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Libération animale - Page 80

  • Douanes : les manteaux étaient en peaux de chiens

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    Quelque 4.000 articles aux cols de fourrure de chien et de chat ont été saisis par les douaniers à Paris dans un entrepôt de vêtements importés de Chine.

    Leur introduction est interdite en France.

    Amélie GAUTIER

    C'est l'odeur qui leur a mis la puce à l'oreille.

    Le mois dernier, les agents des douanes ont saisi 4034 vestes, blousons et manteaux fabriqués avec des peaux de chiens et de chats.

    L'opération remonte au 10 octobre lors d'un contrôle dans Paris, d'un entrepôt de vêtements importés de Chine.

    Les agents sont alertés par les forts effluves animaux qui se dégagent des cols de fourrures.

    Or, ceux-ci sont déclarés comme étant fabriqués en poils synthétiques. Des analyses s'imposent.

    Résultat : les fourrures sont bien réelles. Pire, elles proviennent de chiens et de chats.

    Le Muséum National d'Histoire naturelle confirme l'origine des peaux.

    Et de préciser que les bêtes dépecées appartiennent à la race des viverrins.

    Originaire d'Asie, le canidé ressemble à un raton laveur ; le félin, espèce qui se rencontre aussi généralement en Asie ressemble, pour les non experts, à un lynx aux oreilles minuscules.

    L'histoire est tel un remake des 101 dalmatiens, la fin heureuse en moins pour les bêtes.

    Dans leur communiqué, les douanes rappellent que l'introduction, l'importation et la commercialisation de peaux brutes ou traitées de chiens et de chats tout comme des produits qui en sont issus sont interdites en France depuis 2006.

    Des dispositions complétées en 2007 par Bruxelles avec un règlement visant à assurer la protection des animaux en interdisant le commerce, y compris l'importation et l'exportation, de fourrures de chat ou de chien.

    Cruella est prévenue.

    http://tf1.lci.fr/infos/tag/chien/chien-1.html

  • Dimanche 16 novembre à Paris : sauvons les singes népalais

    http://87.98.222.182/0/45/82/04/animaux/macaque.jpg

    Réservez votre dimanche après-midi pour les singes népalais !

    Rassemblement et stand d'info de 14h à 17h sur la place des Libertés et des Droits de l'Homme (métro Trocadero).

    Vous pouvez apporter affiches et photos de macaques, masques et chaînes pour symboliser l'emprisonnement.

    Faites circuler cette annonce...

    Merci et à dimanche !

    L'histoire :

    Au printemps 2008, l'existence d'un élevage clandestin de macaques, appartenant à des chercheurs américains, à été découvert au Népal.

    Les premières générations ont été prélevées dans la nature et plus de 260 singes sont actuellement en cage dans l’attente d’être exportés vers les États-Unis (vidéo sur http://www.gatewaytohell.net).

    Ces singes ne seront pas utilisés dans les expériences mais serviront à rafraîchir les colonies d’élevage existantes.

    Leur progéniture sera vendue à des laboratoires à travers le monde.

    Un premier lot de singes devait être exporté vers les États-Unis en septembre 2008 mais la campagne internationale avait fait pression sur le Népal, qui vit du tourisme : manifestations devant ambassades et consulats du Népal à travers le monde, conférences de presse, stands d'information dans les rues, projections de films, cyber-actions...

    Le 21 août, le « Ministry of Forest & Soil Conservation » a confirmé par écrit l'interdiction d'exporter des singes destinés à l'expérimentation animale.

    L'étape suivante était de demander la réhabilitation puis la libération des singes emprisonnés mais la pression est grande de la part des Américains et il semblerait que le gouvernement népalais est finalement prêt à accorder une dérogation pour ces singes !

    Ce que vous pouvez faire : contactez l’ambassade du Népal en France pour exprimer poliment votre inquiétude vis à vis des exportations de singes et les encourager à les arrêter avant qu’elles ne commencent.

    Ambassade du Népal, 45bis rue des Acacias, 75017 Paris, France
    Tél. : 01.46.22.48.67 / Fax : 01.42.27.08.65 / E-mail :
    nepalinparis@noos.fr

    Site internet CAV : www.cav.asso.fr

    Forum CAV : www.cav.leforum.eu

    Site de la campagne internationale : http://www.gatewaytohell.net

  • Pour l’abolition du gavage des oies et des canards

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    [Paris] Stand d'information contre le foie gras le samedi 22 novembre 2008

    L214 et CLEDA organisent une série de stands d'information.

    Les deux premiers se sont déroulés avec succès (voir compte-rendu du 1er :

    http://florent.ourth.free.fr/animaux/2008-10-25-Stand-anti-foie-gras-L214-CLEDA-Paris/ et http://cleda.over-blog.com/article-24347284.html)

    Le second aura lieu le samedi 22 novembre.

    Les suivants :

    - Dimanche 7 décembre 2008,
    - Samedi 20 décembre 2008.

    De 14 h 30 à 18 h, sur la place Joachim du Bellay (Fontaine des Innocents au Forum des Halles), à l'angle des rues St-Denis et Berger dans le 1er arrondissement de Paris.

    Merci de nous contacter (par mail ou téléphone) afin d’avoir confirmation des dates et du lieu.

    Venez nombreuses et nombreux et n'hésitez pas à faire circuler l'information.

    Contacts :

    CLEDA : http://cleda.over-blog.com -  cleda (a) no-log.org - 09 50 20 18 99
    L 214 :
    http://www.l214.com - 06 82 79 91 41

    - Campagne de L214 sur le foie gras : http://www.stopgavage.com/

    - Article sur le foie gras paru sur le site de CLEDA : http://cleda.over-blog.com/article-13894515.html

    - Signer le manifeste pour l'abolition du foie gras : http://www.stopgavage.com/manifeste.php

    - Vidéos : http://www.stopgavage.com/videos.php

    - Matériel militant (affiches, tract, brochure, DVD...) : http://www.stopgavage.com/materiel.php

    - Semaine d'actions collectives pour l'aboliton du foie gras (du 13 au 20 décembre) : http://www.stopgavage.com/actu-semaine-action-foie-gras.php

  • Armand Farrachi, "Chasse à courre, la loi du saigneur" (Libération)

    http://taomugaia.blog.lemonde.fr/files/2007/11/43792d2f249b6b5bad1101f968ab19.1194264073.jpg

    Armand Farrachi est écrivain, responsable du Collectif pour l’Abolition de la chasse à courre (http://www.abolitionchasseacourre.org/)

    La chasse à courre, tout le monde sait cela, consiste à poursuivre à cheval et avec des chiens, un animal sauvage, principalement un cerf, jusqu’à l’épuisement, puis à le poignarder, à le noyer ou à lui briser les jambes s’il n’a pas été déchiqueté par la meute, avant de le « servir », c’est-à-dire de l’égorger.

    Cette violence inouïe, qui révoltait déjà Montaigne, n’est justifiée que par le plaisir de ceux qui s’y livrent, et par une « tradition » d’Ancien Régime disparue à la Révolution mais réactualisée par Napoléon.

    La plupart des pays européens (Belgique, Ecosse, Grande-Bretagne, Allemagne…) y ont renoncé. Pas la France.

    Les veneurs interdits de chasse chez eux se réfugient donc chez nous, où le nombre d’équipages augmente de façon démesurée (une vingtaine par an), alors que les espaces continuent d’être « aménagés » de façon galopante.

    Résultat : l’année dernière, un cerf s’est réfugié chez des particuliers en passant par la baie vitrée, en lisière de forêt de Perseigne.

    Il a été égorgé dans le salon, entre le canapé et la télévision.

    Cette année, à Avilly-Saint-Léonard, près de Senlis, un animal épuisé a cru trouver refuge dans un village, où il a été « servi » sur le trottoir devant une population horrifiée.

    Le maire a porté plainte.

    A Lacroix-Saint-Ouen, la meute a déboulé dans la rue.

    Récemment, à Lamorlaye, encore dans l’Oise, un cerf s’est retrouvé sur le parking d’un supermarché à une heure d’affluence.

    Celui-là, « gracié », a cependant été retrouvé mort.

    Fréquemment des animaux affolés surgissent dans la circulation.

    D’autres incidents ont eu lieu, parfois jusque dans une cour d’école, entraînant au tribunal veneurs irresponsables ou opposants rebelles.

    Sur le terrain, les conflits se multiplient.

    Des interpositions ont lieu en forêt, des protestations s’élèvent dans les villages.

    En Grande-Bretagne, certains, officiellement privés de renards, se livrent maintenant à une chasse à l’homme façon comte Zaroff, avec des coureurs que cette poursuite amuse (et qui, précisons-le quand même, ne font pas l’objet d’une curée lorsqu’ils sont rattrapés, du moins pas encore).

    Mais dans quelles situations proprement surréalistes sommes-nous donc propulsés ?

    Quel enjeu capital (à part la location des forêts par l’ONF) peut bien justifier une pratique anachronique, aussi absurde que cruelle ?

    Les veneurs font valoir qu’ils tuent moins d’animaux que les chasseurs à pied, comme si le nombre faisait quelque chose à l’affaire.

    Que le Texas exécute moins de condamnés que la Chine justifie-t-il qu’on y maintienne la peine de mort ?

    En bonne logique, dans une République, un divertissement royal pratiqué à grand prix par 0,01 % des Français et condamné par 73 % de la population (1), rendu presque impossible par l’évolution des espaces et aussi de la sensibilité, aurait dû disparaître de lui-même.

    Mais nous sommes en France, où le lobby chasse trône au pouvoir.

    Alain Bombard, ministre de l’Environnement d’un gouvernement qu’il croyait populaire et qui voulut naïvement interdire la chasse à courre, dut démissionner illico.

    En juillet 2005, quinze députés de toutes tendances ont déposé un projet de loi abolitionniste qui n’a pas été plus débattu que les précédents.

    Ce n’était que la troisième tentative législative.

    Les gouvernements successifs sont sourds à tout argument, aveugles aux pétitions.

    La question est taboue.

    Au ministère, (en tant que responsable du Collectif pour l’Abolition de la chasse à courre j’en sais quelque chose) on répond qu’« en l’absence de volonté politique il sera difficile de faire avancer le dossier ».

    Mieux encore : au printemps dernier, le sénateur Poniatowski a proposé la création d’un nouveau délit d’« entrave à la chasse » pour les opposants !

    En période électorale, les partis se disent prêts à changer presque tout. Mais cela, qui le changera ?

    Jusqu’où ira-t-on avant qu’on comprenne enfin que la chasse à courre n’a pas plus de raison de subsister chez nous que chez nos voisins ?

    A quand la curée Place Beauvau ?

    Faudra-t-il voir des cerfs poursuivis dans les couloirs du métro ou noyés dans la Seine avant que les pouvoirs publics réagissent, admettent que les temps ont changé, notre rapport aux animaux aussi, et qu’après avoir séparé l’Eglise de l’Etat, il est temps, grand temps de séparer aussi la chasse de l’Etat, de laisser les cerfs dans leurs forêts et les « piqueurs » dans leur musée sanglant, pour signifier que le temps des saigneurs est, on l’espère, à jamais révolu ?

    (1) Sondage Sofres réalisé en mars 2005 à la demande de la fondation Brigitte-Bardot.

    Dernier ouvrage paru : L’Adieu au tigre, Ed. Imho.

    http://www.liberation.fr/societe/0101221317-chasse-a-courre-la-loi-du-saigneur

  • Espagne : terre de torture / Spain : land of torture

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    CORRIDAS ET "FÊTES POPULAIRES" EN ESPAGNE : l'humanité sous son vrai jour ?...

    I. CORRIDAS :

    ÉCOLES DE TAUROMACHIE – “ L’ART ” DE TORTURER ET DE TUER

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    En Espagne, selon les chiffres du Ministère de l’Interieur, il existe 43 “écoles” taurines.

    Toutes ces écoles qui enseignent "l’art" de torturer et tuer sont subventionnées pour les Comunités Autónomiques, mairies, etc.

    Par exemple, la région d'Andalousie possède 22 "écoles" de tauromachie, et en 2007 le gouvernement andalou a donné 300.000 euros pour ces écoles de torture.

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    Les enfants entament tôt l’apprentissage et l’âge pour fréquenter ces écoles varie : 9 ans à Valence, 12 à Madrid.

    Aux élèves est donné tout le matériel pour toréer. Ils se rendent également chez les éleveurs de taureaux « de combat » pour tientas et participent à des classes pratiques.

    Les classes pratiques consistent à apprendre le maniement des banderilles, l'estocade, etc.

    Si nous ajoutons à la cruauté inhérente au « spectacle » tauromachique, l’exécution de ces pratiques par des enfants ajoute encore à la barbarie de ces classes.

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    L’ âge pour toréer en Espagne est de 16 ans, et beaucoup d’enfants se rendent par conséquent à Mexico avec leurs parents afin de pouvoir participer à de tels « spectacles », puisqu'il n'y a là-bas pas de limite d’âge.

    Etablir une liste de toutes les villes espagnoles concernées par ces horreurs est difficile : il serait plus aisé de dresser celle des villes qui n'organisent pas de corridas.

    Aussi est-il préférable que vous envoyiez vos lettres de protestation au Premier Ministre ainsi qu'au Ministre de l'Intérieur qui sont en charge des corridas en Espagne.

    Presidente del Gobierno
    D.Rodriguez Zapatero
    Complejo de La Moncloa
    28071 Madrid
    Spain
    Email:
    jlrzapatero@presidencia.gob.es

    Ministerio del Interior
    Pº de la Castellana, 5
    28071 Madrid
    Spain
    Fax + 34 915371177
    Email:
    estafeta@mir.es

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    Photo © Associated Press

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    Photo © Associated Press

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    Photo © Associated Press

    II. "FÊTES POPULAIRES"

    L'Espagne a aussi ses « fêtes populaires » (« fiestas populares ») qui sont en réalité autant de tortures et de massacres d'animaux.

    La plupart de ces fêtes sont sanglantes et terribles.

    En voici la description, ainsi que les adresses des autorités locales concernées :

    1) TORDESILLAS -"El toro de la Vega" (Le taureau de la Vega)

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    Un taureau est persécuté dans toute la ville par de nombreux hommes à cheval et à pied qui le chassent avec des lances pareilles à celles utilisées dans les combats médiévaux.

    Le taureau est la cible. Les lances sont jetées sur le pauvre animal jusqu'à ce que mort s'ensuive.

    En général, ses testicules sont coupées alors qu'il est encore vivant.

    Ayuntamiento de Tordesillas
    Plaza Mayor,1 Centralita
    47100 Tordesillas
    Valladolid
    Spain
    Fax: +33 983796076
    Email:
    ayto.tordesillas@dip-valladolid.es

    Turismo
    Casas del Tratado
    47100 Tordesillas
    Valadolid
    España

    Turismo de Castilla y Leon
    C/Alcala, 79
    28009 Madrid
    España
    Fax + 34 917812416

    2) CÓRIA (Caceres) "El Toro de Coria"

    http://www.altarriba.org/2/verguenza/fp/caceres-coria2.jpg

    Le taureau parcourt les rues de la ville pendant des heures, et des centaines de personnes lui jettent des fléchettes.

    Quand il est trop fatigué pour continuer à fuir, la foule assassine le taureau avec un pistolet et lui coupe les testicules.

    Ayuntamiento de Coria
    Email:
    informacion@coria.org

    Turismo
    Avd. Extremadura, 39
    10800 Coria
    Caceres
    España
    Email:
    turismo@coria.org

    Diputacion Provincial de Caceres
    Plaza de Santa Maria, s/n
    10071 Caceres
    España
    Fax + 34 927255471
    Email:
    presidencia@dip-caceres.es
    Email:
    informacion@dip-caceres.es

    3) MEDINACELLI (Soria ) "Toros de Fuego "

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    Cette sauvagerie consiste à placer sur les cornes du taureau des boules de poix, puis d'y mettre le feu, après quoi l'animal est lâché dans les rues.

    Ces boules brûlent pendant des heures, consumant l'intérieur des cornes qui sont extraordinairement sensibles, causant une souffrance indicible au taureau.

    Elles lui brûlent aussi la tête, le corps et les yeux.

    Très souvent, à cause de la terrible douleur qu'ils endurent, les taureaux tentent de se suicider en se jetant contre les murs.


    Mairie de Medinaceli
    Plaza del Ayuntamiento,1
    42240 Medinaceli
    Soria
    Spain
    Fax + 34 975326053

    Sugestions en ligne (s'il vous plaît cliquer "buzón del ciudadano", coté droite de la page):
    http://www.medinaceli.info/
    Cliquer
    ici pour le libre d'or.

    Président de la Diputación Prov. Soria
    C/ Caballeros, 17 Soria
    SORIA 42071
    Tel: +34 975 211089
    Fax: +34 975 101091
    presidencia@dipsoria.es

    Tourisme de Soria
    turismo@dipsoria.com

    Président de la Junta de Castilla y Leon
    Plaza de Castilla y Leon,1
    Spain
    Fax + 34 983411269
    Email:
    presidente.responde@jcyl.es
    Sugestions en ligne pour le Président
    http://www.jcyl.es/

    Tourisme de Castilla y León
    sotur@jcyl.es

    4) BENAVENTE (Zamora) "Toro Enmaromado" (Taureau ligoté)

    http://www.toroenmaromado.com/imagenes/iguales_distintos/allariz/toro_allariz_1.jpg

    Le taureau, ligoté avec des cordes, est traîné dans toute la ville.

    Soit il meurt de fatigue, soit il est égorgé.

    Ayuntamiento de Benavente
    Email:
    prensa@ayto-zamora.org
    Email:
    participa.igualdad@ayto-zamora.org

    Turismo
    Plaza de Viriato, s/n. (Palacio Provincial)
    49001 Zamora
    España
    Fax + 34 980536495
    Email:
    turismo@zamoradipu.es

    Diputacion Provincial de Zamora
    Plaza de Viriato, s/n
    49071 Zamora
    España
    Fax + 34 980533033
    Email:
    diputacion@zamoradipu.es

    Voici quelques exemples des barbaries sans nom commises en Espagne contre les animaux.

    On pourrait en citer beaucoup d'autres : ces fameuses « fêtes populaires » sont légion et existent par douzaines à travers le pays.

    Ici n'ont été citées que les plus connues d'entre elles.

    C'est la SANGLANTE ET HONTEUSE ESPAGNE !

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    Dessiné par Fabien Alexandre Marina

     

    http://www.iwab.org/spainfre.html

  • "Ces villes qui refusent les cirques animaliers" (Le Parisien)

    http://crisdelune.unblog.fr/files/2008/07/image4.jpg

    Montreuil, Bagnolet et Fontenay-sous-Bois refusent désormais les cirques avec des espèces sauvages.

    Le cirque Pinder a dû s’organiser hier, pelouse de Reuilly, à Paris (XII e), face à la fronde des militants de la cause animale venus manifester leur colère devant l’entrée du public.

    En guise de contre-offensive, le Syndicat national du cirque (SNC) s’est empressé d’éditer et de distribuer un tract intitulé « les Animaux sont rois »… A deux pas de ses détracteurs.

    Le texte, détaillant point par point les techniques de dressage et le soin apporté aux artistes à quatre pattes, n’a pas manqué de mettre hors d’eux les militants, qui ont largement riposté, mégaphone en main, par une volée de slogans : « Pinder menteur ! », « Non à l’exploitation des animaux pour le fric ».

    Il faut dire que la pression contre les cirques est montée d’un cran lorsque le maire (PCF) de Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne), Jean-François Voguet, a publié début octobre un arrêté interdisant, sauf exception, l’installation de cirques avec animaux sauvages sur sa commune.

    Arrêté qui pourrait être menacé par le préfet du Val-de-Marne, qui l’aurait jugé illégal.

    Les chapiteaux doivent donc montrer patte blanche avant de s’implanter et la municipalité, qui tolère chiens, chevaux et pigeons, s’arroge le droit de surveiller la taille des cages, pour les éléphants ou les lions notamment.

    A Montreuil (Seine-Saint-Denis), en revanche, la mesure prise par la sénatrice-maire (Verts) est beaucoup plus radicale.

    Sauvages ou pas, l’ensemble des animaux de cirque sont désormais interdits de territoire.

    La ville a expliqué qu’elle accorderait des autorisations « uniquement aux cirques ne possédant pas d’animaux ».

    C’est à la suite de plaintes adressées par ses administrés que l’ancienne ministre de l’Environnement a fait ce choix.

    Peu après, c’est le maire (PCF) de Bagnolet, Marc Everbecq, qui lui a emboîté le pas.

    Ici, l’interdiction ne concerne que les animaux sauvages.

    Pour appuyer sa décision, l’élu n’a pas hésité à invoquer… le Code rural, qui stipule que « tout animal doit être placé dans des conditions compatibles avec les impératifs de son espèce ».

    Face à ces mesures, le SNC est formel : « Si demain, il n’y a plus d’animaux dans les cirques, il n’y aura plus de cirques ! »

    http://www.leparisien.fr/paris-75/ces-villes-qui-refusent-les-cirques-animaliers-09-11-2008-304397.php#

  • Victoire à Grenoble : la formation au sacrifice rituel musulman pour les pères de famille n'aura pas lieu

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    GRENOBLE, 8 nov 2008 (AFP) - Grenoble: une formation à l'abattage rituel musulman reportée sine die (association)

    Une formation aux pratiques légales de l'abattage du mouton pour la fête de l'Aïd el-Kébir, destinée aux "pères de familles" et prévue dimanche à Grenoble dans une salle municipale contre l'avis des autorités, a été reportée sine die, ont annoncé samedi ses organisateurs.

    "En raison d'un motif indépendant de notre volonté, la formation citoyenne concernant l'abattage rituel musulman est reportée à une date ultérieure", indique le site de l'Association de sensibilisation d'information et de défense du consommateur musulman (Asidcom), co-organisatrice de la réunion.

    "On regrette que l'Etat se mette à genoux devant la fondation Brigitte Bardot (ndlr: qui a dénoncé cette réunion) et on dénonce les pressions exercées sur des élus locaux pour interdire une initiative citoyenne", a ensuite déclaré à l'AFP le président de l'Asidcom, Hadj Abdel Aziz Di Spigno.

    "On va laisser passer le week-end avant de décider des suites du programme prévu. Nous sommes des citoyens actifs mais pas activistes. Nous souhaitons marier la foi et la raison", a-t-il ajouté.

    Affirmant que son fils et une adhérente ont reçu des menaces de mort par téléphone et sur internet samedi, M. Di Spigno a annoncé son intention de porter plainte.

    Présentée comme "une première en France", la réunion décriée, intitulée "formation aux sacrifices rituels", visait à informer les musulmans, et en particulier les "pères de famille", sur la réglementation européenne de l'abattage.

    La loi française impose que les animaux dits de consommation soient tués dans un abattoir par des professionnels agréés.

    "Nous sommes très satisfaits. La formation ne s'adressait pas aux sacrificateurs agréés mais aux pères de famille. C'est important de montrer qu'il y a des réglementations qui doivent être respectées", a déclaré à l'AFP Christophe Marie, le porte-parole de la fondation Brigitte Bardot, qui dénonçait un "véritable appel à l'abattage clandestin".

    Dans un courrier transmis samedi au député-maire (PS) de Grenoble, Michel Destot, le préfet a demandé "de ne pas mettre à disposition la salle municipale afin de ne pas permettre le déroulement de cette formation", a indiqué à l'AFP une source municipale.

    "Le courrier est sans effet puisque l'association a renoncé à l'organisation de la réunion", a-t-elle ajouté.

    L'intervention du préfet avait été demandée par le ministère de l'Intérieur, qui a indiqué vendredi que l'abattage était "réglementé" et, que si cette réunion avait lieu, il y aurait un "délit de complicité d'abattage illégal".

    Seules les trois mosquées de Paris, de Lyon et d'Evry sont habilitées à délivrer les cartes de sacrificateurs, un "monopole politico-religieux" que dénonce l'Asidcom, estimant que ces professionnels ne sont ni suffisamment formés, ni assez nombreux.

    L'Asidcom, dont le siège est à Marseille, compte 228 membres.

    En 2007, 130.000 moutons ont été abattus légalement contre 70.000 clandestinement pour l'Aïd, fêté en décembre, selon les chiffres officiels.

    http://www.la-croix.com/afp.static/pages/081108143017.gia0oel7.htm

    http://moutons.rebelles.free.fr/aid_el-kebir_marseille.jpg

  • Grenoble : formation au sacrifice rituel musulman pour… les pères de famille (Fondation Bardot)

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    L’ASIDCOM (Association de Sensibilisation d’Information et de Défense du Consommateur Musulman) et l’Institut Vioscope organisent, le dimanche 9 novembre dans une salle municipale de la ville de Grenoble une formation ouverte aux pères de famille*.

    Pour la Fondation Brigitte Bardot, il s’agit d’un véritable appel à l’abattage clandestin comme l’a écrit notre présidente au Député Maire de Grenoble, M. Michel Destot :

    « L’organisation, ce dimanche à la salle municipale Millet, d’une "formation au sacrifice rituel musulman" destinée aux pères de famille, est un véritable appel à l’abattage clandestin orchestré par l’ASIDCOM (Association de Sensibilisation d’Information et de Défense du Consommateur Musulman) qui milite déjà contre l’étourdissement des animaux avant leur égorgement.

    Monsieur le Député Maire, vous n’êtes pas sans savoir que la législation française impose que les animaux dits de consommation soient tués dans un abattoir par des professionnels agréés.

    En tant que premier magistrat de la ville, votre devoir n’est pas d’encourager l’incivisme mais de vous y opposer fermement.

    Ce programme, dont l’objectif avoué est de former « les pères de famille » au sacrifice rituel musulman, est une nouvelle étape dans la provocation et le refus de respecter les lois républicaines d’un pays laïque.

    Ma Fondation intervient immédiatement auprès du Chef de l’Etat et de sa ministre de l’Intérieur pour les informer de cette scandaleuse formation organisée, à Grenoble, par l’ASIDCOM et l’Institut Vioscope. »

    *Voir la fiche d’inscription et l’affiche :
    http://www.muslim- mag.com/spip. php?article447

    Pour intervenir auprès du Député Maire de Grenoble :
    michel.destot@ ville-grenoble. fr

    http://nikkita.n.i.pic.centerblog.net/q1sha9hr.jpg

  • USA : Obama défendra les droits des animaux

    L'image “http://americana.blog.lemonde.fr/files/2008/01/obama.1201801546.jpg” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.

    Barack Obama ne sera pas seulement le président du peuple américain, mais également de ses animaux.

    "Et pour les droits des animaux, que ferez-vous?" lui aurait crié du public une femme lors d'un meeting à Las Vegas en janvier dernier.

    Obama répondit qu'il se sentait très concerné par les droits des animaux, "pas seulement parce que j'ai deux petites filles qui veulent un chien".

    Il a rappelé qu'en tant que sénateur de l'Illinois, il avait fait passer une loi visant à arrêter les massacres de chevaux pour la consommation humaine dans son Etat, une mesure soutenue par l'association de défense la plus populaire des Etats-Unis,  Humane Society.

    De fait, Barack Obama a apporté son soutien à quasiment toutes les lois en faveur des animaux, lorsqu'il était au Congrès.

    Il a assuré qu'en tant que président, il travaillerait avec le Département de l'Agriculture pour améliorer sa politique, soulignant l'importance des animaux dans notre quotidien, celui des personnes handicapées, ou pour le service public.

    "J'ai voté pour alourdir les peines pour maltraitance d'animaux, et également pour qu'on y incorpore un suivi psychologique. La violence envers les animaux est inacceptable, mais surtout elle reflète la violence que l'on peut avoir envers les autres, comme la violence domestique par exemple. En tant que président, je veillerai à ce que les crimes envers les animaux soient considérés avec le plus grand sérieux".

    Barack Obama a été sénateur de l'Illinois pendant huit ans, durant lesquels il a fait passer une douzaine de lois de protection animale.

    Parmi lesquelles donc, l'alourdissement des peines pour maltraitance, l'obligation pour les vétérinaires de signaler tout acte suspect de maltraitance ou s'apparentant aux combats d'animaux, l'interdiction d'abattre des chevaux pour la consommation humaine, et davantage de critères pour les animaleries et éleveurs.

    La loi sur l'abattage des chevaux avait été votée en 2005, mais Barack Obama a également soutenu des lois contre les combats de chiens et de coqs, pour l'interdiction de posséder des chiens de combats et pour sanctionner les spectateurs.

    Source : AP

    http://www.tele-animaux.com/actualite,article,obama-defendra-les-droits-des-animaux-aux-etats-unis:191.html

  • Sciences : L’UE interdit les expérimentations sur les grands singes

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    La Commission européenne a proposé le 5 novembre aux pays de l'Union européenne un projet de loi portant interdiction du recours aux grands singes pour les expériences scientifiques.

    Les parlementaires européens ont accueilli avec satisfaction ce texte, qui prévoit toutefois des exceptions pour les cas de force majeure et limite le nombre d'animaux utilisés chaque année pour la recherche.

    La Commission européenne a déposé le 5 novembre une proposition de loi visant à renforcer la législation européenne sur les expérimentations animales afin de les limiter et d’améliorer les conditions de vie des animaux, notamment des grands singes.

    Le texte, qui devra être approuvé par le Parlement européen et les Etats membres, entend notamment subordonner l'autorisation d'expérimentations animales à des évaluations éthiques tout en imposant des exigences minimales pour l'hébergement et les soins.

    Cette proposition vise tous les animaux vertébrés vivants, ainsi que certaines espèces susceptibles d'éprouver de la douleur.

    Elle entend en outre interdire les expérimentations sur les grands singes (chimpanzés, bonobos, gorilles et orangs-outans), sauf situations exceptionnelles, sachant que chaque année, quelque 12 millions d'animaux sont utilisés en Europe pour des expérimentations animales.

    « Il est essentiel de mettre un terme à l'expérimentation animale », a affirmé le commissaire européen à l'Environnement, Stavros Dimas.

    « L'Union européenne ne réalise plus d'expérimentation sur les grands singes -chimpanzés, bonobos, gorilles et orangs-outans- depuis neuf ans, contrairement aux Etats-Unis et au Gabon », a précisé un collaborateur de monsieur Dimas.

    Une dérogation a toutefois été prévue «lorsque la survie même de l'espèce est en jeu ou en cas d'apparition imprévue chez l'homme d'une maladie potentiellement mortelle ou invalidante», précise le texte, stipulant qu’en cas de telles circonstances, « un Etat membre peut, à titre exceptionnel, être autorisé à utiliser ces animaux ».

    La proposition de loi a été saluée par les élus du Parlement européen de tous bords, spécialisés dans la protection des animaux.

    Ils se sont ainsi engagés à faire approuver le texte par l'ensemble des eurodéputés le plus rapidement possible.

    « Il est impossible d'interdire totalement l'utilisation d'animaux pour les essais d'inocuité ou la recherche biomédicale », a toutefois souligné la Commission européenne.

    Cette proposition de loi révise une législation communautaire en vigueur depuis 1986 et subordonne l'autorisation des projets utilisant des animaux à des évaluations éthiques.

    Elle impose par ailleurs des exigences minimales pour leurs cages et les soins qui leur sont prodigués.

    Monsieur Dimas a enfin demandé aux pays européens de trouver des méthodes de substitution aux expériences animales.

    « Chaque Etat membre devrait désigner un laboratoire chargé de développer des alternatives et la Commission européenne est disposée à débloquer des ressources pour les valider », ont affirmé les membres du cabinet du commissaire européen à l'Environnement.

    http://www.gaboneco.com/show_article.php?IDActu=10901