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Planète Terre - Page 16

  • Cause animale et politique (Gérard Condorcet / CVN)

    http://s1.e-monsite.com/2009/09/20/02/58825055626858-765166-jpg.jpg

    Nul ne conteste plus que le rapport à l’animal non-humain constitue une question d’éthique pratique essentielle.

    Ce qui permit longtemps aux humains de mépriser les autres espèces, les vieux dogmes sacrificiels et la frontière ontologique entre l’humain et le reste du vivant, cède devant les avancées des connaissances et de la conscience.

    Il y a une unité fondamentale du vivant et l’humain est une espèce parmi les autres espèces, toutes fruit d’une évolution que les obscurantistes illuminés nient en opposant leur foi aux données objectives de la paléontologie et de la biologie moléculaire.

    Les biologistes, les philosophes, les écologues, comme dans un autre domaine les climatologues, imposent une évolution des concepts.

    Toutefois, dans l’ordre législatif et dans l’ordre comportemental, les lobbies et la force des habitudes, les intérêts et les égoïsmes, perdurent à maintenir l’animal non-humain au rang de chose.

    Qui se soucie de ne pas ouvrir une route en secteur naturel pour préserver les chouettes hulottes et les hérissons peuplant encore cette zone hospitalière ?

    Reconnaissons que les pouvoirs publics et les « beaufs » moyens ignorent superbement cette problématique et ne raisonnent qu’en termes spéculatifs et anthropocentriques.

    Qui se préoccupe des tortures infligées aux animaux d’élevage concentrationnaire, aux dents meulées, aux queues coupées à vif, aux porte-viandes maintenus immobiles pour faire de la graisse ?

    Le consommateur avachi, formaté par les médias complices, ne supporterait pas la vue de ces sévices, ne pourrait pas les perpétrer personnellement (ce qui est tout de même un progrès), mais s’accommode de son ignorance confortable, se déchargeant sur des plus frustres des basses besognes.

    Qui s’avise d’exprimer sa pensée et de condamner le chasseur, tueur pour le plaisir, ou l’amateur de tauromachie ?

    Attention !

    Emettre une opinion quelconque comporte le risque de déplaire et le sujet de la société n’est guère porté à prendre parti.

    Ni Résistant, ni collaborateur, il attend prudemment le moment de suivre, de très loin, le cortège des vainqueurs.

    Alors, le conformiste basique, le citoyen modal, aime son chien, son chat et le beau cheval mais ne veut rien savoir des conditions d’élevage des animaux de « ferme », tolère la chasse qu’il considère dans le silence de sa lâcheté comme un loisir d’arriéré et se garde bien de déranger, de bousculer, de sortir du troupeau assoupi.

    La question animale est une question politique.

    Nombre d’associations et de militants de la cause du vivant se voudraient « apolitiques », histoire de conserver les « mains propres ».

    Reprenant une formule célèbre : A vouloir des mains propres on finit par ne plus avoir de mains.

    Voilà pourquoi rien ne bouge.

    Quant aux fossiles de la « politique traditionnelle », ils n’ont guère le courage de s’aliéner les voix de ceux qui ne voteront jamais pour eux et donnent dans l’anthropocentrisme.

    De Charybde en Scylla, il y a ceux qui font de l’écologie pour les seuls humains, privant ainsi leur démarche de toute portée éthique, et ceux qui se présentent aux élections avec pour seul programme la défense animale, ce qui étant trop réducteur les condamne à l’inexistence.

    Evitons Charybde, l’apolitisme pusillanime et Scylla, l’oubli de l’éthique fondamentale, celle de la réconciliation de l’humain avec la biosphère.

    Abolir la chasse, mort loisir, la corrida, mort spectacle, interdire les modes de traitement concentrationnaires et cruels des animaux d’élevage, intégrer la protection de la Nature comme impératif de l’aménagement de l’espace, représentent le volet éthique de toute politique écologiste.

    Mais, l’humain qui n’est le centre de rien puisqu’il n’y a pas de centre, ne saurait être ignoré dans un combat politique qui exige que soient :

    --- borner les égoïsmes et les appétits individuels par des politiques de solidarité, de redistribution, c’est-à-dire contenir les revenus indécents ne correspondant à aucune utilité publique ;

    --- remplacer un agent public partant à la retraite par deux pour améliorer les services publics de la protection de la Nature, de la santé, de l’instruction, de la justice, de l’aide sociale ;

    --- tirer vers le haut le statut du salariat, de la garantie sociale contre les risques de la maladie, de la vieillesse et du sous-emploi qui n’est pas pire que le mauvais emploi contraire à l’épanouissement de l’individu et au respect de la terre, le travail n’étant pas une valeur en soi ;

    --- déclarer la guerre commerciale par la taxation aux frontières aux Etats voyous et dictatoriaux ne respectant ni les droits sociaux ni les impératifs écologiques et instaurer de nouvelles règles aux échanges mondiaux de façon à pénaliser ceux qui captent les emplois par le servage et la pollution.

    Au fond et en résumé, faire l’inverse point par point de ce que font les gouvernants.

    La secte des adorateurs du Marché, de l’argent, n’aiment ni l’arbre, ni l’animal, ni l’humain.

    Leur ordre infernal repose sur l’exploitation maximisée et le mépris des êtres.

    Gérard Condorcet
    CONVENTION VIE ET NATURE POUR UNE ECOLOGIE RADICALE

    http://www.ecologie-radicale.org/actu/new_news.cgi?id_news=1265

  • BBC World va diffuser un programme en deux parties sur les animaux et le mouvement animaliste (Gary Francione)

    http://ursispaltenstein.ch/blog/images/uploads_img/nick_brandt_photography1.jpg

    Photo : Nick Brandt

    Chers Collègues,

    Le 31 Décembre 2009 et le 7 Janvier 2010, BBC World diffusera un documentaire en deux parties intitulé Une planète : Les Animaux et Nous.

    Victor Schonfeld, qui a réalisé le film The Animal Film (narré par Julie Christie) en 1982, présentera l’émission.

    Schonfeld demandera si nous avons fait des progrès dans ce domaine et si les animaux nonhumains sont toujours autant exploités qu’ils l’étaient en 1982.

    Il explorera l’état du mouvement animaliste et fera un focus dans la première partie du programme sur le fait de manger les animaux et dans la seconde partie sur l’utilisation des animaux à des fins expérimentales.

    Il discutera aussi des relations entre la souffrance humaine et animale.

    BBC World est suivi par des millions de personnes à travers le monde.

    Je n’ai aucune idée de ce que va dire Schonfeld et quelle position il prendra.

    Mais, étant donné que beaucoup de personnes vont suivre l’émission et se forger une opinion suite à cela, il est impératif que les défenseurs des animaux regardent cet émission.

    Allez ici pour voir les heures de diffusion.

    Les émissions seront aussi archivées sur le site de la BBC et il y aura des informations en plus.

    Vous pouvez aussi faire part de vos réactions ici.

    Gary L. Francione

    http://www.abolitionistapproach.com/fr/2009/12/19/checkingbbc-world-va-diffuser-un-programme-en-deux-parties-sur-les-animaux-et-le-mouvement-animaliste/

  • Une information à propos de notre panneau d’affichage virtuel (Gary Francione)

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    Chers Collègues,

    Cette semaine, j’ai posté deux articles (1, 2) à propos de la création d’un panneau d’affichage virtuel diffusant le slogan :

    LE MONDE EST VEGAN!

    Si vous le voulez.

    Le but de ce projet est de renforcer une idée simple : un monde vegan est quelque chose que les humains ont la possibilité de faire naître.

    Nous devons juste le vouloir.

    J’ai envisagé cela comme un panneau virtuel.

    Je veux que le message soit vu - dans le monde entier, dans toutes les langues - sur Internet.

    Je veux que cette diffusion virtuelle génère des débats et de nombreux efforts d’éducation non-violente au véganisme.

    Certaines personnes proposent de faire et de vendre des produits avec ce slogan.

    Merci de comprendre que ni moi ni ce site ont quelque chose à voir avec cela.

    Nous ne solliciterons ni n’accepterons d’argent pour promouvoir cette idée de paix et de non-violence.

    Merci.

    Et souvenez-vous : LE MONDE EST VEGAN. Si vous le voulez.

    Gary L. Francione

    http://www.abolitionistapproach.com/fr/2009/12/18/une-information-a-propos-de-notre-panneau-daffichage-virtuel/

  • Copenhague : action symbolique "Don't nuke the climate"

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    Communiqué de presse du Réseau « Sortir du nucléaire »

     

     

    ACTION SYMBOLIQUE "DON'T NUKE THE CLIMATE"

    A COPENHAGUE SUR LA PETITE SIRENE

    Le nucléaire masque les vraies solutions à la crise climatique

    Copenhague, le 10 décembre 2009

    Le Réseau « Sortir du nucléaire » et ses partenaires internationaux (italien, russe, américain, allemand, danois, hollandais…) [1] de la campagne « Don’t Nuke the Climate ! » ont mené une action symbolique ce midi pour dénoncer la tentative du nucléaire d’utiliser la crise climatique pour assurer sa survie.

    Les représentants des associations ont « masqué » la Petite Sirène, monument national danois, pour dénoncer le danger de cette industrie, mais aussi pour rappeler qu’en réalité le nucléaire entrave la lutte contre le changement climatique en masquant les vraies solutions.

    Recourir à l’atome dans cette lutte serait donc parfaitement contreproductif en plus d’être dangereux.

    Lors du Sommet de Copenhague, les décideurs ont non seulement le devoir de parvenir à un accord ambitieux sur le climat, mais aussi de refuser les « fausses bonnes solutions ».

    Or, lors de la session de négociations à Bangkok au mois d’octobre 2009, le nucléaire, pourtant exclu à juste titre des mécanismes du Protocole de Kyoto, a refait surface.

    De nombreux pays, dont la France, souhaitent en effet que cette source d’énergie puisse être reconnue à Copenhague comme une solution au changement climatique.

    Si le prochain accord climatique accorde une place au nucléaire, certains Etats pourraient « s'acquitter » de leurs objectifs de réduction d'émission en vendant des réacteurs aux pays en développement ; ils éviteraient ainsi la remise en question de leurs modes de production et de consommation, pourtant à l'origine du problème climatique.

    Par ailleurs, si le nucléaire devenait éligible aux financements par ce biais, l’industrie nucléaire trouverait ainsi une source majeure de subventions publiques.

    L’action de ce matin, quelques jours après le déploiement d’une grande banderole à 100 m du lieu du Sommet sur le climat, s’inscrit dans le cadre de la campagne citoyenne internationale « Don’t Nuke the Climate ! » coordonnée par le Réseau « Sortir du nucléaire ».

    Cette campagne rassemble aujourd’hui plus de 350 organisations dans 45 pays, qui refusent le nucléaire comme « solution » au changement climatique.

    Le nucléaire est trop dangereux (déchets, accidents, prolifération…), trop lent face à l'urgence climatique (10 ans pour construire un réacteur), trop coûteux et inapproprié pour le développement du Sud.

    Si cette technologie était incluse dans le nouvel accord climatique, elle priverait de financement les vraies solutions que sont notamment l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables.

    Recourir au nucléaire, c’est donc condamner à l’échec la lutte contre le changement climatique.

    Les citoyens de tous les pays sont appelés à signer la pétition « Don’t Nuke the Climate ! », traduite en dix langues.

    Déjà 50 000 personnes ont signé l’appel.

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    Pour plus d’information : www.dont-nuke-the-climate.org


    Photos disponible sur : ftpperso.free.fr – login : sdnphotos – public09

    et www.flickr.com/photos/43160621@N08/sets


    Contact :

    - Charlotte Mijeon, Réseau "Sortir du nucléaire" (France): + 33 6 75 36 20 20 ; charlotte.mijeon@sortirdunucleaire.fr

    - Peer De Rijk, WISE: + 31 6 20 000 626 ; wiseamster@antenna.nl

    - Vladimir Slivyak, Ecodefense (Russia): +45 51 40 05 27 ; ecodefense@gmail.com

    - Claire Greensfelder, International Forum on Globalization: +1 510 917 5468 or + 45 53 99 59 77 (Danish mobile); cgreensfelder@ifg.org

    - Andrea Cocco, Legambiente (Italy): +45 53 99 74 25 ; a.cocco@legambiente.eu

    - Sabine Bock, WECF: +49 176 22 82 74 69; sabine.bock@wecf.eu


    [1] Wise (Pays-Bas/International), Women in Europe for a Common Future (Europe), Umweltinstitut München (Allemagne), Ecodefense (Russie), NOAH (Les Amis de la Terre Danemark), Legambiente (Italie), Inforse (Europe), International Forum on Globalization (Etats-Unis/International), NOAH (Friends of the Earth Danemark), EcoForum (Kazakhstan), The Planet of Hopes (Russie), Open Asia (Tajikistan) et WILPF (Women's International League for Peace and Freedom).

  • "Parodie au bord du gouffre " (Michel Tarrier)

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    Deux oiseaux symboles de notre mode de vie.

    Ça, on sait faire.

    L’humain au plus loin de la Nature, challenge réussi.

    Et maintenant : étonnons-nous !

    Parce qu’au pied du mur par la loi du système, on marche dans la combine mais on n’est pas dupes.

    Le pouvoir croit le peuple né de la dernière pluie parce que conditionné par la manufacture du comportement.

    Pris pour des cons depuis toujours, les braves gens n’ont absolument rien choisi en leur âme et conscience.

    Qui plus est les premiers donneurs d’alerte, ceux qui eurent raison trop tôt, furent toujours moqués, invectivés ou poursuivis par les gardiens du système, y compris les écologistes pionniers qui n’eurent pas les honneurs des Al-Gore et autres pharisiens du jour.

    2040 : il y aura autant de gens à mourir de faim que d’enfants à naître !

    Ne parlons surtout pas de surpopulation au sommet de Copenhague !

    LE CAPITALISME NOUS BALLADE

    Écogitations de derrière les fagots…

    Il y a ceux qui trient leurs déchets, et ceux qui les mangent.

    Au bout du rouleau, sur une planète en déliquescence, juste pour jouer les prolongations avec force d’éco-lubrifiants, l’ultralibéralisme nous promène par le bout du nez sur le chemin de ses propres repentances.

    Il nous mène en bateau en nous exhortant à faire amende honorable en son nom.

    Il nous met la tête dans le bain de son cloaque et nous devons nettoyer pour lui les écuries d’Augias.

    Et voici que nous avons pour mission nouvelle de rafraîchir l'atmosphère qu'il a réchauffée pour s'en mettre plein les fouilles.

    Et nous sentons venir l'entourloupe : le chèque qui sera émis par les plus gros pollueurs des pays nantis ira directement aux plus riches des pays pauvres.

    Voici quelques étapes initiatiques au nouveau chemin pour éco-pèlerins de bonne volonté.

    Cette grande ballade d'une récupe de justesse pour un capitalisme en sursis et repeint de vert passe notamment par :

    Le développement durable pour absoudre l’ultralibéralisme.

    L’économie verte pour justifier la mondialisation.

    Le commerce équitable en contrition de l’OMC.

    L’agriculture bio et celle raisonnée (!) pour mieux cacher le productivisme agrochimique.

    Le sacro-saint tri des déchets pour esquiver la surabondance d'emballages inutiles.

    L’écotourisme pour se dédouaner du tourisme de masse.

    L’habitat écolo-bobo comme repentance élitiste aux cités dortoirs.

    1% de moulins donquichottesques pour expier les marées noires, l'extraction des sables bitumineux et les 14 milliards de bénéfices d’une seule compagnie.

    Le Grenelle et autres pantomimes aux vœux pieux comme livre des recettes cosmétiques.

    Et bien sûr, l’overdose convenue du réchauffement climatique pour brouiller les pistes du flambeau pétrolier.

    Complétez vous-même la liste des subterfuges au consumérisme et de la bonne conscience du marché en découpant selon les pointillés démagogiques et en collectionnant les belles images du greenwashing.

    Fins stratèges, les plus gros pollueurs ont tous leurs fondations environnementalistes et financent les grands tribuns héliportés de l’écologisme poudre aux yeux, fées Carabosse d'un libéralisme décomplexé.

    Et bien d’autres plans dans l’art de décevoir pour faire des dividendes, comme en parquant des paysages pour les faire visiter, en protégeant les espèces une fois éradiquées, en reboisant de plants centimétriques des forêts séculaires abattues…, et autres rustines pour une planète exsangue.

    Il y a incompatibilité entre une société globalisée dirigée par le marché et la préservation de la biosphère.

    Je me tue à le répéter et l’on me dit pessimiste parce que lucide.

    Un univers mental ne renonce jamais à lui-même si des forces extérieures ne l'y contraignent pas.

    Le système a saturé tout l'espace disponible et est à l'origine de tensions de plus en plus fortes.

    Pour les masquer, ceux qui nous gouvernent pratiquent la politique des réalités contradictoires, nouvelle philosophie cynique de l’oxymore, totalement déroutante pour l’esprit.


    NOUS, PEUPLE DERNIER

    Les fruits de l’homme sont empoisonnés et détruisent la Terre.

    Un livre qui donne raison à ceux qui ont toujours eu tort.

    Michel Tarrier, 448 pages, chez L'Harmattan.

    Commander sur un clic :

    http://www.amazon.fr/Nous-Peuple-Dernier-Survivre-Bientot/dp/2296105629

  • Sommet de Copenhague : pourquoi je ne ratifie pas la "grève de la viande"

    http://www.vegansoapbox.com/wordpress/wp-content/uploads/2009/10/vegan-planet-good.jpg

    Bonjour,

    Je ne signerai pas votre pétition http://www.viande.info/

    Pourquoi ?

    Parce que j'en ai assez des lâchetés et des pantalonnades, et que j'attends une parole vraie.

    Il ne faut pas appeler l'humanité à manger moins de viande, ni même à devenir végétarienne : cela n'est pas suffisant, ni pour la planète, encore moins pour les animaux.

    Cela est incohérent.

    La seule cohérence, pour les animaux et la planète, est de devenir vegan, et vous le savez pertinemment.

    Les acrobaties mentales, la lâcheté, ça suffit, et votre initiative ne paraît bonne qu'à ceux qui n'ont encore réfléchi à rien.

    Le combat pour la libération animale n'admet pas la tiédeur, ni les compromissions, ni les demi-mesures.

    Voilà pourquoi il passe nécessairement par un engagement cohérent d'un bout à l'autre, et cet engagement, c'est le véganisme.

    Ce n'est qu'en devenant vegans que nous parviendrons à l'abolition de l'exploitation animale, de cette violence fondatrice qui scelle nos cultures humaines depuis l'origine.

    Ce n'est qu'en devenant vegans que nous préserverons cette planète, car alors les élevages et les pollutions diverses induites par l'industrie viandiste et laitière cesseront définitivement.

    Cordialement,

    Méryl Pinque

    Posté sur : http://www.viande.info/contact

  • Sommet de Copenhague : le véganisme EST la (seule) solution (le végétarisme ne suffit pas)

    Go Vegan For Planet Earth
    envoyé par veganfuture

    + Signez en ligne l'appel de Copenhague : http://www.copenhague-2009.com/confirmation_appel

  • Le Havre, 10 décembre 2009 : projection du film "The Cove" par "Vivre Ethique" dans le cadre de la JIDA

    coveflyer560_small.jpg

    Projection de The Cove par "Vivre Ethique" au Havre dans le cadre de la JIDA 2009 le 10 décembre.

    http://www.international-campaigns.org/ic/action/programme-actions.htm#lehavre

  • Massacre de Gadhimai : halte au relativisme culturel

    4_Nepal_Animal_Sacrifice.sff.jpg

    Mass sacrifice of animals is a tradition that belongs in the past

    Two stories in today’s news represent opposite extremes in global attitudes to animal welfare.

    In Australia, the world’s oldest sheep, Lucky, has died at the age of twenty three in her home in Australia.

    She lived in an air-conditioned shed, was hand-fed with crushed grain (having lost her teeth, she was unable to graze normally), and she was allowed into the family home to watch television.

    Meanwhile, over the next two days, up to a million Hindu worshippers are gathering in a village in Nepal near the Indian border, where nearly 300000 rats, pigeons, poultry, pigs, sheep and buffalo will be slaughtered in the world’s biggest animal sacrifice.

    It happens every five years, in a traditional religious ceremony.

    Participants expect that if they want anything over the next five years, all they need to do is bring along a live animal, sacrifice it to the goddess Gadhimai.

    The sacrifices are not carried out humanely: the animals have their throats slit with traditional blades, and then they’re decapitated.

    It’s gory, the animals suffer as they die, and the ritual has raised protests from thousands of animal welfare activists both locally and around the world.

    They say that it’s tradition, it’s been done for hundreds of years, and in the name of cultural relativism, we should all shut up and let them get on with it.

    Where should a line be drawn?

    If humans were being treated savagely, would we tolerate it out of respect for a different culture?

    I know that our world in the West is far from pure: for every over-pampered sheep like Lucky there are tens of thousands of sheep, pigs, poultry and cattle, being crammed into slaughterhouses and killed.

    But at least our killing is done humanely, as far as we can judge.

    Regulations ensure that animals are stunned prior to the cut of a knife, so that they do not suffer pain at the end.

    And yes, slaughter may sometimes be done in an inadequate way so that animals do suffer, but this should be the exception rather than the rule.

    Science has taught us how to recognise pain in our fellow sentient beings, and how we can prevent it.

    The deliberate infliction of pain on animals can, and should, be stopped, whether it’s in Manchester, New York or Nepal.

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    http://blogs.telegraph.co.uk/news/peterwedderburn/100017781/mass-sacrifice-of-animals-is-a-tradition-that-belongs-in-the-past/

  • Mister President, what are you doing for animals?...

    afp20091109_11471369_0.jpg

    Barack Obama en amateur de cuisses de grenouilles durant sa campagne présidentielle. (AFP)

    Le champion toutes catégories du "changement" peine à évoluer sur certains dossiers, à commencer par celui de la cause animale.

    Barack Obama, encore un effort pour être vegan !