films, mais selon Luhrmann il avait "l'essence d'un acteur"[3],[4].

    Bien que Kidman et Walters aient été intimidés lors de leur première rencontre, Nicole Kidman déclara qu'ils s'étaient mieux compris progressivement pendant le tournage du film et dit :

    "J'ai besoin de le protéger ... [et] si le film marche vraiment bien il va avoir besoin de beaucoup de protection"[1].

    Luhrmann et Kidman ont mis en place un Fonds d'affectation spéciale pour garantir l'avenir de Walters[6].

    Luhrmann, qui a également visionné Walters dans un film pour une campagne de publicité sur l'Australie, a affirmé :

    "Notre prochaine star fait environ quatre pieds de haut, a de longs cheveux d'or et est un garçon autochtone." [7].

    Références [modifier]

    1. a et b Sophie Tedmanson, « Brandon Walters - the real star of Australia [archive] », 18 novembre 2008, The Times. Consulté le 22 11 2008
    2. a , b et c Christine Sams, « New face of Australia [archive] », 27 mai 2007, The Sydney Morning Herald. Consulté le 22 11 2008
    3. a , b et c Katie Hampson, « Broome boy rides high in Aussie blockbuster [archive] », 18 avril 2007, The West Australian. Consulté le 22 11 2008
    4. a , b , c et d ‘AUSTRALIA’ welcomes BRANDON WALTERS [archive], 18 avril 2007, Bazmark Film II. Consulté le 22 11 2008
    5. Vanessa Mills, « Broome boy lands lead role in movie with Nicole [archive] », 17 avril 2007, Australian Broadcasting Corporation. Consulté le 22 11 2008
    6. Belinda Goldsmith, « Brandon Walters - the real star of Australia [archive] », 18 novembre 2008, Reuters. Consulté le 22 11 2008
    7. Baz Luhrmann tips big things for Australia star Brandon Walters [archive], 9 octobre 2008, Herald Sun. Consulté le 22 11 2008
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Brandon_Walters
  • Gaia s'attaque au gavage

    Pour le bien-être des animaux, il y a d'autres pistes à explorer

    Vidéo : la campagne "Faux gras"

    BRUXELLES - En cette période où le foie gras va s'inviter massivement sur les tables de réveillon, Gaia lance une nouvelle campagne contre le gavage des canards et plus particulièrement contre "les méthodes les plus cruelles utilisées dans les salles de gavage intensif" , indique Michel Vandenbosch.

    La campagne est appuyée par une vidéo tournée dans des salles de gavage d'un grand groupe industriel français dont les produits sont notamment vendus en grandes surfaces chez nous.

    Des centaines de canards rangés dans des cages de 20 cm de large, incapables de bouger et soumis pendant douze jours à un gavage intensif qui va voir leur foie décupler de volume.

    "La taille du foie écrase les autres organes et empêche les canards de respirer."

    Gaia veut mettre fin à cette souffrance atroce mais pas nécessairement au foie gras.

    "Il existe d'autres pistes, d'autres méthodes, qui sont moins cruelles. Que vous soyez amateur de foie gras ou non, il y a un seuil de l'inadmissible et il faut faire la part des choses" , conclut Michel Vandenbosch.

    De manière toujours originale, Gaia propose cette année son faux gras dans une série de magasins bio.

    Un paté végétal qui ressemble au foie gras et dont le goût peut faire illusion sur un petit toast.

    En savoir plus

    http://www.fauxgras.be

    http://www.dhnet.be/infos/faits-divers/article/238456/gaia-s-attaque-au-gavage.html

  • Des fêtes sans souffrance : recettes foie gras vegan + bûche végane + gâteau anniversaire vegan

    L'image “http://www.lobsa.org/images4/Maketheconnection.JPG” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.

    1) FOIE GRAS VEGAN

    L'image “http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/5/11/8/large_701618.jpg” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.

    http://www.animauzi ne.net/L- Imperial- de-Foie-gras- vegetal.html

    "L’Impérial de Foie gras végétal"

    - 500g de tofu tendre ;
    - 2 échalotes hachées ;
    - 20g de margarine végétale ;
    - 1 bouteille de vin liquoreux ;
    - 2 sachets d’agar agar (8g) ;
    - 1 c. à s. de miso ;
    - 30g de levure maltée en paillettes ;
    - sel et poivre ;
    - curcuma (pour la couleur) ;
    - pain.

    Faire fondre la margarine dans une poêle et y faire cuire à feu doux les échalotes pendant 20 minutes.

    Chauffer 1/2 litre de vin, y dissoudre l’agar agar et le curcuma puis porter à ébullition en fouettant.

    Mixer finement le tofu, le miso et les échalotes, ajouter la levure et l’assaisonnement puis mélanger la préparation au vin.

    Tasser dans un moule à cake huilé et placer au réfrigérateur pendant 3 ou 4 heures.

    Couper en tranches et servir frais, sur du pain, avec le reste de la bouteille de vin.

     

    2) BÛCHE DE NOËL

    bdn.jpg

    http://www.animauzi ne.net/Buche- de-Noel,605. html

    Pâte :

    - 150g de pâte à tartiner au chocolat noir ;
    - 4 c. à s. de farine ;
    - 70g de poudre d’amandes ;
    - 1 yaourt au soja nature ;
    - 50g de sucre ;
    - 1/3 de c. à c. de bicarbonate ;
    - un peu de café fort.

    Garniture :

    - 70g de margarine végétale ;
    - 70g de poudre de noisettes ;
    - 70g de sucre glace ;
    - des feuilles en chocolat.

    Dans une terrine, mélanger soigneusement la pâte à tartiner avec la poudre d’amandes et la farine.

    Ajouter un peu de café, le yaourt au soja, le sucre et le bicarbonate et mélanger jusqu’à obtenir une
    pâte lisse et brillante.

    Ajouter un peu de café si c’est trop sec.

    Verser la préparation dans un moule à cake huilé et cuire au four pendant 40 minutes à 180°.

    Contrairement à l’habitude, quand une aiguille piquée dans la pâte en ressort un rien collante
    encore, sortir le gâteau du four et le laisser refroidir complètement.

    Ecraser la margarine avec le sucre, puis ajouter à cette crème la poudre de noisette, et en garnir les côtés et le sommet du gâteau.

    Coller sur les bords des feuilles en chocolat.

    Réfrigérer le gâteau quelques heures (le mieux est de le préparer la veille).

     

    3) GÂTEAU D'ANNIVERSAIRE

    gateauannivegan.jpg

    http://www.veggiebu lle.fr/recettes- vegan/mon- gateau-dannivers aire-vegan/

    (Recette issue de Sinfully Vegan).

    Ingrédients :

    - 2 1/4 tasses de farine

    - 1 3/4 tasses sucre
    - 3/4 tasse cacao
    - 1 1/2 cuil. à café de levure
    - 1 1/4 cuil. à café de bicarbonate de soude
    - 1/2 cuil. à café de sel
    - 1 cuil. à café de vanille
    - 2 tasses de lait de soja
    - 1/4 tasse de mayonnaise vegan ou de crème épaisse vegan
    - 1/2 tasse de sirop d’agave ou de sirop d’érable

    Glaçage :

    - 2 briques de Soyatoo
    - un paquet de tofu
    - 1 1/2 tasses de chocolat fondu

    Préchauffez votre four à 190°C.

    Graissez 2 moules à gâteaux d’environ 20cm.

    Dans un saladier, mélangez la farine, le sucre, le cacao, la levure, le bicarbonate de soude et le sel.

    Dans un autre saladier, mélangez le lait de soja, la vanille, la mayonnaise vegan et le sirop d’agave.

    Versez petit à petit le mélange humide sur le mélange sec tout en remuant constamment.

    Répartissez la préparation dans les deux moules et mettez à cuire pendant 35 minutes ou jusqu’à ce que la pointe d’un couteau ressorte propre.

    Laissez refroidir complètement avant d’étaler le glaçage.

    Pour le glaçage : il est préférable de le préparer la veille.

    Autrement, faites le pendant que le gâteau est en train de cuire.

    Mélangez intimement tous les ingrédients du glaçage dans un
    blender ou un mixer et mettez à refroidir au réfrigérateur.

    Pour assembler le gâteau : coupez chaque gâteau en deux dans le sens de la longueur afin de former 4 morceaux.

    Placez le morceau du bas sur le plat de service et recouvrez de glaçage, ajoutez un autre morceau puis du glaçage, etc., le dernier morceau doit être placé à l’envers afin d’être parfaitement plat.

    Recouvrez le dessus puis l’ensemble du gâteau de glaçage au chocolat.

    Vous pouvez aussi saupoudrer le gâteau de copeaux de chocolat.

    Placez au réfrigérateur jusqu’au moment de servir.

  • Noël : fête des hommes, défaite des animaux

    LGB.jpg

    Noël : la Grande Bouffe

     

    "La ritournelle de Noël" (Le Nouvelliste)

    VERA WEBER - Fondation Franz Weber

    Il y a des choses qui ne sont jamais dites assez souvent, des faits et des vérités qu'ils nous faut entendre et réentendre pour enfin les comprendre, pour finalement saisir leur sens profond.

    Donc, et au risque de répéter ce que cent autres avant moi ont déjà prêché, je parlerai des fêtes de fin d'année...

    Une fois de plus Noël est sur le pas de la porte, une fois de plus il n'y aura pas de limites à la frénésie de la consommation.

    Et la crise financière n'y changera pas grand-chose !

    Les statistiques le démontrent : la crise amènera les consommateurs à dépenser un peu moins pour les cadeaux, mais plus pour la « bonne bouffe », pour les repas entre amis et en famille.

    Et là, réveillon oblige, tout est permis.

    Les super et hypermarchés se font concurrence à qui possède les étalages qui croulent le plus sous le caviar en tout genre, sous les terrines de foie gras de canard, les terrines tout court, les saumons fumés venus d'ici et d'ailleurs et sous les grosses pièces de viande de boeuf importées directement des forêts amazoniennes défrichées.

    La plupart des restaurants serviront à leurs clients indécis le chapon ou la dinde traditionnels, précédés par du homard ébouillanté vif, des écrevisses et du foie gras, ce faisant, oubliant de préparer un menu alternatif pour la gent végétarienne qui elle aussi se réjouit de passer les fêtes en famille et de savourer de bons plats préparés avec amour.

    Noël et Nouvel-An devraient être synonymes d'espoir, d'amour et de joie ; d'un point de vue spirituel, on ne peut bâtir le bien sur le mal, se réjouir aux frais d'autrui, savourer le fruit de la souffrance extrême d'un animal.

    C'est pourquoi, à Noël, période de trêve par excellence, encore plus qu'au long de l'année, nous devrions prendre conscience de l'énorme responsabilité qui nous incombe.

    Notre choix à tous, que nous soyons producteurs, distributeurs, restaurateurs ou consommateurs, a un impact direct et gigantesque sur notre planète, sur son environnement et sur tous ses habitants.

    Dans l'espoir que la crise financière freinera quand même un ou deux débordements et fera réfléchir l'un ou l'autre sur la vraie nécessité de faire souffrir par pur plaisir, j'accompagnerai, lors des repas festifs à venir, ma famille et mes amis d'un plat de légumes, de pain et d'une coupe de champagne.

    ***

    Commentaire - lundi 01 décembre 2008, 09:42

    "Bravo à Vera Weber.

    Personnellement, je n'ai rien à rajouter, sinon ceci : devenons vegans pour les animaux, avant de mourir complètement idiots.

    Vous captez à merveille l'essence de notre civilisation décadente : la religion de la surconsommation, l'indifférence à la torture et au meurtre des innocents, l'immense bêtise humaine qui se repaît (dans tous les sens du terme) de la souffrance de ceux qui ne sont pas à son image.

    L'humanité est une espèce qui ne vaut que dans son propre regard narcissique.

    Mais il suffit de se déplacer vers les bords, de la regarder en spectateur, pour s'apercevoir qu'elle ne vaut rien et que son règne de pacotille ne tardera pas à s'achever.

    Nous sommes les artisans de notre propre défaite, et, ce qui est plus grave, ceux de la défaite des autres animaux qui partagent avec nous cette planète.

    Nous sommes coupables et nous sommes sans excuse."

    http://www.lenouvelliste.ch/fr/news/invite/index.php?idIndex=862&idContent=120540

  • Noël : du "faux gras" pour remplacer le foie gras

    L'image “http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/5/11/8/large_701618.jpg” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.

    L'association de défense des animaux GAIA a présenté jeudi à Bruxelles sa nouvelle campagne de fin d'année contre la souffrance des animaux pour le foie gras.

    Pour l'occasion, elle présente en alternative son propre produit, le "Faux Gras de GAIA", en vente dans différents magasins bio en Belgique.

    Le "Faux Gras de GAIA" est un pâté végétal qui est déjà commercialisé mais il sera mis en rayon avec un étiquetage de l'association de défense des animaux, au prix de 2,19 euros.

    Il présente la même texture que le foie gras et aurait un goût similaire.

    Agonie

    "La souffrance qu'on inflige aux animaux est silencieuse, mais réelle. Les canards sont rendus malades, affalés, ils halètent et ils n'en peuvent plus", a témoigné Philippe Lapaque, un ex-gaveur de canards français de la région de Pau.

    GAIA a également montré de nouvelles images filmées en caméra cachée, en 2008, qui proviennent de trois élevages français qui nourrissent des canards de force pour le foie gras.

    Ces images montrent plusieurs animaux agonisants ou morts, enfermés individuellement dans des cages minuscules.

    Les canards reçoivent un embout métallique de 20 cm de long enfoncé jusqu'au jabot. Après, la machine à gaver pneumatique envoie une pâtée de maïs gras, explique GAIA.

    Sans souffrance

    "Nous sommes plus que déterminés à mettre fin à la souffrance des canards et des oies pour la production intensive de foie gras", a déclaré Ann De Greef, directrice de GAIA qui revendique l'interdiction des systèmes les plus intensifs et les plus cruels.

    "Nous voulons mettre les alternatives respectueuses des animaux en première place dans l'agenda politique et social."

    Via un spot radio et des publicités dans des journaux, GAIA encourage les gens à choisir une alternative respectueuse des animaux et à ne pas manger de foie gras.

    En outre, un écran mobile circulera durant les vacances de Noël à travers des grandes villes du pays et des brochures seront distribuées aux passants qui pourront déguster des toasts de "Faux Gras de GAIA", garantis sans souffrance animale. (belga/ca)

    http://www.7sur7.be/7s7/fr/1524/Cuisine/article/detail/560151/2008/12/18/Du-faux-gras-pour-remplacer-le-foie-gras.dhtml

  • GAIA lance sa nouvelle campagne de fin d'année contre le foie gras

    L'image “http://www.gaia.be/ned/contentimage/illustraties/pb181_5.jpg” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.

    Philippe Lapaque, Michel Vandenbosch et Sébastien Arsac ( Stop Gavage )

    GAIA lance sa nouvelle campagne de fin d'année contre le foie gras : adaptez vos menus de fêtes et permettez aux oies et aux canards de passer également un joyeux Noël.

    Un ex-gaveur témoigne : « Les canards sont rendus malades, affalés, ils halètent et ils n'en peuvent plus.

    Au moment où il n'en peut plus, nous, on envoie et c'est ça le choc du gavage ! »

    GAIA a lancé aujourd'hui sa nouvelle campagne contre la souffrance des animaux pour le foie gras avec une conférence de presse au Bioshop de Bruxelles.

    Cette campagne se fait sous le signe des alternatives respectueuses des animaux. Pour l'occasion, GAIA présente son ‘propre produit', le « Faux Gras de GAIA » comme exemple d'une délicieuse et festive alternative.

    Le « Faux Gras de GAIA » est conçu pour attirer l'attention tout en étant vrai.

    En bonus bienvenu, le « Faux Gras de GAIA » sera aussi en vente pour 2,19 euros dans différents magasins bio en Belgique. Jusqu'à épuisement du stock. Plus d'informations à ce sujet sur le tout nouveau site internet : www.fauxgras.be et au 02/245 29 50.

    Invité d'honneur à la conférence de presse, Philippe Lapaque, un ex-gaveur de canards français de la région de Pau.

    Il a témoigné sur la souffrance des canards qu'il a, en tant que gaveur, engraissé pour des marques de foie gras qui sont aussi commercialisées en Belgique.

    « La souffrance qu'on inflige aux animaux est silencieuse, mais réelle.

    Les canards sont rendus malades, affalés, ils halètent et ils n'en peuvent plus » explique Lapaque.

    GAIA a également montré de nouvelles images filmées en caméra cachée qui proviennent de trois élevages français qui nourrissent des canards de force pour le foie gras.

    "Nous sommes plus que déterminés à mettre fin à la souffrance des canards et des oies pour la production intensive de foie gras » dit Ann De Greef, directrice de GAIA.
    « Dans tous les cas, les systèmes les plus intensifs et les plus cruels doivent être interdits. Nous voulons mettre les alternatives respectueuses des animaux en première place dans l'agenda politique et social. »

    Avec un spot qui sera diffusé les prochains jours sur différentes radios, des publicités dans huit journaux flamands et francophones qui apparaîtront entre le 19 et le 22 décembre, GAIA encourage les gens à choisir une alternative respectueuse des animaux et à ne pas manger de foie gras.
    Durant la période de Noël et du nouvel an, un écran mobile de 7m2 va circuler dans 7 villes flamandes et wallonnes (Anvers, Liège, Hasselt, Namur, Marche-en-Fammenne, Courtrai et Mons).
    Il montrera des images de la campagne et la souffrance dans les élevages pour le foie gras.
    Des bénévoles de GAIA distribueront des flyers et les passants pourront déguster de délicieux toast de « Faux Gras de GAIA », garantis sans souffrance animale !

    L'image “http://www.gaia.be/ned/contentimage/illustraties/pb186_6.jpg” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.

    L'image “http://www.gaia.be/ned/contentimage/illustraties/pb181_1.jpg” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.
    - Eclaircissement : Adaptez vos menus de Fêtes GAIA utilise un pâté végétal qui existe déjà de Tartex, avec l'autorisation de l'entreprise.
    - L'ex-gaveur français témoigne sur la souffrance
    Philippe Lapaque travaillait il y a quelques années comme gaveur professionnel de canards pour Euralis, le producteur de foie gras le plus important.
    Il témoigne sur son expérience entre janvier 2003 et fin 2003, la période durant laquelle il était sous contrat chez Grimaud-Montfort, une filiale d'Euralis.
    Lapaque :
    « Au début, certains canards arrivent tant bien que mal à se retourner puis rapidement ils sont bloqués dans leur cage. Au début, il arrivait que le jabot des oiseaux éclate... dans ce cas, soit on recoud le canard à vif, soit on ne fait rien et l'on fait plus attention la prochaine fois, soit le canard meurt. Les canards sont rendus malades, affalés, ils halètent et ils n'en peuvent plus. Au moment où il n'en peut plus, nous, on envoie et c'est ça le choc du gavage ! »
    Monsieur Lapaque explique aussi qu'il a très souvent reçu des canards malades dès leur arrivée !
    - Nouvelles images en caméra cachée
    Son témoignage est soutenu par de nouvelles images qui montrent les inadmissibles conditions de vies des canards dans les élevages pour le foie gras d'Euralis.
    Elles ont été filmées en caméra cachée en France en 2008 dans 3 élevages sous contrat avec Euralis qui fournit le foie gras pour la plupart des marques de distributeur ainsi que ses propres marques : Montfort, Rougié, Bizac et Pierre Champion.
    Deux de ses marques sont également commercialisées en Belgique, dans les magasins Champion (Montfort) et Cora (Montfort et Bizac).

    http://www.gaia.be/fra/control.php?&topgroupname=&groupname=cp155

  • Forte mobilisation pour le dimanche sans chasse

    http://99.img.v4.skyrock.net/991/sos-anim0/pics/434323299_small.jpg

    Chasse : halte à la barbarie !

    Hier soir, plus de 250 personnes se sont mobilisées aux côtés de diverses associations de protection et d’usagers de la nature lors de la conférence de presse ouverte au public « Halte aux accidents de chasse » à Guilherand Granges.

    Un succès qui reflète une réelle volonté d’action pour un juste partage de la nature.

    L’ ASPAS, le CORA, la FRAPNA, les MJC Drôme/Ardèche, Vercors Nature, le vélo club de Pierrelatte, le comité départemental du canoé-kayak de l'Ardèche, l’association des cavaliers de l’Herbasse, tous sont venus témoigner leur sentiment d’insécurité véhiculé par l’activité de la chasse 7 jours sur 7 pendant plus de 6 mois de l’année.

    Appuyées par Michèle Rivasi, et Pierre-Jean Veyret Vice-présidents du Conseil général de la Drôme en charge de l'Environnement, toutes ces associations sont venues plaider leur cause devant une salle comble résolue à faire évoluer la situation.

    Le partage inégal de la nature, de l’espace et du temps, entre chasseurs et autres usagers de la nature a particulièrement été pointé du doigt lors de cette conférence.

    Nos associations revendiquent l’obtention légale des dimanches sans chasse, premier pas indispensable vers une juste cohabitation entre ces deux parties.

    L’engouement généré par cette conférence laisse présager un espoir d’évolution envers les différents acteurs représentés.

    Nous remercions sincèrement Michèle Rivasi et Pierre-Jean Veyret pour leur engagement à nos côtés et pour le soutien apporté également par Hélène Blanchard, Vice-présidente du Conseil Régional Rhône-Alpes.

    Nous regrettons bien sûr l’absence de représentants du Conseil général de l’Ardèche qui a finalement renoncé à participer à cet événement.

    Les pressions exercées par la fédération des chasseurs de l’Ardèche pourraient en être la cause.

    La pétition de l'ASPAS pour l'arrêt de la chasse le dimanche, lancée depuis de nombreuses années, a d'ores et déjà récolté plus de 175 000 signatures.

    L’ASPAS a demandé, il y a plusieurs semaines déjà, un rendez-vous avec Jean-Louis Borloo, ministre de l’Ecologie, pour la lui remettre. Cette demande de rendez-vous est restée, à ce jour, sans suite.

    L’adoption, ce matin par l’Assemblée Nationale de la Loi Poniatowski sur la chasse révèle l’immense fossé qui se creuse chaque jour un peu plus entre les parlementaires et le reste de la société française.

    Il serait temps que nos élus prennent la mesure des choses et comprennent que nous sommes aujourd’hui au XXI ème siècle.

    Contact presse : Pierre Athanaze - Président de l’ASPAS
    Tel : 06 08 18 54 55

    NB : L’ASPAS envoie gratuitement le dossier de presse complet de la conférence et le dépliant « Chassés de la nature » à tous les journalistes en faisant la demande à:
    info@aspas-nature.org ou par Fax: 04 75 76 77 58

    Des photos en bonne résolution sont également disponibles.

    Vous pouvez visionner les vidéos de la campagne de l’ASPAS pour l’arrêt de la chasse le dimanche :
    http://www.aspas-nature.org/images/stories/videos/piquenique.mov
    http://www.aspas-nature.org/images/stories/videos/lecerf.mov

  • Paul McCartney, when will you become a vegan?

    L'image “http://www.buddhachannel.tv/portail/local/cache-vignettes/L276xH364/3911_large-4b30b.jpg” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.

    Paul, being a vegetarian is good,

    becoming a vegan is better!

    ***

    Paul McCartney en désaccord avec le Dalai Lama à propos de la viande : le chanteur a essayé de convaincre le Dalai Lama de devenir végétarien, insistant sur le fait qu'il était mauvais de manger de la viande.

    Le Beatles a écrit au leader spirituel pour souligner que le fait de manger de la viande signifiait aussi contribuer à faire souffrir les animaux, ce qui est en contradiction avec le bouddhisme, qui dit qu'il ne faut "causer aucune souffrance à aucun être vivant".

    Et le chanteur ne veut pas en démordre, même si le Dalai Lama lui a expliqué qu’il mange de la viande pour "raisons de santé".

    Dans une interview, Paul McCartney confie :

    "J’ai appris qu’il n’était pas végétarien, donc je lui ai écrit pour lui dire ’Pardonnez-moi de vous faire remarquer ceci, mais si vous mangez des animaux, alors ils souffriront à un moment ou à un autre.’ Il m’a répondu en disant que ses médecins lui avaient dit qu’il en avait besoin, donc je lui ai répondu en disant que ses médecins se trompaient."

    http://www.buddhachannel.tv/portail/spip.php?article3939#forum2440_

  • "Foie gras : le Père Noël est une ordure" (Florence Burgat dans Libé)

    http://www.al-kanz.org/wp-content/uploads/2007/11/foie_gras_pmaf2.jpg

    Noël et le 1er de l’an ne sont-ils pas d’abord synonymes de « bonne chère », en particulier du sacro-saint foie gras sans lequel, semble-t-il, la fête serait triste ?

    La France est le premier producteur (76%) et le premier consommateur (68%) de foie gras.

    Le Parlement a jugé bon d’ériger le foie gras en « patrimoine culturel et gastronomique protégé en France » (Art. L. 645-27-1 du code rural), encourageant ainsi une demande déposée auprès de l’Unesco pour obtenir qu’elle classe la gastronomie française dans le « patrimoine immatériel de l’humanité » !

    Comment choisir un bon foie gras ?

    Telle est la préoccupation qui balaye actuellement toutes les autres et occupe tous les esprits : silence, on mange du foie gras !

    L’affaire est sérieuse, car c’est à cela que l’on juge votre capacité à « jouir des plaisirs de la vie », à « savoir ce qui est bon ».

    Mais pour en jouir tranquillement, mieux vaut ne pas en savoir trop long sur le processus qui transforme le foie malade en ce « mets délicieux », et plus généralement les animaux en viande.

    Cette matière semble étrangère à l’individualité : la logique de la série prend le pas sur celle du propre, aucune biographie ne précède ce devenir-viande des animaux, de sorte que nous n’avons aucun imaginaire de ceux dont la chair équarrie nous est donnée à manger : du poulet, du veau, du porc…

    Nés pour cela, leur identité est celle de la chair à l’étal.

    N’en faisons pas une histoire, à tous les sens du terme.

    L’habitude de voir ces pièces plus ou moins informes est entrée dans la banalité de notre paysage.

    Aucune violence ne se dégage de l'artifice des morceaux « dont la forme, l'aspect nous sont depuis longtemps assez familiers pour avoir acquis, à nos yeux, une autonomie, une réalité indépendante de l'ensemble dans lesquels ils étaient inclus. (...). La boucherie est un lieu d'innocence ». (Pierre Gascar, Les Bouchers).

    Comment voir ce que l’on ne voit plus, ce à propos de quoi aucun étonnement, aucune question, aucune inquiétude ne surviennent ?

    Comment troubler le calme de la viande ?

    Certains étals le devraient pourtant, si l’on voulait bien les voir.

    Volaille, lapins, « gibier » ne sont-ils pas présentés de la manière la moins abstraite qui soit ?

    Oiseaux entiers, parfois partiellement plumés, lapins écorchés mais jamais décapités, carcasses ouvertes, exhibant dans une pornographie trop évidente, le plus intime du corps.

    Faisans, lièvres, biches… alignés à l’état de cadavres non encore «préparés» par la main experte, flattant ainsi le goût de la traque (il s’agit en réalité d’animaux d’élevage et d’un abattage par balle pratiqué dans un enclos).

    Les abats ne rappellent-ils pas sans détour l’individu : ce n’est plus à de la viande que l’on a affaire, mais à la tête, aux oreilles, à la langue de tel animal ?

    Le particulier est bien là.

    Mais rien n’y fait : tout cela appartient à l’ordinaire de la perception, révélant un ordre où chaque chose semble à sa place, puisque chaque jour, de la viande remplace indéfiniment de la viande…

    Particulièrement importuns sont donc ceux qui se mêlent de faire la lumière sur ces plaisirs dont il s’agit d’ignorer la fabrique.

    La promotion s’y emploie du reste à merveille : tout brille, tout pétille !

    Tandis que de l’autre côté du miroir, quelque 90 millions de naissances de canards et d’oies sont nécessaires aux 45,7 millions de canetons mâles mis à l’accouvage.

    La moitié des oiseaux (les femelles) est éliminée à la naissance ; ils sont généralement jetés au broyeur, car bons à rien (la race n’a pas été sélectionnée pour la viande) : les femelles présentent en effet un foie trop veineux.

    39 millions de canards sont gavés, et 34,5 y survivent et sont donc abattus pour la collecte de leur précieux foie hypertrophié.

    On fait naître 710 000 oisons pour fabriquer le foie gras d’oie (chiffres 2007, source : rapport annuel du CIFOG, Centre Interprofessionnel des Palmipèdes à Foie Gras).

    Il y a ensuite la contention dans des batteries de cages, le geste réitéré à la pompe introduite jusqu’à l’estomac, blessant l’animal, pour y introduire d’énormes quantités de nourriture…

    (Attention, les images en fin de vidéo peuvent choquer les personnes sensibles).

    La vue du matériel, que seuls les professionnels connaissent, nous fait peut-être mieux pénétrer cette réalité que les étals auxquels notre œil est accoutumé : la « gaveuse super » monovitesse, permettant de gaver 90 canards ou 70 oies par heure, « maniable, légère, sûre, grâce à sa commande par gâchette et à ses entonnoirs en matière plastique non agressifs », la plumeuse, l’extracteur de poumon, la broche perforante, le saignoir rotatif…

    Le gavage, qui dure une douzaine de jours, laisse les animaux haletants, exténués, atteints de maladies qui entraînent une mortalité environ six fois plus élevée que dans des conditions d’élevage ne comportant pas de gavage.

    Le témoignage de gaveurs est aussi révélateur d'un malaise ressenti par les acteurs mêmes de cette industrie.

    Le gavage fait l’objet d’une contestation internationale : interdit dans des pays qui en étaient récemment producteurs comme l’Italie et Israël, il l’est de fait dans bien d’autres pays européens du simple fait qu’il est incompatible avec les textes de protection des animaux.

    En 2004, la Californie a décidé d’interdire la production et la consommation de foie gras (l’interdiction entrera en vigueur en 2012).

    Une fête où l’on découvre derrière la fine porcelaine, le champagne millésimé, le bruissement des robes et les rires légers, les ateliers de gavage, les batteries de cages qui ne laissent que passer la tête des canards, les pompes hydrauliques qui s’enfoncent dans la gorge de millions d’oiseaux, les salles d’abattage…

    Vous reprendrez bien encore un peu de foie gras ?

    Florence Burgat, philosophe. Dernier ouvrage paru : Liberté et inquiétude de la vie animale, Paris, Kimé, 2006.

    http://philosophie.blogs.liberation.fr/noudelmann/2008/12/le-pre-nol-est.html#more

  • Suisse : des manifestants dénoncent des tests sur animaux chez Philip Morris

    manif.jpg

    DÉTERMINÉS - Les militants ont clamé hier leur colère devant des bâtiments grillagés et des portes fermées. Philip Morris, averti de la manifestation, avait renforcé la sécurité du site. (CHRISTIAN GALLEY)

    Une dizaine d'activistes ont manifesté hier devant les bâtiments de Philip Morris, à Neuchâtel.

    Ils dénoncent les expérimentations animales du cigarettier, et craignent que de tels laboratoires soient créés à Serrières.

    La multinationale reconnaît qu'elle expose des rongeurs à la fumée, mais assure qu'elle n'a « pas d'autre choix ».

    « Fumer tue les animaux, boycottez Marlboro ! »

    Munis de mégaphones et de banderoles, une dizaine d'activistes ont manifesté hier devant les bâtiments de Philip Morris, à Neuchâtel.

    Au bénéfice d'une autorisation de police, ils ont dénoncé les pratiques du fabricant de cigarettes, qui effectue chaque année des expérimentations animales sur près de 4000 rongeurs dans des laboratoires de Belgique.

    « Des animaux sont forcés d'inhaler de la fumée de cigarette pendant des semaines, ensuite de quoi ils sont tués et jetés comme de simples déchets ! », accuse Pierre Meylan, membre du groupe LausAnimaliste, un collectif pour l'égalité et la libération animale.

    « La détention et le traitement réservé à ces animaux sont parfaitement inadmissibles. Nous voulons dénoncer cette barbarie ! »

    Les militants, des représentants des groupes Atra (Association suisse pour l'abolition de la vivisection) et LausAnimaliste, manifestaient pour la première fois devant le site neuchâtelois de la multinationale.

    « Depuis début 2008, nous avons protesté à trois reprises devant le siège de Philip Morris, à Lausanne. Nous avons élargi notre action à Neuchâtel parce que nous craignons que les laboratoires de Belgique soient transférés à Serrières », explique Lisa Simeoni, membre du groupe Atra Neuchâtel.

    La Belgique a en effet décidé d'interdire, à terme, les expérimentations animales dans l'industrie du tabac.

    Chez Philip Morris International (PMI), on ne nie pas effectuer de telles expérimentations. Le site internet de la multinationale présente d'ailleurs un chapitre « expériences animales ».

    Ces tests, qui n'ont lieu actuellement qu'en Belgique, seront-ils pratiqués à Neuchâtel ?

    « La Belgique a effectivement décidé d'interdire ces expériences », répond Marija Sepic, porte-parole de PMI.

    « Nous avons encore deux ans pour trouver une solution à cela. Je ne peux pas spéculer sur la suite. A ce jour, il n'y a pas de plan de localisation des laboratoires à Neuchâtel. »

    La porte-parole ajoute que « contrairement à ce que prétendent les militants, il n'y a aucun lapin dans nos centres de recherche. Seulement des rats et des souris. »

    Est-il vrai que les animaux sont forcés à inhaler de la fumée ?

    « Oui, ces rongeurs sont exposés à la fumée. Mais nous assurons un traitement aussi humain et responsable que possible des rongeurs. Nous leur apportons les soins maximaux afin de réduire leurs souffrances. »

    Aujourd'hui, alors que le lien entre la fumée et les maladies est clairement prouvé, pourquoi ces tests ?

    « Ils servent à développer des produits du tabac moins nocifs », répond Marija Sepic.

    La porte-parole ajoute que l'entreprise est « convaincue du bien-fondé » de ces recherches : « Au bout du compte, elles vont permettre de réduire les risques de la cigarette sur la santé. »

    Elle précise qu'actuellement, « si on veut faire avancer la science, on n'a malheureusement pas d'autre choix que d'utiliser des animaux. Mais nous essayons de développer des méthodes alternatives. Par exemple des modélisations par ordinateur. »

    La multinationale espère qu'elle pourra, « à terme », remplacer la totalité des tests sur les animaux par d'autres moyens.

    Quant aux manifestants, ils ne cesseront leurs actions « que lorsque Philip Morris fera le choix éthique d'abolir la torture animale de ses pratiques », ont assuré hier les activistes, dont l'un d'eux était déguisé en lapin.

    Virginie Giroud

    http://www.arcinfo.ch/journal/region/canton/article/121625/dix_manifestants_denoncent_des_tests_sur_animaux_chez_philip_morris.htm