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Libération animale - Page 84

  • Pétition au Nations Unies - « NOURRIR LA POPULATION VS NOURRIR LES ANIMAUX 'D'ELEVAGE' »

    http://www.geocities.com/lionofjudah2021/hunger.jpg

    An appeal to the United Nations and its agencies to channel available food resources to needy people and not to farm animals.

    This petition will close on 20 April 2009 and be delivered on Earth Day 2009 (22 April) in New York, Rome and Geneva.

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    PÉTITION

    AU :
    Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon

    COPIE :
    FAO – Directeur général, Jacques Diouf
    OMS – Directrice générale,Dre Margaret Chan

    Lancée par :

    « NOURRIR LA POPULATION vs NOURRIR LES ANIMAUX D'ELEVAGE »

    Cher Monsieur le secrétaire général,

    En 1996, la «Déclaration de Rome sur la sécurité alimentaire» réaffirmait le «droit de chaque être humain d'avoir accès à une nourriture saine et nutritive». Les signataires ont également engagé leur volonté politique afin «afin d'éradiquer la faim dans tous les pays».

    En 2008, non seulement la malnutrition et la famine sont-elles en croissance dans plusieurs parties du monde, mais elles devraient atteindre de nouveaux sommets de souffrances. Des récoltes qui diminuent, des prix qui grimpent en flèche et des pratiques agricoles insoutenables ne sont que quelques-uns des facteurs qui posent des risques mettant la vie en danger pour des personnes vulnérables.

    Alors que la faim et la malnutrition tuent près de six millions d’enfants chaque année, il est inacceptable que d’énormes pourcentages de récoltes disponibles servent à nourrir des animaux de ferme.

    Au nom de l’humanité, une collectivité mondiale responsable ne peut plus se permettre de consacrer de 7 à 16 kilos de grains ou de fèves de soja, jusqu’à 15 500 litres d’eau et 323 m2 de pâturages à la production d’un seul kilo de boeuf pour ceux qui ont les moyens d’en acheter. Nous avons désespérément besoin de méthodes plus accessibles et plus durables afin de produire des aliments pour tous.

    Malheureusement, même si les experts de FAO considèrent que « l’élevage aussi est une menace pour l’environnement », ils se contentent de recommander des techniques agricoles différentes, dont certaines entraînent le risque d’endommager un environnement déjà vulnérable, peut-être de façon irréparable.

    Tous les gens affamés, plusieurs millions de végétariens et ceux qui recherchent des solutions de rechange saines aux traditions destructives ont le droit de s’attendre de la part des décideurs, des gouvernements et des organes internationaux, une enquête scientifique sur toutes les options disponibles, y compris le végétarisme.

    Cette ressource et ce style de vie salutaires méritent qu’on leur consacre des recherches non biaisées et des efforts de promotion, car ils offrent la possibilité de trancher la question « aliments pour la population vs aliments pour les animaux » en faveur de l’humanité.

    Pour cette raison, nous en appelons aux Nations Unies et à des agences de cesser de négliger le végétarisme et d’étudier plutôt ses avantages aux volets multiples, dans le but de les incorporer dans de futures stratégies pour un monde sans faim.

    Sincères salutations,

    Signature

    Références :

    1. Déclaration universelle des droits de l’homme : « Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l'alimentation...

    2. Déclaration de Rome sur la sécurité alimentaire : « Nous estimons intolérable que plus de 800 millions de personnes dans le monde et, plus particulièrement, dans les pays en développement, n'aient pas une nourriture suffisant à leurs besoins nutritionnels essentiels. Cette situation est inacceptable.»

    3. FAO: L’élevage aussi est une menace pour l’environnement

    Arrière-plan :

    1. Jens Holm: Filiere animale et climat
    …il faut de 10 à 20 fois plus d’énergie pour produire des aliments animaux que des aliments végétaux….

    2. Association Suisse pour le végétarisme : Les conséquences écologiques de la consommation de viande

    Translation : Lise Balthazar, Kind Translators

    Sign this petition!

    If you have any questions or remarks to this petition please contact: info (at) evana.org

    http://un.evana.org/index.php?lang=fr

  • Les chimpanzés de Côte d'Ivoire en danger (Nouvel Obs)

    http://terresacree.org/images/chimpanze_05.jpg

    La population de chimpanzés de Côte d’Ivoire a dramatiquement diminué, selon un nouveau recensement. Les limites des parcs nationaux ne mettent pas ces grands singes à l’abri, alertent les chercheurs.

    En moins de 20 ans, la population de chimpanzés communs (Pan troglodytes verus) aurait chuté de 90% en Côte d’Ivoire, selon des primatologues de l’Institut Max Planck (Allemagne) et leurs collègues ivoiriens. D’après les dernières données, basées sur des recensements menés en 1989 et 1990, il y a entre 8.000 et 12.000 chimpanzés dans ce pays, contre 100.000 dans les années 1960.

    D’après Geneviève Campbell et Christophe Boesch, ces chiffres ne sont plus valables. D’après leurs opérations de comptage menées entre juillet et décembre 2007 dans les forêts ivoiriennes, le nombre de nid a chuté de 90% en 18 ans. Dans le parc national de Marahoué, censé héberger quelque 900 chimpanzés, les chercheurs n’ont recensé que 50 individus sur les 165 kilomètres de sections qu’ils ont inspectés. Dans le parc Taï, considéré comme le principal refuge de ces grands singes en Côte d’Ivoire, ils n’ont compté que 480 individus sur 362 km, soit un dixième de la population estimée.

    Deux principaux facteurs expliqueraient le déclin de la population des paninés, selon les chercheurs : l’augmentation de la population ivoirienne de 50% depuis 1990 et la guerre civile qui déstabilise le pays depuis 2002. La déforestation progresse : le parc Marahoué aurait perdu 93% de sa surface entre 2002 et 2008. La protection des animaux n’est plus correctement assurée dans les parcs nationaux et les chimpanzés sont victimes de braconnage.

    Ces travaux sont publiés dans la revue
    Current Biology datée du 14 octobre.

    Cécile Dumas
    Sciences et Avenir.com

    http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/sciences/nature/20081013.OBS5639/les_chimpanzes_de_cote_divoire_en_danger.html

  • Braconnage : dans les Ardennes, la fin des intouchables (L'Union)

    http://www.univers-nature.com/images/actu/renard-braconnage.jpg

    Des trophées de sangliers, de biches, de chevreuils, de cerfs, un héron et un chat sauvage naturalisés, des sacs de cartouches en tout genre, des carabines avec silencieux équipées de lunettes infrarouge, un casque de vision nocturne militaire, des phares portatifs…

    La spectaculaire perquisition effectuée le 29 janvier dernier dans les Ardennes par la gendarmerie et les gardes nationaux de la chasse est à la mesure du réseau de braconniers démantelé.

    Ici, pas de Raboliot folkloriques mais des « bracos » quasi professionnels, des industriels des trophées et de la viande de gibier.

    Les enquêteurs découvrent dans les mobile-homes et les maisonnettes en lisière de la forêt, outre un arsenal de 32 armes, un véritable atelier de boucherie et des congélateurs pleins à ras bord.

    Dans une remise, un jeune cerf pend à un crochet. Plus loin, de la viande fraîche faisande dans une brouette. 325 kg saisis.

    Le kilo de chevreuil se négocie autour de 60 € le kilo. Un trophée de cerf se vend à l'étranger entre 1.500 et 5.000 €.

    Sur les neuf hommes arrêtés, quatre ont été mis en examen. L'un d'eux est connu comme le loup blanc dans les secteurs de Neufmanil et Gespunsart. Longtemps, il s'est cru intouchable mais les temps changent.

    Selon Jean-François Malicet, chef des gardes-chasses nationaux des Ardennes, le capital de sympathie pour ce genre de braconniers sans foi ni loi a disparu.

    L'instruction vient de se terminer. A l'heure du procès devant le tribunal correctionnel de Charleville-Mézières, ils risqueront jusqu'à 4 ans de prison et 60.000 € d'amende.

    L'affaire est exemplaire mais elle est rare. « C'est la deuxième en dix ans », admet Francis Nachbar, l'ancien procureur des Ardennes.

    Face à des bandes de braconniers puissamment armés, équipés de 4x4, la lutte est déséquilibrée. Il a fallu un bon renseignement et surtout une véritable volonté de l'exploiter.

    Les gardes de l'Office national de la chasse ont beau avoir un pistolet à la ceinture, ils sont trop peu nombreux pour être réellement efficaces.

    Et les consignes sont claires : ne prendre aucun risque face à des individus prêts à tout pour échapper à la justice.

    Dans l'affaire récente des Ardennes, le fait que le magistrat soit lui-même chasseur n'est pas étranger à la réussite de l'enquête.

    La brigade des recherches de la gendarmerie a obtenu les moyens de travailler (écoutes téléphoniques, filatures…) jusqu'à faire tomber le réseau franco-belge.

    img transparentehttp://www.lunion.presse.fr/index.php/cms/13/article/191143/Dans_les_Ardennes_la_fin_des_intouchables

  • Gujan-Mestras : les kite-surfers chassés de la plage (Sud-Ouest) Le kite surf s'est installé sur la plage de La Hume depuis plusieurs années

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    GUJAN-MESTRAS - Interdits pendant la période de chasse à l'alouette, les sportifs contestent la décision municipale

    « Nous sommes en colère », dit, en gardant le sourire, Didier Caubit, de l'association APC kite en montrant le panneau d'affichage de l'arrêté municipal à l'entrée de la plage de La Hume.

    Celui-ci interdit la pratique du cerf-volant, de l'aéro modélisme, du char à voile et du kite-surf sur tout le littoral de la commune entre le 1er octobre et le 20 novembre. Cette période correspond à la période d'ouverture de la chasse à l'alouette.

    « Nous avons eu cinq réunions de concertation avec la municipalité et nous avons l'impression qu'elles n'ont servi à rien. » Et Didier Caubit de faire un parallèle avec le banc d'Arguin, où les kites-surfeurs sont interdits alors que, d'après lui, « aucune étude n'a démontré à ce jour que cette pratique gêne les oiseaux. »

    « Depuis plus de trois ans, nous vivons en parfaite harmonie avec les chasseurs à la tonne des prés salés de la Hume. Pour trois ou quatre pentes qui n'ont pas chassé l'alouette l'an dernier, la mairie a appliqué in extenso le texte en publiant cet arrêté d'interdiction de notre pratique. »

    Une pétition sur Internet

    Du côté de la municipalité, André Moustié, adjoint aux sports, rappelle que la chasse à l'alouette fait partie des traditions locales. « Nous sommes pleinement conscients que cet arrêté municipal est très gênant pour les kite-surfeurs. Nous avons essayé de trouver la solution qui convient le mieux à tout le monde. C'est pour cette raison que nous leur avons proposé, en accord avec la mairie d'Arcachon, une autre plage pour qu'ils puissent continuer à pratiquer leur sport pendant cette période. »

    Didier Caubit explique que cette solution n'est pas satisfaisante car la plage du cercle de voile, en raison de son courant, est trop dangereuse pour les non-initiés. Il reste persuadé qu'une solution satisfaisant à la fois chasseurs d'alouettes et kite-surfeurs peut être trouvée.

    « L'an dernier, à la même période, les vents et marées n'ont été favorables que très rarement. Nous n'avons navigué que cinq fois pendant la période concernée par l'arrêté. »

    Les kite-surfeurs font circuler une pétition sur Internet, elle a déjà recueilli 500 signatures en un mois. « Forts de ces soutiens, les responsables du club comptent demander un entretien à M. le sénateur maire. »

    Jacky Donzeaud

    http://www.sudouest.com/accueil/sports/surf/article/383702/mil/3275712.html

  • Les espèces tropicales menacées elles aussi par le réchauffement climatique

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    WASHINGTON - Si jusqu'ici les régions polaires ont le plus souffert du réchauffement climatique, la faune et la flore des Tropiques pourraient être encore plus menacées, mettent en garde des scientifiques qui ont étudié l'environnement au Costa-Rica.

    "De nombreuses espèces des plaines tropicales pourraient être en danger", avertit l'équipe de recherche conduite par Robert Colwell (Université du Connecticut) dans le dernier numéro du magazine américain "Science" paru vendredi.

    "Les Tropiques, dans l'esprit des gens, sont déjà chauds, alors comment le réchauffement global pourrait-il être dangereux pour les espèces ? Nous espérons bien mettre cette question à l'ordre du jour de la protection de la nature", a déclaré Robert Colwell.

    Quelques espèces tropicales, notamment les insectes, vivant déjà à des températures maximales, un climat encore plus chaud pourrait entraîner leur déclin, a-t-il expliqué.

    "Nous avons choisi le terme 'usure' pour mettre l'accent sur la lente détérioration" , poursuit-il. "Quand cela sera-t-il suffisamment évident pour faire consensus? C'est difficile à dire".

    Mais les chercheurs estiment qu'une hausse des températures de 3,2 degrés en un siècle pourrait faire de 53% des 1.902 espèces des plaines tropicales qu'ils étudient, des candidats à l'usure.

    Ce qui ne veut toutefois pas dire que la jungle d'aujourd'hui sera un jour une terre aride.

    "Certaines espèces vont proliférer, mais ce sont probablement celles qui sont déjà adaptées aux conditions difficiles", comme les mauvaises herbes, explique Colwell.

    Et pour les autres ? Il existe peu d'endroits plus frais à proximité pour les plantes et les animaux tropicaux qui tentent d'échapper à la hausse des températures.

    Sous les Tropiques, vivre plus haut peut être une réponse plus adaptée que partir.

    Par exemple, expliquent les chercheurs, en gagnant de l'altitude la température diminue de 5,2 à 6,5 degrés tous les 1.000 mètres.

    A la même altitude, pour obtenir un écart semblable en allant vers le nord ou le sud, les espèces devraient parcourir 1.000km.

    S'élever n'est pas la solution dans tous les cas. Les espèces qui vivent déjà en hauteur ne pourront pas monter plus haut.

    L'étude fournit une illustration importante du risque potentiel que représente le réchauffement climatique pour les espèces, observent Jens-Christian Svenning, de l'université de Aarhus au Danemark, et Richard Condit, du centre de recherche tropical Smithsonian aux Etats-Unis dans un commentaire de l'étude.

    "Ces chiffres suggèrent que les risques sont importants", mais ils vont probablement être controversés du fait des larges lacunes que nous avons dans la connaissance de la sensibilité des espèces au changement climatique, ajoutent les deux chercheurs qui n'ont pas participé à l'étude.

    Science : http://www.sciencem ag.org
    http://canadianpres s.google. com/article/ ALeqM5hVWSdRfsvc DtQ100AOjoXzD8ss Vw

  • Tibits, les restaurants zurichois végétariens en libre-service, s'exportent même à Londres (Le Temps)

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    Faut-il risquer le tartare de quinoa aux petits légumes, avec sauce douce au chili ? Malgré les vertus nutritives infinies de cette plante cultivée dans la cordillère des Andes, les grains bruns boursouflés font hésiter. A côté, la salade de riz rouge de Camargue avec courgettes et petits poivrons, dont la consonance est plus familière, inspire davantage confiance.

    Osons allègrement des deux, nous sommes dans un self-service végétarien. Enfin, pas dans n'importe lequel. Chez Tibits, un haut lieu du sans-viande à Zurich, mais qui n'en est pas pour autant un temple du tofu triste. D'ailleurs, la pâte de soja, valeur épouvantail par excellence, n'apparaît que dans quelques plats, par exemple en cubes discrets dans la salade de pommes au gingembre et figues séchées.

    Le buffet ressemble à une barque, la clientèle, en majorité des femmes, glisse le long des flancs, une assiette ou une barquette en polyéthylène à la main. Les tranches de poivrons en antipasti lancent des touches de couleur.

    La salade de pois chiches aux carottes et curry est aussi du plus bel effet. L'exotisme est maîtrisé, inspiration méditerranéenne ou indienne: dal de lentilles rouges, samosa - petit pâté indien chaud fourré aux pommes de terre et feuilles de curry -, falafel, purée de pois chiches ou jalapeno, piment farci à la crème aigre et passé à la friture.

    Longtemps, les restaurants végétariens ont traîné une réputation de tristesse et de monotonie, hantés par des figures blafardes à qui manquait une bonne tranche de viande rouge. Ouvert en 2000, le premier Tibits dément tous ces préjugés. Le restaurant, à l'angle d'une rue très animée à deux pas de Bellevue, est vite devenu une institution à Zurich. Mieux, un art de vivre.

    Le choix on ne peut plus individualisé correspond à notre époque, et le système fonctionne avec flexibilité et rapidité: on remplit son assiette ou sa barquette à emporter, on la pèse à la caisse, et le tour est joué. A midi, le peuple travailleur envahit le local, l'après-midi, touristes et mères de famille s'attardent volontiers aux longues tablées ou dans le coin aménagé tout exprès pour les enfants.

    Le buffet reste impeccable même pendant la ruée de midi. Le personnel circule pour débarrasser les tables. La tapisserie aux motifs tarabiscotés qui orne les murs, les poufs et canapés dans les violet et noir, l'éclairage qui change de couleur au plafond, le parquet en bois non traité: tout concourt à un mélange subtil entre le douillet chic et l'efficacité pour jeunes loups pressés.

    La formule a tellement de succès qu'après Berne, Winterthour et Bâle, les trois frères Daniel, Reto et Andreas Frei qui sont à l'origine du concept ont fait le saut à l'étranger. Ils ont ouvert la semaine dernière un libre-service végétarien de 150 places en plein cœur de Londres, dans une rue parallèle à Regent Street.

    Un deuxième va suivre dans le quartier de West End. Un retour aux sources pour Tibits, dont le nom est emprunté à l'anglais «titbits», qui signifie un petit quelque chose de bon.

    « Nous offrons plus qu'un buffet de salades », dit Daniel Frei, le directeur opérationnel. « Le plaisir de manger doit être au centre, le fait que l'offre soit végétarienne ne vient qu'en deuxième position, précise-t-il dans sa base zurichoise. La composition de tous les mets est strictement déclarée, et convient aussi pour certains aux végétaliens."

    L'aventure Tibits commence en 1998. Reto Frei, qui étudie à l'EPFZ, et ses deux frères Christian et Daniel, gagnent le concours de création d'entreprise organisé par l'EPFZ et McKinsey. Végétariens tous les trois, ils présentent ce qu'ils aimeraient bien trouver dans leur ville, un projet de restaurant fast-food végétarien. La chance leur sourit. Ils n'ont même pas besoin de chercher un partenaire dans la branche.

    Rolf et Marielle Hiltl, les héritiers de la maison zurichoise centenaire Hiltl, le premier restaurant végétarien d'Europe, leur proposent de s'associer. « Au début, nous avons tout repris de Hiltl, maintenant nous développons aussi nos propres recettes, mais nos concepts sont très proches. » Les frères Frei, avant tout Daniel et Reto, mènent l'entreprise Tibits, Rolf Hiltl son restaurant.

    Avec 200 employés et un chiffre d'affaires estimé à 20 millions de francs, les quatre Tibits en Suisse volent de succès en succès. Avec leur concept, primé cette année par Gastrosuisse, ils ont su trouver une niche dans le paysage pourtant fort encombré de la gastronomie.

    « Nous ne voulons pas être à la mode », lance avec un brin de fausse modestie Daniel Frei. Les prix ne sont pas donnés pour ce fast-food haut de gamme. Mais la fraîcheur à toute épreuve des produits se paie. « Nous ne nous reposons pas sur nos lauriers. Nous avons lancé de nouveaux produits, le quinoa et la saucisse à base de tofu. »

    Pour les vrais amateurs de «Wurstsalat», qui se fait avec de la saucisse de Lyon ou du cervelat, le goût est assez éloigné. Mais chez Tibits, chaque plat du buffet a ses inconditionnels. « J'étais à deux doigts de la crise nerveuse. Je voulais prendre une portion de ma salade favorite aux haricots séchés avec noix, et elle n'était pas là... Vous ne l'avez quand même pas retirée de votre assortiment ? » demande un client inquiet sur le site des restaurants.

    Après Londres, la Suisse romande ? Daniel Frei est diplomatique : « Si nous trouvons le local idéal, j'aimerais beaucoup. » Il ne cache pas toutefois qu'il n'est pas sûr qu'un restaurant végétarien en libre-service trouve son public tout au long de la journée à Genève ou Lausanne. Les Romands, c'est vrai, aiment leur assiette du jour entre collègues à midi.

    Et les préjugés envers les petites graines restent peut-être plus tenaces.

    http://www.letemps.ch/template/societe.asp?page=8&article=241469

  • Clémence pour Ratchet / Clemency for Ratchet

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    GRÂCE A LA MOBILISATION INTERNATIONALE, RATCHET A ÉTÉ SAUVÉ ET VIENT DE REJOINDRE LA SGTE BEBERG AUX USA... GOOD LUCK RATCHET DANS TA NOUVELLE PATRIE.

    http://news.bbc.co.uk/1/hi/world/middle_east/7680429.stm

    PETITION : http://www.thepetitionsite.com/2/clemency-for-ratchet

    Encore une autre horreur.

    Les soldats de l'armée américaine basés en Irak n'ont pas le droit d'aimer les animaux, ils n'ont pas le droit de ramener des animaux chez eux.

    Plutôt que de voir ces animaux sauvés et aimés, les chefs de cette armée préfèrent les faire exécuter d'une balle dans la tête.

    C'est le triste sort que risque Ratchet, un chien qu'a sauvé une sergent américaine. Elle était a deux doigts de le ramener aux USA avec elle, mais l'armée en a décidé autrement et Ratchet risque l'exécution sommaire...

    Merci de signer cette pétition et de la diffuser massivement pour que Ratchet ne soit pas assassiné et qu'il puisse rejoindre la famille qui l'attend pour l'aimer...

    L'image “http://i.dailymail.co.uk/i/pix/2008/10/07/article-0-02EEB5CB00000578-374_468x337.jpg” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.

    Gwen Beberg et Ratchet

    Un soldat ayant sauvé la vie d'un jeune chiot en Irak pour le ramener à son domicile pourrait voir son chien exécuté par ses supérieurs aux États-Unis.

    La Sgt. Gwen Beberg s'est liée d'amitié avec Ratchet, un chiot, tout en servant en Irak, et a envoyé régulièrement des dépêches à son domicile, à Minneapolis montrant l'évolution du chiot, avec une centaine de fans sur Facebook qui suivaient la vie du chiot.

    Mais l'armée américaine prend une stricte conformité avec les soldats traitant en ami des animaux, et a confisqué Ratchet au Sgt. Beberg qui était prête à s'envoler vers la maison de l'aéroport de Bagdad en fin de semaine.

    Maintenant, "Animal Charity Operation Baghdad Pups", qui a pour devise « Pas de copain laissé derrière », plaide avec l'armée américaine pour permettre à Ratchet de s'envoler hors du pays - craignant que l'armée n'exécute Ratchet d'une balle en pleine tête.

    Patricia, la mère du Sgt. Beberg, a déclaré: "Cette année a été extrêmement difficile pour ma fille et sa famille. Cela a été une année de déceptions, de solitude, de peur à cause de tous les sacrifices que l'armée a demandé à Gwen.

    « Ratchet a été le sauveur de sa santé. Maintenant, ils ont cruellement arraché Ratchet loin d'elle et l'ont condamné à mort. Je ne sais pas comment ma fille va faire face. Ratchet a été sa bouée de sauvetage. "

    La Sgt. Beberg est également sous enquête militaire pour avoir sauvé le chien qui a sauvé sa vie.

    Un ami proche du Sgt Beberg a déclaré: « Cela n'a pas été facile pour elle - le chiot qu'elle a sauvé a été l'une des rares choses qui ait gardé un sens.

    "Elle a partagé des photos de lui pendant qu'il grandissait, se transformant d'une boule de poil en un jeune chien adorable.

    "Elle a gardé une mise à jour sur son calendrier de Voyage, et nous a harcelé pour contribuer à donner de l'argent pour le ramener chez elle.

    « Les soldats peuvent être emmenés immédiatement devant la cour pour s'être mobilisés pour certains animaux et même voir leurs animaux sauvagement assassinés d'une balle dans la tête par les commandants qui ne dérogent pas aux règles.

    « Elle était si proche du but ... Ratchet était en route pour l'aéroport. Et maintenant, il pourrait être tué, simplement parce que certains officiers affamés de pouvoir ont décidé de punir un innocent animal parce que Gwen a osé se soucier de lui. "

    Un soldat a écrit à Bagdad Pups: « J'ai sacrifié beaucoup de choses pour servir mon pays. Tout ce que je demande en retour c'est d'autoriser le rapatriement de cet incroyable chien qui a erré dans ma vie ici, en Irak et qui m'a empêché de devenir terriblement impitoyable envers la vie. "

    "Charity Society for the Prevention of Cruelty to Animals International" a rejoint Bagdad Pups en demandant à l'armée américaine de faire preuve de clémence envers Ratchet, et de permettre au chien d'être confié aux parents de Gwen à Minneapolis et des amis de Gwen ont lancé une campagne pour obtenir l'intervention des sénateurs américains.

    Ratchet comme un chiot : Une campagne internationale a maintenant été mise en place pour mettre la politique de l'Armée à terre

    Si vous voulez vraiment faire une différence pour mon ami et d'autres soldats, vous pouvez faire un don à Bagdad Pups. Il peut en coûter plus de $ 4000 pour ramener un chien ou un chat aux Etats-Unis, et Bagdad Pups reçoit 3-4 nouvelles demandes de soldats chaque semaine. S'il vous plaît aider-les à poursuivre leur mission.

    Opération Pups à Bagdad : www.baghdadpups.com <http://www.baghdadpups.com/>

    Nous pouvons faire une différence.

    On l'appelle la "Cour de l'opinion publique" et ils vont écouter ...

    Passez le mot!

    MERCI !!!!!!!!!!!!

    PETITION : http://www.thepetitionsite.com/2/clemency-for-ratchet

    Merci pour RATCHET

    TRADUCTION DE LA LETTRE :

    S'il vous plaît faites preuve de clémence et permettez à Ratchet de rejoindre le programme  «Opération Bagdad Pups" afin qu'il puisse rejoindre sa famille américaine  aux États-Unis. La Sgt. Beberg risque sa vie en Irak pour son pays tous les jours. Ce n'est pas trop demander.

    Je vous remercie de votre considération et de votre compassion.


    http://ap.google.com/media/ALeqM5i5OhW4oOqWNL2K8z9wiQbUJ2xElA?size=s

  • Hécatombe de vaches dans les Albères : les autorités responsables

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    Mais pourquoi tuer par balles des vaches en divagation ?

    Mardi, les habitants de Montesquieu-des-Albères ont découvert un triste spectacle : deux cadavres de vaches abattues dans le secteur de La Famade, juste au-dessus du village.

    Cette intervention ferait suite à l'arrêté préfectoral du 18 août dernier concernant les bovins en divagation sur les communes de L'Albère, Maureillas, Le Perthus ainsi que sur celles du canton d'Argelès et de la Côte Vermeille . En substance, cet arrêté stipule "qu'il sera procédé à l'abattage par balle des bovins non identifiés trouvés errants jusqu'au 31 octobre 2008" .

    Dans notre édition du 12 septembre dernier, nous nous étions fait l'écho des problèmes posés par ces bovins espagnols qui franchissent la frontière.

    Une méthode pas très populaire

    Face à cette présence de vaches en liberté, les autorités auraient donc décidé de passer à l'action dans le cadre d'une battue administrative. Une méthode qui semble non seulement démesurée mais également plutôt agressive.

    Pas étonnant que cette décision ne plaise pas à tout le monde au village. Hier, l'émotion était palpable chez un grand nombre de personnes. "Il y aurait d'autres solutions", s'indigne une dame d'un certain âge, peinée, d'autre part par le fait qu'un petit veau "tellement mignon", errait à la recherche de sa mère.

    Cette histoire n'est pas sans rappeler un épisode similaire vécu par la population toute proche de Laroque-des-Albères. En 2006, la maire de Laroque avait pris un arrêté préconisant d'abattre des chèvres en divagation.

    Cette affaire avait créé un véritable tollé dans le village et parmi les responsables de la SPA.
    Notons qu'Huguette Pons, maire de Montesquieu, n'a pas souhaité apporter de précisions concernant cette intervention et que les services préfectoraux étaient injoignables. C. C. et M. M.

    http://www.midilibre.com/articles/2008/10/09/20081009-PERPIGNAN-Plusieurs-bovins-abattus-a-coups-de-fusils-de-chasse.php5

    Coordonnées de la Mairie de MONTESQUIEU :
    Madame Huguette PONS, Maire
    Mairie
    3, Grand'Rue
    66740 - MONTESQUIEU
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  • Biodiversité : les manchots de l'Antarctique menacés par le réchauffement

    http://recherchespolaires.veille.inist.fr/sites/anneepolaire/IMG/jpg/2006n01409_600.jpg

    BARCELONE (AFP) — De 50 à 75% des colonies de manchots de l'Antarctique se trouveraient en situation de déclin, voire menacées de disparition, en cas de réchauffement climatique supérieur à 2 degrés, révèle mercredi un rapport du Fonds mondial pour la nature (WWF).

    Selon les modèles climatiques retenus, une élévation de température de 2°C pourrait bien survenir d'ici moins de 40 ans, rappelle le WWF dans ce rapport présenté à Barcelone où se tient le congrès de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).

    Ce réchauffement aurait pour conséquence une forte réduction des glaces de mer de l'océan Austral qui constituent le terrain de prédilection des manchots Empereurs et Adélie.

    La disparition partielle des glaces de mer pourrait également se traduire par une raréfaction du krill, à la base du régime alimentaire des manchots.

    "Les manchots sont habitués à vivre dans le froid et dans des conditions extrêmes. Avec l'élévation continue des températures, et la diminution des zones de nourrissage et de nichage qui y est associée, nous avons déjà assisté à une réduction sensible des populations existantes", a commenté Juan Casavelos, coordinateur du WWF sur le Changement climatique en Antarctique.

    http://afp.google.com/article/ALeqM5iZHdlA7d9vj4goM2DfeXrXhOH47A

  • Lettre de Brigitte Bardot à Sarah Palin

    http://www.alaskaseafood.org/industry/enews/092607govpalinfish.jpg

    FONDATION BRIGITTE BARDOT

    Paris, le 7 octobre 2008

    Madame Saral Palin - Gouverneur d'Alaska - P.O.Box 110001 - Juneau, AK 99811-0001
    USA

    Madame,

    Après être intervenue, il y a plus de deux ans, auprès de votre prédécesseur pour dénoncer la cruauté de la chasse aérienne des loups en Alaska, je suis scandalisée d’apprendre que vous soutenez fermement et financièrement cette pratique indigne, d’une rare lâcheté.

    Vos démarches pour que les ours polaires ne soient plus protégés alors qu’ils sont menacés par le réchauffement climatique témoignent, aussi, de votre totale irresponsabilité, de votre incapacité à protéger ou simplement respecter la vie animale… mais il est vrai que pour vous, un bon animal est un animal mort !

    En militant pour l’exploitation de forages pétroliers dans le « refuge arctique national pour la faune sauvage », vous mettez en péril un habitat déjà fragilisé et toute la biodiversité d’une zone sensible qui doit, absolument, être préservée.

    Madame, en niant la responsabilité des hommes sur le réchauffement climatique, en militant pour le port des armes et le droit de flinguer à tout va, en multipliant des déclarations d’une stupidité déconcertante, vous faites honte aux femmes et représentez, à vous seule, une terrible menace, une véritable catastrophe écologique.

    Défendre la vie, c’est d’abord faire preuve d’humanité et de compassion pour tous les êtres qui peuplent cette terre malade de l’homme. Puisque nous ne sommes que de passage sur cette planète, songez à l’héritage que vous laisserez aux générations futures…

    Enfin, je vous supplie de ne plus vous considérez comme un pitbull «avec du rouge à lèvres» car, pour bien les connaître, je peux vous assurer qu’aucun pitbull, aucun chien ni aucun autre animal n’est aussi dangereux que vous l’êtes.

    Au nom du respect et de la préservation de la nature, je souhaite que vous perdiez ces élections, car le monde y gagnera !

    Brigitte Bardot – Présidente - Fondation Brigitte Bardot

    Source/Quelle: Fondation Brigitte Bardot

    http://www.evana.org/index.php?id=37927&lang=fr&P...