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Libération animale - Page 57

  • Belgique : la Province du Brabant flamand s’implique dans le bien-être des animaux - Lecteur de puce pour animaux perdus et trouvés

    chien chat.jpg

    Le 4 octobre est la Journée mondiale des animaux.

    Les amis et les défenseurs des animaux qui se mobilisent pour les droits des animaux dans notre société se rassemblent à cette date depuis 1929.

    A cette occasion ils attirent l’attention sur toute la souffrance infligée aux animaux.

    Notre pays compte environ 1.750.000 chiens et 1.600.000 chats.

    La Province du Brabant flamand se préoccupe du sort de nos chers amis à quatre pattes.

    La Province participe avec des communes, des zones de police et des refuges pour animaux à des initiatives en vue d’améliorer le bien-être des animaux.

    Pour rendre plus efficiente la politique du bien-être des animaux, on a élaboré une déclaration de principe pour une commune respectueuse des animaux.

    Cinq communes ont déjà signé ce programme de base.

    Il existe en outre un nouvel accord de collaboration entre les communes et les refuges.

    Enfin la Province a lancé la campagne « Identification obligatoire de votre animal ».

    « Malgré cette obligation, dit le député Walter Zelderloo chargé du bien-être des animaux, il y a encore énormément de chiens qui n’ont pas de puce électronique, et beaucoup de propriétaires de chevaux ne sont pas encore au courant de la réglementation.

    C’est pourquoi nous profitons de la Journée mondiale des animaux pour inciter les propriétaires à faire enregistrer leurs animaux. »

    « La police locale a aussi un rôle à jouer, dit Daniel Noens, commissaire de la zone de police Asse, Merchtem, Opwijk et Wemmel, et elle est indispensable pour faire respecter les droits des animaux.

    La police locale est également équipée d’un appareil pour lire les puces des animaux perdus et trouvés.

    Pour les amis des animaux il est donc très important que leur animal possède une puce, de manière à ce que leur cher compagnon puisse être retrouvé rapidement en cas de fugue. »

    03 Okt 2009
    Hilda Renders
    Roger Mortelmans

    http://www.editiepa jot.com/regios/ 2/articles/ 8779

  • Florence Burgat : "S’agissant des souffrances endurées par les animaux, il ne tient qu’à nous d’y mettre fin"

    http://www.la-viande.info/images/boeufs/abattoir4_boeufs.jpg

    ... Le 04 octobre est la « journée mondiale des animaux...

    Nous sommes le 04 octobre 2009.

    Parce que c’est le jour de la Saint François d’Assise, le 04 octobre est déclaré « journée mondiale des animaux ».

    Une journée par an.

    Non pas pour nous souvenir de la manière dont l’humanité a, durant des siècles, traité les animaux, et se demander comment cela a pu être possible.

    Mais une journée par an pour parler de ce qu’ils subissent tous les jours, sans répit, partout dans le monde et depuis toujours.

    Quand les choses vont-elles enfin changer ?

    Deux choses ont changé dans l’histoire sombre des animaux.

    La première chose, c’est qu’on n’a jamais autant tué d’animaux qu’aujourd’hui, on n’en a jamais autant exploités.

    Jamais la condition des animaux n’a été aussi dure.

    Ce sont par milliards qu’ils sont enfermés dans les bâtiments d’élevage, abattus à la chaîne, tués par balle, par poison ou par piège à la chasse, pêchés, capturés pour leur fourrure ou leur « exotisme », utilisés dans les laboratoires, dressés et mutilés dans les cirques, abrutis de solitude dans les zoos…

    L’urgence grandit.

    Car nous avons désormais les moyens scientifiques et techniques d’obtenir d’eux toujours plus : plus de viande, plus de lait, plus de connaissances scientifiques, plus de tout…

    Le monde animal est exténué.

    L’homme est en passe d’éradiquer les derniers animaux libres, au profit d’un stock à gérer apte à répondre à tous nos besoins, y compris les plus futiles.

    Le fait est là.

    La seconde chose, c’est qu’un mouvement mondial de protection et de défense des droits des animaux s’est levé, structuré, amplifié.

    Il veille, informe, dépense toute l’énergie possible pour dissiper l’indifférence ou l’inconscience de gens qui, pour la plupart, n’ont aucune idée de ce à quoi ils participent par des achats qui semblent bien anodins : du jambon, un yaourt, une paire de chaussures, un rouge à lèvres.

    Quand les choses vont-elles enfin changer ?

    Souvent, nous déplorons notre impuissance en apprenant que se passent dans le monde des tortures d’humains, des crimes, des enfermements…

    S’agissant des souffrances endurées par les animaux, il ne tient qu’à nous d’y mettre fin : en nous informant et en nous abstenant d’acheter les produits issus de l’exploitation animale.

    Nous avons pratiquement chaque fois le choix.

    L’alternative nous est quasiment toujours offerte.

    Cessons de marcher tête baissée, aveugles et sourds à ce qui – il est vrai – est caché, afin que nul ne voie ni n’entende.

    ===================

    Florence Burgat est directeur de recherche en philosophie à l'Institut national de la recherche agronomique (Paris, France).

    Elle a enseigné durant quatre ans à l'EHESS.

    Elle est actuellement rattachée à l'équipe d'accueil « Philosophies contemporaines » (université de Paris I).

    A travaillé sur la définition de l'animalité dans la philosophie occidentale moderne et contemporaine, et publié sur ce thème, outre de nombreux articles, Animal, mon prochain (Odile Jacob, 1997).

    Elle travaille aussi sur la condition des animaux dans notre société : L'animal dans les pratiques de consommation (Puf, 1995) ; La protection de l'animal (Puf, 1997) ; avec la collaboration de Robert Dantzer, Les animaux d'élevage ont-ils droit au bien-être ? (éditions de l'Inra, 2001) ; L'animal dans nos sociétés (La Documentation française, revue Problèmes politiques et sociaux, janvier 2004).

    Ses recherches portent actuellement sur les approches phénoménologiques de la vie animale : Liberté et inquiétude de la vie animale (Kimé, 2006).

    Elle a dirigé un ouvrage collectif : Penser le comportement animal. Contribution à une critique du réductionnisme, à paraître en Janvier 2010, aux éditions de la Maison des Sciences de l'Homme (Paris).


    Source : Florence Burgat: Les animaux d'élevage ont-ils droit au bien-être ?

    Link : 4 octobre - journée mondiale des animaux - video

    http://www.evana.org/index.php?id=48817&lang=en

  • Appel à l'action contre GNC qui vend du cartilage de requin

    GNC_campaign.jpg

    GNC est une chaine de magasins d'aliments naturels qui vend encore du cartilage de requins.

    Suite à la dernière campagne de protestation du SSS (Sea Shepherd Suporters), la chaîne "Nutrition House" a cessé de vendre tous produits issus ou contenant du requin.

    Merci d'envoyer la lettre ci-dessous par mail à GNC pour leur demander de cesser de vendre des produits de cartilage de requin et de cesser par ce fait de soutenir le massacre de millions de requins chaque année !!

    Merci d'envoyer à l'adresse ci-dessous :

    AAN : customer-service@gnc-hq.com

    Voici la lettre type à envoyer :

    Dear GNC,

    I am concerned to see that you have shark cartilage products on sale, and wondered whether you are aware of the problems facing shark populations worldwide?

    Sharks have been on the planet for around 400 million years, and as top predators they play an important role in marine ecosystems.

    Sharks are slow-growing, late to mature, and do not reproduce often - this means that shark populations are particularly vulnerable to overfishing and recover slowly, if at all.

    Consequently, shark populations are declining rapidly due to the immense fishing pressure exerted on them.

    One third of European shark populations are considered Threatened (Critically Endangered, Endangered or Vulnerable) under IUCN Red List criteria.

    I understand that shark cartilage is commonly procured as a by-product of shark fisheries.

    However, all commercial products provide added incentive for unsustainable shark fisheries, and serve to boost the value of dead sharks rather than encourage the value of live sharks.

    Although the Shark Trust supports full utilisation of sharks landed, unsustainable shark fishing is a threat to shark populations worldwide, and the sale of products from such fisheries threatens to deplete vulnerable species.

    Shark cartilage products are commonly produced using cartilage from the Spiny Dogfish (Squalus acanthias) or Blue Shark (Prionace glauca).

    The Spiny Dogfish is listed in the 2006 IUCN Red List assessment as globally Vulnerable (i.e. facing a high risk of extinction in the wild), with North Atlantic, North Pacific and South American stocks all listed in a threat category (Vulnerable, Endangered or Critically Endangered).

    Until recently this species was among the most abundant shark species in the world, but has been heavily exploited in poorly regulated fisheries that often target pregnant females.

    The 2006 IUCN Red List assessment listed the Northeast Atlantic population of the Blue Shark as Vulnerable.

    This species is highly migratory, and it is likely that the entire Atlantic population of Blue Sharks is under threat.

    Blue Sharks are among the most heavily fished sharks in the world, and are often caught as bycatch.

    Although shark cartilage may be a popular supplement, the market for such products is unsustainable while cartilage is procured from endangered species, and continued sale of these products contributes to the decline of shark populations globally.

    Furthermore, there have to date been no rigorous clinical trials providing evidence of the efficacy of commercial shark cartilage supplements in treating conditions such as arthritis and cancer.

    I strongly urge you to consider removing shark cartilage products from your stores, and to explain to your customers why you are taking this decision, as public awareness of this issue is essential to improving shark conservation worldwide.

    The following is the response from Nutrition House, another nationwide chain of health food outlets, after hundreds of our members contacted them from around the world voicing their strong disapproval of the sales of any shark products.

    Dear Shark Shepherd Supporters

    We are writing in response to your blog posting and subsequent messages regarding Shark Cartilage.

    Nutrition House takes its responsibilities to the environment seriously.

    We have been working with www.SharkWater.com and www.sharktrust.org, as you suggested, to get a better sense of the threats to the shark population and the impact of shark finning.

    PRENOM, NOM
    VILLE, PAYS


    Traduction de cette lettre :

    "GNC,

    Je suis préoccupé de voir que vous avez des produits de cartilage de requin à la vente, et je me demande si vous êtes au courant des problèmes que rencontrent les populations de requins dans le monde ?

    Les requins sont sur la planète depuis environ 400 millions d'années, et en tant que top prédateurs, ils jouent un rôle important dans les écosystèmes marins.

    Les requins ont une croissance lente, sont lents à arriver à maturité, et ne se reproduisent pas souvent - cela signifie que les populations de requins sont particulièrement vulnérables à la surpêche et se redressent lentement, voire pas du tout.

    En conséquence, les populations de requins sont en déclin rapide en raison de l'immense pression de la pêche exercée sur eux.

    Un tiers des populations de requins européennes sont considérées comme menacées (En danger critique d'extinction, en danger ou vulnérable) en vertu des critères de la Liste rouge de l'UICN.

    Je comprends que le cartilage de requin est communément acheté en tant que sous-produit de la pêche au requin.

    Cependant, tous les produits commerciaux fournis ajoutent l'incitation pour les insoutenables pêches au requin, et servent à accroître la valeur des requins morts plutôt que d'encourager la valeur des requins vivants.

    Bien que le Shark Trust soutient la pleine utilisation des requins débarqués, la pêche au requin non durable est une menace pour les populations de requins dans le monde entier, et la vente de produits provenant de ces pêcheries, menace d'épuiser les espèces vulnérables.

    Les produits de cartilage de requin sont généralement produits à partir de cartilage de l'aiguillat commun (Squalus acanthias) ou requin bleu (Prionace glauca).

    L'aiguillat commun est répertorié dans l'évaluation de 2006 de la Liste rouge de l'UICN comme vulnérable au niveau mondial (soit confronté à un risque élevé d'extinction à l'état sauvage), avec les stocks de l'Atlantique Nord, du Pacifique Nord et de l'Amérique du Sud tous listés dans une catégorie menacée (vulnérables, menacés ou gravement en voie de disparition).

    Jusqu'à récemment, cette espèce était parmi les espèces de requin la plus abondante dans le monde, mais a été fortement exploitée dans les pêcheries mal réglementées qui ciblent souvent les femelles enceintes.

    En 2006, la Liste rouge de l'UICN a énuméré les populations du Nord-Est de l'Atlantique de requin bleu comme vulnérables.

    Cette espèce est hautement migratoire, et il est probable que l'ensemble de la population de requins bleus de l'Atlantique est sous la menace.

    Les requins bleus sont parmi les requins les plus fortement exploités dans le monde, et sont souvent capturés comme prises accessoires. 

    Bien que le cartilage de requin puisse être un complément très apprécié, le marché de tels produits n'est pas viable si le cartilage est obtenu à partir d'espèces menacées, et la poursuite de la vente de ces produits contribue à la diminution des populations de requins dans le monde.

    En outre, il y a eu à ce jour aucun essai cliniques rigoureux apportant la preuve de l'efficacité de suppléments commerciaux de cartilage de requin dans le traitement des affections comme l'arthrite et le cancer.

    Je vous invite instamment à envisager de retirer les produits de cartilage de requin de vos magasins, et d'expliquer à vos clients pourquoi vous devez prendre cette décision, comme la sensibilisation du public sur cette question est essentielle pour améliorer la conservation des requins dans le monde entier.

    Ce qui suit est la réponse de Nutrition House, une autre chaîne nationale de magasins d'aliments naturels, après que des centaines de nos membres les aient contacté du monde entier exprimant leur réprobation à la vente de tous produits de requins.

    Chers Shark Shepherd Supporters

    Nous vous écrivons en réponse à votre post sur votre blog et aux messages concernant le cartilage de Requin.

    Nutrition House prend ses responsabilités face à l'environnement au sérieux.

    Nous avons travaillé avec www.SharkWater.com et www.sharktrust.org , comme vous l'avez suggéré, pour obtenir une meilleure idée des dangers qui menacent la population de requins et l'impact de la découpe des nageoires de requin...."

    Merci pour les requins.

    http://blogaction-animaux.over-blog.fr/article-36951365.html

  • Samedi 24 octobre à Paris : grande marche contre la fourrure

    La vérité sur la fourrure-torture : regardons-la en face

    Le commerce de la fourrure représente encore plus de 50 millions d’animaux massacrés chaque année au nom de la vanité et de l’argent !

    Appel à tous les militants, associations et citoyens pour une grande marche unitaire contre la fourrure !

    Venez nombreux !


    PROGRAMME :

    14h30 : Lieu de rendez-vous Place de l'Opéra, à Paris (métro Opéra).

    15h00 : Départ du cortège.

    17h-17h30 : Retour Place de l’Opéra. Discours des représentants des associations.

    18h30 : Fin de la manifestation.

    • Nous demandons à tous les manifestants d’être vêtus de noir afin de témoigner de notre deuil pour tous les animaux massacrés.
    • Des sifflets et pancartes seront à la disposition des manifestants.
    • Nous remercions toutes les associations et participants de se munir uniquement de pancartes et bannières ayant pour sujet la fourrure.
    • Évitez, s'il vous plaît, de porter du cuir (ou de la fourrure ;)) afin de ne pas donner prise à nos contradicteurs.
    UNE AFFICHE À IMPRIMER

    affiche marche.jpg

    Vous pouvez aider en imprimant cette affiche (cliquez dessus pour l'avoir en grand) et en la plaçant dans des endroits stratégiques comme des restaurants végétariens ou des magasins bio !

    Ce ne sont que des suggestions, n'hésitez pas utiliser vos propres astuces.

    Bientôt, nous aurons aussi une jolie affiche en couleur à vous proposer.

    POURQUOI CETTE MARCHE UNITAIRE ?

    L'hiver approche et, avec lui, les tendances de la mode qui font la réputation de la France.

    Mais cette réputation est entachée du sang des pauvres créatures qui auront souffert jusqu'à leur mort atroce...

    Un animal meurt toutes les secondes pour que les humains puissent se pavaner avec de la fourrure.

    Cette année, pour faire entendre nos voix et crier haut et fort qu'il est temps de stopper cette atrocité qu'est la fourrure, rejoignez-nous tous le 24 octobre pour une grande marche unitaire contre la fourrure.

    Il faut que nous soyons le plus nombreux possible, toutes les associations doivent se joindre à nous, chacun pourra apporter ses banderoles et affiches.

    Réservez d'ores et déjà cette date !

    Plus d'infos à venir...

    marchecontrelafourrure2009@live.fr

    http://contrelafourrure.blogspot.com/

    [fourrure.png]

  • Toro de la Vega : pour plus d'humanité

    http://images.animanaturalis.org/posts/med/200909/P15-27904.jpg

    Toro de la Vega

    73 Espagnols entament une démarche de justice demandant une humanisation de la fête du Toro de la Vega.

    Les plaignants considérant que "rien de traditionnel ne se trouve dans la fête sanglante telle qu'elle se réalise au jour d'aujourd'hui."

    C'est un avocat de Malaga qui représente ces 73 citoyens espagnols.

    Ce groupe demande que soit réinstituée la norme de 1966 qui prévoyait qu'"il n'y aurait aucune blessure et que les animaux ne subiraient aucune aggression, pas de  coups ou blessures, le spectacle se réduisant àun encierro."


  • 2 octobre : Journée internationale de la non-violence - Ce 2 octobre, "One World, One Conscience"(mouvement de défense de la planète) fête son premier anniversaire

    VEGnord relaie sur Lille, cette campagne initiée par notre partenaire, l’association One Voice

    2 octobre : Journée internationale de la non-violence

    Ce 2 octobre, "One World, One Conscience"(mouvement de défense de la planète) fête son premier anniversaire.

    Des graines de lavande, symbole de tendresse, sont offertes au public dans des dizaines de villes, en simultané.

    Chaque citoyen est invité à faire pousser de la lavande dans sa maison ou dans son jardin pour symboliser son engagement à cultiver la tendresse dans sa façon de vivre et de consommer.

    Seul un mode de vie éthique, non violent, est en mesure de bâtir une civilisation de paix, au bénéfice de la Terre, notre "maison" et de tous ses habitants, sans exclusion.

    Participez à l’opération Mains Bleues c’est marquer un engagement écocitoyen pour tous les êtres vivants.

    Et en particulier pour les papillons et les abeilles qui, menacés par nos activités polluantes, apprécieront la lavande de votre maison ou de votre jardin.

    Articles liés : Comptes-rendus

    http://www.vegnord.fr/site/

  • Les Chirac abandonnent leur chien

    Sumo et les Chirac.jpg

    Décryptage : les Chirac ont abandonné leur chien...

    Bel exemple donné aux Français, qui vont se sentir confortés dans leurs mauvaises habitudes. (MP)

    ***

    Le bichon des Chirac n’a pas supporté de perdre l’Elysée

    Le petit bichon maltais blanc a été placé chez des amis de Jacques et Bernadette Chirac, dans une ferme de la région parisienne, selon le Parisien.

    « Il n’a pas supporté le départ de l’Elysée. Il était tout petit, il venait de naître et au bout d’un moment, dans cet appartement, il a eu le cafard. Alors il s’est mis à être agressif », a expliqué Bernadette Chirac au journal.

    Après l’élection de Nicolas Sarkozy en mai 2007, le couple Chirac a quitté le palais de l’Elysée pour un appartement du Quai Voltaire, en bord de Seine, prêté par un membre de la famille libanaise Hariri.

    A deux reprises, l’animal a mordu l’ancien chef d’Etat, âgé de 76 ans, conduisant le vétérinaire à prescrire des antidépresseurs.

    Il y a quelques mois, le chien a récidivé, en sautant sur Jacques Chirac : « Il l’a mordu à l’estomac. J’ai eu très très peur parce qu’il y avait du sang », a raconté l’ancienne Première dame.

    http://www.lesoir.be/sports/sports_mecaniques/2009-10-02/bichon-chirac-supporte-devoir-quitter-elysee-730497.shtml

  • Charal torture

    http://i.ytimg.com/vi/M57PhjgNq1k/hqdefault.jpg

    Abattoir Charal de Metz : Le ministre de l’Agriculture Bruno Le Maire se dit « choqué de certaines images diffusées par l’association L214 »


    Dans une lettre, adressée le 28 septembre à Brigitte Bardot, le ministre de l’Agriculture Bruno Le Maire écrit qu’il se soucie de la protection des animaux « à tous les échelons de la production » et qu’il en fait « un axe prioritaire » de son action.

    Le 18 septembre, la Fondation Brigitte Bardot intervenait auprès du ministre pour dénoncer les différentes infractions relevées à l’abattoir Charal de Metz.

    Aujourd’hui, le ministre se dit « choqué » par les images visionnées et rappelle que la suspension d’un animal avant qu’il soit étourdi ou mis à mort est interdite et que, dans le cadre de l’abattage rituel, l’immobilisation des animaux doit être maintenue jusqu’à la fin de la saignée (infractions relevées à l’abattoir Charal de Metz par l’association L214).

    Dans sa lettre, le ministre informe la Présidente de la Fondation Brigitte Bardot qu’il a « demandé à l’inspection générale de ce ministère (Agriculture) de conduire un audit interne dans les établissements d’abattage d’animaux de boucherie ».

    Cet audit devra « analyser les conditions dans lesquelles les contrôles sont réalisés par les services vétérinaires et les suites données aux constats de non-conformité dans le domaine de la protection animale ».

    Brigitte Bardot avait en effet dénoncé « l’attitude coupable des services vétérinaires qui, par leur non-intervention, se rendent complices de pratiques illégales, inacceptables et indignes ».

    D’autres propositions ont été faites par le ministre, notamment en ce qui concerne l’abattage rituel.

    A la lecture de la lettre de Bruno Le Maire, Brigitte Bardot s’est déclarée confiante :

    « Je n’ai jamais caché le peu d’estime que je porte aux ministres de l’Agriculture qui se sont succédés alors j’espère que Bruno Le Maire se démarquera et qu’il fera de la France un pays phare et non plus la lanterne rouge de la protection animale en Europe ».

    La lettre du Ministre :

    logo
    MINISTERE DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PECHE
    Le Ministre Paris, le 28 SEPT. 2009

    Madame la Présidente,

    Vous avez appelé mon attention sur les conditions déplorables d'abattage d'animaux de boucherie constatées par l'association L214 dans un abattoir à Metz.

    Je partage pleinement votre souci de protection des animaux à tous les échelons de la production.

    C'est un axe prioritaire de mon action.

    J'ai été choqué, comme vous, de certaines des images diffusées par l'association L214.

    Sur ce point, je rappelle que la suspension d'un animal, avant qu'il soit étourdi efficacement ou mis à mort, est explicitement interdite par l'article R.214-69 du code rural.

    Dans le cas particulier de l'abattage rituel, l'article R214-74 précise que l'immobilisation des animaux doit être maintenue jusqu'à la fin de la saignée.

    Ces mesures doivent être scrupuleusement respectées par les opérateurs qui ont la responsabilité de garantir que le process d'abattage ne suive pas son cours si l'animal n'est pas inconscient, même si des mouvements réflexes peuvent néanmoins survenir après la mort.

    À la suite de cette affaire, j'ai immédiatement demandé à l'inspection générale de ce ministère de conduire un audit interne dans les établissements d'abattage d'animaux de boucherie.

    Outre les conditions d'application de la réglementation par les opérateurs, cet audit devra analyser les conditions dans lesquelles les contrôles sont réalisés par les services vétérinaires et les suites données aux constats de non-conformité dans le domaine de la protection animale.

    Je tiens à cet égard à rappeler que la protection animale fait partie intégrante des préoccupations prises en compte dans l'inspection réalisée par mes services en abattoir.

    Par ailleurs, j'ai demandé à la direction générale de l'Alimentation de RÉUNIR LES professionnels pour préparer la mise en œuvre du nouveau règlement européen fixant les règles relatives à la protection animale lors de l'abattage, adopté par les ministres européens de l'agriculture en juin dernier.

    La mise en œuvre de ce règlement doit notamment permettre : - la définition de modes opératoires intégrant des spécifications techniques plus précises prenant en compte le bien-être animal ; - une obligation de formation renforcée et la création d'un certificat de compétence obligatoire pour tous les opérateurs, ainsi que la présence d'un correspondant protection animale (sur le modèle des responsables qualité) dans chaque abattoir.

    Une réunion spécifique sera par ailleurs organisée pour améliorer l'application de la réglementation existante de l'abattage rituel.

    Je souhaite en particulier que soit établi, en lien avec les professionnels et sur la base de recommandations scientifiques, un critère spécifique de durée minimale où la contention doit être maintenue pendant la phase de saignée.

    Le nouveau dispositif d'audit par des référents nationaux d'abattoirs, tel qu'il se généralise actuellement, montre son efficacité.

    Mais il faut que les actions correctives des dysfonctionnements constatés soient mises en œuvre plus efficacement.

    Je demanderai aux Préfets d'être particulièrement attentifs aux situations qui leur seront signalées.

    Un ordre de service sera également adressé à l'ensemble des services d'inspection en abattoir pour redéfinir et harmoniser les grilles de contrôles.

    Cette méthode d'inspection harmonisée sera également accompagnée - et cela constituera un tournant majeur - d'un cadre précis pour veiller à l'application effective de la réglementation.

    Enfin, je constate que les dispositions réglementaires existantes ne sont pas suffisamment dissuasives face à des comportements incompatibles avec la protection des animaux dans les abattoirs.

    Aussi ai-je demandé à mes services d'examiner la possibilité de donner aux Préfets la base juridique nécessaire pour retirer l'agrément d'un abattoir, en cas de non-respect manifeste du droit, jusqu'à la réalisation des aménagements nécessaires permettant un fonctionnement satisfaisant.

    Comme vous pouvez le constater, ma mobilisation est entière pour que la protection du bien-être animal progresse en France et en Europe.

    Je vous prie de croire, Madame la Présidente, à l'assurance de ma considération distinguée.

    http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/actu.php?id=40208&IdCat=

  • Chasse en Ariège : le préfet pro-chasse rappelé à l'ordre

    http://humour.cote.azur.fr/image/chasseur219.jpg

    L'affaire a débuté le 10 juin dernier par un arrêté préfectoral visant à définir l'exercice de la chasse en Ariège, pour la saison 2009-2010.

    A l'inverse de la tendance actuelle, qui voit nombre d'arrêtés commencer à prendre en compte les spécificités locales, le préfet de l'Ariège n'avait pas jugé bon d'intégrer des mesures pour préserver les gallinacés sauvages que sont le grand tétras et le lagopède alpin, ainsi que l'ours.

    Pour cette raison, le comité écologique ariégeois a attaqué cette décision au tribunal administratif de Toulouse, lequel a suspendu mi-septembre la chasse des deux gallinacés et demandé au représentant de l'Etat de définir des mesures de protection de l'ours dans le délai d'un mois, sans toutefois suspendre la possibilité de chasse en battue.

    Cette injonction va imposer au préfet de recenser les espaces les plus susceptibles d'être fréquentés régulièrement par les ours, pour les soustraire des zones de battues.

    Par ce biais, le risque de confrontation ours/chasseurs devrait se trouver considérablement réduit et permettre
    d'éviter des accidents comme par le passé.

    Pour les deux gallinacés précités, si le jugement sur le fond reste à venir, la chute de leurs effectifs avec une diminution d'au moins 30 %, entre 1995 et 2009, dans le Piémont central et dans la haute chaîne centrale des Pyrénées, dont relève l'Ariège, a été l'élément déterminant.

    Même si la chasse n'est qu'un des problèmes auxquels doivent faire face ces espèces, leur survie locale étant menacée, la suspension de leur chasse apparaît légitime.

    Si le comité écologique ariégeois peut se féliciter en soulignant qu' "enfin la situation de ces espèces est prise au sérieux. Le juge administratif a pris conscience de l'enjeu au contraire de la préfecture de l'Ariège et de la fédération départementale de la chasse"', les chasseurs locaux ont évidemment un sentiment inverse malgré les efforts de la préfecture.

    En effet, le préfet, Jacques Billant, avait signé le 15 septembre un nouvel arrêté précisant les prélèvements maximaux par chasseur, pour le grand tétras, le lagopède alpin et la perdrix grise de montagne (un coq grand tétras, six lagopèdes alpins, vingt perdrix grises de montagne).

    Suite à la décision de justice, ce nouvel arrêté n'aura été en fait qu'un ultime baroud d'honneur préfectoral, le représentant local de l'Etat prenant acte de la décision du juge et de sa confirmation apportée le 29 septembre.

    De leur côté, les chasseurs ne l'entendent pas ainsi, considérant leur droit à chasser remis en cause, ils le feront savoir en manifestant samedi à Foix, avec l'appui des deux députés ariégeois (1) qui se sont empressés de leur apporter leur soutien.

    Pascal Farcy

    1- Frédérique Massat et Henri Nayrou, respectivement député PS de la première et seconde circonscription d'Ariège.

    http://www.univers-nature.com/inf/inf_actualite1.cgi?id=3928

  • La Chine rédige enfin sa première loi sur la protection animale

    La Chine rédige enfin sa première loi sur la protection animale

    Extrait d'une vidéo sur le commerce de viande de chien en Chine
    Crédit : One Voice

    Plusieurs associations de protection des animaux se félicitent de l'initiative de la Chine qui travaille enfin à l'élaboration d'une loi sur la protection animale alors que le pays cumule les actes de barbarie envers les animaux.

    L'association One Voice rapporte que "des associations de défense animale, des législateurs et des personnalités officielles se sont réunis, le 4 septembre 2009, à Pékin, pour travailler à l'élaboration d'une loi de protection animale, qui fait cruellement défaut en Chine".

    Le projet de cette loi de protection animale qui définit les bases de traitement des animaux est actuellement mis en ligne pour une consultation publique.

    Puis le projet de loi sera soumis à l'Assemblée nationale populaire, l'organe du pouvoir législatif en Chine, cet automne.

    Rappelons qu'en Chine, seuls les animaux sauvages menacés d'extinction sont protégés.

    A ce titre, cette loi devrait concerner les animaux sauvages, les animaux de ferme, les animaux de compagnie, les animaux de laboratoire et les animaux utilisés comme outils de travail.

    Selon le Fonds international pour la protection des animaux (IFAW), cette loi présente les lignes directrices permettant de prévenir les maladies et de prodiguer les soins médicaux adéquats aux animaux.

    Par ailleurs, des recommandations relatives au bien-être des animaux de rente lors de leur transport et de leur abattage ont été incluses.

    De plus, en accompagnement de ce projet de loi, des modifications concernant la Loi Criminelle chinoise ont été suggérées afin de traduire les actes de cruauté envers les animaux en infractions pénales, souligne IFAW.

    L'adoption d'une loi de protection animale bénéficiera aux animaux, participera au développement économique du pays et répondra aux vœux de nombreux Chinois : en 2004, alors qu'un premier projet de loi avait avorté, 77 % approuvaient l'idée d'une loi limitant la souffrance des animaux, note One Voice.

    Le travail d'approfondissement entourant ce projet de loi est mené par une équipe spécialisée regroupant des chercheurs dirigés par le Professeur Chang Jiwen de l'Académie chinoise des Sciences sociales et appuyé par des associations de protection animale comme One Voice.

    IFAW rappelle qu'encore récemment, plusieurs villes chinoises ont privilégié les abattages massifs de chiens sous prétexte de présence du virus de la rage, tuant ainsi brutalement des dizaines de milliers d'animaux.

    De tels massacres ne devraient plus avoir lieu lorsque la loi sera adoptée.

    Pourtant, le peuple chinois ressent profondément la nécessité d'avoir une législation condamnant les actes de cruauté envers les animaux.

    Ainsi, suite au massacre récent de près de 40 000 chiens à Hanzhong, un sondage en ligne a révélé que sur les 63 000 participants, 89% souhaitaient la rédaction d'une loi interdisant les actes de cruauté envers les animaux.

    Des millions d'animaux souffrent horriblement en Chine

    Que ce soit dans les zoos ou les parcs, dans les fermes, sur les marchés ou dans les rues, dans les laboratoires ou lors des transports à destination des abattoirs, la condition animale n'est guère considérée en Chine.

    Souvent ignorants de la souffrance ressentie par les animaux, les hommes les considèrent uniquement comme une “ressource” et leur infligent les pires cruautés selon IFAW.

    Les pratiques barbares des zoos

    Selon l'association One Voice, les zoos chinois sont visités par un public qui humilie les animaux, voire les martyrise.

    Dans certains zoos, des animaux vivants sont jetés en pâture aux fauves.

    D'autres dressent des animaux à exécuter des numéros de cirque, comme des combats de boxe d'ours.

    Aiguillonnés par les piques des dresseurs, les animaux ne peuvent que s'exécuter.

    Les conditions de vie sont désastreuses : cages inadaptées à la taille et aux besoins des animaux, hygiène déplorable, impossibilité de se cacher ou de se reposer.

    De nombreux animaux ont des comportements psychotiques : cent pas ininterrompus, léchage des murs, tête balancée jusqu'à la démence…

    Les chats de Pékin ont été exterminés

    One Voice a attiré l'attention sur l'extermination des chats de Pékin entreprise en 2007 pour « nettoyer la ville » avant les Jeux Olympiques.

    Les chats errants ont été mis en fourrières avant d'être tués.

    La majorité a été abandonnée par leurs propriétaires à la suite de campagnes du gouvernement sur les soi-disant dangers pour la santé qu'ils constituaient.

    IFAW précise également que les chats sont ébouillantés vivants avant d'être consommés.

    Des chiens massacrés pour leur viande

    Les enquêteurs de One Voice ont infiltré le réseau des producteurs de viande de chien en Chine.

    Ils ont filmé des scènes particulièrement violentes.

    Les chiens ne sont pas seulement mangés, ils sont maltraités et mis à mort avec une cruauté invraisemblable.

    Entassés dans des cages, sans eau ni nourriture, ils sont parfois nourris avec la chair de leurs semblables pour renforcer le goût de leur viande.

    Parmi eux se trouvent des chiens abandonnés et d'autres venant d'élevages spécialisés.

    Et ce n'est pas tout comme le souligne IFAW :

    "Les tigres, dont on arrache les dents et les griffes, sont enchaînés à même le sol afin de faciliter les photographies aux côtés des touristes.

    Les renards sont dépecés vivants pour leur fourrure.

    Les ours ont le corps mutilé afin d'en extraire la bile..."

    En savoir plus

    Références :

    Bientôt une loi de protection animale en Chine - One Voice

    La Chine rédige sa première loi de protection animale - IFAW

    Liens :

    Forum de discussions sur la protection des animaux

    Actualités connexes :

    29/02/2008 Enquête sur le commerce de la viande de chien en Chine

    Auteur : Christophe Magdelaine - notre-planete.info (tous droits réservés)

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