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Libération animale - Page 30

  • Sept milliards de problèmes

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    Les problèmes du monde (guerres, pollution, violence, dominations, bêtise, etc.) sont générés par une seule espèce : la nôtre.

    Nous mettons des enfants au monde sans retenue, ce qui multiplie les problèmes.

    Aujourd'hui, nous en sommes à plus de 7 milliards de problèmes.

    Combien deman ?

    Arrêtons les dégâts.

    Choisissons la vie : ne faisons plus d'enfants.

  • Le respect de ceux dont on défend les droits

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    Une fois de plus, le petit monde de la "protection animale" démontre le mépris qu'il a de ceux dont il prétend défendre les droits.

    Martin Luther King aurait-il remporté la lutte pour les droits civiques s'il avait organisé aux Etats-Unis des manifestations caractérisées par la vulgarité, où chacun eût exposé un postérieur peinturluré ?

    Certainement pas.

    Il n'aurait fait que perdre, et montrer le peu de respect qu'il portait aux victimes du racisme.

    De la même façon, les "amis des animaux" démontrent par leur comportement le peu de respect qu'ils vouent en réalité à ceux qu'ils affirment défendre.

    Les animaux sont des personnes nonhumaines : voilà le seul message qu'il importe de faire passer, dans la plus stricte dignité.

    Là, non seulement l'on s'exhibe dévêtu, ce qui ruine déjà le "message" que l'on s'efforce péniblement de transmettre (non que la nudité soit choquante en soi - elle ne l'est pas -, mais elle est toujours hors de propos dans le cadre militant, a fortiori lorsqu'elle est mise en scène de façon triviale), mais encore oublie-t-on de dire ce qui est important.

    Dire que les animaux sont des personnes : voilà une déclaration qui, en vertu de sa justice morale intrinsèque, attirerait enfin l'attention des journalistes.

    En outre, le bon message serait dispensé au grand public, ce qui n'est pas le cas ici : aucun appel au véganisme et à l'abolition de l'exploitation animale ne figure en effet sur les pancartes.

    Seule l'abolition d'une pratique est exigée : celle de la corrida.

    Ce qui ne veut rien dire et ne sert à rien.

    Mais ces "militants" sont-ils seulement persuadés que les animaux sont des personnes ?

    A l'évidence non, puisque pour eux militer est prétexte à mascarade et festivités, ce qui montre le peu de valeur morale qu'ils accordent en fin de compte à ceux dont ils prétendent défendre les "droits".

    Sont-ils végans ?

    Parions que la réponse est non, pour tout ou partie d'entre eux.

  • "Toujours plus d'abandons d'animaux l'été" (La République des Pyrénées)

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    Malgré le pic d'abandons l'été, de nombreuses cages restent vides à la SPA de Pau. (Ascencion Torrent)

    Les Français aiment les animaux domestiques.

    D'ailleurs, nous vivons dans le pays où l'on recense le plus d'adoptions, mais également le plus d'abandons.

    "Les Français prennent un animal pour Noël, mais pas pour toujours", s'insurge Paulette Cassou, de la SPA de Tarbes.

    Ce constat, sous forme de boutade, masque pourtant une réalité : le nombre d'abandons d'animaux ne cesse de croître.

    Et cette tendance s'accentue l'été.

    Les Pays de l'Adour ne démentent pas le mouvement.

    "Nous remarquons une recrudescence d'animaux abandonnés l'été à Tarbes, surtout des chats", regrette Paulette Cassou.

    "Il y a toujours un pic à cette période, même si la différence est moins sensible qu'auparavant car les abandons ont augmenté toute l'année" rajoute Joëlle Turcat, la présidente du refuge de Bachefores à Bayonne.

    A Pau, l'Association de défense animale pyrénéenne (ADAP) ressent également la différence durant la période des vacances.

    "Nous récupérons environ 50 % d'animaux en plus, dans la grande majorité des chats et des chiens, et parfois quelques rongeurs comme des lapins", constate Amélie Crapeau, bénévole à l'ADAP.

    Le long de l'année, les animaux sont rejetés à cause d'une grossesse ou de l'avancement de leur âge.

    Dans l'autre sens, un divorce, l'hospitalisation ou le placement en maison de retraite du propriétaire les poussent souvent sur la touche.

    A ces causes classiques s'ajoute l'été le lot des vacanciers qui ne savent que faire de leur bête pendant leur voyage.

    Les conséquences de ces abandons s'avèrent prévisibles.

    Les animaux se retrouvent obligés d'errer dans la ville ou les campagnes s'ils ne trouvent pas refuge dans une structure habilitée à les garder.

    "Certaines personnes nous contactent directement mais nous repérons souvent des animaux dans la rue et parfois pire. Nous avons déjà retrouvé des chats dans des containers", s'émeut Amélie Crapeau.

    Pourtant, des solutions existent pour lutter contre l'abandon des animaux pendant les vacances d'été.

    En premier lieu, des distributeurs de croquettes pour éviter la fuite ou la sous-alimentation de l'animal.

    Plus sûr pour les compagnons poilus, les propriétaires peuvent les placer dans une pension.

    Et s'ils souhaitent éviter les coûts supplémentaires, pourquoi ne pas solliciter un voisin ou un ami ?

    En tout cas, les estivants disposent de bien des alternatives à l'abandon de leur animal de compagnie.

    Amélie Crapeau ne mâche pas ses mots :

    "Un animal abandonné, c'est un animal mort".

    Pour lutter contre ce fléau, elle préconise la prévention en amont plutôt que les thérapies a posteriori.

    Et pour l'ADAP, un réflexe de stérilisation réduirait fortement le nombre de gestations non souhaitées par les propriétaires.

    En conséquence, il y aurait beaucoup moins d'animaux abandonnés ou alimentant un marché déjà saturé.

    "Même si ce n'est pas toujours facile financièrement, cela éviterait des situations grotesques, explique-t-elle. Ainsi, actuellement nous venons en aide à une dame qui se retrouve submergée par pas moins de... 27 chiens".

    >> Renseignements : www.adap64.com - Adoption : 06 52 16 65 13

    La moitié des cages de la SPA de Pau inoccupées

    Contrairement à ses voisins, la SPA de Pau ne paraît pas submergée : une soixantaine d'animaux pour une capacité d'accueil de 130.

    Les membres de l'ADAP le clament avec insistance : ils sont submergés par les abandons de chiens et de chats, en particulier pendant l'été.

    Mais à la SPA de Pau, où l'on a préféré nous répondre sous couvert d'anonymat, on repère seulement une "légère hausse l'été".

    La SPA paloise ne fournit pas de chiffres.

    Elle reconnaît toutefois accueillir au moins un animal tous les jours, et cinq la veille de notre passage.

    Pourtant, aux animaux enfermés à l'entrée du chenil succèdent rapidement des cages et une cour vides.

    Environ 50 chiens et dix chats résidaient le jour du reportage dans le refuge pour une capacité d'accueil de 130 bêtes. Paradoxal.

    En comparaison, la SPA de Tarbes se dit en surpopulation tout le long de l'année, malgré 8 000 m² de terrain d'accueil.

    "C'est le tonneau des Danaïdes. On donne d'un côté, on récupère de l'autre", déplore Paulette Cassou, de la SPA de Tarbes.

    Le son de cloche ne change guère au refuge de Bachefores à Bayonne.

    "Nous, nous sommes pleins tout le temps", constate Joëlle Turcat, la présidente du refuge.

    Comment se fait-il que la SPA de Pau ne soit pas remplie à moitié quand les refuges alentours sont dépassés par les animaux abandonnés ?

    Un mot revient sans cesse dans la bouche des défenseurs des animaux : l'euthanasie.

    La SPA de Pau nous explique que ce mot est tabou dans leur structure en général, même si cette pratique existe parfois.

    L'explication manque, la question persiste : pourquoi les cages de Pau sont-elles vides, alors que les abandons ne diminuent pas ?

    Guillaume Bur

    http://www.larepubliquedespyrenees.fr/2012/08/21/animaux-toujours-plus-d-abandons,1094850.php

  • Seule compte la sentience (Gary Francione)

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    Les animaux presque humains : ainsi s’intitule la partie d’un cours de psychologie en ligne.

    Elle fournit un parfait exemple de ce qui vient renforcer la notion, gravement problématique, selon laquelle les seules capacités cognitives qui comptent moralement sont les capacités cognitives de type humain — et non pas simplement la sentience, ou la conscience subjective.
     
    Dans la mesure où nous relions le statut moral des animaux aux caractéristiques cognitives situées au-delà de la sentience, nous perpétuons cette arrogance humanocentrique qui constitue le spécisme.

    Le fait de dire que seuls les animaux qui sont « comme nous » comptent sur le plan moral est similaire au fait de dire que les humains à peau claire ont davantage d’importance que les humains à peau foncée.

    Pourtant la question n’est pas de connaître le degré d’ « intelligence » des animaux, ni de savoir s’ils possèdent les capacités mentales que nous reconnaissons comme nôtres.

    Le fait qu’ils soient sentients est la seule caractéristique dont ils ont besoin pour que nous ayons le devoir moral de ne pas les utiliser comme ressources.

    Le « mouvement animaliste », qui en plus de promouvoir l’exploitation « heureuse », continue d’être obsédé par les grands singes nonhumains, les mammifères marins, les éléphants, etc., patauge littéralement dans le spécisme.

    Une telle approche pose un grave problème pour au moins deux raisons :

    1. Elle ignore que les caractéristiques situées au-delà de la sentience ne sont moralement pas pertinentes pour déterminer si nous sommes justifiés à utiliser un être vivant exclusivement comme ressource humaine.

    Replaçons cela dans un contexte humain.

    Le fait d’être « intelligent » peut importer dans certaines situations, comme de savoir si nous devons accorder une bourse d’études à un étudiant, mais est sans pertinence aucune pour savoir si nous avons le droit d’utiliser quelqu’un comme donneur d’organes forcé ou comme sujet non consentant d’une expérience biomédicale.

    Nous devons agir de la même façon dans un contexte impliquant des animaux.

    2. Elle érige le principe suivant : que les animaux, si « pareils à nous » soient-ils, peuvent ne jamais gagner.

    Par exemple, nous savons depuis longtemps que les grands singes nonhumains nous ressemblent à toutes sortes d’égards.

    Pourtant, nous continuons de les exploiter.

    Si « pareils à nous » soient-ils, ils ne le seront cependant jamais assez pour que cette « ressemblance » soit traduite en l’obligation morale, de notre part, d’arrêter de les exploiter.

    Ce que j’appelle l’approche par la « similitude des esprits » (similar minds approach) implique un jeu auquel les animaux ne peuvent jamais gagner.

    Ils ne seront jamais assez « pareils à nous ».

    Question finale : le fait de se focaliser sur la sentience elle-même établit-il une hiérarchie des êtres sentients sur les êtres non sentients ?

    Non, parce que la sentience est une caractéristique nécessaire et suffisante pour posséder des intérêts (des préférences, des désirs, une volonté) en premier lieu.

    Un rocher n’est pas sentient ; il n’aaucune sorte d’esprit manifestant des préférences, des désirs ou une volonté de quoi que ce soit.

    Une plante est vivante mais n’a aucune sorte d’esprit manifestant des préférences, des désirs ou une volonté de quoi que ce soit.

    Il est intéressant de noter que le « mouvement animaliste » lui-même perpétue l’idée que les poulets (les animaux les plus exploités en termes purement numériques) manquent tous de ces caractéristiques cognitives « spéciales », et que nous pouvons donc continuer de les utiliser comme ressources dès lors que nous le faisons « avec humanité ».

    Et bien que la liste des sept animaux dont il est question dans ce cours de psychologie inclue les animaux autres que ceux que les animalistes ont coutume de fétichiser, elle exclut toujours les poulets ainsi que nos principales sources de produits laitiers : les vaches.

    Comme c’est pratique.

    *****
    Si vous n’êtes pas végan, s’il vous plaît, devenez-le.

    Le véganisme est une question de non-violence.

    C’est avant tout une question de non-violence envers les autres êtres sentients.

    Mais c’est également une question de non-violence envers la terre et envers vous-même.

    Gary L. Francione
    Professeur, Rutgers University
    ©2012 Gary L. Francione

     
    Texte original :
  • Véganisme : une bonne résolution pour la rentrée

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    VOUS PENSEZ QUE LES ANIMAUX ONT UNE VALEUR MORALE, ET PAS SEULEMENT LES CHIENS ET LES CHATS ?

    QU'ILS N'ONT PAS A ETRE EXPLOITES AU NOM DU PLAISIR GUSTATIF, DE LA MODE OU DU DIVERTISSEMENT ?

    VOUS SOUSCRIVEZ AU PRINCIPE DE NON-VIOLENCE ?

    DEVENEZ VEGAN : le véganisme est le seul mode de vie cohérent avec vos idées,

    le seul mode de vie permettant la fin de l'exploitation de ceux que vous affirmez défendre.

  • GREEN HILL : suite !

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    Message de Michèle Scharapan :

    "Le juge a donné aujourd'hui sa réponse : Green Hill reste sous séquestre malgré l'appel de la société à laquelle appartient Green Hill (Marshall), ce qui signifie que TOUS les chiens vont pouvoir être confiés à de futurs adoptants.

    Je crois qu'aujourd'hui il y en a quasiment 600 de libérés !

    Pour ceux et celles que cela intéresse, j'ajoute sur ma page Facebook les informations au fur et à mesure :

    https://www.facebook.com/felix.elio"

  • « Animaux de compagnie » : les problèmes inhérents à la domestication (Gary Francione)

    http://dogbreedinsight.com/wp-content/uploads/2012/01/Labrador-Retriever-17.jpg

    Dans la pratique, le système consistant à posséder des « animaux de compagnie » n’est absolument pas cohérent avec une théorie sensée des droits des animaux.

    Les « animaux de compagnie » sont des propriétés et, en tant que tels, la valeur qu’on leur accorde dépend finalement de ce que leurs « propriétaires » en décident.

    Mais vous pourriez demander : « Et si c’était possible ? Si, de manière hypothétique, nous changions le statut légal des chiens et des chats de sorte qu’ils ne soient plus des propriétés et acquièrent un statut proche de celui des enfants humains, continuer la reproduction des chiens et des chats (ou d’autres non-humains) et détenir des « animaux de compagnie » serait-il dès lors moralement justifiable ? »

    Ma réponse à cette question purement hypothétique est « non ».

    Nous ne pouvons justifier la perpétuation de la domestication dans l’objectif d’avoir des « animaux de compagnie ».

    Les animaux domestiqués dépendent de nous pour tout ce qui est important dans leurs vies : quand et si ils vont manger ou boire, quand et où ils vont dormir ou se soulager, s’ils obtiendront de l’affection ou s’ils feront de l’exercice, etc.

    Bien qu’on puisse dire la même chose concernant les enfants humains, la majorité d’entre eux deviennent, une fois adultes, des êtres indépendants et autonomes.

    Les animaux domestiques ne font pas réellement partie de notre monde, ni du monde des non-humains.

    Ils sont pour toujours dans un enfer de vulnérabilité, dépendant de nous en toute chose et en danger dans un environnement qu’ils ne comprennent pas vraiment.

    Nous les avons élevés afin qu’ils soient conciliants et serviles, qu’ils soient dotés de caractéristiques qui sont réellement dangereuses pour eux mais plaisantes pour nous.

    Nous pouvons les rendre heureux dans un sens, mais cette relation ne peut jamais être « naturelle » ou « normale ».

    Ils ne font pas partie de notre monde et y sont coincés, indépendamment de la façon dont nous les traitons.

    Nous ne pouvons justifier un tel système, quand bien même il serait très différent de la situation actuelle.

    Ma compagne et moi vivons avec cinq chiens sauvés, dont certains souffraient de problèmes de santé lorsque nous les avons adoptés.

    Nous les aimons beaucoup et nous efforçons de leur procurer les meilleurs soins et traitements.

    (Et avant que quelqu’un pose la question, nous sommes végans tous les sept !)

    Vous ne trouveriez probablement pas sur cette planète deux autres personnes aimant plus que nous vivre avec les chiens.

    Et nous encourageons toute personne à adopter ou accueillir autant d’animaux (de n’importe quelle espèce) qu’elle le peut de façon responsable.

    Mais s’il n’y avait plus que deux chiens dans l’univers et qu’il ne tenait qu’à nous de décider s’ils pourraient se reproduire afin que nous puissions continuer à vivre avec des chiens, et même si nous pouvions garantir que tous ces chiens auraient un foyer aussi aimant que le nôtre, nous n’hésiterions pas une seconde à mettre fin au système de possession d’« animaux de compagnie ».

    Nous considérons les chiens avec qui nous vivons comme des sortes de réfugiés, et bien que nous appréciions prendre soin d’eux, il est clair que les humains n’ont pas le droit de continuer à faire naître ces créatures dans un monde auquel ils ne sont tout simplement pas adaptés.

    Je comprends qu’un grand nombre de gens soient déconcertés par mon argumentation sur les problèmes inhérents à la domestication.

    Mais c’est parce que nous vivons dans un monde où nous tuons et mangeons 56 milliards d’animaux par an (sans compter les poissons), et où notre meilleure « justification » d’un tel acte est que nous apprécions le goût de la chair animale et des produits d’origine animale.

    La plupart d’entre vous qui lisez ces lignes ne sont probablement pas végans.

    Aussi longtemps que vous penserez qu’il est acceptable de tuer et de manger les animaux, l’argument le plus abstrait concernant leur domestication en vue de les exploiter en tant qu’ « animaux de compagnie » n’est certainement pas en mesure de faire écho en vous.

    J’en suis conscient.

    Par conséquent, prenez quelques minutes pour lire certains des nombreux autres essais de ce site qui parlent du véganisme, tels que : « Pourquoi le véganisme doit être la base du mouvement » .

    Ensuite, reconsidérez la question des « animaux de compagnie ».

    J’en discute également dans deux podcasts : Commentaire n° 2 : « Animaux de compagnie » et Commentaire n° 4 : suite d’ « Animaux de compagnie » : « Les chats non végétaliens ».

    ******

    Si vous n’êtes pas végan, s’il vous plaît, devenez-le.

    Le véganisme est une question de non-violence.

    C’est avant tout une question de non-violence envers les autres êtres sentients.

    Mais c’est aussi une question de non-violence envers la Terre et envers vous-même.

    Si vous êtes dans la capacité d’adopter ou d’accueillir momentanément un animal, s’il vous plaît, faites-le.

    La domestication est moralement condamnable, mais les animaux qui existent ici et maintenant ont besoin de nos soins.

    Leurs vies sont aussi importantes pour eux que les nôtres le sont pour nous.

    The World is Vegan! If you want it.

    Gary L. Francione
    Professeur, Rutgers University

    ©2012 Gary L. Francione

    http://fr.abolitionistapproach.com/2012/07/31/animaux-de-compagnie-les-problemes-inherents-a-la-domestication/

    Texte original : http://www.abolitionistapproach.com/pets-the-inherent-problems-of-domestication/

  • Rescapé-e-s du labo/camp de la mort GREEN HILL (Italie) : et la première fut baptisée Vegan

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    Voici quelques photos du premier jour de liberté des beagles de Green Hill... et de la première journée d'adoption.

    En premier est sortie une chienne qui était dans ce camp depuis plusieurs années, comme reproductrice, et dont les petits étaient livrés à la vivisection.

    Elle a été confiée à Giuliano, magnifique militant du "coordinamento Fermare Green Hill", collectif grâce auquel nous pouvons aujourd'hui nous réjouir.

    Il a été le premier adoptant choisi, geste symbolique de la part des autres associations chargées des adoptions, envers ce collectif.

    Cette chienne a été baptisée Vegan !...

    Voici des photos de Vegan et Giuliano...

    Bien sûr, les adoptions se poursuivent aujourd'hui encore, et maintenant nous espérons que le jugement qui doit être rendu fin août, signera la fin de ce camp maudit.

    Michèle Scharapan

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