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Humeurs - Page 76

  • Isère : l'autopsie confirme l'abattage illégal d'un loup dans le Vercors (Le Monde)

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    L'autopsie pratiquée sur le cadavre d'un grand canidé découvert la semaine dernière dans le massif du Vercors (Isère), a confirmé qu'il s'agissait d'un loup, abattu illégalement par balles, a annoncé vendredi le préfet de l'Isère.

    "Il s'agit d'un mâle de 28 kilos, âgé de 2 à 3 ans, victime de deux projectiles qui ont entraîné des blessures mortelles", a précisé à l'AFP le préfet, Michel Morin, à l'issue d'une réunion de presse.

    Le cadavre du loup avait été découvert le vendredi 17 octobre sous le col de l'Arc, à proximité de Villard-de-Lans. Les agents de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), l'avaient alors récupéré et transporté au siège départemental afin d'être congelé en attendant d'être autopsié, conformément au protocole en vigueur.

    A la suite de cette autopsie, qui a eu lieu mercredi, un procès-verbal de renseignement judiciaire a été rédigé par le service départemental de l'ONCFS et transmis jeudi au parquet du tribunal de grande instance de Grenoble, selon la même source.

    Contrairement à la Drôme, département voisin, qui avait autorisé l'abattage d'un loup dans le massif du Vercors fin août, par des lieutenants de louveterie, le préfet de l'Isère n'a pas autorisé de tir contre cette espèce protégée par la convention de Berne (1979), ainsi qu'une directive européenne de mai 1992.

    http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-37396567@7-37,0.html

  • Les rejets médicamentaux menacent la biodiversité

    http://www.mutuelleprevoyancesante.fr/lib/picts/medicaments3.jpg

    L'académie nationale de pharmacie vient de lancer un pavé dans la mare en reconnaissant dans un rapport que des substances médicamenteuses se retrouvent à plus ou moins forte concentration dans l'eau.

    Son de cloche identique pour le Laboratoire d'hydrologie et de molysmologie aquatique (LHMA), spécialisé dans l'étude des pollutions et des polluants, à la faculté de pharmacie de Montpellier pour qui le nombre d'analgésiques, d'antidépresseurs, d'anti-inflammatoires et d'oestrogènes présents dans l'eau est alarmant.

    La biodiversité méditerranéenne et les cours d'eaux seraient même déjà touchés par la contamination des rejets médicamenteux.

    Parmi les conséquences possibles sur la faune et flore, la difficulté des poissons à se reproduire sous l'action des oestrorgènes.

    Les scientifiques constatent déjà une féminisation des poissons mâles dans la Seine et le Rhône.

    Reste que pour le moment, aucune étude épidémiologique n'a été menée sur les risques et dangers des médicaments dans le long terme.

    Le Danemark a toutefois montré que la présence de dérivés hormonaux fait partie des facteurs environnementaux contribuant à l'apparition de malformations urogénitales.

    En tout cas, les solutions pour limiter cette pollution demeurent toujours délicates, d'autant que les stations d'épuration ne peuvent éliminer que 70% des composés.

    Voilà pourquoi le Leem a d'ores et déjà mis en place des groupes de travail avec l'ensemble des parties prenantes.

    Objectif ?

    Optimiser le dispositif de collecte et d'élimination des médicaments non utilisés (MNU). Autre idée venue de Suède : la classification des médicaments en fonction de leur impact sur l'environnement.

    http://www.campagnesetenvironnement.fr/les-rejets-medicamentaux-menacent-la-biodiversite-2327.html

  • Acomplia : Sanofi Aventis, l'un des plus grands vivisecteurs mondiaux, doit retirer son médicament du marché, mais persiste et signe

    http://blogsimages.skynet.be/images_v2/000/038/081/20060621/dyn004_original_350_383_pjpeg_38081_84e0c18e83bc5c11808c9efcbd261bb3.JPG

    Sanofi-Aventis suspend la commercialisation de l'Acomplia en UE.

    Le laboratoire français a annoncé que les autorités européennes du médicament ont suspendu l'autorisation de commercialisation de l'anti-obésité Acomplia.

    Les temps sont durs pour le médicament anti-obésité de Sanofi-Aventis : l'Acomplia.

    Après avoir été interdit de commercialisation aux Etats-Unis, au motif qu'il pouvait entraîner une augmentation des pensées suicidaires même chez les patients sans antécédents de dépression, Sanofi-Aventis a annoncé jeudi dans un communiqué la suspension temporaire de l'autorisation de mise sur le marché européen, conformément à la recommandation de l'Agence Européenne du Médicament.

    « La vente est interrompue immédiatement dans toutes les pharmacies des 18 pays de l'Union européenne qui le distribuent », a précisé à l'AFP un porte-parole du numéro quatre mondial de la pharmacie.

    Ce médicament est actuellement commercialisé dans 32 pays, dont 14 hors Union européenne.

    Le groupe n'a pas évoqué les raisons de la suspension « temporaire » de ce médicament autorisé en juin 2006, mais il a en revanche indiqué qu'il n'excluait pas de retirer l'Acomplia du marché mondial.

    « Sanofi-Aventis contacte immédiatement les autorités de santé des pays n'appartenant pas à l'Union Européenne, et dans lesquels le produit est disponible, afin de mettre en place des mesures équivalentes à la recommandation de l'EMEA (autorités européennes de santé, ndlr) », a indiqué le laboratoire dans un communiqué.

    Fin août, l'agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) avait conclu au risque de trouble dépressif lié à la prise de ce médicament, dans un bilan publié à l'issue de la première année de commercialisation.

    Suite à l'annonce de cette suspension sur le marché de l'Acomplia, le titre Sanofi-Aventis a terminé en hausse limitée de à 0,59% à 44,70 euros alors qu'il gagnait plus de 4% avant cette annonce.

    http://www.lefigaro.fr/societes/2008/10/23/04015-20081023ARTFIG00635-sanofi-aventis-suspend-la-commercialisation-de-l-acomplia-.php

  • Baisse inquiétante de la biodiversité dans les zones humides de l'Est méditerranéen (étude) (Le Monde)

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    La biodiversité est en diminution inquiétante dans les zones humides de l'est de la Méditerranée depuis les années 1970 alors qu'à l'ouest, les mesures de protection environnementales portent leurs fruits, selon une étude de la Fondation scientifique Tour du Valat.

    En terme d'évolution de la biodiversité, "la situation continue à se dégrader à l'est de la Méditerranée et en mer Noire. Ce constat est inquiétant car les effectifs de nombreuses espèces s'y trouvent concentrés", indique l'étude, dont l'AFP a obtenu copie lundi, effectuée dans le cadre du programme MedWet de préservation des zones humides méditerranéennes (lacs, marais, marécages...).

    Par Est de la Méditerranée, l'étude désigne Israël, le Liban, la Syrie, Chypre, l'Egypte, la Libye, la Turquie, la Grèce et les pays des Balkans.

    "Plusieurs espèces dont les bastions se trouvaient jusqu'à présent dans l'est de la Méditerranée ont vu leurs effectifs se réduire considérablement à la fin du XXe siècle", remarque l'auteur de l'étude, Thomas Galewski, docteur en biologie de l'évolution et écologie.

    Parmi les victimes: l'ibis falcinelle ou la sarcelle marbrée.

    En Israël, un petit crapaud présent uniquement dans cette région du monde (le Discoglosse à ventre noir) a totalement disparu à cause de l'assèchement d'une zone autour du lac d'Hula, a précisé à l'AFP M. Galewski.

    En Grèce, l'assèchement complet du plus grand lac d'eau douce (lac Karla), transformé en plaine agricole dans les années 1960 a privé plus de 430.000 oiseaux de leur zone d'hivernage.

    http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-37347977@7-50,0.html

  • L'étau se resserre autour des trafiquants d'animaux sauvages au Brésil

    L'image “http://d.yimg.com/i/ng/ne/afp/20081017/20/3995182803-l-etau-se-resserre-autour-des-trafiquants-d-animaux-sauvages.jpg?x=310&y=231&q=75&wc=420&hc=314&xc=9&yc=1&sig=N9FZdGkuOgZqIKd2Fxq2fA--#310,231” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.

    Des cris stridents fusent de toutes parts dans la petite salle du Centre de tri animalier de Rio où 300 jeunes perroquets verts ont été recueillis totalement affamés, victimes des contrebandiers brésiliens.

    Indifférente au vacarme, une étudiante vétérinaire les alimente un à un, à l'aide d'une sonde, avec une mixture de protéines et de fruits. Ils sont encore trop jeunes pour se nourrir seuls.

    "Ceux qui arriveront à survivre seront relâchés dès que possible dans la nature", déclare à l'AFP Vinicius de Oliveira, responsable du Centre de Tri d'Animaux Sauvages (Cetas) de Rio de Janeiro, un organisme qui dépend du ministère de l'Environnement.

    Tous ces perroquets ont été saisis lors de contrôles policiers qui ont été multipliés au cours des dernières semaines à Rio et dans tout le pays pour lutter contre le trafic animalier.

    "Dans l'un des cas, une centaine de perroquets étaient entassés dans le double fond d'une camionnette, assoiffés et affamés", se souvient Vinicius.

    "Le trafiquant est prêt à tout pour faire un maximum de bénéfices. J'ai déjà vu un petit singe caché dans une bouteille isotherme", ajoute-t-il.

    Le jeune qui effectuait le transport clandestin des perroquets devait recevoir 500 dollars pour ses services, soit deux fois plus que le salaire minimum mensuel. Il encourt maintenant de deux à huit ans de prison pour trafic d'animaux, association de malfaiteurs et recel.

    Plus de 7.000 animaux dont une majorité d'oiseaux mais aussi des singes, chats sauvages, tortues et serpents arrivent tous les ans au Cetas. Nombre de primates ont aussi été recueillis après avoir été simplement abandonnés à l'âge adulte car devenus trop agressifs, par leurs propriétaires peu scrupuleux.

    "C'est un vrai problème. D'autant qu'on ne peut plus les relâcher dans la nature car ils ne sont plus aptes à se débrouiller tous seuls", déplore Vinicius, médecin vétérinaire.

    "Nous resserrons l'étau autour des braconniers et des trafiquants. Au cours des trois derniers mois, nous avons saisi plus de 2.000 oiseaux et arrêté 25 personnes", déclare le commissaire de la Police Fédérale pour l'Environnement de l'Etat de Rio, Alexandre Saraiva.

    La législation brésilienne interdit la chasse dans tout le pays ainsi que la détention de tout animal sauvage en captivité, sauf s'il est issu d'élevages autorisés, très rares dans le pays. Acheter au marché noir un perroquet vert ou un toucan extrait de son milieu naturel coûte moins de 100 dollars alors qu'il en vaut 10 fois plus dans une boutique légale.

    "C'est cette différence de prix qui encourage le trafic", explique le commissaire, rappelant qu'après la drogue et les armes "le trafic d'animaux est la troisième source la plus importante de revenu illicite".

    Mettre fin à ce trafic n'est pas tâche facile au Brésil riche d'une immense biodiversité où les frontières sont poreuses, surtout en Amazonie, ajoute-t-il.

    "C'est la loi de l'offre et de la demande. Il faut en finir avec le marché noir au Brésil mais aussi à l'étranger. Un ara bleu, espèce en voie de disparition, coûte plus de 10.000 dollars sur le marché noir international", affirme M. Saraiva qui table sur une "meilleure coopération internationale".

    "Notre but immédiat est de réduire les bénéfices et d'augmenter les risques des chasseurs et des contrebandiers. Mais, cela demande un gros travail préalable des services de renseignements", explique-t-il.

    A plus long terme, il faudra également travailler sur les mentalités selon lui: "Depuis l'arrivée des Portugais, en 1500, c'est une tradition culturelle au Brésil que d'avoir un perroquet ou un singe comme animal de compagnie".

    http://fr.news.yahoo.com/2/20081017/tsc-l-etau-se-resserre-autour-des-trafiq-c2ff8aa.html

  • Pesticides : présence aggravée dans les fruits, légumes, céréales de l'UE - Conclusion : mangez bio !

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    La présence de pesticides a été décelée dans 49,5% des fruits, légumes et céréales produits dans l'UE en 2006, le plus haut niveau de contamination jamais enregistré en Europe, selon une ONG française qui s'est procurée le rapport de Bruxelles à paraître la semaine prochaine.

    Le rapport officiel 2008 de l'UE sur les pesticides porte sur les données de 2006.

    Dans un communiqué mercredi, le Mouvement pour les droits et le respect des générations futures (MDRGF) qui diffuse les conclusions du rapport en avant-première, note que ces données représentent "une augmentation de 20% sur les cinq dernières années".

    "Les céréales sont de plus en plus contaminées avec 27,2% de contamination en 2006 contre 21% en 2005", note le mouvement.

    Plus d'un quart des échantillons testés - 27,7% - contenaient deux résidus ou plus, et plus de 10% en contenaient quatre résidus ou plus.

    Selon le MDRGF, 23 pesticides ont été détectés à des niveaux suffisamment élevés pour représenter un risque sanitaire et cinq des produits les plus fréquemment décelés dans les aliments vendus dans l'UE sont considérés comme "cancérogènes, mutagènes, toxiques pour la reproduction ou perturbateurs du système hormonal".

    "Au total, 4,7% des fruits et légumes testés contiennent des pesticides à des concentrations supérieures au maximum des limites légales (LMR)", assure l'association qui se demande si "la Commission européenne compte sur les nouvelles normes artificiellement relevées en 2008 pour résoudre artificiellement le problème".

    Un règlement européen a relevé en septembre les plafonds autorisés pour la présence de résidus de pesticides dans les aliments afin d'harmoniser les normes au sein de l'Union, mais avec pour effet d'augmenter singulièrement les limites existantes.

    Les ONG avaient alors estimé que le relèvement de plusieurs centaines de seuils atteignait des limites dangereuses pour les consommateurs.

    http://fr.news.yahoo.com/2/20081016/tsc-pesticides-presence-aggravee-dans-le-c2ff8aa.html

  • Déforestation : la Commission européenne propose des certificats d'origine du bois

    http://www.lesrevoltes.com/LESREVOLTES/Images/Actualites/News_023/deforestation_palmier.jpg

    La Commission européenne a proposé vendredi aux pays de l'UE d'obliger les négociants en bois à produire des certificats d'origine pour protéger les forêts dans le monde, menacées par les coupes couvrant 13 millions d'hectares chaque année.

    "25% des émissions de CO2 viennent de la déforestation et on ne s'attaquera pas au problème du réchauffement climatique si on n'enraye pas ce type d'émissions", a souligné le commissaire à l'Environnement Stavros Dimas.

    Le règlement proposé vendredi obligera les négociants en bois à apporter la preuve du pays d'origine du bois et à démontrer qu'il a été coupé légalement, a précisé M. Dimas.

    "Près de 19% des importations de bois dans l'UE proviennent de sources illégales", indique la Commission.

    L'obligation de certifier l'origine et la légalité de la coupe sera un message clair à l'intention des opérateurs qui souhaitent accéder au marché communautaire, estime M. Dimas.

    Les Etats membres pourront décider de sanctions en cas de violations de ces règles, a-t-il ajouté.

    L'Union européenne doit lutter contre la déforestation sur son territoire et une partie des financements nécessaires pour la période 2013-2020 pourrait provenir des recettes tirées de la vente aux enchères des droits d'émission de CO2.

    Le plan de lutte européen contre le réchauffement du climat préconise la mise aux enchères de chaque tonne de CO2 émise par l'industrie lourde --40% des 2,2 milliards de tonnes émises chaque année par l'Union-- à compter du 1er janvier 2013.

    Cette mesure, contestée par plusieurs pays, pourrait rapporter jusqu'à 44 milliards d'euros par an, qui iront dans les caisses des Etats membres.

    "Si 5% des recettes tirées de la vente aux enchères étaient utilisés pour l'établissement d'un mécanisme mondial pour le carbone forestier, 1,5 à 2,5 milliards d'euros pourraient être recueillis d'ici à 2020", souligne la commission.

    "C'est la première fois qu'une région --l'UE-- adopte une approche aussi globale pour réagir contre la déforestation", a souligné M. Dimas.

    "L'objectif est d'arriver à réduire la déforestation tropicale de 50% pour 2020 et de stopper la diminution de la couverture forestière en 2030 dans le cadre des négociations internationales", précise la Commission.

    Actuellement, 13 millions d'hectares de forêts disparaissent chaque année, souligne la Commission. La déforestation est responsable d'environ 20% des émissions mondiales de gaz à effet de serre et est une cause des pertes de biodiversité, a-t-elle ajouté.

    "La déforestation aggrave la pauvreté. 60 millions de personnes dépendent directement des forêts et 1,6 milliard seront directement affectées par la poursuite de la déforestation", a insisté M. Dimas.

    http://fr.news.yahoo.com/2/20081017/tsc-deforestation-la-commission-europeen-c2ff8aa.html

  • Journée mondiale de l’alimentation 2008 : Le végétarisme contre la faim à l’échelle mondiale

    http://i208.photobucket.com/albums/bb145/twinkletoe_2007/hunger-1.jpg

    COMMUNIQUÉ DE PRESSE

    16 octobre 2008

    Les 7 et 8 octobre 2008, la Commission européenne, le Parlement européen et les Nations Unies ont marqué l’anniversaire de la
    Déclaration des droits de l’Homme, qui assure à « toute personne le droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l'alimentation ».

    Soixante ans après la signature de cette déclaration de bonne volonté, l’Organisation pour l'alimentation et l'agriculture planifie de célébrer la
    Journée mondiale de l’alimentation 2008 visant à « attirer l’attention sur les souffrances des 923 millions de personnes sous-alimentées que compte la planète ».

    Que s’est-il passé?

    Comment se fait-il que près d’un milliard de personnes ne profitent pas du droit le plus fondamental du 21e siècle?

    « Chaque enfant qui meurt de faim dans le monde d’aujourd’hui est victime de meurtre, » accuse Jean Ziegler, ancien rapporteur spécial des Nations Unies sur le droit à l’alimentation. En effet, comment une société se désignant comme étant civilisée peut-elle accepter qu’alors qu’un enfant meurt de faim à toutes les cinq secondes à travers le monde, environ 1,5 milliards de vaches et de bovins et un nombre astronomique d’autres animaux de ferme soient nourris d’une énorme part des récoltes disponibles?

    Un nombre supérieur à la population des États-Unis, du Canada et de l’UE n’a pas suffisamment de nourriture.

    Des décideurs nationaux et internationaux ont amorcé une multitude de projets et de campagnes dans le cadre de leur combat contre la faim; malheureusement, la situation ne s’est pas améliorée. La misère continue causée par la faim exige de nouvelles stratégies, dont le végétarisme doit faire partie!

    Dans l’intérêt de la justice et de l’humanité, on ne peut plus permettre le gaspillage actuel de 7 à 16 kg de grains ou de fèves soja, jusqu’à 15.500 litres d’eau et 323 m2 de pâturages afin d’obtenir un seul kilo de viande.

    Le 23 septembre 2008 est
    Overshoot Day – une étape clé où l’humanité a déjà utilisé toutes les ressources générées par la nature cette année-là.

    Si on tient compte du fait qu’à l’échelle mondiale, nous avons maintenant besoin de 1,4 planètes afin de soutenir nos styles de vie, Overshoot Day devrait être un signal pour les politiciens comme pour les individus.

    Dans le but d’aider les gens dans le besoin, de sauvegarder l’environnement et d’améliorer la santé publique, la réduction ou la fin de la consommation de viande est le moyen le plus facile et le plus bénéfique.

    Le fait que nous n’ayons plus suffisamment de ressources afin de nourrir tout le monde ne doit plus être compromis par l’avidité pour la viande.

    European Vegetarian and Animal News Alliance
    (EVANA)
    contact: info@evana.org

    Association Végétarienne de France

    BunnyHuggers, UK

    Centro Vegetariano, Portugal

    EVA vzw - Ethisch Vegetarisch Alternatief, Belgium

    Globetransformer, International

    Jewish Vegetarians of North America (JVNA), USA

    Romanian Vegetarian Society

    Swiss Union for Vegetarianism

    Vegan Society Austria

    Yoga in Daily Life, International

    ================

    Pétition au Nations Unies - «NOURRIR LA POPULATION VS NOURRIR LES ANIMAUX» : Appel aux Nations Unies et à ses agences de cesser de négliger le végétarisme et d’étudier plutôt ses avantages aux volets multiples, dans le but de les incorporer dans de futures stratégies pour un monde sans faim

    Source/Quelle: EVANA
    Autor: Translation Lise Balthazar, Kind Translators www.kindtranslators.com

    Link: FAO: La JMA 2008 souligne les effets du changement climatique et des bioénergies-Les pauvres en pâtiront le plus
    Link:
    La crise financière pourrait aggraver la crise alimentaire
    Link:
    LA JOURNÉE INTERNATIONALE POUR L’ÉLIMINATION DE LA PAUVRETÉ PLACÉE SUR LE THÈME DES DROITS DE L’HOMME ET DE LA DIGNITÉ DES PAUVRES
    Link:
    Pour Jean Ziegler, 'un enfant qui meurt de faim aujourd'hui est assassiné'
    Link:
    World Food Day 2008: Vegetarianism against global hunger


    European Vegetarian and Animal News Alliance (EVANA) : www.evana.org

    http://www.evana.org/index.php?id=38146&lang=fr

  • Pétition au Nations Unies - « NOURRIR LA POPULATION VS NOURRIR LES ANIMAUX 'D'ELEVAGE' »

    http://www.geocities.com/lionofjudah2021/hunger.jpg

    An appeal to the United Nations and its agencies to channel available food resources to needy people and not to farm animals.

    This petition will close on 20 April 2009 and be delivered on Earth Day 2009 (22 April) in New York, Rome and Geneva.

    Sign this petition! Download empty list for signatures.

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    PÉTITION

    AU :
    Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon

    COPIE :
    FAO – Directeur général, Jacques Diouf
    OMS – Directrice générale,Dre Margaret Chan

    Lancée par :

    « NOURRIR LA POPULATION vs NOURRIR LES ANIMAUX D'ELEVAGE »

    Cher Monsieur le secrétaire général,

    En 1996, la «Déclaration de Rome sur la sécurité alimentaire» réaffirmait le «droit de chaque être humain d'avoir accès à une nourriture saine et nutritive». Les signataires ont également engagé leur volonté politique afin «afin d'éradiquer la faim dans tous les pays».

    En 2008, non seulement la malnutrition et la famine sont-elles en croissance dans plusieurs parties du monde, mais elles devraient atteindre de nouveaux sommets de souffrances. Des récoltes qui diminuent, des prix qui grimpent en flèche et des pratiques agricoles insoutenables ne sont que quelques-uns des facteurs qui posent des risques mettant la vie en danger pour des personnes vulnérables.

    Alors que la faim et la malnutrition tuent près de six millions d’enfants chaque année, il est inacceptable que d’énormes pourcentages de récoltes disponibles servent à nourrir des animaux de ferme.

    Au nom de l’humanité, une collectivité mondiale responsable ne peut plus se permettre de consacrer de 7 à 16 kilos de grains ou de fèves de soja, jusqu’à 15 500 litres d’eau et 323 m2 de pâturages à la production d’un seul kilo de boeuf pour ceux qui ont les moyens d’en acheter. Nous avons désespérément besoin de méthodes plus accessibles et plus durables afin de produire des aliments pour tous.

    Malheureusement, même si les experts de FAO considèrent que « l’élevage aussi est une menace pour l’environnement », ils se contentent de recommander des techniques agricoles différentes, dont certaines entraînent le risque d’endommager un environnement déjà vulnérable, peut-être de façon irréparable.

    Tous les gens affamés, plusieurs millions de végétariens et ceux qui recherchent des solutions de rechange saines aux traditions destructives ont le droit de s’attendre de la part des décideurs, des gouvernements et des organes internationaux, une enquête scientifique sur toutes les options disponibles, y compris le végétarisme.

    Cette ressource et ce style de vie salutaires méritent qu’on leur consacre des recherches non biaisées et des efforts de promotion, car ils offrent la possibilité de trancher la question « aliments pour la population vs aliments pour les animaux » en faveur de l’humanité.

    Pour cette raison, nous en appelons aux Nations Unies et à des agences de cesser de négliger le végétarisme et d’étudier plutôt ses avantages aux volets multiples, dans le but de les incorporer dans de futures stratégies pour un monde sans faim.

    Sincères salutations,

    Signature

    Références :

    1. Déclaration universelle des droits de l’homme : « Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l'alimentation...

    2. Déclaration de Rome sur la sécurité alimentaire : « Nous estimons intolérable que plus de 800 millions de personnes dans le monde et, plus particulièrement, dans les pays en développement, n'aient pas une nourriture suffisant à leurs besoins nutritionnels essentiels. Cette situation est inacceptable.»

    3. FAO: L’élevage aussi est une menace pour l’environnement

    Arrière-plan :

    1. Jens Holm: Filiere animale et climat
    …il faut de 10 à 20 fois plus d’énergie pour produire des aliments animaux que des aliments végétaux….

    2. Association Suisse pour le végétarisme : Les conséquences écologiques de la consommation de viande

    Translation : Lise Balthazar, Kind Translators

    Sign this petition!

    If you have any questions or remarks to this petition please contact: info (at) evana.org

    http://un.evana.org/index.php?lang=fr

  • Gujan-Mestras : les kite-surfers chassés de la plage (Sud-Ouest) Le kite surf s'est installé sur la plage de La Hume depuis plusieurs années

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    GUJAN-MESTRAS - Interdits pendant la période de chasse à l'alouette, les sportifs contestent la décision municipale

    « Nous sommes en colère », dit, en gardant le sourire, Didier Caubit, de l'association APC kite en montrant le panneau d'affichage de l'arrêté municipal à l'entrée de la plage de La Hume.

    Celui-ci interdit la pratique du cerf-volant, de l'aéro modélisme, du char à voile et du kite-surf sur tout le littoral de la commune entre le 1er octobre et le 20 novembre. Cette période correspond à la période d'ouverture de la chasse à l'alouette.

    « Nous avons eu cinq réunions de concertation avec la municipalité et nous avons l'impression qu'elles n'ont servi à rien. » Et Didier Caubit de faire un parallèle avec le banc d'Arguin, où les kites-surfeurs sont interdits alors que, d'après lui, « aucune étude n'a démontré à ce jour que cette pratique gêne les oiseaux. »

    « Depuis plus de trois ans, nous vivons en parfaite harmonie avec les chasseurs à la tonne des prés salés de la Hume. Pour trois ou quatre pentes qui n'ont pas chassé l'alouette l'an dernier, la mairie a appliqué in extenso le texte en publiant cet arrêté d'interdiction de notre pratique. »

    Une pétition sur Internet

    Du côté de la municipalité, André Moustié, adjoint aux sports, rappelle que la chasse à l'alouette fait partie des traditions locales. « Nous sommes pleinement conscients que cet arrêté municipal est très gênant pour les kite-surfeurs. Nous avons essayé de trouver la solution qui convient le mieux à tout le monde. C'est pour cette raison que nous leur avons proposé, en accord avec la mairie d'Arcachon, une autre plage pour qu'ils puissent continuer à pratiquer leur sport pendant cette période. »

    Didier Caubit explique que cette solution n'est pas satisfaisante car la plage du cercle de voile, en raison de son courant, est trop dangereuse pour les non-initiés. Il reste persuadé qu'une solution satisfaisant à la fois chasseurs d'alouettes et kite-surfeurs peut être trouvée.

    « L'an dernier, à la même période, les vents et marées n'ont été favorables que très rarement. Nous n'avons navigué que cinq fois pendant la période concernée par l'arrêté. »

    Les kite-surfeurs font circuler une pétition sur Internet, elle a déjà recueilli 500 signatures en un mois. « Forts de ces soutiens, les responsables du club comptent demander un entretien à M. le sénateur maire. »

    Jacky Donzeaud

    http://www.sudouest.com/accueil/sports/surf/article/383702/mil/3275712.html