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Action ! - Page 46

  • Prisonniers autrichiens : déclaration du Dr Martin Balluch, 26 août 2008

    http://www.partyfortheanimals.nl/images/weblog/int/martin%20balluch.png

    http://www.atm.damtp.cam.ac.uk/people/mgb/

    Ce texte de Martin Balluch a été publié le 26 août 2008 en anglais sur le site de VGT

    Message au mouvement international pour les droits des animaux

    Nous voici incarcérés depuis trois mois sans aucune issue en vue !

    A la mi-mai, la plus grosse opération de police jamais menée en Autriche contre un mouvement de justice sociale fut conduite à l’aube dans vingt-trois domiciles et bureaux de défenseurs des droits des animaux.

    Des policiers masqués braquèrent leur armes sur plus de trente personnes qu’ils tirèrent ainsi de leur lit, et endommagèrent les lieux. Du matériel appartenant à sept groupes de défense des droits des animaux fut saisi – il ne leur a toujours pas été restitué à ce jour.

    De même à ce jour, dix militants sont encore sous les verrous, sans charges ni preuves.

    Durant les trois derniers mois, des informations concernant cette opération de police ont été mises au jour. Nous savons maintenant que dix-sept personnes avaient leur téléphone sur écoute et que leurs courriers électroniques étaient lus depuis un an et demi, que l’entrée de trois domiciles était filmée, que deux voitures étaient munies d’appareils permettant de connaître les trajets effectués et que des micros furent cachés dans sept domiciles et bureaux.

    En plus de cela, le compte en banque d’une vingtaine de personnes fut mis sous contrôle et dix-sept personnes furent surveillées et suivies durant des mois. Mais ce n’est pas tout : des policiers infiltrèrent des groupes de défense des droits des animaux, dont VGT.

    Cette opération massive menée aux frais du contribuable qui a coûté plus d’un million d’euros, c’est-à-dire beaucoup plus que les dommages causés par les soi-disant délits dont ils étaient censés trouver les auteurs, n’a conduit NULLE PART. Ils n’ont trouvé aucune preuve d’actes délictueux.

    Mais nous sommes encore en prison. Au lieu d’être suspectés d’avoir commis des délits précis, nous sommes supposés former une organisation criminelle. Et pour étayer une telle supposition, l’accusation dit qu’il n’est pas nécessaire de posséder une quelconque preuve d’acte criminel.

    Les suspects n’ont pas même besoin de se connaître les uns les autres. Pour devenir suspect, il suffit que vous meniez votre campagne pour les droits des animaux pendant qu’au même moment des personnes qui vous sont inconnues commettent un délit visant à soutenir le même but ou un but proche de celui de votre campagne. Pouviez-vous imaginer que nous puissions être emprisonnés pour cela ?

    J’ai été interrogé par la police durant vingt heures. Elle a exposé l’ensemble des « preuves » qu’elle possède contre moi. Les voici :

    • J’envoie des courriers électroniques encryptés.
    • VGT se réunit dans des lieux qui ne sont pas accessibles au public.
    • VGT n’expose pas ses actions de façon ouverte au téléphone.
    • Pris en dehors de leur contexte, cinq des courriers électroniques sur les cinq mille que j’ai écrits durant les onze dernières années (!) paraissent radicaux.
    • J’ai des contacts internationaux.
    • J’organise beaucoup de conférences et de réunions en vue de recruter de nouveaux activistes.
    • J’écris des livres et participe à des émissions de radio et de télévision sur les droits des animaux, où il arrive que des brochures radicales soient utilisées et l’ALF mentionné.

    C’est tout. Voici ce que sont les « preuves » qui ont été recueillies contre moi. Il n’y a rien de plus que cela. Selon le ministère public et le juge des détentions préventives, cela justifie ma détention pour Dieu sait combien de mois et peut-être un jugement. Pour l’accusation et pour la police, la plupart des militants en Autriche font partie d’une immense organisation criminelle, qui est responsable de toutes les actions de l’ALF commises où que ce soit.

    Leur interprétation du terme « organisation » permet cela. Elle signifie « avoir le même état d’esprit ». N’importe quelle personne, favorable aux droits des animaux, et le demeurant après que quelqu’un a, quelque part et avec la même idéologie, commit un délit, appartient à cette organisation.

    C’est tellement ridicule que j’aurais ri si quelqu’un m’avait dit cela dans le passé. Maintenant, que je suis en prison, je ne ris plus. Cela est devenu sérieux.

    Qu’est-il en train de se passer ici ? Eh bien j’essaie de le deviner. Il est clair, je crois, que ceux qui sont au pouvoir, ceux qui forment l’unité de police spéciale et qui ont fait démarrer tout cela, n’avaient qu’une seule chose inscrite dans leur agenda : écraser le mouvement pour les droits des animaux, écraser VGT, et faire taire tout particulièrement ce Balluch.

    Il y a de bonnes raisons de penser que c’est exactement ce à quoi cette unité était destinée. Par exemple, nous avons un rapport de l’unité de police spéciale entièrement consacré à la manière de démanteler et de détruire VGT. Ils y discutaient les moyens d’attaquer ce groupe et planifiaient la prochaine réunion sur le même sujet cinq jours plus tard. Et cette réunion se tint un mois après mon incarcération.

    Cela prouve que ce ne sont pas des actes criminels qu’ils veulent élucider. Ils veulent porter un coup fatal. Ils veulent détruire VGT, ses réseaux qui ont obtenu des succès, son infrastructure. Ils utilisent simplement que fait que des délits ont été commis, quoiqu’à un niveau très bas, comme une excuse pour construire cette « organisation criminelle » afin de justifier les opérations de police à grande échelle et les mois, sinon les années, de détention préventive.

    Plus le temps passe, plus cet incroyable cauchemar se mue en un gigantesque scandale aux proportions démesurées ! Quel exorbitant abus de pouvoir ! Quel assaut totalitaire contre la démocratie et les droits de l’homme ! J’espère que vous êtes d’accord avec le fait que l’on ne peut les laisser faire tranquillement tout cela. Si un tel comportement d’État policier devient la norme, qui osera se lever et critiquer le système ? Qui pourra poursuivre les campagnes en faveur des droits des animaux ?

    Car après tout, RIEN de ce que j’ai fait et qui m’a propulsé en prison ne sortait de l’ordinaire de notre façon de mener nos activités en faveur des droits des animaux. Si je peux être emprisonné pour cela, n’importe qui peut l’être. Cela veut dire que faire campagne pour les droits des animaux, de quelque manière que ce soit, c’est avoir déjà un pied en prison.

    Je ne peux que répéter cela : mes amis, nous vivons un moment historique. Les droits des animaux sont devenus un véritable défi lancé au système, que le pouvoir a décidé d’écraser avec brutalité.

    Nous devons tenir bon tous ensemble et lutter pour gagner la bataille décisive. Nous n’avons pas le droit de les laisser continuer ainsi. Nous devons gagner. Nous ne voulons plus de répression. Le militantisme ne doit plus être bâillonné. Si nous ne parvenons pas à stopper cette opération et à saisir ceux qui en sont responsables, nous ne pourrons plus jamais défendre les droits des animaux. Nous ne devons pas battre en retraite. C’est tout ou rien.

    Je compte beaucoup sur vous !

    Martin Balluch, Prisonnier politique, JA-Josefstadt Vienne

    http://www.l214.com/solidarite-autriche/declaration-martin-balluch-aout-2008

  • Carcassonne : les anti-corridas affronteront l'arène

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    Société. Le comité appelle à une journée d'action

    LaDepeche.fr | 17 Août 2008

    Pétitions et tracts anti-corridas ont circulé, hier, sur le marché. Photo DDM, Jean-Luc Bibal

    Les yeux sur les panneaux, une adolescente apostrophe sa copine : « Tu as vu ? Beurk ! ». Et s'enquiert de savoir s'il faut être majeur pour signe la pétition pour l'abolition des corridas.

    Profitant du marché et des allers et venues incessantes des badauds et des clients, une quinzaine de membres du comité carcassonnais pour l'abolition des corridas sont allés à la rencontre du public, hier, place Carnot, tracts et pétitions en main.

    « Elle est où la pétition que je la signe ! C'est une honte ! », s'exclame une femme. « Moi aussi j'ai signé ! je ne comprends pas comment on peut aimer un tel spectacle de mort. Tuer une bête pour la manger, d'accord, mais là… », s'interroge le marchand de nems, voisin du stand.

    « Nous espérons être très nombreux la semaine prochaine afin de dénoncer cette barbarie qui subsiste et qui n'est pas digne de notre société », explique Marie-Josée Garcia, la secrétaire du CCAC.

    Samedi 23 août, le CCAC appelle à un rassemblement à partir de 9 h 30 au portail des Jacobins. Après le défilé qui se clôturera place Carnot, l'heure sera au pique-nique. À 17 heures, les opposants iront donner de la voix devant les arènes, à l'espace Jean-Cau. « Les organisateurs voulaient nous interdire de manifester devant l'arène. Ils n'ont pas réussi. Nous serons là ».

    http://www.ladepeche.fr/article/2008/08/17/471141-Carcassonne-Les-anti-corridas-affronteront-l-arene.html

    Sur le même thème

  • Brigitte Bardot s'attaque aux mangeurs de chevaux en Suisse (Le Matin)

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    La fondation de BB a lancé une pétition. Le combat intéresse Franz Weber.

    Raphaël Pomey

    Parmi les habitudes alimentaires des Suisses, il n'y a pas que les plats à base de chien ou de chat qui hérissent le poil des amis des bêtes.

    « Le cheval est également très proche de l'homme. Il est tout aussi choquant d'en manger », tonne Christophe Marie, de la Fondation Brigitte Bardot.

    Elle a lancé une pétition sur Internet pour abolir la consommation de cette viande en Europe. Succès mitigé puisque en une année le texte n'a récolté que 20 000 signatures. 10 000 autocollants « Je ne mange pas de cheval ! » ont été distribués.

    En Suisse, l'action peut maintenant compter sur un soutien de poids: l'écologiste montreusien Franz Weber. Sensible à la lutte, il fait un appel du pied à Brigitte Bardot: « Il faut que nous discutions d'une collaboration. La consommation de cette viande est indigne ! »

    Cette offensive irrite les amateurs de cheval. « En manger fait partie de notre identité, s'agace un boucher lausannois. Les écolos peuvent dire ce qu'ils veulent, les gens continueront à acheter du cheval pour la fondue chinoise. C'est bien plus tendre que le boeuf. »

    Incompréhension chez les professionnels de la branche. « Jamais en Suisse les chevaux n'ont été élevés pour leur viande, note Stephan Scheuner, de Proviande. 60% des chevaux des Franches-Montagnes, la race la plus importante en Suisse, sont formés comme chevaux de loisirs, de sport ou de rente. »

    http://www.lematin.ch/fr/actu/suisse/brigitte-bardot-s-attaque-aux-mangeurs-de-cheval-en-suisse_9-217950

  • ALF/ELF : même combat

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    ALF/ELF : même combat !

    Pas d’animaux sans nature, pas de nature sans animaux.

    Défendre les droits des animaux, cela signifie aussi défendre leur droit d’évoluer chez eux en liberté, c’est-à-dire sur une terre préservée, non polluée. 

    Rendons leurs territoires aux animaux.

    Cessons de développer nos modes de vie urbains et irresponsables.

    Arrêtons de détruire la planète avec nos villes, nos autoroutes, nos usines, nos lotissements, notre surpopulation.

    Pour les animaux et la nature.

    Pour la Beauté, avant qu'elle ne meure.

  • RAC : NON à la battue aux cervidés d'Avilly (Oise)

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    Nous vous prions et vous remercions de bien vouloir réagir le plus rapidement possible en envoyant le texte ci-dessous, au Sous-préfet de Senlis, Oise à l'adresse suivante : sous-prefecture-de-senlis@oise.pref.gouv.fr

    NON A LA BATTUE DES CERVIDES PROGRAMMEE CETTE SEMAINE - AVILLY-SAINT-LEONARD - OISE

    À l'attention de Monsieur le Sous-préfet de Senlis, Michel SCHMIDT de LA BRELIE

    Monsieur le Sous-préfet,

    Le parc naturel régional Oise Pays de France n’existe qu’à une seule condition pour ce classement :

    Préserver la libre circulation des grands animaux dans le corridor naturel reliant la forêt de Chantilly à la forêt d’Halatte.

    En dépit et contre toutes les règles et dispositions réglementaires afférentes à cette mission, la Fédération de la Chasse , sous la pression incessante de la chasse à courre, impose une battue d’effarouchement des cervidés réfugiés dans le seul havre de paix qui subsiste, le marais d’Avilly.

    La clôture par grillage de cet espace de vie sera immédiatement mise en place après la battue.

    Derrière ce diktat, l’intolérable et outrecuidante exigence de la chasse à courre : obtenir un plan de chasse pour poursuivre et tuer encore plus dans un domaine où l’ONF refuse de préserver la biodiversité.

    De quel droit la Fédération de la chasse et la chasse à courre imposent leur loi bafouant la vocation même du parc régional ?

    Au nom de quel droit la chasse à courre décime nos forêts dans des massacres qui révoltent les habitants des villages riverains des forêts ?

    Au nom de quel droit seigneurial la chasse à courre oblige administrations et organismes à lui « servir » le gibier pour satisfaire son insatiable soif de sang ?

    Nous sommes des citoyens responsables de notre patrimoine naturel et vous demandons, en votre qualité de représentant de l’Etat, de faire respecter les dispositions juridiques ou réglementaires qui encadrent la mission du parc naturel régional et de faire interdire toute action destinée à chasser les grands animaux en période de mise bas pour être massacrés à la prochaine saison.

    Nous comptons sur votre sens des responsabilités pour que le droit soit enfin respecté et que les principes défendus au Grenelle de l’Environnement soient effectivement appliqués.

    Veuillez agréer, Monsieur le Sous-préfet, l’expression de notre haute considération.

    http://www.antichasse.com/mailings_new/battue_urgent.htm

  • La Corée du Sud veut classer le chien comme animal de boucherie

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    One Voice attire l’attention sur la volonté de la Corée du Sud d’accorder le statut d’animal de boucherie au chien, légalisant ainsi le commerce la viande de chien.

    Cette mesure – visant à produire une viande de qualité contrôlée – entraînerait une augmentation du nombre de chiens sacrifiés dans des conditions d’une cruauté extrême.

    Cette légalisation risquerait en outre d’être généralisée à d’autres pays d’Asie. 

    La Chine n’est pas le seul pays qui consomme de la viande de chien. La Corée du Sud abat chaque année des millions de  chiens selon des techniques d’une grande cruauté pour les transformer en viande de boucherie. Cette pratique traditionnelle n’était jusqu’alors pas encadrée de façon réglementaire.

    Fin mars 2008, le gouvernement sud-coréen a proposé que les chiens soient classés dans les animaux de production d’un point de vue juridique, mesure que certains gouvernements locaux ont déjà acceptée.

    Il s’agirait de considérer l’abattage et la transformation en viande des chiens de la même façon que pour le bétail. Les fermes-élevages de chiens seraient ainsi inspectés par les autorités sanitaires pour garantir aux consommateurs une viande de qualité.

    Les abus seront institutionnalisés

    Si cette proposition du gouvernement sud-coréen se concrétise, le commerce de la viande de chien deviendra une activité légale, qui permettra à tous les restaurants et magasins de proposer de la viande de chien sous toutes ses formes : conserve, saucisse, jambon...

    Des propositions de loi seront examinées en mai. Selon le gouvernement sud-coréen, l’organisation de la filière viande de chien permettra de réduire les actes de cruauté commis sur les chiens, notamment lors de l’abattage.

    One Voice souligne qu’au contraire, légaliser ce commerce entraînera une augmentation du nombre de chiens sacrifiés dans ce pays et rappelle les techniques d’abattage employées dans les fermes de chiens.

    Considérant que l’électrocution nuit à la qualité de la viande, les fermiers lui préfèrent la pendaison. Les chiens sont souvent brûlés en même temps, pour éliminer leur fourrure plus facilement.

    Les tympans crevés pour les empêcher d’aboyer

    L’élevage des chiens de boucherie est tout aussi sordide. Les aliments pour chiens étant jugés trop coûteux et néfastes à la qualité de la viande par les fermiers, ils les nourrissent de déchets et les privent d’eau.

    Pour rendre les chiens moins sensibles au bruit et éviter les aboiements, les fermiers percent parfois les tympans des chiots avec une aiguille. Les chiens sont entassés dans des cages dans les fermes, dans les véhicules qui les transportent et sur les marchés.

    Les chiens sont abattus à 7 mois et les chiennes, après avoir eu deux ou trois portées.

    Des chiens errants sont également capturés pour être vendus sur les marchés, où ils sont parfois battus à mort en public.

    Une prise de conscience éthique est nécessaire

    La légalisation de la viande de chien provoquera une augmentation des mauvais traitements pour réduire les coûts de production des fermiers et « préserver la saveur de la viande ».

    La mise à mort dans un abattoir agréé coûtera plus cher que les méthodes traditionnelles, qui continueront à être utilisées.

    La tradition ne légitime pas la maltraitance animale. Grâce à une prise de conscience éthique, des pays ont déjà renoncé à des traditions cruelles pour les animaux, comme la chasse à courre au Royaume-Uni.

    Outre la violence que cela entraîne, la consommation de viande de chien – ou de tout autre animal – va à l’encontre des recommandations du GIERC* pour limiter les changements climatiques et la pénurie d’eau.

    * Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat.

    Manifestez votre opposition à la légalisation du commerce de la viande de chien en écrivant à l’ambassade de Corée du Sud, 125, rue de Grenelle 75007 Paris.

    http://www.animaux-familiers.org/animal_machine/coree.html

  • Hartfort Hospital (USA) : établissement en torture spécialisée

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    Pigs used in laboratory research. This photo is NOT from Hartford Hospital.

    Adressez un courrier de pression invitant le Hartford Hospital (USA) à rejoindre 95% des établissements de formation médicale américains qui n'utilisent plus le "modèle" animal et à abandonner l'utilisation hautement cruelle de cochons à des fins d'enseignement en chirurgie traumatique.

    En effet, cet hôpital, en collaboration avec l'établissement de formation University of Connecticut School of Medicine, organise un cours (de boucherie...) d'une durée de 3 heures, que chaque stagiaire paie 1 500 $ pour massacrer des cochons adultes. Ces animaux reçoivent des coups de couteau dans différents organes au niveau de l'abdomen et de la poitrine, notamment dans les intestins, la vessie, les reins, le diaphragme, le foie, la rate et le coeur.

    Chaque mois, cinq cochons subissent 14 mutilations différentes. Après une stabulation prolongée, soit ils meurent pendant les interventions réalisées sur eux pendant les "cours", soit ils sont détruits à la fin de la session.

    Merci d'utiliser le modèle de courrier de protestation et les emails en blocs fournis ci-dessous.

    En France, on a, notamment, l'Ecole de chirurgie de Strasbourg qui se fait la main sur les cochons pour ses chirurgiens, un animal bien pratique et peu polémique, puisque la plupart des Français en dévorent avec avidité.

    Bien joué, les blouses blanches pleines de sang des innocents. Les animaux "vermines" (rats, souris,...) et à "viande" (cochons, moutons, chèvres, poisson, etc.) , ça émeut beaucoup moins le bon peuple contribuable que les chiens et les chats. Vous l'avez bien compris et appliqué à la lettre depuis le milieu des années 80.

    International Campaigns
    http://www.international-campaigns.org/

    * * *

    KINSHIP CIRCLE PRIMARY - PERMISSION TO CROSS-POST AS WRITTEN
    Stabbing Pigs To Teach Human Surgery?
    EMAIL kinshipcircle@ accessus. netFOR WORD DOC OF A FORMATTED LETTER.
    Easily modify letter and copy/paste it into an email or print out to fax or mail.
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    FULL CONTACT INFORMATION. Sample letter follows.
    ============ ========= ========= ========= ========= ========= ==

    Hartford Hospital
    80 Seymour Street; Hartford, CT 06102
    main ph: 860-545-5000; main fax: 860-545-5066
    web mail:
    http://www.harthosp .org/PatientVisi tors/ContactUs/ ContactForm/ default.aspx

    Mr. Elliot Joseph, President and CEO
    ph: 860 545-2100; email: ejoseph@harthosp. org

    Dr. Lenworth Jacobs, Director, Trauma Program/ATOM
    ph: 860-545-3112; fax: 860-545-5132; email: ljacobs@harthosp. org

    Erica Thompson, Coordinator, ATOM program
    ph: 860-545-3766; email: ethomps@harthosp. org

    Liz Pelletier, Animal Research Facility Manager/IACUC member
    ph: 860-545-3164; email: epellet@harthosp. org

    Dr. Laurine Bow, Director, Research Program
    email: lbow@harthosp. org

    ============ ========= ========= ========= ========= ========= ==
    EMAIL BLOCK:
    All emails found. Some contacts have no available email.
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    ejoseph@harthosp. org, ljacobs@harthosp. org, ethomps@harthosp. org,
    epellet@harthosp. org, lbow@harthosp. org

    *Kinship Circlecannot guarantee validity of email addresses. During
    campaigns, recipients may change or disable their email addresses. Emails
    from government, corporate, or institute websites may be incorrect.

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    SAMPLE LETTER --  
    This letter is prepared to inform you about the issue.
    Try to shorten and personalize your letter before sending.
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    Dear Mr. Joseph, Drs. Jacobs and Bow, Ms. Pelletier and Ms. Thompson:

    As an advocate of viable medical research and training, I am dismayed
    Hartford Hospital relies upon old-fashioned animal experimentation for its
    Advanced Trauma Operative Management (ATOM) course.

    I understand Hartford Hospital, in collaboration with the University of
    Connecticut School of Medicine, oversees a 3-hour lab for which students pay
    $1,500 to injure adult pigs. The animals are stabbed in various organs of
    the abdomen and chest, including the bowel, bladder, kidney, diaphragm,
    liver, spleen and heart. Each month, five pigs undergo 14 different
    mutilations. After prolonged confinement, they either die during the drills
    or are destroyed at the end of the session.

    U.S. Department of Agriculture documents show Hartford Hospital regularly
    holds more than 100 pigs for ATOM exercises, along with mice, dogs, guinea
    pigs, rabbits and sheep for use in other experiments.

    Deliberately maiming pigs delays knowledge and squanders the state's
    resources. Experimenters cannot replicate human conditions in animals with
    physiological, cellular, genetic and psychological attributes significantly
    different from our own.

    Please join over 95% of American medical schools that do not use animals in
    surgical training. Most Advanced Trauma Life support courses have discarded
    live animal labs and the American College of Surgeons no longer recommends
    animal experimentation in its curriculum.

    I urge you to use animal-free techniques with human-focused results -- such
    as virtual reality simulators, hands-on physician mentoring, cadavers
    mechanically equipped to pump artificial blood through vessels and emulate
    live human surgery, etc.

    Animal-free research supplies data relevant to humans. It deletes overhead
    to confine, feed, conduct autopsies, and dispose of laboratory animals. A
    New England Journal of Medicine report (2007) highlights the "very detailed
    feedback and...more subtle measurement of trainee performance" surgical
    students gain from use of virtual reality simulators. Furthermore, the
    article summarizes, inanimate models are "safe, reproducible, portable,
    readily available, and...cost-effectiv e."

    Please terminate the use of live animals in surgical courses at Hartford
    Hospital. Animal labs not only numb students to pain and suffering, but also
    dissuade them from evolving with the most credible and proficient
    technologies available. Thank you for your valuable time and consideration.

    Sincerely,

    ============ ========= ========= ========= ========= ========= ==
    SOURCE OF INFORMATION / REFERENCE LINKS
    ============ ========= ========= ========= ========= ========= ==

    HartfordHospital is hell for animals
       
    http://www.uchckill smonkeys. com/harthosp. html
    Justin Goodman, CONNECTICUT FOR ANIMALS
       
    http://connecticutf oranimals. blogspot. com
        
    http://www.uchckill smonkeys. com
        justin_goodman@ sbcglobal. net

    Help us put FACTS in front of people!

    http://www.kinshipcircle.org/

    • Distribute mass quantities at conferences and exhibits nationwide.
    • Send you hard copies, upon request, for tabling, leafleting, demos, presentations. ..

    http://www.kinshipc ircle.org/ fact_sheets/ MODSacrificOneWo ntSaveOther. pdf 
    http://www.kinshipc ircle.org/ fact_sheets/ VivisectiLessonF utilityPH. pdf
    http://www.kinshipc ircle.org/ fact_sheets/ DyingForKibble. pdf

    60 FREE DOWNLOADS / GET YOUR FACTS SHEETS NOW:
    http://www.kinshipc ircle.org/ fact_sheets/

    KINSHIP CIRCLE
    Action Campaigns I Literature I Animal Disaster Aid Networking
    info@kinshipcircle. org or kinshipcircle@ accessus. net
    http://www.KinshipC ircle.org * http://www.kinshipc ircle.org/ disasters/

  • Montreur d’ours à la fête médiévale du Pic Saint Loup le 3 mai 2008

    795679418.jpg

    Le montreur d’ours Frédéric CHESNEAU sera présent avec l’ourse Julia lors de la fête médiévale du pic Saint Loup organisée par la communauté de communes du pic Saint Loup aux Matelles, le samedi 3 mai 2008.

    AVES FRANCE dénonce une nouvelle fois ces spectacles de dressage des animaux sauvages.

    L’ourse Julia, vedette de la télévision et des reportages émouvants sur le montreur d’ours Frédéric Chesneau, est une nouvelle fois sur les routes. AVES FRANCE souhaite à nouveau dénoncer les spectacles de montreurs d’ours, qui encouragent certains zoos à fournir des animaux de scène.

    Car si l’ourse Julia est considérée comme « bien traitée » par la presse, il faut rappeler que lors de ses déplacements, l’ourse est confinée dans sa cage en attendant de se donner en spectacle.

    Le samedi 3 mai, ses prestations auront lieu à 14h et à 16h ; un « numéro mêlant émotion et humour autour du dressage de Julia, Ours Brun adulte d’environ 200 kg » assure le programme de la fête médiévale.

    Nous vous invitons à alerter les organisateurs sur le sort de ces animaux captifs et à télécharger le manifeste contre les spectacles de montreurs d’ours, signé par un collectif d’associations de protection animale.

    Lettre-type à envoyer à : mairie.matelles@wanadoo.fr et info@ccpsl.com

    "Monsieur le Maire, Mesdames et Messieurs les organisateurs,

    J’ai appris qu’un montreur d’ours serait présent lors de la fête médiévale qui se tiendra le samedi 3 mai aux Matelles.

    Coupé de son milieu naturel, soumis à un dresseur, contraint d’exécuter des tours stupides pour divertir... l’ours n’est pas un animal de foire. Ce n’est pas ainsi que sera donné aux enfants le goût d’agir et de protéger les ours, de respecter l’environnement dans lequel ils vivent.

    Les associations ont réussi à mettre un terme au dressage des ours dans des pays comme la Bulgarie où les montreurs d’ours étaient pourtant nombreux et dans la pure tradition du pays, comment accepter qu’en Europe, cette activité puisse encore se poursuivre ?

    Même si ces animaux ont, pour la majorité d’entre eux, toujours été captifs, cela ne retire rien au calvaire de leurs vies sur les routes, dans de minuscules cages, pour finir exhibés devant le public, craint de nature.

    Même si ces spectacles sont légaux et que les montreurs d’ours possèdent des autorisations, vous devez reconnaître que l’ours n’est pas un animal de foire et qu’il n’a rien à faire dans une fête de village, au milieu de la foule.

    AVES FRANCE et les sympathisants de la cause des animaux sauvages vous demandent, Monsieur le Maire, Mesdames et Messieurs les organisateurs, de faire annuler la venue de ce montreur d’ours.

    Nous vous remercions par avance de votre compréhension et de votre soutien."

    Téléchargez le manifeste contre les montreurs d’ours

    Christophe CORET

    Président de l’association AVES France - Maison des associations - 11 avenue Pasteur -BL n°23 - 76000 ROUEN - Tél. : 02.76.00.82.68 - 06.28.08.23.46 - contact@aves.asso.fr

  • Espagne : le calvaire des lévriers galgos

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    Pétition pour que cesse le calvaire des lévriers espagnols : http://www.thepetitionsite.com/1/il-faut-sauver-les-galgos 

    Pendus, brûlés vifs, jetés au fond d'un puits, traînés à mort par une voiture... En Espagne, le sort des lévriers utilisés pour la chasse relève du film d'horreur. Des actes barbares qui se multiplient alors que la saison de la chasse se termine.

    Comme le Portugal, l'Espagne n'a pas prohibé cette tradition moyenâgeuse où les galgos (les lévriers) sont utilisés pour tuer les lièvres. Si ces chiens ratent leur proie, les pires châtiments les attendent de la part de propriétaires.

    Outre-Pyrénées, entre 8 000 et 10 000 lévriers seraient victimes de cette cruauté, selon l'association Passion lévriers (www.passionlevriers.com). Ceux qui échappent aux sévices sont le plus souvent abandonnés, ou finissent par mourir d'inanition.

    Une partie est récupérée par des refuges. Mais, là encore, rien n'est gagné : « Des Gitans en volent des quantités, qu'ils revendent », affirme l'association.

    Quant aux lévriers qui atterrissent dans un chenil, la plupart sont euthanasiés au bout de trois semaines, cette race de chiens n'étant guère prisée hors du monde de la chasse...

    François Musseau (à Madrid)

    http://www.lepoint.fr/actualites-societe/l-horreur-espagnole/920/0/242014

  • Antidote Europe : "Justice pour notre santé !"

    http://www.greyhoundaction.org.uk/photos/australia/vivisection3.jpg

    Antidote Europe a déposé une plainte auprès du Médiateur européen. Un résumé de cette plainte est disponible ci-dessous.

    Si vous êtes responsable d'une association et souhaitez, vous aussi, apporter un soutien moral à cette action, copiez le résumé ci-dessous sur votre papier à en-tête, complétez, imprimez, signez et envoyez-nous ce courrier à : Antidote Europe - 25 rue Jacques Callot - 66000 Perpignan.

    Déjà, 122 associations ont signé le courrier de soutien ci-dessous ; 12 pays sont représentés : 10 pays européens, ainsi que le Canada et les Philippines ; plus de 1 million de citoyens européens sont représentés

    Un grand merci à toutes les associations signataires (voir liste sur http://www.antidote-europe.org/plainte_fr.htm) !

    Plainte pour mauvaise administration de l'action européenne par la Commission déposée par Antidote Europe auprès de Monsieur le Médiateur européen.

    La plainte porte sur le projet européen "PL037712 Carcinogenomics" visant "au développement d'un crible in vitro de carcinogénicité basé sur la génomique", d'un coût estimé à 10.440.000 euros et d'une durée estimée des travaux de 5 années.

    La plainte démontre que la Commission européenne (CE) n'aurait pas dû lancer ce projet car la méthode qu'il vise à développer est déjà connue et mise en oeuvre dans les milieux scientifiques, fait connu de la CE, suite notamment aux différents courriers qu'Antidote Europe lui a envoyés (y compris une lettre signée par 140 associations européennes), ainsi qu'à l'entretien intervenu entre des scientifiques d'Antidote Europe et du Centre européen pour la validation des méthodes alternatives (ECVAM), à Ispra, au siège de cet organisme sous tutelle de la CE.

    Le lancement du projet "PL037712 Carcinogenomics" est donc de nature à retarder la mise en oeuvre d'une méthode fiable, rapide, peu coûteuse et d'ores et déjà disponible.

    La plainte démontre les avantages de la "toxicogénomique à haut débit" développée par Antidote Europe et particulièrement adaptée aux exigences du règlement REACH qui en a reconnu la pertinence.

    De là, ses auteurs demandent au Médiateur qu'il constate la mauvaise action de la CE qui aurait dû :

    - demander à ECVAM de reconnaître la pertinence de la toxicogénomique en tant que méthode alternative à l'expérimentation animale et la valider en priorité au niveau européen ;

    - imposer l'emploi de la toxicogénomique afin d'effectuer un premier criblage de la cancérogénicité et de la toxicité des substances chimiques.

    Le principe de précaution, le respect de la santé publique, ainsi que la directive 86/609/CEE seraient ainsi respectés, contrairement à la situation actuelle.

    En effet, plus de 100.000 substances chimiques sont aujourd'hui présentes dans notre environnement et désignées comme les principaux responsables de l'augmentation des cas de cancers, maladies neurologiques, stérilité et malformations foetales, etc., sans qu'il y ait, pourtant, une évaluation fiable du rôle de chaque substance dans ces pathologies.

    REACH vise à évaluer précisément ce rôle et donc à retirer du marché les substances les plus dangereuses. Or, les tests préconisés, à savoir ceux sur animaux, ne peuvent atteindre cet objectif dès lors qu'il est prouvé qu'aucune espèce animale n'est le modèle biologique de l'homme.

    Le directeur d'ECVAM a, d'ailleurs, critiqué publiquement les tests de toxicologie sur des animaux et l'Académie des Sciences états-unienne, de son côté, estime que "les systèmes cellulaires humains ont le potentiel pour largement supplanter les tests sur les animaux."

    Des articles du Traité CE, de la directive 86/609/CEE et du règlement REACH sont ainsi bafoués puisque la CE n'a pas pris les mesures qui permettraient de tester la cancérogénicité de substances (et plus généralement leur toxicité) selon la méthode de la toxicogénomique dont la fiabilité et la pertinence ont été démontrées (par Antidote Europe) et admises (par le Parlement européen).

    En conclusion, je, soussigné, M./Mme X, représentant l'association X, soutiens moralement la plainte préparée par Antidote Europe pour dépôt auprès du Médiateur européen contre le projet européen "PL037712 Carcinogenomics".

    Date et signature.

    * Contact média : Claude Reiss - 04 76 36 35 87 ou 04 68 80 53 32) - http://www.antidote-europe.org *

    http://www.antidote-europe.org/plainte_fr.htm