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Action ! - Page 37

  • Samedi 24 octobre à Paris : grande marche contre la fourrure

    La vérité sur la fourrure-torture : regardons-la en face

    Le commerce de la fourrure représente encore plus de 50 millions d’animaux massacrés chaque année au nom de la vanité et de l’argent !

    Appel à tous les militants, associations et citoyens pour une grande marche unitaire contre la fourrure !

    Venez nombreux !


    PROGRAMME :

    14h30 : Lieu de rendez-vous Place de l'Opéra, à Paris (métro Opéra).

    15h00 : Départ du cortège.

    17h-17h30 : Retour Place de l’Opéra. Discours des représentants des associations.

    18h30 : Fin de la manifestation.

    • Nous demandons à tous les manifestants d’être vêtus de noir afin de témoigner de notre deuil pour tous les animaux massacrés.
    • Des sifflets et pancartes seront à la disposition des manifestants.
    • Nous remercions toutes les associations et participants de se munir uniquement de pancartes et bannières ayant pour sujet la fourrure.
    • Évitez, s'il vous plaît, de porter du cuir (ou de la fourrure ;)) afin de ne pas donner prise à nos contradicteurs.
    UNE AFFICHE À IMPRIMER

    affiche marche.jpg

    Vous pouvez aider en imprimant cette affiche (cliquez dessus pour l'avoir en grand) et en la plaçant dans des endroits stratégiques comme des restaurants végétariens ou des magasins bio !

    Ce ne sont que des suggestions, n'hésitez pas utiliser vos propres astuces.

    Bientôt, nous aurons aussi une jolie affiche en couleur à vous proposer.

    POURQUOI CETTE MARCHE UNITAIRE ?

    L'hiver approche et, avec lui, les tendances de la mode qui font la réputation de la France.

    Mais cette réputation est entachée du sang des pauvres créatures qui auront souffert jusqu'à leur mort atroce...

    Un animal meurt toutes les secondes pour que les humains puissent se pavaner avec de la fourrure.

    Cette année, pour faire entendre nos voix et crier haut et fort qu'il est temps de stopper cette atrocité qu'est la fourrure, rejoignez-nous tous le 24 octobre pour une grande marche unitaire contre la fourrure.

    Il faut que nous soyons le plus nombreux possible, toutes les associations doivent se joindre à nous, chacun pourra apporter ses banderoles et affiches.

    Réservez d'ores et déjà cette date !

    Plus d'infos à venir...

    marchecontrelafourrure2009@live.fr

    http://contrelafourrure.blogspot.com/

    [fourrure.png]

  • Toro de la Vega : pour plus d'humanité

    http://images.animanaturalis.org/posts/med/200909/P15-27904.jpg

    Toro de la Vega

    73 Espagnols entament une démarche de justice demandant une humanisation de la fête du Toro de la Vega.

    Les plaignants considérant que "rien de traditionnel ne se trouve dans la fête sanglante telle qu'elle se réalise au jour d'aujourd'hui."

    C'est un avocat de Malaga qui représente ces 73 citoyens espagnols.

    Ce groupe demande que soit réinstituée la norme de 1966 qui prévoyait qu'"il n'y aurait aucune blessure et que les animaux ne subiraient aucune aggression, pas de  coups ou blessures, le spectacle se réduisant àun encierro."


  • Manifestation antinucléaire à Colmar

    http://www.fsl-nancy.fr/IMG/jpg/noname.jpg

    Belle réussite avec plus de 10 000 manifestants, mais la police perturbe gravement le rassemblement :

    - Beaucoup de manifestants sont bloqués hors de la ville ;
    - Avec plus de 10 000 manifestants, la mobilisation antinucléaire est néanmoins très réussie ;
    - Une fois de plus, les autorités françaises bafouent la démocratie ;
    - La question de la prolongation ou de l'arrêt des réacteurs nucléaires est posée
    .

    Le Réseau "Sortir du nucléaire" se félicite de la réussite de la mobilisation aninucléaire à Colmar, avec plus de 10 000 manifestants pour la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim, la plus vieille et une des plus dangereuses de France.

    Des débats ont lieu ce samedi soir et demain dimanche à propos des différents problèmes causés par l'industrie nucléaire : accidents, déchets radioactifs, fuites d'uranium, prolifération, etc…

    Par contre, le Réseau "Sortir du nucléaire" dénonce avec force les manoeuvres injustifiables des autorités : à 15h30, le rassemblement est scindé en plusieurs tronçons et, pire, de très nombreux manifestants ont été bloqués à l'extérieur de la ville et en particulier aux frontières pour les manifestants allemands et suisses.

    Les autorités (mairie, préfecture) n'ont pas réussi à démobiliser les citoyens qui se sont donc exprimés de façon parfaitement démocratique et pacifique : une fois de plus, ce sont les antinucléaires qui ont fait preuve de responsabilité et les tenants du nucléaire qui tenté de porter tort à la démocratie.

    Pourtant, les raisons de fermer la centrale nucléaire de Fessenheim sont nombreuses (cf annexe A) et le risque nucléaire est plus élevé que jamais (cf annexe B).

    Qui plus est, alors que la construction du parc nucléaire français a coûté des sommes gigantesques (que EDF n'a pas encore fini de payer !), des dizaines de milliards d'euros sont à nouveau en jeu.

    Prolongation des réacteurs : 20 milliards d'euros… et pas de débat public !

    Il est intolérable que EDF et l'Etat aient décidé sans le moindre débat public d'investir 400 millions d'euros dans chaque réacteur nucléaire français pour lui permettre de continuer à fonctionner… tant bien que mal.

    Cette somme, multipliée par 58 réacteurs, amène à un total de plus de 20 milliards d'euros.

    Alors qu'un débat public est désormais exigé par la loi pour des investissements coûtant parfois moins d'un milliard, aucun débat public n'est prévu pour cet investissement gigantesque.

    Une fois de plus, le lobby nucléaire tente de passer en force… et sans que les citoyens ne soient avertis des enjeux.

    Le Réseau "Sortir du nucléaire" pose la question : quelles que soient leurs positions sur le nucléaire, les citoyens sont-ils vraiment d'accord pour que cet investissement gigantesque soit une fois de plus attribué à l'atome ?

    Ces 20 milliards d'euros seraient assurément plus utiles dans les plans d'économie d'énergie et le développement des énergies renouvelables.

    Le Réseau "Sortir du nucléaire" va saisir la Commission nationale du débat public pour demander que la question de ces 20 milliards d'euros soit mise en débat avec les citoyens.

    ANNEXE A :

     

    Pourquoi il faut fermer la centrale nucléaire de Fessenheim

     

    Une centrale nucléaire est toujours dangereuse, même lorsqu'elle est toute neuve.


    Mais les risques augmentent avec le temps.


    A plusieurs reprises, une catastrophe nucléaire a été frôlée en France.


    Au lieu de continuer à compter sur la chance, il faut profiter de ce que les centrales nucléaires arrivent à 30 ans de fonctionnement pour les fermer au fur et à mesure.


    Les centrales nucléaires subissent tous les dix ans des inspections approfondies (dites "visites décennales") qui sont censées permettre aux inspecteurs de la sûreté nucléaire de décréter si chaque réacteur est apte ou non à continuer à fonctionner.


    Mais le Réseau "Sortir du nucléaire" dénonce des décisions favorables imposées à l'avance par EDF et par les autorités françaises.


    Ainsi :


    - Depuis septembre 2003, EDF publie des comptes d'entreprise basés sur une durée de vie de ses réacteurs nucléaires de 40 ans.


    - Le 13 novembre 2008, le directeur de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), M André-Claude Lacoste, a déclaré :

     

    "On peut imaginer que Fessenheim ne puisse plus continuer à fonctionner. Ça me paraît très improbable." (L'Alsace, 15 novembre 2008)


    Il est clair que les dés sont pipés et que l'autorisation de continuer à fonctionner sera accordée malgré l'accumulation des incidents à Fessenheim et malgré de graves défauts déjà détectés (voir en annexe B).


    C'est donc aux citoyens de se mobiliser pour assurer leur sécurité, en imposant la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim puis de toutes celles qui arriveront à 30 ans de fonctionnement.


    EDF ayant prévu d'investir 400 millions d'euros par réacteur prolongé, il est donc possible d'économiser ces sommes très importantes et de les investir dans les économies d'énergie et le développement des énergies renouvelables.

     


    Annexe B - Risque nucléaire :

     

    - Le vieillissement des installations nucléaires ;

    - De graves situations accidentelles en France ;

    - Le risque sismique : les falsifications d'EDF.

     

     

    - Le vieillissement des installations nucléaires

     

    Le quotidien Les Echos du 8 avril 2009 précise que "lors des dernières visites décennales, vers 1999, les cuves de réacteurs situés au Tricastin et à Fessenheim avaient présenté des défauts de revêtement."

     

    On a vraiment du mal à imaginer que, 10 ans plus tard, les cuves des réacteurs de Fessenheim se portent mieux.

     

    Et pourtant les incidents plus ou moins graves se multiplient dans les centrales nucléaires, à tel point qu'il est impossible de les lister.

     

    Nous nous contenterons donc d'en rappeler quelques uns des plus récents, qui concernent les réacteurs de 900 MW de Fessenheim ou identiques à ceux de Fessenheim :

     

    - "Le 18 février 2008, un tube d’un générateur de vapeur du réacteur n°2 de la centrale nucléaire de Fessenheim s’est fissuré à la suite d’une "anomalie de supportage", conduisant à une fuite du circuit primaire vers le circuit secondaire." (Communiqué de l'ASN, Paris, le 21 octobre 2008)

     

    - "Soulagement à EDF : les deux assemblages de combustible nucléaire suspendus depuis un mois et demi au-dessus du coeur du réacteur n° 2 de la centrale du Tricastin (Vaucluse) ont été "sécurisés". I

     

    ls ne risquent plus de tomber et d'occasionner des fuites radioactives dans l'enceinte du site, voire au-delà." (Le Monde, 25 octobre 2008)

     

    - "Un incident technique qualifié par la direction de la centrale de Gravelines d' "exceptionnel et de "délicat", est survenu lors du déchargement du combustible situé au coeur du réacteur n°1 (…)

     

    Une barre d'uranium de plusieurs centaines de kilos est suspendue dans la piscine avec le risque qu'elle se décroche et retombe sur les 156 barres similaires fixées au fond de la cuve du réacteur.

     

    Ce serait le pire des scénarios pour la centrale". (La Voix du Nord, 11 août 2009)

     

    Par ailleurs, vous ne pouvez ignorer la dramatique dégradation des conditions de travail dans les centrales nucléaires EDF, avec en particulier un recours maximal à la sous-traitance, situation qui s'est traduite ces derniers mois par des grèves (pour la première fois dans le nucléaire français), mais aussi des suicides et tentatives de suicides :

     

    - "La production nucléaire reste perturbée depuis six semaines par un conflit sur les salaires et l'embauche de prestataires extérieurs surnommés les "nomades du nucléaire", qui amène EDF à réquisitionner les grévistes, certains syndicats craignant pour la sécurité."' (AFP, 18 juin 2009)

     

    - "Trois salariés du site d'EDF à Chinon (Indre-et-Loire) se sont suicidés depuis août 2006" (Le Monde, 5 avril 2007) ;

     

    - "La fédération CFTC de l'énergie a dénoncé mercredi dans un courrier à EDF un "harcèlement managérial" à l'origine, selon elle, d'une récente tentative de suicide dans la centrale nucléaire de Saint-Alban (Isère) (…)

     

    Ce salarié avait alerté à plusieurs reprises les syndicats pour dénoncer "le manque de moyens mis à sa disposition pour assurer la sécurité du site" (AFP, 1er octobre 2008)"


    - De graves situations accidentelles en France

     

    EDF ne manque jamais de rappeler que, en 40 ans de nucléaire, aucune catastrophe ne s'est produite en France.

     

    Pour notre part, nous n'oublions pas que le pire a été frôlé à plusieurs reprises.

     

    Par exemple :

     

    - deux fusions partielles du cœur à la centrale nucléaire de St-Laurent-les-Eaux (Loir-et-Cher) le 17 octobre 1969 et le 13 mars 1980.

     

    - une catastrophe frôlée à St-Laurent (encore !) le 12 janvier 1987 : EDF n'avait pas pensé que la Loire puisse geler et que de fait la centrale soit… impossible à refroidir.

     

    - un autre catastrophe frôlée le 27 décembre 1999 à la centrale nucléaire du Blayais (Gironde), gravement inondée. Les "responsables" d'EDF avaient calculé que l'eau de la Gironde ne pouvait pas passer par-dessus les digues de la centrale… mais elle est quand même passée.

     

    - Le risque sismique : les falsifications d'EDF

     

    Par ailleurs, le Réseau "Sortir du nucléaire" a révélé que EDF a mis en place des actions de lobbying "au plus haut niveau" pour empêcher la prise en compte de données sismiques qui auraient entraîné de coûteux travaux de remis à niveau des centrales :

     

    - "Ce débat serait sans doute resté confidentiel sans la publication par « Sortir du nucléaire » de courriers internes d'EDF, le 26 mai.

     

    Des ingénieurs d'EDF y formulaient clairement le souhait d'appliquer des références moins sévères que l'IRSN.

     

    Car les travaux de renforcement de certaines centrales pourraient coûter jusqu'à 1,9 milliard d'euros à l'entreprise." (Le Figaro, 27 juin 2003)

     

    - "Sortir du nucléaire accuse EDF d'avoir "falsifié des données sismiques" (AFP, 24 juin 2003).

     

    Nous attendons encore d'être attaqués pour "diffamation"par EDF qui, il est vrai, aurait eu du mal à contester ses propres documents :

     

    "Sortir du nucléaire a mis la main sur des courriers électroniques et des notes internes à EDF qui vilipendent les nouvelles normes sismiques de l'autorité de sûreté, jugées trop sévères et trop coûteuses." (Le Point, 11 juillet 2003)


    Merci beaucoup pour votre soutien financier : http://www.fermons-fessenheim.org/Soutien-Financier

  • 2 octobre : Journée internationale de la non-violence - Ce 2 octobre, "One World, One Conscience"(mouvement de défense de la planète) fête son premier anniversaire

    VEGnord relaie sur Lille, cette campagne initiée par notre partenaire, l’association One Voice

    2 octobre : Journée internationale de la non-violence

    Ce 2 octobre, "One World, One Conscience"(mouvement de défense de la planète) fête son premier anniversaire.

    Des graines de lavande, symbole de tendresse, sont offertes au public dans des dizaines de villes, en simultané.

    Chaque citoyen est invité à faire pousser de la lavande dans sa maison ou dans son jardin pour symboliser son engagement à cultiver la tendresse dans sa façon de vivre et de consommer.

    Seul un mode de vie éthique, non violent, est en mesure de bâtir une civilisation de paix, au bénéfice de la Terre, notre "maison" et de tous ses habitants, sans exclusion.

    Participez à l’opération Mains Bleues c’est marquer un engagement écocitoyen pour tous les êtres vivants.

    Et en particulier pour les papillons et les abeilles qui, menacés par nos activités polluantes, apprécieront la lavande de votre maison ou de votre jardin.

    Articles liés : Comptes-rendus

    http://www.vegnord.fr/site/

  • Chasse en Ariège : le préfet pro-chasse rappelé à l'ordre

    http://humour.cote.azur.fr/image/chasseur219.jpg

    L'affaire a débuté le 10 juin dernier par un arrêté préfectoral visant à définir l'exercice de la chasse en Ariège, pour la saison 2009-2010.

    A l'inverse de la tendance actuelle, qui voit nombre d'arrêtés commencer à prendre en compte les spécificités locales, le préfet de l'Ariège n'avait pas jugé bon d'intégrer des mesures pour préserver les gallinacés sauvages que sont le grand tétras et le lagopède alpin, ainsi que l'ours.

    Pour cette raison, le comité écologique ariégeois a attaqué cette décision au tribunal administratif de Toulouse, lequel a suspendu mi-septembre la chasse des deux gallinacés et demandé au représentant de l'Etat de définir des mesures de protection de l'ours dans le délai d'un mois, sans toutefois suspendre la possibilité de chasse en battue.

    Cette injonction va imposer au préfet de recenser les espaces les plus susceptibles d'être fréquentés régulièrement par les ours, pour les soustraire des zones de battues.

    Par ce biais, le risque de confrontation ours/chasseurs devrait se trouver considérablement réduit et permettre
    d'éviter des accidents comme par le passé.

    Pour les deux gallinacés précités, si le jugement sur le fond reste à venir, la chute de leurs effectifs avec une diminution d'au moins 30 %, entre 1995 et 2009, dans le Piémont central et dans la haute chaîne centrale des Pyrénées, dont relève l'Ariège, a été l'élément déterminant.

    Même si la chasse n'est qu'un des problèmes auxquels doivent faire face ces espèces, leur survie locale étant menacée, la suspension de leur chasse apparaît légitime.

    Si le comité écologique ariégeois peut se féliciter en soulignant qu' "enfin la situation de ces espèces est prise au sérieux. Le juge administratif a pris conscience de l'enjeu au contraire de la préfecture de l'Ariège et de la fédération départementale de la chasse"', les chasseurs locaux ont évidemment un sentiment inverse malgré les efforts de la préfecture.

    En effet, le préfet, Jacques Billant, avait signé le 15 septembre un nouvel arrêté précisant les prélèvements maximaux par chasseur, pour le grand tétras, le lagopède alpin et la perdrix grise de montagne (un coq grand tétras, six lagopèdes alpins, vingt perdrix grises de montagne).

    Suite à la décision de justice, ce nouvel arrêté n'aura été en fait qu'un ultime baroud d'honneur préfectoral, le représentant local de l'Etat prenant acte de la décision du juge et de sa confirmation apportée le 29 septembre.

    De leur côté, les chasseurs ne l'entendent pas ainsi, considérant leur droit à chasser remis en cause, ils le feront savoir en manifestant samedi à Foix, avec l'appui des deux députés ariégeois (1) qui se sont empressés de leur apporter leur soutien.

    Pascal Farcy

    1- Frédérique Massat et Henri Nayrou, respectivement député PS de la première et seconde circonscription d'Ariège.

    http://www.univers-nature.com/inf/inf_actualite1.cgi?id=3928

  • Vente d’animaux à la sauvette dans Paris : la Fondation Bardot et l'association Stéphane Lamart reçues à la Mairie de Paris

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    Le jeudi 1er octobre dernier, l'association Stéphane Lamart était reçue à la Mairie de Paris, ainsi que la Fondation Brigitte Bardot pour assister à une réunion concernant le problème de la mendicité et de la vente d’animaux à la sauvette sur les trottoirs de la capitale.

    Fort de son expérience de « terrain », des rapports écrits des inspecteurs de l’association et des nombreux témoignages des citadins, notre président a insisté sur un point précis : la sensibilisation des parisiens, notamment par plusieurs campagnes d’affichage, des articles réguliers dans les différents journaux de la capitale rappelant l’importance de ne pas acheter les animaux sur la voie publique.

    Interrogé à la sortie de cette réunion, Stéphane Lamart semble optimiste.

    Il a rappelé aux journalistes l’importance qu’il attache à la création d’une cellule spécialisée dans le domaine des animaux et de son système juridique, au sein de la police nationale.

    Il a néanmoins demandé à Maître Patrice Grillon, avocat de l’association d’adresser un courrier adressé à M. Alain Gardère, Directeur de la police nationale, afin d’obtenir un entretien pour lui rappeler l’urgence de la situation.

    D’autres actions sont d’ors et déjà prévues pour tenter d’enrayer ce trafic.


  • "The Cove - La Baie de la Honte" : le massacre des dauphins au Japon

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    Après s'être fait connaître dans les années 60 par la série Flipper, l'ex-dresseur de dauphins Ric O'Barry entreprend de révéler, avec l'équipe de l'Oceanic Preservation Society, comment sont massacrés plus de 23 000 dauphins chaque année à Taiji, au Japon.

    The Cove, la Baie de la Honte sort au cinéma le 30 septembre prochain.

    Le film traite d'une baie d'une petite ville japonaise de Taiji où a lieu une sanglante pêche aux dauphins.

    Chaque année, pendant six mois, les plus beaux d'entre eux sont récupérés et revendu aux delphinariums pour 150 000 $.

    Quant aux autres, ils sont tués, dépecés, leur chair revendu aux restaurants...

    Un dauphin tué pour sa viande rapporte environ 600 $.

    Environ 23 000 dauphins sont ainsi massacrés chaque année en toute légalité.

    En effet, la chasse aux dauphins reste autorisée (la chasse à la baleine est interdite depuis 1986) car, bien que les dauphins et les baleines soient issues de la même famille animale, la Commission Baleinière Internationale refuse de protéger les "cétacés de petite taille".

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    Découvrez la bande annonce de The Cove

    " Avec The Cove, on passe la barrière de l'inaccessible, si Le Grand Bleu était une fable, The Cove est un cauchemar...

    Les Japonais seront toujours mes amis mais les assassins toujours mes ennemis.

    La mer est meurtrie sur toute la surface du globe, le vivant souffre.

    Les espèces s'éteignent dans l'indifférence. [...]

    On ne peut plus fermer les yeux.

    Quelques ignobles font couler le sang des dauphins et c'est la nation nippone tout entière qui est salie.

    Plus que politique, The Cove est un film nécessaire, dans le sens où le monde doit savoir ", écrit Luc Besson sur le site français du film.

    En attendant de voir The Cove sur grand écran le 30 septembre prochain, n'hésitez pas à vous engager pour la cause des dauphins : http://www.takepart.com/thecove

    Pour plus d'informations sur le sujet et le film, rendez-vous sur le site officiel (en anglais).

    Sensibiliser le monde au terrible sort de ses animaux

    C'est la démarche du film pour lequel Ric O'Barry s'est heurté à l'hostilité de la police locale et des pêcheurs.

    Mais avec son équipe de choc composée de cadreurs et preneurs de sons sous-marins, océanographes et plongeurs en apnée, ils ont réussi à mener leur opération secrète et à rapporter des images interdites de la petite baie isolée...

    The Cove n'est pas un documentaire classique, c'est d'abord un film d'investigation journalistique.

    The Cove a remporté le Prix du Public au Festival de Sundance en 2009 puis le Prix du Public au Hot Docs Canadian International Documentary Festival, au Newport Beach Film Festival et au Seattle Internationnal Film Festival.

    Il a également été sélectionné pour le 35e Festival du cinéma américain de Deauville qui se déroule actuellement.

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    Elle sert non seulement pour la capture d'animaux vivants destinés aux parcs d'attraction marins et aquariums, mais aussi à la consommation de viande.

    Or cette viande contient de nombreux produits toxiques comme le mercure et des produits chimiques chlorés dangereux pour la santé.

    Dans les zones côtières, les dauphins sont capturés à l'aide de filets dérivants.

    Ils sont attirés dans des cages grâce à des explosions qui pertubent leur sonar et les font paniquer.

    Une fois piégés dans les filets, les vétérinaires et les dresseurs choisissent ceux qui peuvent être achetés (plus de la moitié des dauphins en captivité meurent avant deux ans).

    Les autres sont tués avec des lances, des couteaux et des crochets. Au large, on les tue plutôt avec des harpons.

    On trouve plusieurs espèces à Taiji ; les Tursiops, le dauphin bleu et blanc, le dauphin tacheté et le dauphin de Risso.

    On trouve aussi de fausses orques et des baleines pilotes.

    Nombreuses de ces espèces sont considérées en voie d'extinction.

    Une viande empoisonnée au mercure

    Certains échantillons de viande de dauphins ont montré des taux de mercure 1 000 fois supérieurs au maximum autorisé.

    Néanmoins, aucun cas d'empoisonnement lié à l'ingestion de viande dauphin n'a donné suite à une étude médicale.

    Dans The Cove on apprend que la viande de dauphin a été abusivement étiquetée comme de la viande de baleine, induisant le consommateur en erreur.

    En octobre 2208, suite au tournage de The Cove, la municipalité a retiré la viande de dauphin des repas destinés aux écoliers de Taiji.

    Les dauphins retrouvés morts en Australie l'année dernière ont subi de graves troubles neurologiques liés à l'empoissonnement au mercure.

    75 % de la présence de mercure chez l'être humain proviennent de la consommation de produits de la mer.

    Des échantillons d'eau prélevés en 2006 démontraient que la pollution des océans au mercure a augmenté de 30 % par rapport aux années 90.

    Une études des Nations Unies de 2003 démontre qu'en raison de l'utilisation d'énergies fossiles, comme le charbon, l'émission de mercure dans l'atmosphère augmente de 1,5 à 3 % par an.

    Emilie Villeneuve

    http://www.bioaddict.fr/article/the-cove-la-baie-de-la-honte-le-massacre-des-dauphins-presente-par-luc-besson-a212p1.html

  • "Léa, la forêt sans toi pleure" (RAC)

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    L’association La Forêt de Léa recueille des sangliers orphelins et des cochons maltraités.

    Il y a cinq ans, Valérie, la présidente, avait récupéré Léa (à laquelle le nom de l’association rend hommage) ; une jeune laie dont la mère venait d’être abattue par des chasseurs.

    Depuis plusieurs années, ce sont des dizaines de cochons malmenés et de marcassins orphelins que Valérie a recueillis, soignés et sauvés. Ces animaux vivent maintenant paisiblement dans un grand enclos.

    Mais, nous le savions déjà, il existe dans notre pays des personnes qui s’acharnent à retirer la vie, blesser, torturer, faire souffrir des animaux.

    Quoi de plus énervant pour ce genre d’individus que de savoir que des sangliers vivent pacifiquement dans l’enclos de cette association ?

    Non, un sanglier qui est à l’abri de leurs actes, ce n’est vraiment pas acceptable !

    Alors, un voire plusieurs énergumènes n’ont pas hésité.

    Ils n’ont pas non plus voulu perdre de temps : avant-hier, le 27 septembre, jour de l’ouverture de la chasse dans ce département, ils sont passés à l’acte.

    Ces derniers ont découpé le grillage du parc de l’association, ont visiblement tué la laie Léa et l’auraient emportée !

    3 infractions ont été commises, dont la première fut constatée par l’ONCFS et la gendarmerie, pour satisfaire leurs pulsions meurtrières : acte de malveillance (découpage du grillage), violation de domicile (introduction dans une propriété privée), meurtre d'un animal apprivoisé.

    Quel argument pourraient-ils faire valoir ?

    Aucun, et pas celui de la « difficulté du tir », car la laie, confiante, se laissait approcher.

    Il est vraiment inquiétant de constater que leurs instincts meurtriers l’emportent sur la raison.

    Comment peut-on en arriver à un tel irrespect, une telle méchanceté, une telle lâcheté ?

    Ces individus sont-ils normalement constitués pour agir ainsi ?

    Lorsqu’on se livre à de ce genre d’actes envers les animaux, de quoi serait-on capable envers les humains ?

    Ces infractions et délits constatés doivent être sévèrement condamnés comme la loi et la justice l’exigent.

    Nous attendons de l’Autorité Publique, de Monsieur le Préfet ainsi que du Procureur de la République une réaction à la hauteur de la répugnance que nous ressentons face à de tels actes.

    Le Rassemblement Anti Chasse espère très vivement que le ou les auteurs seront retrouvés et sanctionnés, bien que le chagrin n’ait pas de prix et que la perte de cet animal soit irrémédiable.

    Nous ne cessons de le répéter ; la chasse représente une nuisance pour la population, accentuée par le fait que certains chasseurs sont extrêmement dangereux et font régulièrement preuve d’une cruauté et d’un irrespect inacceptables.

    Il serait grand temps d’agir !

    Ce loisir consistant à tuer des animaux reconnus comme des êtres sensibles doit être interdit.

    Une pétition va être lancée dans les plus brefs délais dont le lien sera présent sur notre site www.antichasse.com

    Le RAC a d'ores et déjà écrit au Préfet dont les coordonnées sont les suivantes :

    mail@sarthe.pref.gouv.fr  -  Monsieur le Préfet, Emmanuel Berthier – Place Aristide Briand – 72041 Le Mans cedex 9

    http://www.antichasse.com/rac_communiques.htm#29092009
  • Un désordre vaut mieux qu’une injustice (Gérard Condorcet)

    http://www.poemes-amour.fr/image/Victor-Hugo.jpg

    Par inclinaison, trop d’hommes suivent le cortège des vainqueurs, cachent dans leurs armoires des drapeaux de toutes les couleurs et pour tous les camps, composent avec les lobbies, les puissants du jour, les pouvoirs et émargent davantage à l’épuration d’après guerre  qu’à la résistance de la première heure.

    Sans doute, faut-il un minimum de courage pour braver les conformismes, combattre les intérêts établis, déranger les dormeurs assoupis qui s’accommodent  au présent de ce qui les révulsera demain.

    En 1832, le bon Victor HUGO, auteur entre autres de cette réflexion ("Le gai chasseur armant son fusil et son piège confine à l’assassin et touche au sacrilège") publiait le Dernier Jour d’un condamné à Mort pour dénoncer l’assassinat judiciaire.


    Il fallut 150 ans pour que cette conscience, servie par une forte plume, concrétise en loi une éthique ampathique.

    Rares sont ces hommes phares qui se lèvent dans le troupeau grégaire pour montrer une route nouvelle et déboulonner des préjugés hérités.

    Le pusillanime demeurera toujours attentiste, prudent, pondéré, consentant cinq minutes d’expression au génocideur et cinq minutes à sa victime.

    Le pusillanime aime le « juste milieu », là où l’on est sûr de se tromper mais de ne rien risquer.

    Même dans nos démocraties imparfaites, ces prudents veillent à ne pas s’exposer, à ne pas déplaire et à observer constamment une « obligation de réserve » qu’ils s’assignent comme  devoir de lâcheté.

    Ils savent que l’injustice, la cruauté, le mépris sévissent dans la société mais l’instinct de conservation de leurs petits intérêts les poussent inexorablement à la complicité silencieuse.

    Or, nous ne sommes  pas sortis de l’Histoire puisque la violence est faite quotidiennement à tant d’humains sur la planète et aux autres animaux, êtres sensibles qui doivent accéder à notre compassion.

    Cette violence est intolérable, qu’elle affecte le prisonnier français réduit à la promiscuité dégradante, le courageux blasphémateur des téhocraties, la femme insoumise des régimes médiévaux, le libertaire chinois ou l’ours pyrénéen.

    Ne pas crier sa révolte et son refus, admettre l’ordre établi en ce qu’il comporte d’inique et de criminel confinent à la complicité morale.

    Pour construire une société hédoniste altruiste, fondée sur la quête du plaisir pour soi-même à condition qu’il passe par le plaisir d’autrui, il faut adopter un comportement radicalement révolutionnaire, non pas  dans l’acception du 19ème siècle avec barricades de pavés glorieux, non pas en attendant que les masses anesthésiées et abruties par « leur télévision » se dressent en un grand soir lumineux, mais immédiatement, en vivant en hédoniste altruiste.

    Refusons sans délai, sans faiblesse, la société du mépris du vivant.

    Refusons toute complaisance envers ce qui tue, détruit, enlaidit, endolorit le monde.

    Refusons de voir l’écologie, éthique nouvelle du respect du vivant, s’avachir en un environnementalisme de pacotille, fioriture pour discours politicien.

    Refusons notre concours à la capitulation du cœur et de la raison au profit d’une ignorance confortable des crimes de notre temps.

    Gérard  CONDORCET
    CONVENTION VIE ET NATURE POUR UNE ECOLOGIE RADICALE

    www.ecologie-radicale.org

  • Meurtre de Lea : "Adieu mon bébé !"

     

    27 septembre 2009


    Ce matin je donne leur petit déjeuner aux cochons et sangliers, je ne vois pas Léa dans son parc.


    Je ne m'inquiète pas, il fait chaud, elle doit être dans un bosquet au frais.


    Midi : je leur donne à manger.


    Pas de Léa.


    J'entre dans le parc, je l'appelle.


    Rien.


    Je fouille partout, je l'appelle et l'appelle encore.


    Je fais le tour du parc : je vois un trou... j'ai compris et je m'effondre


    14h30 : coup de fil d'un garde chasse : "Je crois que votre sanglier n'est plus de ce monde."


    J'appelle l'ONCFS et la gendarmerie : ils constatent que le grillage du parc  a bien été coupé.


    L'ONCFS a découvert des traces de sang et du poil de sanglier pas loin du parc...


    Léa est décédée.


    Il y a enquête.


    Les ou le chasseur ont donc commis 3 infractions :

     

    - acte de malveillance (découpage du grillage)

     

    - violation de domicile (ils se sont introduits sur une propriété privée)

     

    - meurtre d'un animal apprivoisé, domestique


    Léa, ma petite Léa, celle  qui a donné son nom à l'association, a été abattue par les chasseurs, les viandards, ces meurtriers en puissance !!!!


    Léa est partie dans les mêmes conditions que sa pauvre mère.


    Léa doit sans doute "reposer" dans un frigo et va être servie en repas de famille...


    JE HURLE DE DOULEUR !


    Alors aujourd'hui, j'espère que les associations qui ont protesté contre le meurtre de Canelle vont aussi se manifester pour venger Léa...

     


    http://www.laforetdelea.org/adieu_lea.htm

     

    Aidons la maîtresse de Léa à rechercher les coupables de ce meurtre odieux : protestons auprès de la Mairie de Savigné-sous-le-Lude et de la Préfecture de la Sarthe :

     

    Mairie SAVIGNE SOUS LE LUDE 72800
    1 pl Mairie
    72800 SAVIGNE SOUS LE LUDE
    Telephone : 0243456260

    Préfecture de la Sarthe
    Place Aristide Briand
    72041 Le Mans Cedex 9
    Tél. 02.43.39.72.72 Fax : 02.43.28.24.09
    Courriel : mail@sarthe.pref.gouv.fr

    http://www.cg72.fr/institution.asp

     

    Modèle de lettre :

     

    Bonjour,

    C'est avec effroi que je viens d'apprendre qu'une gentille petite laie de 5 ans prénommée Léa a été volée et tuée dans un domaine privé, "La forêt de Léa ", situé sur la commune de Savigné-sous-le-Lude, lieu dit "La Vergère", se trouvant dans votre circonscription.

    3 infractions ont été commises :

    • découpage d'un grillage ;
    • violation de domicile ;
    • assassinat d'un animal apprivoisé (sang et poils retrouvés sur place).

    Comment peut-on tolérer de tels agissements ?

    Ces informations tournent dans le monde de la protection animale, et surtout sur internet, à un niveau national.

    Je suis persuadé(e) que vous allez très rapidement intervenir, afin d'élucider et punir les coupables d'une telle atrocité.

    Veuillez agréer, Madame ou Monsieur le préfet, mes remerciements anticipés.

    Nom + prénom + adresse