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Santé - Page 5

  • 56 milliards par an

    http://animalemancipation.com/wp-content/uploads/outreach/8by14/ae_agentofchange_uSlegal_white.png

    56 Milliards par an.

    C'est le nombre d'animaux tués dans le monde par les industries de la viande, des produits laitiers et des œufs.

    Ce chiffre n'inclut pas les milliards de poissons et autres animaux aquatiques tués annuellement.

    Vous ne voulez pas collaborer au massacre ?

    Vous êtes contre la violence ?

    Alors devenez végan.

    http://vegan.fr/quest-ce-que-le-veganisme/

    http://fr.abolitionistapproach.com/a-propos/notre-mission/

  • Une résolution de paix et de sagesse pour 2013

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  • Pornographie : ce que vivent les actrices-esclaves / Témoignage

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    Encore du porno

    Je conduisais l'autre jour et j'ai entendu une émission de radio sur le VIH.

    Ca m'a fait penser aux pratiques de safe-sex et à la pornographie.

    Les acheteurs veulent voir le contact de peau à peau, des pénis dégainés, et du sperme - beaucoup de sperme.

    Le "bare-back" (sex sans préservatif) est la norme.

    Le sexe non protégé n'est pas sans risque.

    Mais les actes sexuels dans la pornographie servent tous à augmenter ce risque [...].

    Tout ce qui peut causer des déchirures augmente le risque de transmission de VIH et hépatites.

    À cause de l'agressivité d'une si grande partie de la pornographie, et de la pénétration prolongée, y compris avec des objets ou des poings, les risques de déchirures sont grandement augmentés.

    Les anciennes blessures, de la dernière fois, peuvent se rouvrir à nouveau quand on est utilisée à nouveau.

    Tellement douloureux (j'ai vécu ça), et à risque.

    Les prétendues "visites médicales" imposées dans certains milieux de l'industrie (largement pour apaiser la conscience du public) sont plus que risibles.

    On prescrit quotidiennement des antalgiques aux femmes dans la pornographie pour les "aider" à travailler, et bien plus utilisent l'alcool et les drogues pour engourdir la douleur.

    Le résultat c'est que même quand la femme est physiquement abîmée dans la fabrication de pornographie, elle est moins à même de le ressentir dans toute son intensité et donc d'arrêter et donc de se prévenir de plus de dégâts.

    Cela supposerait bien sûr qu'elle soit dans une position d'arrêter ce qui lui arrive, ce qui souvent n'est pas le cas.

    Même quand une femme n'est pas ouvertement sous la coupe d'un proxénète, il y a beaucoup d'autres moyens de la piéger à s'engager dans des actes sexuels qu'elle ne souhaite pas.

    L'alcool et les drogues affectent l'inhibition et la conscience, laissant la femme plus ouverte que jamais à la maltraitance.

    On peut lui dire que le contrat qu'elle a signé requiert qu'elle fasse certaines choses, ou son agent peut la pousser à performer des actes plus extrêmes pour la caméra (ça lui fait plus d'argent).

    Difficile d'imaginer une femme dans une scène de gang bang, entourée d'hommes, et probablement avec un pénis enfoncé dans sa gorge, comme étant en position de dire "stop, vous me faites mal".

    En effet, la peur et la souffrance visibles sur le visage des "actrices" porno sur bien des DVD attestent clairement que ce n'est pas le cas.

    Elle peut avoir désespérément besoin d'argent et donc être vulnérable à la pression quand on lui dit de faire plus de choses déplaisantes pour plus d'argent.

    Ou alors elle peut être tellement mentalement abîmée qu'elle ne voit aucune autre option pour elle, aucun moyen de s'en sortir.

    La pornographie utilise les femmes les plus vulnérables et elle se construit sur elles ravage après ravage, mental et physique.

    Des hauts-le-coeur en avalant des bites, couverte du sperme d'homme après homme dedans et dehors, couverte de bleus, boursouflée et saignant à l'entrejambe, gorge sèche, mâchoire douloureuse, et avec l'impression que ses entrailles vont se répandre, la pornstar, l' "actrice".

    Son anus, son vagin, sa bouche, ses seins et son corps sont offertes à la caméra, pour être utilisés et abusés sans scrupules.

    Et cette chose qui lui est faite pour la gratification d'hommes qu'elle n'a jamais rencontrés, on la qualifie d'empowerment, de libération, de divertissement inoffensif !

    Les statistiques concernant l'alcoolisme, la toxicomanie, le suicide et le passé de maltraitances sexuelles racontent une histoire un peu différente - non pas que vous le sachiez : l'industrie, avec la collusion d'une société qui ne veut pas savoir, parvient à garder ces chiffres hors du débat.

    À la place, on se retrouve à bavarder sans aucun sens sur le "choix" et le "glamour".

    Et ainsi la pornographie normalise la pratique du sexe risqué, dans tous les sens du terme.

    Le client peut profiter de la photo, du film, un million de kilomètres à l'écart de l'odeur du sperme, de la crasse, sans la souffrance et la peur et le danger.

    Il rit quand elle reçoit du sperme dans les yeux - ce n'est pas lui qui se retrouvera avec une infection oculaire demain.

    Il a le frisson en regardant des filles subir une pénétration buccale après une pénétration anale : en sécurité de l'autre côté de la caméra il n'a pas à s'inquiéter des IST, il imagine l'humiliation, ça l'excite, mais il n'a aucune idée de ce que ça fait vraiment.

    Pendant qu'elle claudique jusque chez elle pour se frotter et se frotter et se frotter dans la douche, pour vérifier si elle saigne, pour évaluer les dégâts, pour se mettre une cuite et essayer d'oublier, il plie le magazine, éjecte le DVD et zappe dans sa tête, satisfait et sachant que son comportement est "normal", que c'est socialement acceptable - il ne fait de mal à personne.

    Il n'y a rien de sécuritaire pour les femmes dans la pornographie, ou pour celles qui sont poussées par leur partenaires à reproduire les pratiques douloureuses et risquées que la pornographie promeut.

    La pornographie considère les femmes comme jetables, littéralement : elle les baise, et ensuite elle passe à la prochaine "chatte fraîche".

    La pornographie est aussi partout - elle fait partie de la culture ambiante.

    Comment pouvons nous être assez aveugles pour rater l'énorme contradiction entre la promotion de pratiques sexuelles sécuritaires et la glorification du porno ?

    Les deux sont totalement incompatibles.

    Les mots "sécurité" et "pornographie" ne peuvent même pas appartenir à la même phrase.

    La pornographie détruit - le corps, l'esprit et l'âme.

    C'est un fait.

    Je travaille encore à défaire les dégâts qu'elle m'a faits.

    http://survivrealaprostitution.blogspot.fr/2011/11/encore-du-porno.html

    Pour ceux qui ne savent pas, pour ceux qui ne veulent pas savoir, et pour tous ceux qui savent.

  • Honte sur Lepage, Voynet, Royal

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    COMMUNIQUE DE PRESSE

    Perpignan, 31 octobre 2012

    Mesdames Lepage, Royal et Voynet demandent des tests de toxicité d’OGM et de pesticides étendues « sur la vie entière de l’animal » et demandent « que soient revues, comme le permettent les textes communautaires et nationaux, les études qui ont permis l'autorisation de mise sur le marché du NK603 et du Round Up. »

    Ces « textes communautaires et nationaux » prévoient aussi que ces études soient effectuées sur des animaux, supposés être, implicitement, des « modèles » fiables des consommateurs humains.

    Mesdames, détrompez-vous : aucune espèce animale n’est un « modèle » biologique fiable d’une autre espèce, l’homme en ce qui nous concerne.
     
    Une espèce animale est définie par son isolement reproductif, qui implique l’exclusivité de son patrimoine génétique et des gènes qui y sont inscrits.
     
    Chaque espèce va donc réagir à son environnement (y compris à sa nourriture) avec ses gènes, dont la structure, l’organisation, le contrôle et la régulation de l'expression, sont spécifiques de l’espèce, et par conséquent diffèrent d’une espèce à l’autre.

    Maïs NK603 ou tout autre OGM, Roundup ou tout autre pesticide, ou plus généralement toute substance chimique, testés pendant 2 ans sur des rats, ou pendant 65 ans sur des chimpanzés (notre plus proche cousin dans l’évolution), ne donnent aucune information pertinente pour l’homme.

    Le scandale du sang contaminé avait éclaté dans les années 80 parce qu’on avait fait confiance au « modèle » chimpanzé, qui ne réagit pas au virus du SIDA.
     
    Inutiles au mieux, les tests sur animaux peuvent même être très dangereux car pourvoyeurs de fausses certitudes aux conséquences souvent mortelles pour l’homme.
     
    On se souvient que, selon le ministère de la santé, quelque 20 000 personnes meurent tous les ans en France à cause d’effets secondaires de médicaments, pourtant obligatoirement testés pendant 5 à 10 ans sur des centaines de milliers d’animaux pour avoir l’autorisation de mise sur le marché.

    Alors, par quoi remplacer le « modèle-piège » animal ?
     
    Simplement par une méthode d’évaluation scientifique des toxicités sur du matériel biologique d’origine humaine (la toxicogénomique).
     
    La science du XXIe siècle, la biologie en particulier, fournit les outils à cette fin, car la toxicologie n’est autre que la biologie dans l’environnement du produit dont la toxicité est à évaluer.
     
    Ces méthodes ne sont plus au stade expérimental.
     
    Depuis 2007, le Conseil national de la recherche des Etats-Unis en recommande l'utilisation à grande échelle.

    Antidote Europe est une association fondée par des chercheurs oeuvrant pour une meilleure prévention en matière de santé humaine.

    Pour en savoir plus : http://antidote-europe.org/

    Contact médias :

    Claude Reiss, président d'Antidote Europe, ancien directeur de recherche au CNRS : 04 76 36 35 87
  • Virilité

    http://3.bp.blogspot.com/-Wdlpz6He1gs/Ta8ksqkHFUI/AAAAAAAAA_Y/_z5U9NRKg7M/s1600/Vegan.jpg

    A lire cet article, on comprend beaucoup de choses.

    Ou plutôt l'article nous les confirme-t-elle magistralement.

    Car tout le problème est là : dans cet attachement viscéral, morbide, stupide, létal, à ce qu'on appelle communément la "virilité".

    Or être viril, au sens étymologique du mot, c'est être vertueux, c'est-à-dire doté de courage moral, de force d'âme.

    C'est savoir se dépasser, se transcender.

    C'est savoir grandir, évoluer.

    Bref, c'est devenir sage, autrement dit renoncer à consommer des produits d'origine animale qui ne peuvent être obtenus que par l'exploitation, la torture et le meurtre dans les abattoirs de plus de 56 milliards d'êtres sentients par an.

    En ce seul vrai sens, la virilité est l'apanage et le devoir de tous, des hommes comme des femmes.

    M. P.

    ***

    Les hommes carnivores sont perçus comme plus virils

    Par AFP Relax, le 21 mai 2012 à 21h38

    La virilité présumée des mangeurs de viande serait largement supérieure à celle des végétariens, si l'on se fie à une nouvelle étude américaine récente publiée dans la revue Journal of Consumer Research.

    Cette étude américaine met en lumière la perception très répandue associant consommation de viande rouge et virilité, en contraste avec l'image féminine du végétarisme et du véganisme.

    Dans le cadre de leur étude, les chercheurs ont demandé à leurs sujets à quoi ils associaient spontanément des produits alimentaires comme la viande et les légumes et comment ils évaluaient leur degré de masculinité.

    En mode "Moi Tarzan, toi Jane", les résultats sont sans appel. On a tendance a trouver les mangeurs de viande plus virils que les consommateurs de légumes, que ce soit aux États-Unis ou en Grande Bretagne.

    Les chercheurs se sont également penchés sur 23 langues qui utilisent des pronoms masculins ou féminins (comme le français), et il apparaît que les métaphores carnées sont plus souvent associées à la gent masculine.

    "Pour le mâle américain traditionnel, macho, fort et qui roule des mécaniques, la viande rouge est un aliment macho, fort, qui roule des mécaniques et typiquement américain", résument les auteurs de l'étude.

    "Il n'en est rien pour le soja. Pour en manger, ils devraient renoncer à un aliment qu'ils perçoivent comme fort et puissant comme eux-mêmes pour le remplacer par un aliment qu'ils perçoivent comme faible et mollasson."

    Pour faire adopter un régime végétarien - et plus sain pour le cœur - aux machos les plus récalcitrants, les chercheurs suggèrent de changer la forme des steaks de soja de façon à leur donner l'aspect de steaks de bœuf, et de les cuire de façon à laisser l'empreinte du grill pour les rendre plus appétissants.

    http://www.rtl.be/pourlui/article/les-hommes-carnivores-sont-per%C3%A7us-comme-plus-virils-122058.htm

  • TELETHON-VIVISECTION / Un rapport qui fait mal : la Cour des comptes épingle l'utilisation des dons par l'AFM (Association Française contre les Myopathies)

    http://media.rtl.fr/online/image/2011/0423/7679889115_des-manifestants-protestent-contre-la-vivisection-sur-les-animaux-samedi-23-avril-2011-devant-l-hotel-de-ville-a-paris.jpg

    SANS "GENES" l'AFM !

    Un parfum de scandale flotte sur le Téléthon 2011.

    On pourrait dire que l'AFM a de mauvais gènes, en inversant  l'accent de la corde sensible. 

    Dans notre série ANTI TELETHON ANTI VIVISECTION, nous avons trouvé cet article relatant le profit personnel retiré des dons du Téléthon par  la directrice de l'AFM, Association Française contre les Myopathies.

    Il n'y aurait pas de raison pour que cela change en 2011 quand on voit ce charity showbizness qui fait de moins en moins l'unanimité, l'élection des miss France attirant plus d'audience. 

    Sacrées rémunérations, achat de maison, avantages en nature et suppléments de voyages d'agrément, facture de France Télévision inclus, c'est ce qu'on lit sur le rapport de la Cour des Comptes 2004.

    Ca fait mal mais ça nous serait bien égal si l'AFM ne tuait pas des animaux pour ses recherches et ne décevait pas l'espoir des malades.

    Et si  elle ne faisait pas  APPEL A LA SOLIDARITE NATIONALE représentant des dizaines de millions d'euros chaque année, en plus des dons hors antenne et l'Etat.

    L'AFM : un business comme un autre.  

    Elle n'est pas la seule : l'UNICEF France fait aussi appel à la générosité alors qu'elle soutient l'horrifiante torture en public des taureaux, avec ses dons, en se trouvant dans les villes amies des enfants pour faire la fiesta avec eux lors des corridas.

    Elle pervertit les enfants sans remplir aucune mission pédagogique (voir nos pages mot clé : Unicef France).

    Mais l'AFM brasse des sommes considérables pour d'hypothétiques résultats et ça fait beaucoup réfléchir en ces temps de "crise de la dette des grandes fortunes". 

    Elle multiplie les articles pour se défendre contre les anti Téléthon, qui sont pourtant aussi des scientifiques et pas seulement en France, et les présente comme insensibles à la détresse des malades, un sujet inattaquable dont ils ne sont pas dupes.

    Justement, le CLAM Collectif de Libération Animale de Montepllier avait mis en ligne dès le 2 octobre 2011 un modèle de lettre à envoyer à l'AFM pour demander des comptes, officialiser la vérité sur les meurtres d'animaux et justifier un refus de don http://clam34.org/spip.php?article704 :

    Soyons nombreux à exiger une science moderne, performante, et réellement éthique, à la hauteur de la générosité des français ! 

    SES METHODES DE RECHERCHE SONT PERIMEES ET INUTILES !

    De quoi faire pleurer à chaudes larmes les donateurs mais surtout les malades et leurs familles qui attendent si désespérement des solutions de la science et aussi les TROIS MILLIONS d'animaux innocents cruellement massacrés chaque année pour rien !

    Exactement pour rien.

    Il est attesté que le "succès" de la torture sur les animaux n'est fiable que de 37 à 50 % : c'est aussi aléatoire que de jouer à pile ou face (Antidote Europe, notre article La charité pour l'enfer !).

    Les chercheurs modernes sensés et progressistes tirent la sonnette d'alarme : il faut passer aux moyens substitutifs, beaucoup plus rapides et moins chers qui existent depuis longtemps !

    Malgré cela, l'AFM continue, depuis 25 ANS que dure le Téléthon, à assassiner, à perdre un temps pourtant si précieux et l'argent des dons, provenant majoritairement  des braves "Français moyens" émus et charitables.

    Mais on oublie aussi les énormes subventions que le gouvernement lui verse pour mener grand train.

    Un gouffre.

    Le Téléthon serait devenu un  véritable  système de fonctionnement, une vieille institution poussiéreuse qui rémunère une foule de services satellites (industrie de l'élevage d'animaux de laboratoire compris) et de personnes enracinées dans un confort 5 étoiles - sauf les bas salaires - auquel personne ne semble prêt à renoncer pour la cause.

    C'est sûr que ça n'avancera pas ainsi.  

    Photo : Oui c'est la tête d'un pauvre chat décapité dans le formol.

    Que lui est-il arrivé ?

    Il a été "expérimenté" pour ses cordes vocales... 

    Les maladies génétiques restent incurables parce que les méthodes de recherche sont inapplicables aux animaux.

    Puissent les hurlements des animaux parvenir à l'AFM afin que la  science progresse et cesse cette abomination !    

    "Téléthon : La directrice s’achète une maison et des rémunérations à 100 000 € (avec vos dons)"

    "Pierre Bergé (note d'Unanimus : co-fondateur de Sidaction, mécène, PDG et ami de feu Yves Saint-Laurent) a déclaré que l’Association Française contre les Myopathies réalise des achats immobiliers avec les dons du Téléthon.

    Est-ce vrai ?

    Que lit-on dans le rapport de la Cour des comptes sur l’AFM (qui date de 2004) ?
     
    Des choses étonnantes.
     
    Notamment à la page 79 du rapport.

      L’achat d’une maison dans l’Essonne pour la directrice générale de l’association.
     
    Or, note la Cour des Comptes :

    « bien que l’AFM ait exposé chaque année dans son rapport annuel la composition de l’ensemble de son patrimoine immobilier, cette maison n’y a jamais figuré.

    Les donateurs n’ont donc pas eu connaissance de son achat, de son utilisation ou de son coût. »

    D’autres pratiques de gestion de l’association sont également critiquables: la Cour évoque des rémunérations supérieures à 100 000 € bruts (page 8).

    Et sans parler de ce paragraphe étonnant (page 81) :

    « De même, à l’occasion d’une mission à Papetee, un cadre de l’association est allé passer un samedi et un dimanche à Bora-Bora : le coût du trajet en avion entre Papetee et Bora-Bora ainsi que celui de l’hébergement et de la restauration ont été imputés en missions sociales dans le compte d’emploi. »
     
    Note de la rédaction du Post : l’association a reçu le prix « Cristal de la transparence en 1998 rappelle Bakchich, qui a effectué un comparatif entre l’AFM et le Sidaction !

    Sur RMC, Marc Reidiboym, auteur d’un livre sur les comptes des associations Donateurs si vous saviez, explique :

    « l’AFM a des pratiques critiquables… comme la plupart des associations.

    Certains investissements immobiliers se sont avérés hasardeux (l’achat d’un centre de conférence sous-utilisé sans l’Essonne).

    – La facture de France Télévisions pour le coût de la réalisation de l’émission augmente chaque année. Il y a de la transparence, mais il n’y en a pas assez ». (Sources: Bakchich, RMC, Cour des Comptes)

    Le total des indemnités versées (indemnités conventionnelles et transactionnelles) a été de 192.655 € et 191.728 € pour deux autres cadres de direction partis respectivement après quatorze et quinze années passées à l’AFM.D

    – Les avantages en nature

    Un certain nombre d’avantages ont été consentis par l’AFM à plusieurs salariés

    35.1 – Logement de fonction Après la nomination de sa directrice générale en 1991, l’AFM a acquis une maison dans l’Essonne pour 0,256 M »36″ ; bien que la directrice générale ait quitté l’AFM en 1998, elle a occupé cette maison jusqu’au milieu de l’année 1999″37″.

    Si l’achat de la maison a été, comme le prévoient les statuts de l’association, approuvé par l’assemblée générale, le procès-verbal de celle-ci ne fait pas apparaître que la destination de la maison avait été portée à la connaissance des adhérents.

    L’AFM a invoqué pour justifier l’achat de ce bien immobilier la nécessité de loger son directeur général dans l’Essonne.

    Cependant, aucun autre directeur général de l’AFM n’a résidé ou ne réside dans l’Essonne ni n’a bénéficié d’un logement de fonction.

    Or les associations reconnues d’utilité publique « ne peuvent posséder ou acquérir d’autres immeubles que ceux nécessaires au but qu’elles se proposent », selon l’article 11 modifié de la loi du 1er juillet 1901.

    Bien que l’AFM ait exposé chaque année dans son rapport annuel la composition de l’ensemble de son patrimoine immobilier, cette maison n’y a jamais figuré.

    Les donateurs n’ont donc pas eu connaissance de son achat, de son utilisation ou de son coût.

    35) L’association n’a pas toujours communiqué à ce sujet au cours de l’instruction des informations cohérentes avec les documents comptables.

    Dans plusieurs cas, une première réponse présentait les pratiques de l’AFM sous un jour plus modeste et plus conforme aux dispositions législatives et réglementaires que dans la réalité.

    36) Cette maison comprend cinq chambres et un jardin de 1000 m².

    37) Elle a ensuite été louée par l’AFM à une société, puis revendue en 2003 avec une moins value de 30 490 €."

    SOURCE : http://pensetouseul.unblog.fr/2009/11/23/telethonla-directrice-sachete-une-maison-et-des-remunerations-a-100-000-euros-avec-vos-dons/

    Relayé en clair par LE COIN UTILE : http://lecoinutile.com/?p=4987 

    Derniers articles : Téléthon pas un rond pour les thons des labos ! Vidéos libération de Beagles des laboratoires de recherche:


    Téléthon c'est non !

    Pas de soutien à la vivisection 3 millions d'animaux de la recherche ne font pas de dons, les produits testés et la liste de ceux qui ne le sont pas :

    La charité pour l'enfer !


    Unanimât

    Ce n'est pas un sujet reposant pour un dimanche mais pour les animaux torturés et les malades il n'y a jamais de dimanche !

    Pas de vacances ! Pas d'été ! Pas de neige au soleil !

    La vivisection est à la science du XXIe siècle ce que Adolf Hitler était au XXe siècle.

    En France un animal meurt ainsi toutes les 3 secondes.

  • Manger de la viande provoque la faim dans le monde (Swissinfo)

    http://www.lavie.fr/images/2012/05/09/27380_plumpy-nut_440x260.jpg

    Dommage que cet article n'aille pas au fond de sa logique en concluant que le véganisme (et non le végétarisme) est le seul mode de vie en mesure de sauver aussi bien les animaux (non-humains et humains) que la planète.


    Par Rosa Amelia Fierro, swissinfo.ch

    Avec 53,6 kilos par personne en 2010, la consommation de viande augmente en Suisse.

    Mais à quel prix !

    Pour la Journée mondiale de l’alimentation, des experts rappellent qu’une forte consommation provoque des problèmes environnementaux et sociaux, principalement au Sud.

    La production industrielle de viande a des conséquences écologiques et sociales dévastatrices: un seul kilo nécessite 20'000 litres d’eau.

    Et en toile de fond, on trouve des violations systématiques du droit à l’alimentation dans les régions productrices, généralement des pays du Sud.
     
    La viande provoque-t-elle de la faim ?

    « Oui », ont répondu, unanimes, des experts réunis jeudi à la Haute Ecole du nord-ouest de la Suisse en vue de la Journée mondiale de l’alimentation de dimanche.
     
    « Il est logique de manger de la viande produite dans la région, avec des lois de protection assez strictes, déclare Thomas Gröbly, professeur d’éthique à la Haute Ecole.

    Cela évite l’impact environnemental que suppose la production et le transport de viande. »
     
    Thomas Gröbly critique en revanche le fait que les animaux suisses consomment des céréales et du soja importés.

    « L’Union suisse des paysans se félicite toujours que le pays soit autosuffisant en viande.

    Mais si on employait uniquement du fourrage local, nous ne mangerions que la moitié de toute cette viande », remarque-t-il.
     
    Un avis que partage Fritz Schneider, chef du département agronomie de la Haute Ecole suisse d’agriculture.

    Pour lui, en Suisse aussi, la production de viande entre en conflit avec la sécurité alimentaire et la préservation de l’environnement.

    deforestationamazonie.jpg

    Informer le consommateur

    « La viande produite ici provoque aussi des émissions de méthane et de dioxyde de carbone, explique-t-il.

    De plus, cette production n’est possible que grâce à l’importation de fourrage.

    C’est notamment le cas du soja du Brésil, dont la monoculture décime la forêt amazonienne. »
     
    Selon l’agronome, ces conséquences dramatiques pourraient être limitées si le consommateur était bien informé et conscient de la durabilité et de la gestion efficace des ressources.
     
    « Nous devons consommer moins de viande et, dans la mesure du possible, privilégier celle produite dans la région, déclare-t-il.

    De manière plus générale, nous devrions avoir une attitude très prudente avec les aliments que nous achetons, car entre 20 et 30% d’entre eux finissent à la poubelle. »
     
    Il précise encore que seulement 60% de tous les aliments consommés en Suisse sont produits dans le pays.

    « Cet aspect est sous-estimé, parce qu’il revient moins cher d’importer que de produire; mais cela signifie que nous n’avons pas de souveraineté alimentaire », conclut l’agronome.
     
    « Nous sommes conscients que la production de viande affecte l’environnement.

    C’est pour cela que, depuis plusieurs années, nous promouvons une production munie de labels de qualité qui couvre déjà 60% de la viande que nous commercialisons », déclare pour sa part Sibyl Anwander, responsable de la qualité et de la durabilité auprès de Coop.
     
    Le grand distributeur et l’Institut fédéral de recherches réalisent d’ailleurs une étude sur la balance écologique de la viande suisse et de la viande importée.

    « Les résultats indiquent que tant le transport que le système de conservation sont déterminants pour une gestion efficace des ressources », indique-t-elle.
     
    Mais si la viande arrive par avion, les émissions de CO2 posent problème.

    « C’est pour cela que depuis 2007, Coop s’est engagé à compenser les émissions provoquées par ce moyen de transport.

    De plus, nous nous efforçons, dans la mesure du possible, de renoncer au transport de viande par avion », affirme Sibyl Anwander.

    obese.jpg

    Danger pour la santé

    Président de l’Association suisse pour le végétarisme, Renato Pichler va plus loin et préconise tout simplement de renoncer à la viande.

    « Notre objectif est d’informer sur les conséquences de notre alimentation orientée vers la viande », dit-il.
     
    Outre les conséquences écologiques, Renato Pichler met l’accent sur les conditions antinaturelles de l’élevage intensif, avec des méthodes relevant pratiquement de la torture.

    « Dans ces conditions, il n’est pas rare de voir se développer de nouvelles maladies chez ces animaux, ce qui n’est pas sans danger pour les humains », dénonce-t-il.
     
    Le stress et la sécrétion d’hormones qui y est liée, comme l’adrénaline durant l’abattage, ajouté à toutes les substances nocives que l’animal ingère durant sa vie provoquent chez les consommateurs des maladies telles que la goutte, le rhumatisme, des problèmes circulatoires, du diabète et certaines formes de cancer qui affectent moins les végétariens, plaide Renato Pichler.
     
    Ce dernier relève enfin que le secteur de l’élevage doit être fortement subventionné pour rester rentable.

    « La Suisse consacre en moyenne 84% de ses subventions agricoles à la production d’aliments d’origine animale », souligne-t-il.

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    Réfléchir aux structures

    Pour Thomas Gröbly, une information transparente sur les conséquences de l’élevage intensif peut provoquer un changement de comportement chez le consommateur.

    « Bon marché signifie toujours davantage de douleur et de souffrance pour l’animal, et ceci ne se voit pas dans un steak emballé sous plastique », dit-il.
     
    Mais il faut aussi des informations sur les conséquences sociales et écologiques de la production de viande.

    « En Argentine, on expulse des paysans de leurs terres pour les consacrer à la monoculture du soja, dénonce Thomas Gröbly.

    Et ces terres sont finalement détruites par les pesticides et l’érosion. »
     
    Il est donc important de réfléchir sur les structures :

    « Nous avons besoin d’une politique agricole où la priorité est mise sur le bien-être des animaux et où leur alimentation est basée sur du fourrage local ».
     
    Le professeur d’éthique estime qu’il ne faudrait pas se réjouir à la vue de viande bon marché.

    Et de conclure :

    « En Suisse, la consommation de viande devrait diminuer à 25 kilos par personne et par année.

    Cette réduction ou le renoncement à ce produit constitueraient notre petite contribution à la concrétisation du droit que l’homme a à l’alimentation ».

    Rosa Amelia Fierro, swissinfo.ch
    Traduction de l’espagnol: Olivier Pauchard

     

    Annexe : la consommation de viande en Suisse

    2008: plus de 400'000 tonnes de viande, soit une consommation moyenne de 53,43 kilos par habitant. Augmentation de 3% par rapport à l’année précédente.
     
    La viande préférée des Suisses est celle de porc (environ 200'000 tonnes, dont 50% suisses). Viennent ensuite la viande de bœuf (90'000 tonnes, dont 80% suisses) et la volaille (85'000 tonnes).
     
    2010: 427'138 tonnes de viande, soit une consommation moyenne de 53,6 kilos par habitant et par année, ce qui correspond à plus d’un kilo par semaine. Augmentation de 3,3% par rapport à l’année précédente.
     
    Source: Proviande, organisation faîtière du secteur.

    http://www.swissinfo.ch/fre/societe/La_viande_provoque_la_faim.html?cid=31352646#loginLink

  • "Malnutrition et végétalisme : pas d'amalgame" : communiqué de l'AVF (Association Végétarienne de France)

    Photo tirée du blog "The Vegan Mom" :

    http://theveganmom.com/2011/01/11/feeding-your-vegan-baby/

    Pour diffusion immédiate : vendredi 1er avril 2011
    Contact : Isabelle Dudouet-Bercegeay : 06-61-16-02-33 - avf.medias@vegetarisme.fr

    MALNUTRITION ET VÉGÉTALISME : PAS D’AMALGAME.

    Les parents végétaliens d’une fillette décédée à l’âge de 11 mois, en mars 2008, sont jugés cette semaine aux assises, pour « privation de soins ou d’aliments ».

    L’Association Végétarienne de France fait savoir que la mise en avant systématique du fait que les parents de la fillette sont végétaliens conduit à un injuste amalgame.

    L’association rappelle qu’il existe des millions de familles végétaliennes à travers le monde dont les enfants, végétaliens de naissance, sont en bonne santé.

    Monter en épingle un cas isolé stigmatise toute une communauté, généralement bien
    informée.

    L’inconscience de parents incapables de s’occuper de la santé de leur enfant n’a aucun rapport avec la pratique du végétalisme (qui exclut la consommation de produits ou sous-produits d’origine animale).

    L’Association Végétarienne de France attire l’attention sur le fait que, contrairement aux affirmations aussi péremptoires que non fondées de certains professionnels de santé, une alimentation végétalienne bien menée est adéquate sur le plan nutritionnel et bonne pour la santé, et ce à tous les âges de la vie.

    C’est ce qui ressort d’une revue exhaustive de la littérature médicale menée en 2009 par la plus grande association de diététiciens au monde, à savoir l’Association américaine de Diététique.

    C’est également la position de l’association française APSARes (Association de Professionnels de Santé pour une Alimentation Responsable).

    Les alimentations végétarienne et végétalienne sont mal connues d’une grande partie du corps médical français, qui éprouve ainsi des difficultés pour apporter conseils et informations fiables aux familles faisant ce choix alimentaire (très répandu dans d’autres pays européens ou aux U.S.A.).

    Cet état de fait a probablement contribué à ce drame.

    L’Association Végétarienne de France se tient à la disposition de ceux qui souhaiteraient rencontrer des familles françaises dont les enfants sont végétaliens de naissance et en bonne santé.

    Nous pouvons également vous mettre en contact avec des professionnels de santé spécialisés dans les alimentations végétarienne et végétalienne.

    Plus d’informations sur www.vegetarisme.fr

    http://www.vegetarisme.fr/_pdfs/CP20110401_reaction_au_proces_du_couple_de_vegetaliens.pdf

  • Impossible d'être végétarien en France ? (Slate.fr)

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    La France est-elle un pays dans lequel on ne peut être végétarien ?

    C'est la question que se pose The Guardian en marge du procès des parents accusés de défaut de soins après la mort de leur fille nourrie uniquement au lait maternel.

    Sergine et Joël Le Moaligou avaient appelé les pompiers le 25 mars 2008, lorsque leur fille de 11 mois s'était trouvée très affaiblie.

    Mais ceux-ci n'avaient pu que constater la mort de l'enfant, peut-on lire dans Le Point, qui précise que les parents étaient tous deux végétaliens.

    Ils encourent tous deux 30 ans de réclusion pour ces agissements, selon l'AFP, et l'avocat général de la cour d'assises de la Somme a requis 10 ans de réclusion.

    Le délibéré est attendu pour la soirée de vendredi.

    The Guardian raconte qu'« ils n'ont nourri leur enfant qu'au lait maternel durant 11 mois, et tenté de soigner sa bronchite avec du chou et des cataplasmes d'argile ».

    Ce qui pourrait laisser croire à une réelle mauvaise volonté de leur part n'est, selon Stéphane Daqo, avocat de la mère, qu'un mauvais concours de circonstances.

    Il précise, toujours dans The Guardian, que les parents « ont lu les mauvaises choses au mauvais moment », et appliqué leurs propres recettes au lieu d'emmener l'enfant chez le médecin.

    Pour The Guardian, ce procès est l'occasion de s'intéresser aux rapports de la France avec le régime végétarien.

    Le fait d'être végétarien(ne) semble ne pas s'intégrer à la culture culinaire française, et encore moins celui d'être végétalien(ne), alors que des études montrent qu'environ 4 millions de Britanniques sont végétariens — soit presque 15% de la population — contre une estimation d'un million de végétariens en France.

    « Une étude non scientifique montre que la page Facebook britannique “société végétalienne” a 60.978 fans [61.147 au moment de l'écriture de cette revue de web], contre 1.518 [1.540] pour la page de l'“association végétarienne” française et 1.173 [1.178] pour la page “végétarien et végétalien”. À titre de comparaison, la page “Gifler une végétarienne avec une escalope” a plus de 168.000 fans », continue l'article du Guardian.

    De son côté, Rosa Jackson, journaliste et chef de cuisine, a eu de grandes difficultés à faire admettre à la cantine scolaire française que son fils de 7 ans soit végétarien :

    « En France, les cantines scolaires fonctionnent sur le principe de faire manger de tout aux enfants, ou tout du moins de les faire goûter à tout, sauf s'ils ont une raison religieuse ou de santé pour ne pas le faire. Le bon côté des choses, c'est que la France ne fait pas d'histoire à propos de nourriture. Le mauvais côté, c'est que la différence n'est pas bien reçue », raconte-t-elle sur son blog.

    Son fils, qui ne veut pas que l'on tue d'animaux pour les manger, doit tout de même se faire servir un repas comprenant de la viande ou du poisson chaque jour d'école, et ne manger que l'accompagnement.

    http://www.slate.fr/lien/36419/vegetarien-france-impossible

  • What is French for a vegan? (The Gardian)

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    The trial of the vegan couple in France whose baby died highlights how difficult it is not to eat meat there.

    Kim Willsher, guardian.co.uk,

    Wednesday 30 March 2011 20.00 BST

    The trial in France of two vegan parents charged with "neglect or food deprivation" after the death of their baby daughter has raised hackles on both sides of the Channel from those who feel their dietary choices are being questioned.

    The fact that Sergine and Joel Le Moaligou fed the child only breast milk during her short 11-month life, and treated her bronchitis with cabbage and clay poultices, would suggest their parenting skills were more to blame than their eating habits.

    But evidence presented to the court made a direct link between baby Louise's death and her parents' diet.

    The child was underweight and suffering severe vitamin deficiencies, making her susceptible to the bronchial infection that killed her – deficiencies possibly linked to the mother's diet, according to the deputy state prosecutor.

    Even without the opprobrium a case such as this provokes, it is not easy being vegetarian in France, the land of steak-frites, foie gras and other solidly carnivorous fare. Studies suggest four million Britons may be vegetarians, though others claim 10% of the population are "meat avoiders".

    In France there are an estimated one million vegetarians.

    A non-scientific survey of Facebook reveals that the British-based Vegan society has 60,978 fans, while the French Vegetarian Association has 1,518 and the Vegetarian and Vegan page 1,173. (By comparison the French "Slap a Vegetarian with an Escalope" page has 168,294 fans.)

    If it is hard work being a Gallic vegetarian, it is nigh on impossible being a vegan.

    The Le Moaligous were forced to educate their elder daughter Elodie, now 13, at home.

    French school canteens are largely run on the premise that a child should eat everything on their plate.

    In her blog, food writer Rosa Jackson recounts how when her son Sam became a vegetarian, a member of the school staff explained to her:

    "Vegetarianism is not a recognised diet in France. We'll have to put everything on the plate even if he doesn't eat it."

    One poster responding to the blog recounted how a chef in Normandy insisted the omelette he had served was still vegetarian even though it was covered in "just a foie gras sauce".

    http://www.guardian.co.uk/world/2011/mar/30/vegan-baby-death-france