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Libération animale - Page 19

  • Réaction d'un aficionado dans les rues de Nîmes à la vue d'un stand de tractage anti-corrida tenu par des femmes non-violentes et pacifiques

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    Réaction d'un aficionado dans les rues de Nîmes à la vue d'un stand de tractage anti-corrida tenu pas des  femmes non violentes et pacifiques.

    On remarquera son incontournable et belliqueux : "Vous n'avez pas de couilles !".

    Ah, nous y voilà donc, au coeur du sujet !

    Toujours le même avec les hommes de ce très bas modèle de série.

    Au fait, comment tout cela a-t-il commencé ?

    "Le gars en question a foncé sur une militante avec son vélo, son sac a main s'est cassé, elle a lâché sa pancarte.

    La femme de ce monsieur a pris la pancarte et a tapé sur la tête de la militante.

    J’étais tellement étonnée par cette violence que je n'ai pas pensé à filmer tout de suite !"

    https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=N0-sxJLdKdE

  • Ces apprentis James Bond qui espionnent la gauche et les écologistes

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    Mouvements écologistes et anticapitalistes sont surveillés de près par les polices européennes. Et tous les moyens sont bons, y compris l’infiltration. Vol d’identités d’enfants décédés, relations sexuelles avec leurs « cibles »… Au Royaume-Uni, les infiltrés et leurs supérieurs ne reculent devant aucun cynisme. Certains policiers ont même eu des enfants avec les militants qu’ils espionnent. Décryptage de ces détestables pratiques qui font l’objet de virulentes critiques, et échappent à tout contrôle parlementaire ou judiciaire.

    Leurs défenseurs les comparent à des sortes de James Bond, qui fréquenteraient squats et lieux autogérés plutôt que des casinos huppés, qui participeraient à des « camps climat » ou à des actions de résistances passives plutôt qu’à de spectaculaires courses-poursuites. Ces espions au service de sa majesté, ce sont les policiers infiltrés au sein des mouvements écologistes ou anticapitalistes. Ces méthodes d’infiltration font l’objet de virulentes critiques au Royaume-Uni, depuis qu’elles ont été révélées par l’affaire Mark Kennedy. Ce policier s’est infiltré entre 2003 et 2010 au sein de groupes de la gauche radicale européenne, dont le collectif militant de Tarnac, avant d’être démasqué. Les informations transmises par Kennedy ont notamment été utilisées par la DCRI (Direction centrale du renseignement intérieur) pour monter son dossier contre « les neuf de Tarnac ». Depuis, les affaires impliquant des infiltrés se sont multipliées.

    Leurs noms sont révélés au gré de scandales, de procès ou de plaintes qui défraient la chronique outre-Manche : Lynn Watson, une agent de police basée à Leeds, a infiltré plusieurs groupes écologistes, anticapitalistes et pacifistes entre 2003 et 2008. Simon Wellings demeure quatre ans au sein du réseau anticapitaliste Globalise Resistance, avant de se griller par un coup de fil accidentel alors qu’il transmet infos et photos dans un commissariat. Jim Sutton, infiltré au sein du mouvement Reclaim the Streets – un mouvement de réappropriation de l’espace public – à la fin des années 90, finit par avouer qu’il est policier à sa compagne militante… avec qui il a eu deux enfants ! Le couple divorce en 2009. Bob Robinson (ou Bob Lambert) et John Baker intègrent Greenpeace dans les années 80 et 90. Tous deux ont des relations amoureuses durables avec une de leurs « cibles »… Une version « réalité » de James Bond, où la subversion anticapitaliste et écologiste est combattue avec les mêmes moyens que ceux utilisés pour démanteler un réseau terroriste ou de trafic de drogue.

    Un service très spécial

    Le Royaume-Uni dispose d’une solide expérience en matière d’infiltrations des milieux activistes, pacifistes, écologistes ou anarchistes : 40 ans exactement. Tout commence en 1968. En pleine période de contestation et de manifs contre la guerre du Vietnam naît le « SDS » (Special Demonstration Squad), un « Service spécial des manifestations ». Il sera dissous en 2008. Ses pratiques font désormais l’objet de demandes d’investigations de la part de parlementaires et d’avocats après une succession de révélations plus détestables les unes que les autres.

    « Quelles sont les critères pour autoriser une infiltration ? Construire une relation avec des « cibles », y compris avoir des enfants avec elles, fait-il partie des politiques officielles de l’État ? Dans quelle mesure ces opérations d’infiltration sont-elles coordonnées au niveau européen ? », interroge le centre de recherche indépendant Statewatch, basé à Londres, qui regroupe avocats, chercheurs ou journalistes travaillant sur la question des libertés publiques [1].

    Quand l’État vole les identités d’enfants décédés

    En février, le quotidien The Guardian révèle que, pour mener à bien ses infiltrations, la police britannique « a volé les identités d’environ 80 enfants décédés pour établir des faux passeports à leurs noms » [2]. A l’exemple de « Peter Daley », infiltré au sein de mouvements antiracistes dans les années 90, qui utilise comme couverture l’identité d’un enfant de quatre ans mort de leucémie. Le vol de l’identité et du certificat de naissance facilitait l’élaboration de couvertures crédibles.

    Le procédé, dévoilé sur la place publique, est qualifié de « macabre », « irrespectueux » et « odieux » par la commission parlementaire chargée de suivre les affaires intérieures [3]. La police britannique assure aujourd’hui que de telles pratiques n’ont plus cours et a lancé une enquête interne. Jusqu’à cet été, ses chefs n’avaient toujours pas daigné entrer en relation avec les familles concernées [4]). James Bond n’est plus un gentleman.

    Des conjointes et épouses abusées

    La recherche des responsables tarde. « Il n’existe pas un fichier poussiéreux rangé quelque part au sein de Scotland Yard qui nous apportera toutes les réponses. Mais plus de 50 000 documents, papier et électronique, que nous devons passer au crible », précise la Commissaire adjointe, Patricia Gallan, en février 2013, auprès des parlementaires membres de la commission d’enquête sur le sujet. Une manière de prévenir : les réponses risquent bien de ne jamais être divulguées. D’autant que les enquêtes resteront internes.

    Une autre affaire se retrouve quasiment classée « secret défense ». En décembre 2011, après les premières révélations sur les policiers espions, huit femmes annoncent poursuivre en justice la police britannique. En cause : l’infiltration de cinq officiers au sein de « groupes promouvant la justice sociale ou environnementale ». Des agents qui, tout en cachant leurs véritables motivations, étaient devenus leurs conjoints. Les relations intimes ont duré entre sept mois et… 9 ans ! Les plaignantes s’appuient sur les articles de la Convention européenne des droits de l’Homme qui protègent la vie privée et familiale, et interdisent des traitements dégradants et inhumains. Mais, début 2013, la Haute Cour stipule que l’affaire sera traitée à huis clos, dans le secret du « Tribunal spécial sur les pouvoirs d’investigation de l’État » (Investigatory Powers Tribunal), chargé de contrôler les activités de surveillance et d’infiltration menées par la police et les services secrets britanniques.

    La jurisprudence James Bond

    Pour justifier le recours à cette législation spéciale, le juge Michael Tugendhat, n’hésite pas à se référer au fameux héros de Ian Fleming : « James Bond est le plus célèbre exemple fictif d’un membre des services de renseignement qui utilise ses relations avec les femmes pour obtenir des informations ou accéder à des personnes et des biens. (…) Ian Fleming ne s’attarde pas sur la manière dont son héros utilise la tromperie, et encore moins sur le préjudice psychologique que ces relations pourraient provoquer. Mais bien que fictif, cet exemple accrédite la vue que les services de renseignement et de police déploient depuis de nombreuses années des hommes et des femmes officiers dans le but de nouer des relations personnelles de nature intime afin d’obtenir des informations. (…) De mon point de vue, chacun, dans sa vie, doit assumer le fait que les services secrets et la police doivent, de temps en temps, déployer des officiers infiltrés, que ce soit à tort ou à raison. » Ces cas de tromperies, de manipulations, de mensonges et d’humiliations, au service de la sécurité de l’État, seront donc traitées en toute discrétion. Grâce à un roman.

    « Nous sommes indignés que la Haute Cour permette à la police (…) de garder le secret de leurs opérations abusives et manipulatrices. En comparaison, la vie privée des citoyens espionnés par la police secrète ne dispose d’aucune protection, ce qui est contraire à tous les principes que nous pourrions attendre d’une société démocratique », ont répondu les huit plaignantes. « Il est inacceptable que des agents de l’État puissent cultiver des relations durables et intimes avec des militants politiques afin de collecter de soi-disant renseignements sur les mouvements politiques. Nous avons l’intention de poursuivre ce combat. » (voir leur site).

    Quand l’infiltration se retourne contre la police

    Même les élus se voient retourner une fin de non-recevoir. Jenny Jones, vice-Présidente de la commission sur la sécurité londonienne, et élue verte de la capitale, a critiqué « l’obstruction délibérée » de la police suite à ses demandes d’informations répétées sur les opérations d’infiltration. Malgré les remous, l’opaque rideau qui recouvre ces barbouzeries ne se déchire pas.

    L’une des opérations d’infiltration menée par Mark Kennedy avait abouti à la plus grande rafle d’activistes écologistes de l’histoire britannique. 114 militants, suspectés de préparer une action contre une très polluante centrale au charbon près de Nottingham, ont été arrêtés préventivement en avril 2009. Parmi eux, 20 activistes sont poursuivis puis condamnés à de courtes peines d’emprisonnement ou des amendes. Ces condamnations sont finalement annulées car l’accusation n’avait pas communiqué l’ensemble de son dossier à la défense… dont les informations recueillies par la taupe. D’autres militants écologistes pourraient faire appel dans des affaires similaires, dont les dossiers à charge sont basés sur les informations de policiers infiltrés.

    L’Europe envahie de taupes

    Ces scandales ne se cantonnent pas au territoire britannique. Ils s’étendent au-delà des frontières du royaume, à l’Europe continentale. Pendant ses sept années d’infiltration au sein de la gauche radicale, Mark Kennedy a ainsi été « déployé » dans onze pays différents, dont la France, lors d’une quarantaine d’évènements militants (rencontres, manifestations…). Ces opérations sont coordonnées au niveau européen par un groupe spécial (European Cooperation Group on Undercover Activities, ECG), créé en 2011. L’ECG regroupe Interpol, plusieurs services de police des États membres de l’Union européenne et du Conseil de l’Europe, dont… la très démocratique Russie. L’ECG fait elle-même partie d’un groupe de travail international (IWG [5]) avec les services états-uniens ou israéliens.

    « Lorsque les forces de police et les services de renseignement s’engagent dans la coopération internationale, le grand perdant est le contrôle parlementaire. L’importance croissante des réseaux de policiers en civil rend cette situation bien plus critique », alerte en 2012 le député de gauche allemand Andrej Hunko. L’affaire des infiltrés britanniques a fait des vagues jusqu’à Berlin. Des députés du Bundestag questionnent à plusieurs reprises le gouvernement d’Angela Merkel sur le niveau d’implication de la police allemande, et des polices européennes, dans ces opérations secrètes. Le ministère de l’Intérieur précise alors qu’il n’autorise pas ses agents, y compris les agents étrangers opérant sur le sol allemand, à avoir et à entretenir des relations sexuelles dans le cadre d’une enquête.

    Les élus n’en apprendront pas beaucoup plus, « pour des raisons de confidentialité. » « L’infiltration des mouvements de gauche européens illustre cette coopération policière menée en l’absence de tout contrôle parlementaire. On ne sait toujours pas sur ordre de qui l’enquêteur infiltré opérait pendant les années de son activité », rappelle Andrej Hunko. En France, les opérations d’infiltration sont censées être réalisées sous le contrôle d’un procureur ou d’un juge d’instruction (voir le Code de procédure pénale). Mais aucun cadre juridique ou démocratique n’existe au niveau européen pour contrôler ces pratiques. Les barbouzes chargés d’espionner les mouvements de contestation ont de beaux jours devant eux.

    Ivan du Roy, avec Statewatch

    Photos : une (Wikimedia Commons), Police Only (CC Leo Reynolds), State Police (CC Julian Kliner)

    http://www.bastamag.net/article3337.html

  • Pourquoi nous devons avoir honte

    https://scontent-b-cdg.xx.fbcdn.net/hphotos-prn1/q71/539155_676167702393332_113278879_n.jpg

    Les animaux nonhumains sont des êtres sentients.

    Ils sont des personnes pourvues de droits fondamentaux que nous leur nions.

    Ils ne sont pas à notre disposition.

    Ils n'existent pas pour notre usage.

    L'exploitation des autres sentients est la plus grande honte du genre humain, son crime le plus vaste et le plus atroce.

    Cette exploitation n'a aucune justification.

    Devenons végans : plus aucun produit d'origine animale dans nos vies.


    "Etre végan n'est pas une question de "mode de vie".
    C'est une question d'obligation morale fondamentale."

    Gary L. Francione

  • Qu'attendez-vous pour passer aux laits végétaux ?

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    « Lors de l'enlèvement d'un veau destiné à l'abattoir, sa mère ayant échappé à la surveillance des fermiers s'est ruée, folle de douleur, vers le camion qui emmenait son petit.

    Cette pauvre mère s'est mise à courir, à courir en beuglant désespérément derrière le camion.

    Au bout d'un long moment, alors qu'elle s'était comme évanouie dans la campagne, les fermiers l'ont retrouvée gisante sur le sol.

    Elle est morte d'un arrêt cardiaque, tant elle avait couru, comme n'importe quelle mère l'aurait fait pour défendre son enfant.

    Ce jour là, j'ai compris que les vaches aiment leurs petits autant que les humains aiment leurs enfants. »

    Nina Ceccarelli

    LES VACHES LAITIERES, LE MARTYRE DES MERES NON-HUMAINES

    Ces 40 dernières années, on a transformé à coup de sélections génétiques, médicaments, hormones et subventions européennes (payées avec nos impôts), de paisibles mammifères ruminants... en véritables MACHINES à lait.

    Une vache peut aujourd’hui produire entre 6.000 et 12.000 litres de lait par an ou 20-40 litres par jour ; c’est 10 fois plus que son ancêtre dans les années 50.

    La moyenne "naturelle" de production de lait d’une vache qui allaite son petit est de maximum 1.000 litres par an.

    C’est à l’âge d’environ 15 mois que commence le cercle infernal : insémination, mise bas, retrait du petit, insémination... car pour produire du lait, une vache comme une femme ou tout autre mammifère, doit d’abord avoir un petit.

    Chaque grossesse dure 9 mois et chaque mise bas se fait systématiquement par césarienne car les sélections génétiques ont créé des veaux devenus trop larges pour passer par le canal naturel de mise bas.

    Le petit veau est séparé de sa mère dans les 24 heures après la mise bas, ce qui procure angoisse et désarroi pour la vache autant que pour le petit.

    Des études ont démontré que le deuil de la séparation dure des semaines entières, tandis que la vache totalement désorientée, pleure et cherche son petit.

    Trois mois après la naissance de son premier veau, la vache est à nouveau inséminée.

    Ce qui signifie qu’elle a constamment les mamelles pleines correspondant à une charge de plus de 50 kg.

    À force de pousser l’animal au-delà de sa limite biologique, la vache est devenue anormalement difforme (bassin et pis hypertrophiés), ce qui engendre douleurs, boitements, infections mammaires entre autres maladies traitées à coup d’antibiotiques.

    Le petit veau finira en pâté pour chien et chat s’il est conduit à l’abattoir dès qu’il est retiré de sa mère.

    La présure, substance provenant de son estomac, sera alors extraite pour servir à la fabrication des FROMAGES.

    Ou bien, il passera 5 longs mois, enfermé dans l’étroitesse d’une caisse en bois, totalement isolé de ses congénères, où il n’aura pas même la place de se retourner.

    L’industrie laitière fait intégralement partie de l’industrie bouchère : la viande de veau et la fabrication des fromages grâce à la présure extraite de son intestin en sont la démonstration : 70 % de la viande de bœuf provient des vaches laitières.

    En résumé, prétendre qu’une vache élevée pour sa viande souffre plus ou soit moralement moins acceptable qu’une vache élevée pour son lait est tout simplement ABSURDE.

    Il en est de même pour leur impact sur la planète et sur la santé humaine.

    http://www.lepost.fr/article/2009/12/11/1836299_d-ou-vient-le-lait.html

    http://www.lait-vache.info/

  • La citation du jour : Charles R. Magel

    http://www.quizz.biz/uploads/quizz/231771/12_qa82w.jpg

    "Demandez aux chercheurs pourquoi ils expérimentent sur les animaux et leur réponse est : parce que les animaux sont comme nous.

    Demandez aux chercheurs pourquoi c'est moralement acceptable d'expérimenter sur des animaux et leur réponse est : parce que les animaux ne sont pas comme nous.

    L'expérimentation animale repose sur une contradiction logique."

    Charles R. Magel

  • Test de cohérence

    http://wonderlouloute.perso.neuf.fr/les_dauphins/images/mamanbebe.jpg

    Un VOTE est organisé ici : http://www.dailykos.com/story/2013/07/30/1226634/-India-Declares-Dolphins-Non-Human-Persons-Dolphin-shows-BANNED#comments

    Il s'agit de dire quels animaux (en dehors des dauphins récemment reconnus par l'Inde comme "personnes nonhumaines") l'on juge être aussi des "personnes nonhumaines".

    Tous les "amis des animaux" seront tentés de voter "All animals" (réponse qui remporte d'ailleurs la majorité des voix).

    De fait, TOUS les animaux sentients sont des personnes.

    Mais si l'on reconnaît qu'ils sont en effet des personnes, alors nécessairement on devient végan, car des personnes ni ne se mangent ni ne s'exploitent ni ne se consomment sous quelque forme que ce soit.

    Eh oui... La reconnaissance du fait que les animaux sentients nonhumains SONT des personnes passe nécessairement par l'adoption du véganisme.

    C'est à ce test de cohérence qu'on reconnaît les (rares) vrais amis des animaux de la masse des hypocrites et des lâches.

  • L'Europe envisage d'interdire la liberté de déplacement de certains militants

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    La presse allemande vient de révéler une étude commandée par l'Union Européenne : celle-ci voudrait dans les années à venir interdire le déplacement sur le territoire européen des militants et activistes de la cause animale.

    L'Europe est donc en train de préparer une loi qui interdira le déplacement sur le sol européen des militants de la cause animale et ce dans le but d'empêcher le développement d'une internationale européenne de la cause animale.

    Cette étude, dont certains extraits viennent d'être publiés dans la presse allemande, exprime parfaitement bien ce que les militants de la cause animale représentent pour les institutions européennes : des activistes qualifiés de " criminels itinérants" !

    Défendre les droits des animaux est donc perçu par l'UE comme une action criminelle que la loi doit punir pour éviter sa prolifération.

    Cette expression de "criminels itinérants" est explicitement  utilisée dans cette étude qui annonce le pire en matière de répression à l'encontre des militants des droits des animaux.

    L'UE va donc dans les années à venir criminaliser le mouvement de défense des animaux en se servant de tous les moyens répressifs dont elle dispose au risque de mettre en question les libertés individuelles et publiques et ce dans le but de privilégier et défendre par tous les moyens les intérêts économiques des entreprises qui exploitent et qui vivent de cette exploitation scandaleuse des animaux.

    L'UE prend donc partie clairement pour ceux qui se servent des animaux comme biens économiques et donc se range du côté du capitalisme le plus violent.

    C'est la démocratie elle-même qui sera mise en question avec une telle loi qui interdira tout rassemblement visant à dénoncer telle ou telle entreprise ou institution violant ouvertement les intérêts des animaux et leurs droits à ne pas être maltraités et exploités.

    L'Europe est donc en train de tuer l'idée même de démocratie et de liberté d'expression qui constituaient l'une de ses fiertés.

    Nous savons maintenant que les grandes institutions, nationales et internationales,  à savoir les institutions politiques , judiciaires, scientifiques et économiques sont les principaux obstacles à un réel changement dans la domaine des droits des animaux, ce projet de loi le prouve amplement et nous devons dénoncer le fait que l'Europe, de moins en moins démocratique, envisage dans le secret  cette restriction inadmissible des libertés individuelles, publiques et de la liberté d'expression.

    Les militants de la cause animale, qui font donc peur à l'Europe manifestement, sont et seront de plus en plus surveillés, dénonçons cette surveillance indigne d'Etats démocratiques.  

    C'est la démocratie qui est en danger avec ce projet de loi qui vise à interdire notre liberté de déplacement sur le territoire européen.

    Notre liberté d'expression sans laquelle la cause animale n'aurait aucune possibilité d'avancer et de faire bouger les lignes de résistance de tous les exploiteurs d'animaux.

    http://blogs.mediapart.fr/edition/delices-et-saveurs-vegetarliennes/article/060913/leurope-envisage-dinterdire-la-liberte-de-deplacement-de-certains

  • Consommer des produits laitiers, c'est collaborer au pire

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    Vidéo : http://www.unleashed.org.au/chocolate-challenge

    Tous ceux qui consomment des produits laitiers sont complices du pire.

    Tournons le dos à l'esclavage, à la torture et à la mort : choisissons les laits végétaux.

    Soja, noisette, riz, amande, coco... Ils sont nombreux, délicieux.

    http://www.veganisme.fr/Un%20Monde%20Vegan/Mythelait.html

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    Si vous n’êtes pas végan, devenez-le s’il vous plaît. Le véganisme est une question de non-violence. C’est d’abord une question de non-violence envers les autres êtres sentients. Mais c’est aussi une question de non-violence envers la terre et envers vous-même.

    Le Monde est végan ! Si vous le voulez.

    Gary L. Francione
    Professeur, Rutgers University

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    Si vous n’êtes pas végan, devenez-le s’il vous plaît. Le véganisme est une question de non-violence. C’est d’abord une question de non-violence envers les autres êtres sentients. Mais c’est aussi une question de non-violence envers la terre et envers vous-même.

    Le Monde est végan ! Si vous le voulez.

    Gary L. Francione
    Professeur, Rutgers University

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