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  • Belgique : enquête télévisée sur la violente réalité du braconnage

    http://www.courrierlaval.com/imgs/dynamique/articles/gros/Braconnier_Hotte_copy.jpg

    Vendredi 31 octobre à 20:50 - Magazine Devoir d'enquête - Les braconniers au banc des accusés

    Les braconniers : pour le grand public, ils font partie d'un monde un peu désuet, un monde du passé, presque folklorique...

    Lorsque 28 d'entre eux comparaissent devant le Tribunal Correctionnel de Verviers, on découvre une toute autre réalité.

    Les prévenus étaient accusés d'avoir, en dix ans, abattu plus de 8.000 bêtes : cerfs, biches, chevreuils et sangliers...

    Ils étaient remarquablement organisés, avec tout un système de réseaux et de protections.

    Les principaux responsables vont être condamnés à de lourdes peines.

    Puis, l'affaire est à nouveau plaidée, sur le plan civil cette fois.

    L'Etat, et les chasseurs, réclament d'importants dédommagements.

    Les braconniers, ces marginaux de la nuit, plaident qu'il leur est impossible de payer les sommes qui leur sont réclamées.

    Deux des braconniers ont accepté de raconter leur histoire.

    C'est la plongée dans un monde méconnu : celui des forêts, la nuit, avec leurs bandes, leurs armes et les phares des 4X4 qui traquent le gibier.

    Un monde où le silence abrite souvent de violents règlements de comptes.

    Un monde sur lequel "DEVOIR D'ENQUETE" a braqué ses projecteurs.

    Journaliste présentateur : Malika Attar
    Editeur : Robert Neys
    Réalisateur : Jean-Pierre Grombeer
    Journaliste : Léon Michaux
    Producteur : Eric Monami
    Réalisateur : Jean-Michel Dehon, philippe lorsignol

    Durée : 65'

    Rapport image : 16:9

    Année de production : 2008

    Précédente diffusion :

    31/10/2008 à 20:30 sur La Trois

    31/10/2008 à 20:30 sur RTBFSat

    Prochaine diffusion :

    31/10/2008 à 20:50 sur La Une

    02/11/2008 à 09:05 sur RTBFSat

    02/11/2008 à 09:05 sur La Trois

    04/11/2008 à 02:10 sur RTBFSat

    04/11/2008 à 02:10 sur La Trois

    04/11/2008 à 14:10 sur RTBFSat

    04/11/2008 à 14:10 sur La Trois

    05/11/2008 à 10:50 sur RTBFSat

    05/11/2008 à 10:50 sur La Trois

    06/11/2008 à 22:45 sur RTBFSat

    06/11/2008 à 22:45 sur La Trois

    http://www.la1.be/programmes/details/index.htm?progId=21246300668

  • Troublant... (Gary Francione)

    L'image “http://www.dublingame.com/blog/wp-content/uploads/2007/07/go-vegan.gif” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.

    Le New York Times Magazine (26 octobre 2008) offre un long article sur la Proposition 2, en Californie.

    J’écrirai davantage à propos de cet article que je trouve perturbant à plusieurs niveaux.

    Mais je ne peux m’empêcher de commenter dès maintenant l’affirmation attribuée au président de la HSUS Wayne Pacelle : « Et quant aux gens qui veulent une révolution végane - c’est trop passif pour moi ».

    L’éducation créative et pacifique au véganisme est tout sauf « passive ».

    C’est la manière la plus efficace de diminuer la demande pour des produits d’origine animale.

    C’est la manière la plus efficace d’opérer ce changement culturel pour passer du paradigme selon lequel les animaux sont des choses que nous pouvons exploiter tant que nous le faisons de manière « humanitaire » au paradigme selon lequel ils sont des membres de notre communauté morale, qui ont le droit de ne pas être créés dans l’objectif d’être tués simplement parce que nous apprécions le goût de leur chair et celui des produits que leur souffrance nous permet d’obtenir.

    Il est pour le moins remarquable que Pacelle appuie la proposition soumise au scrutin parce que, selon lui, une proposition qui ne prendra effet qu’en 2015, qui est tissée d’exceptions et qui ne fera que mettre les consommateurs plus à l’aise pour continuer à encourager l’exploitation animale n’est pas « passive ».

    Il n’est pas moins remarquable qu’un homme qui contrôle une organisation rapportant des revenus de $124,000,000 et ayant un actif d’une valeur de $223,000,000 considère l’éducation végane populaire comme un moyen « passif ».

    Imaginez ce qui pourrait être fait pour les animaux nonhumains si une proportion significative de ces ressources était investie dans une campagne visant à promouvoir le véganisme.

    Le fait que Wayne considère la Proposition 2 comme un bonne stratégie témoigne d’un manque total d’imagination, pour ne pas dire plus.

    L’article du New York Times rapporte que Pacelle est devenu végan lorsqu’il avait 19 ans.

    Je suppose que ce qui a motivé Wayne à adhérer au véganisme fût un changement dans sa manière de percevoir les animaux nonhumains.

    Peut-être que les autres devraient aussi se voir offrir la chance de modifier leurs perceptions plutôt que de se faire dire de manière erronée qu’il posent un geste significatif en appuyant des projets comme la Proposition 2.

    Gary L. Francione

    http://www.abolitionistapproach.com/fr/2008/10/29/troublant/

  • Quand les chasseurs tirent sur la liberté

    http://87.98.222.182/0/38/60/83/Photos-Chasse/Chevreuil-Val--rian-181007p.jpg

    Dix-huit associations de chasseurs, fédérations départementales du sud-Est de la France essentiellement, ont cru pouvoir citer devant un tribunal correctionnel la CONVENTION VIE ET NATURE POUR UNE ECOLOGIE RADICALE ainsi que son Président pour avoir publié, en septembre 2007, sur son site internet militant,  un commentaire philosophique sur les rapports du plaisir et de la violence et pour avoir rappelé des faits vrais, connus de tous.

    L’audience aura lieu le mardi 4 novembre  à partir de 14 heures devant La sixième chambre du tribunal de LYON.

    Gérard CHAROLLOIS, prévenu et   Président de la CVN sera assisté de maître Richard MALKA, avocat spécialiste du droit de la presse et conseil de nos amis de CHARLIE HEBDO.

    Cet éclatant aveu de faiblesse des chasseurs illustre toute la différence entre nous qui menons le combat des idées  et ceux qui, incapables d’argumenter au fond, s’en prennent aux hommes qui les dérangent.

    Or, opposant la passion au fanatisme, l’intégrité à l’intégrisme, la radicalité à la haine de l’autre qui confine si souvent au mépris de soi-même, nous ne nous abaisserons jamais aux attaques personnelles tout autant que nous pourfendrons sans complaisance les faits sociaux, les loisirs, les pratiques contre le vivant, les humains, la Nature, les animaux.

    Diffamation prétendent nos censeurs qui oublient la définition juridique des termes : « imputation à une personne physique oumorale déterminée ou déterminable de faits mensongers de nature à porter atteinte à son honneur ».

    Ce que nous avons écrit ne saurait constituer une quelconque difamation :  la chasse est moralement un loisir pervers puisqu’il associe le plaisir d’un homme et la souffrance d’un être sensible.

    Bien avant nous Victor HUGO écrivit : « ce gai chasseur armant son fusil ou son piège confine à l’assassin et touche au sacrilège » et une majorité de contemporains jugent à notre instar le loisir cynégétique comme cruel, anachronique et donc chargé de perversité.

    Depuis quand la critique d’un loisir, d’un  fait social, quand bien même elle déplait à ceux qui s’y adonnent, pourrait-elle  devenir une diffamation ?

    S’il en était ainsi, il en serait fini de la liberté d’expression et de débat.

    Ce n’est pas tout :

    Nous avons rappelé qu’un député socialiste, Vincent PEILLON, fut caillassé en avril 2000 à ABBEVILLE alors qu’il inaugurait une déchetterie, agression perpétrée  par des militants chasseurs d’oiseaux d’eau.

    Il dut être évacué  par hélicoptère, des gendarmes furent blessés et une poignée de chasseurs condamnée pour ces faits en correctionnelle.

    Serait-il interdit de l’écrire ?

    Et puis, nous avons mentionné que les cols ardéchois, en février et mars, furent occupés de manière musclée par des braconniers, tueurs d’oiseaux migrateurs, nonobstant la fermeture de la chasse, et occasionnellement agresseurs de gardes de l’Office National de la chasse et de  la faune sauvage.

    (Interdit de le dire.)

    Mais encore : que certaines officines « révisaient » les données ornithologiques afin, au regard du droit communautaire, de  permettre l’allongement des périodes d’ouverture de la chasse.

    N’est-il pas remarquable et serait-il prohibé de s’étonner de comparer les rapports d’expertises commandités par les tribunaux administratifs durant quinze ans, le rapport LEFEUVRE de 1999, fort complet et les « modifications de dates de migration et de reproduction des oiseaux » proposées par le comité voulu par le Premier Ministre pro-chasse de 2002 ?

    (Interdit de s’étonner.)

    Surtout, il eut fallu passer sous silence ces lettres dégradantes pour leurs auteurs que certains animateurs de partis pro-chasse adressèrent à un ministère pour demander des sanctions disciplinaires  à l’encontre d’un magistrat dont l’unique tort est de fustiger la chasse.

    Cela ne vous rappellerait-il déjà plus rien ?

    Voilà ce qui est reproché à notre mouvement et  à son Président ou du moins à Gérard CONDORCET !

    Qui peut soutenir que ces faits sont mensongers ?

    Tous ceux qui suivent l’actualité écologique et anti-écologique savent qu’un député socialiste a été caillassé dans la SOMME, queles cols ardéchois sont occupés en fin d’hiver, que les données ornithologiques sont « révisées en un sens unilatéral », et chacun peut apprécier ce qu’il faut penser de lettres de délations d’opinions.

    Faits vrais et absence de toute imputation aux parties civiles privent l’action judiciaire des chasseurs de tout commencement de validité.

    Ce mauvais procès s’avère sans fondement car  il est plaisant de voir les fédérations départementales des chasseurs de la CORSE, du VAR, du RhôNE agir en diffamation en cette affaire, alors qu’aucun terme incriminé ne les concerne.

    Or, rapppelons-le, pour qu’il y ait délit de diffamation, il faut imputer à une personne déterminée des faits mensongers de nature à porter atteinte à son honneur.

    En conséquence, l’action des dirigeants cynégétiques ne devrait avoir  aucune chance d’aboutir.

    On peut s’interroger sur les motifs d’une telle action, aussi mal fondée.

    Nuire à un homme ? L’intimider ? l’atteindre professionnellement  ?

    Pour nous, la liberté de pensée et d’expression, pas plus qu’un être sensible ne sont des « gibiers » et nous saurons les défendre sans jamais nous avilir dans des combats ad hominem.

    Décidément, l’éthique cynégétique et la nôtre sont irréductiblement antinomiques.

    La vérité et la vie valent bien un combat et nous ne doutons pas un seul instant de son issue.

    Gérard CONDORCET

    CONVENTION VIE ET NATURE POUR UNE ECOLOGIE RADICALE

    http://www.ecologie-radicale.org/

  • Cirque Ringling Bros (USA) : le procès pour maltraitance d'éléphants repoussé

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    WASHINGTON, 27 oct 2008 (AFP) - Le procès intenté au cirque "Ringling Bros and Barnum and Bailey" pour maltraitance de ses éléphants, qui devait commencer lundi à Washington après huit ans de procédures, a de nouveau été repoussé à une date ultérieure, a indiqué lundi une porte-parole des plaignants.

    Ce procès devant un tribunal fédéral de Washington est intenté par un ancien employé de Ringling Bros, scandalisé par le traitement des pachydermes et rejoint par plusieurs organisations de défense des droits des animaux dont Animal Welfare Institute, Fund for Animal et Animal Protection Institute.

    Un nouveau délai a été accordé par le juge après que le cirque eut présenté quelque 19 nouveaux témoins, qui doivent être entendus par la partie adverse avant que le procès ne commence

    "Il est extrêmement décevant que l'affaire soit retardée. Mais nous serons encore mieux préparés", a indiqué Tracy Silverman, de l'Animal Welfare Institute. Le procès pourrait se tenir début 2009, a-t-elle précisé.

    Le groupe de défenseurs des droits des animaux estime que le cirque enfreint la loi sur la protection des espèces animales en danger en "blessant et harcelant" les éléphants d'Asie qui sont la vedette de ses chapiteaux, selon la plainte.

    L'entreprise de cirque Ringling Bros and Barnum and Bailey, filiale de Feld Entertainment, estime pour sa part que "les groupes d'intérêts qui défendent les animaux altèrent les faits en faisant de fausses allégations sur le traitement des éléphants par Ringling Bros".

    http://www.tele-animaux.com/actualite,info,cirque-ringling-bros--le-proces-pour-maltraitance-d-elephants-repousse:33218.html

  • Les énergies renouvelables, un eldorado pour les investisseurs (Greenpeace)

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    Investir massivement dans les énergies renouvelables serait une "révolution" non seulement utile pour la lutte contre le réchauffement climatique mais aussi économiquement rentable au moment où la récession menace, selon une étude présentée lundi par Greenpeace à Berlin.

    "Il y a une tendance au sein de l'UE à freiner le débat sur le changement climatique, comme l'Italie et la Pologne qui affirment ne plus avoir d'argent à cause de la crise financière. C'est vraiment penser à court terme", a dénoncé lors d'une conférence de presse Oliver Schäfer, directeur du Conseil européen des énergies renouvelables (EREC), co-auteur de l'étude.

    Plusieurs pays de l'UE ont demandé, en vain pour le moment, le report de l'adoption d'un plan européen de protection du climat prévue le 11 et 12 décembre.

    "Cette crise financière va passer, la crise climatique non", et "elle touchera le monde avec une gravité incomparable", a résumé Schäfer.

    Selon l'étude présentée à Berlin par Greenpeace International, un investissement mondial de 9 milliards de milliards de dollars dans les énergies renouvelables permettrait l'émergence d'une industrie très rentable et la réduction des émissions de CO2.

    D'ici 2030, l'industrie des énergies vertes aurait multiplié son chiffre d'affaires par cinq de 70 à 360 milliards d'euros, et d'ici 2050 elle aurait la taille de l'industrie fossile d'aujourd'hui, selon ce rapport intitulé "Révolution énergétique: une vision d'une énergie mondiale durable".

    Les auteurs du document ont pressé les politiques du monde entier à profiter de la crise pour "changer de manière de penser" et "poser les bases et le cadre" d'un investissement massif dans ces énergies qui ne souffrent selon eux "ni d'une limite de ressources, ni d'une volatilité des prix".

    La somme à investir est impressionnante, mais il faut mettre dans la balance le fait que d'ici 2030 plus de 18 milliards de milliards de dollars de dépenses en énergies fossiles auraient été économisés dans le seul secteur de l'électricité, a relevé un co-auteur du rapport, Sven Teske, de Greenpeace.

    Il faut aussi en déduire les investissements qu'il aurait fallu faire de toutes les manières dans les énergies conventionnelles pour répondre à la demande croissante, a souligné M. Schäfer.

    Les frais supplémentaires réels nés de ce choix pourraient être portés par les contribuables ou par le commerce des droits d'émissions de CO2, mais seulement pendant dix ou quinze ans, jusqu'à ce que le coût de production des énergies renouvelables rejoigne celui des énergies fossiles et lui devienne inférieur, d'après le rapport.

    "En multipliant l'utilisation des énergies renouvelables par quatre, non seulement dans le secteur de l'énergie, mais aussi dans celui des transports et du chauffage, nous pouvons diviser par quatre les émissions de CO2 par personne et par an d'ici 2050", a déclaré Sven Teske.

    A condition qu'y aient accès les pays en développement et surtout émergents comme la Chine et l'Inde, dont l'appétit croissant pèse de plus en plus lourd dans l'augmentation des émissions.

    Les auteurs du rapport ont pris en compte uniquement les technologies déjà existantes en la matière ainsi qu'une augmentation de la population de la Terre de 50% et une hausse du prix du baril du pétrole à 140 dollars d'ici 2050.

    Berlin était la première étape d'une tournée mondiale au cours de laquelle Greenpeace et l'EREC vont promouvoir leur plan d'action, jusqu'à la conférence de Copenhague en décembre 2009, dernière chance pour finaliser un accord global sur les changements climatiques.

    http://fr.news.yahoo.com/2/20081027/tsc-les-energies-renouvelables-un-eldora-c2ff8aa.html

  • Ardèche : un chasseur tue un vététiste

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    Un chasseur a tué accidentellement un jeune homme de 24 ans hier après-midi en Ardèche, lors d'une chasse privée organisée dans une zone sauvage proche des Gorges de l'Ardèche, révèle aujourd'hui le Dauphiné libéré.

    Alors qu'il faisait du VTT avec un ami non loin de là, le jeune homme a été atteint par une balle dans le dos.

    Âgé d'une cinquantaine d'années, le chasseur a déclaré avoir manqué un sanglier.

    Selon les premières constatations de l'enquête, la balle aurait alors atteint accidentellement le vététiste.

    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2008/10/27/01011-20081027FILWWW00268-ardeche-un-chasseur-tue-un-vetetiste.php

  • La viande de poulet dans la tourmente

    L'image “http://www.actu24.be/GED/00180000/189900/189938.jpg” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.

    Test-Achats dénonce la mauvaise qualité hygiénique des produits à base de poulet.

    Selon l'association de défense des consommateurs, près de deux tiers des échantillons prélevés dans des grandes surfaces ou des boucheries sont concernés.

    "La viande de poulet est particulièrement sensible aux bactéries salmonelles et campylobacters, deux sortes de bactéries responsables du plus grand nombre de maladies infectieuses qui passent de l'animal à l'homme", explique Test-Achats.

    Une éventuelle contamination peut entraîner des problèmes à l'estomac et à l'intestin qui peuvent parfois prendre "une forme très grave", souligne l'organisation.

    Or, sur les 70 échantillons prélevés, "presque un tiers des produits n'étaient pas suffisamment frais pour être vendus", ce qui peut être dû à une conservation trop longue ou à une conservation à des températures trop élevées.

    45 sur 70

    25 échantillons sur 70 renfermaient trop d'escherichia coli, "un indicateur de l'hygiène lors de l'abattage et du traitement de la viande", indique Test-Achats.

    Dans quatre échantillons, l'organisation a détecté la présence de salmonelles et dans 8 cas, celle de campylobacters.

    "Au total, 45 produits sur les 70 examinés sont de mauvaise qualité hygiénique et seuls 4 ont obtenu une très bonne appréciation par les microbiologistes", souligne Test-Achats.

    Sur les 70 échantillons prélevés, seuls 35 étaient par ailleurs conservés à la température légale, soit maximum 4 C° et dans quatre cas, la température était supérieure à 8 C° et atteignait même près de 13 C° dans deux cas.

    "Des contrôles réguliers !"

    L'état des lieux n'est pas reluisant mais ne surprend pas Test-Achats qui relève que dans son rapport d'activité 2007, l'Agence Fédérale pour la Sécurité de la Chaîne Alimentaire (AFSCA) avait relevé 10% d'échantillons de poulet contaminés par des salmonelles et 22% des carcasses de poulet par des campylobacters, dans le cadre de ses visites d'abattoirs.

    L'organisation réclame par conséquent "des contrôles réguliers et des sanctions sévères en cas d'infraction, la mise en oeuvre impérative d'une norme européenne pour les campylobacters", ainsi que la mise en place "d'un système de monitoring efficace pour détecter, suivre et immédiatement neutraliser les infections alimentaires".

    http://www.actu24.be/article/societe/la_viande_de_poulet_dans_la_tourmente/206287.aspx

  • Requiem pour le Bec-en-sabot, un oiseau arraché à la préhistoire

    L'image “http://d.yimg.com/i/ng/ne/afp/20081026/11/2349864068-requiem-pour-le-bec-en-sabot-un-oiseau-arrache-la.jpg?x=309&y=232&q=75&wc=437&hc=328&xc=1&yc=11&sig=ixbOCRKFkmBXRGSnEYlzJg--#309,232” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.

    Qui a déjà vu un Bec-en-sabot, cette créature hors du commun, un oiseau massif à l'allure préhistorique et qu'on trouve seulement dans certaines contrées reculées d'Afrique ?

    Geneviève Renson, photographe naturaliste, l'a rencontré par hasard lors d'un reportage en République centrafricaine en 1978 et a depuis multiplié les expéditions au coeur des marais à papyrus, de la Zambie au Botswana, pour en savoir plus sur cette espèce en péril.

    Son livre "Sur les traces du roi des marais" apporte un témoignage unique sur ce grand échassier (1,20 m) à la démarche altière et au bec impressionnant, en même temps qu'un passionnant récit de voyage.

    "J'ai passé dix ans dans les marais et dix ans à la recherche d'une maison d'édition pour mon livre: s'il avait été question de grands singes ou d'éléphants, ça aurait marché tout de suite", déclare-t-elle à l'AFP.

    L'image un peu effrayante de cet étrange animal, également dénommé Roi-à-tête-de-baleine (Balaeniceps rex), a fait reculer plus d'un éditeur.

    Un "oiseau gros comme un chameau", racontaient les premiers voyageurs occidentaux à l'avoir rencontré dans les marais du sud Soudan au XIXème siècle.

    Toutes ailes déployées pour prendre son envol, la bête d'une envergure de 2,50 mètres, ressemble à un ptérodactyle, ce reptile volant du jurassique.

    "Moi je le trouve magnifique", déclare Geneviève Renson, avant de nuancer: "il est particulier, il est très attachant".

    "La première fois que j'en ai vu un, j'ai tout de suite su que c'était quelque chose d'unique, une rencontre exceptionnelle", indique cette passionnée.

    Cette première rencontre lui a cependant valu un bon coup de bec qui lui a laissé au bras un énorme hématome: "des pêcheurs lui avaient ficelé le bec avec des morceaux de chambre à air. Je l'ai libéré", explique-t-elle.

    Mais à une autre occasion, en Zambie, le courant est passé entre la jeune femme et la bête. L'oiseau qu'elle avait recueilli était mal en point, avec une plaie à l'aile et refusait de s'alimenter: "je lui ai ouvert le bec et lui ai enfoncé dans le gosier des poissons frais en y mêlant mes propres antibiotiques: il s'est laissé faire", explique-t-elle.

    "Je l'ai soigné, j'ai vu un gros ver blanc sortir de la plaie. Après, je suis resté en contact avec lui pendant près d'un mois. C'était séduisant, il venait vers moi quand j'avais du poisson", raconte-t-elle.

    Pour s'approcher des nids de ce rarissime animal, l'exploratrice a du ruser, pataugeant dans les marais, courbée en deux "comme une petite vieille" avec son matériel photo sur le dos, progressant tant bien que mal sur des tapis de végétation flottante, la tête recouverte d'herbes pour ne pas se faire repérer, essayant de ne pas trop penser aux crocodiles ni aux serpents.

    "Je m'étais installée sur un îlot de 10 m2 né d'une termitière sur lequel je suis restée six mois", précise-t-elle.

    Ce qui lui a permis de rentrer dans l'intimité de ce drôle de bipède: "j'ai été la première à observer un accouplement, la première à assister à une éclosion et à en ramener des photos", se réjouit-elle.

    Mais ce roi des marais est désormais menacé par la destruction de son habitat naturel sous la pression démographique humaine et le réchauffement climatique.

    La population globale du Bec-en-sabot a chuté de moitié depuis une quinzaine d'années à quelque 5.000 ou 8.000 individus aujourd'hui, selon les dernières estimations.

    Il figure sur la liste rouge des espèces menacées de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).

    (Sur les traces du roi des marais, Geneviève Renson, Editions Kubik, format 23x31 cm, 34,90 euros).

    http://fr.news.yahoo.com/2/20081026/tsc-requiem-pour-le-bec-en-sabot-un-oise-c2ff8aa.html

  • Essonne : un homme blessé lors d'une partie de chasse

    http://www.bedetheque.com/Couvertures/DangerPublic_28042008_191813.jpg

    EVRY, 26 oct 2008 (AFP) - Un chasseur de 34 ans a été accidentellement blessé à la tête par un autre chasseur dimanche matin dans un bois de Cerny (Essonne), a-t-on appris auprès des gendarmes et du parquet d’Evry.

    Vers 10h, l’homme a reçu une volée de plombs dans le cou et les épaules, selon cette même source.

    D’après les pompiers qui l’ont transporté à l’hôpital d’Etampes (Essonne), le blessé n’avait pas perdu connaissance.

    Le tireur, âgé de 80 ans, ne connaissait pas sa victime.

    Il appartiendrait à la communauté des gens du voyage, a indiqué une source judiciaire.

    Il a été entendu par les gendarmes chargés de l’enquête avant d’être relâché dans le courant de la journée.

    Il pourrait être convoqué ultérieurement en vue d’un placement en garde à vue, en fonction de l’ITT, qui n’était pas encore connue dimanche soir, a précisé cette même source judiciaire.

    http://www.france- info.com/ spip.php? article203660&theme

  • Pignans : il tire au fusil sur sa fille (Var Matin)

    L'image “http://dessin.blogs.liberation.fr/eloi_valat/images/2007/09/07/valat0743.jpg” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.

    Une jeune fille de 16 ans, qui disait avoir été la cible de quatre coups de fusil tirés par son père, a appelé la gendarmerie de Gonfaron, vendredi, en milieu d'après-midi.

    Elle s'est alors enfuie de chez elle, le quartier des Serres à Pignans, pour rejoindre le domicile d'une amie résidant au village.

    L'état d'alcoolisation avancée du tireur, âgé de 58 ans, expliquerait que l'adolescente s'en soit sortie indemne.

    Sous les ordres du capitaine Pauty, les militaires de la compagnie de Draguignan ont sécurisé le quartier.

    Un vaste dispositif - regroupant les brigades de Gonfaron, du Luc, le peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie (Psig), une équipe cynophile, des gendarmes mobiles d'Hyères et de l'escadron de la sécurité routière - a été envoyé en première intention, afin d'empêcher que le tireur quitte son domicile.

    L'arrivée des deux négociateurs de crise et du peloton d'intervention interrégional basé à Orange n'aura pas été utile. L'homme est finalement sorti de sa maison sans armes.

    Il a été neutralisé sans violence par les hommes postés devant l'entrée.

    Plus d'une dizaine de fusils, une mitraillette

    En procédant à une perquisition chez le suspect, les gendarmes ont eu la surprise de découvrir un arsenal de guerre, comprenant entre autre plus d'une dizaine d'armes de chasse de différents calibres, deux armes de poing, une mitraillette Sten, une grenade datant de la Première guerre mondiale...

    Un stock important de cartouches de chasse, ainsi que de nombreuses munitions de différents calibres, certaines à destination d'armes de guerre, ont également été recensés.

    Ce vaste coup de filet a nécessité l'intervention des services de déminage.

    Placé en garde à vue pour violences avec arme, menaces de mort, détention d'armes et de munitions de première catégorie, l'auteur présumé des coups de feu devrait être déféré prochainement devant le procureur de la République de Draguignan.

    E. C.

    http://www.varmatin.com/ra/var/153886/pignans-il-tire-au-fusil-sur-sa-fille