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GHOST DOG - Blog végan abolitionniste, féministe universaliste, iconoclaste - Page 98

  • Belgique : 8 Belges sur 10 désirent l'abolition de la vivisection (La Dernière Heure)

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    Sondage : 8 Belges sur 10 veulent une interdiction des expériences

    BRUXELLES Stop aux souffrances des animaux de laboratoire !

    Visiblement, les Belges sont sensibles à cette cause, rapporte l'association Gaia, qui a commandé sur ce thème un sondage d'opinion effectué par l'institut britannique YouGov.

    1.009 personnes représentatives ont été sondées entre le 26 février et le 4 mars dans les trois Régions du pays.

    Résultats francs et massifs : 8 Belges sur 10 veulent une interdiction de l'expérimentation animale, à moins que celle-ci ne soit en rapport avec des affections humaines graves ou mortelles.

    8 Belges sur 10 sont aussi pour l'interdiction des expériences qui causent une douleur et une souffrance animales graves, en particulier si les animaux sont des chiens ou des singes.

    3 sur 4 sont contre les expériences douloureuses sur les chats.

    On notera que les Bruxellois sont les plus sensibles à la cause des animaux de labo.

    Les Wallons arrivent juste derrière.

    11 % des sondés sont indécis.

    le fait du hasard puisqu'une révision de la loi européenne en matière de protection des animaux de laboratoire est justement à l'ordre du jour (vote le 2 mai).

    Michel Vandenbosch, président de Gaia, en conclut d'ailleurs que les propositions qui sont actuellement sur la table des eurodéputés vont à l'opposé des résultats.

    "En effet, si ces propositions deviennent loi, les chercheurs pourront continuer à utiliser les singes, les chiens et les chats pour quasiment chaque but, infliger une douleur grave et prolongée aux animaux, et réutiliser plusieurs fois le même animal pour des expériences douloureuses."

    Le sondage a été prolongé dans 6 autres États membres de l'UE et les résultats sont similaires, conclut Gaia qui estime à 12 millions le nombre d'animaux de laboratoire dans l'Union, 780.000 en Belgique.

    N. F.

    © La Dernière Heure 2009

    http://www.dhnet.be/infos/societe/article/253304/stop-aux-animaux-de-labo.html

  • Spécial Pau - Interview de Christian Laborde, écrivain anticorrida (Le Point)

    http://www.christianlaborde.com/sites/make-ai/-library-/images/claborde/christian_laborde_3.jpg

    Polémique. « Corrida, basta ! » C'est le titre du prochain livre (1) du bouillant Christian Laborde.

    Propos recueillis par Jérôme Cordelier

    Sur le même sujet :

    Le Point : Pourquoi ce coup de sang contre la corrida ?

    Christian Laborde : J'avais envie d'écrire un pamphlet, mot qui a mauvaise presse dans notre époque de consensus.

    J'ai écrit ce livre avec un kalachnikov et un saxophone ténor.

    Le kalachnikov, c'est pour les toreros et les aficionados.

    Le saxophone, c'est pour le taureau.

    Comme dans la chanson de Francis Cabrel ?

    Sauf que là j'avance avec des rafales.

    C'est un texte violent.

    Je condamne la corrida au nom de la compassion que nous devons avoir pour les animaux telle que nous l'ont enseignée les philosophes grecs.

    On parle toujours des procorridas Hemingway ou Picasso, en oubliant qu'Hugo, Zola, Schoelcher assimilaient ce spectacle à une torture.

    Je regarde le taureau comme saint François d'Assise contemple les oiseaux ou le soleil, comme le curé de mon village d'enfance, Aureilhan, qui bénissait les gens, l'eau, le feu, les bêtes, sans faire de hiérarchie.

    « Les animaux sont dans nos mains les otages de la beauté céleste vaincue », écrivait Léon Bloy.

    Vous devenez « politiquement correct » ?

    Je ne vois pas en quoi.

    La corrida est très protégée, vous savez.

    Le lobby taurin a son groupe à l'Assemblée nationale, le Premier ministre et la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, sont des aficionados affichés.

    La corrida serait un art ? Où est l'oeuvre ? Un ballet de vie et de mort ?

    Mais qu'apprend-on de la mort dans une corrida ?

    Je cite dans mon livre des travaux scientifiques qui montrent la souffrance de la bête.

    Retirons les couleurs, le paso doble, les mots espagnols, que reste-t-il ?

    Des piques qui descendent à 10 ou 20 centimètres dans la chair du taureau.

    Quand les carapaces apparaissent pour protéger les chevaux en 1928, le premier à protester est le grand Hemingway, parce qu'il aime l'odeur des tripes, et il le dit.

    Je ne critique pas la corrida comme un bobo du Marais.

    Je porte l'attaque du dedans, avec tout ce Sud que je trimballe en moi.

    1. A paraître le 9 avril (Robert Laffont).

    http://www.lepoint.fr/actualites-region/interview-christian-laborde-ecrivain-anticorrida/1556/0/327369

  • “Droit animal” : réglementer l’utilisation des crochets et des aiguillons (Gary Francione)

    http://jmph.blog.lemonde.fr/files/2008/02/la-balance-de-la-justice-thomas-coex-afp-archives.1203839617.jpg

    Chères collègues & chers collègues :

    Je reçois souvent des demandes de la part de mes étudiants qui me confient souhaiter étudier le droit afin de pratiquer le “droit animal” et qui me demandent conseil à propos de la manière de devenir des « avocats des animaux ».

    Je réponds alors que ce que l’on entend généralement par « droit animal » - fautes professionnelles de vétérinaires, les cas de garde d’« animaux de compagnie », les cas de legs en faveur d’« animaux de compagnie » et les cas de cruauté - n’aide aucunement les animaux nonhumains à se débarrasser de leur statut de propriété des humains.

    En fait, cela ne fait que les empêtrer dans ce paradigme.

    Je dis à ces étudiants que s’ils veulent faire quelque chose d’utile, ils devraient :

    (1) devenir végans ;

    (2) éduquer les autres à propos du véganisme ;

    et (3) offrir leurs services d’avocat pro bono aux défenseurs des animaux qui font la promotion du véganisme et qui ont besoin d’aide légale, ce qui est souvent le cas.

    J’ai ainsi représenté plusieurs activistes au fil des ans.

    Les problèmes avec le « droit animal » sont illustrés par une poursuite en cours, entreprise par des organismes welfaristes et un ex-entraîneur d’éléphants contre le cirque Ringling Bros. et Barnum & Bailey.

    La question en litige porte sur l’utilisation de crochets et d’aiguillons à bouts de métal pour contrôler les éléphants, qui pourrait violer la loi sur la protection des espèces en danger.

    Dans un article (”Animal rights, circus lawyers differ on elephants”), on peut lire ce qui suit à propos de la poursuite :

    Sous interrogation du juge, Meyer [l’avocate des plaignants] a reconnu que ce ne sont pas toutes les utilisations de chaines et d’aiguillons qui pourraient violer la loi. Elle a dit qu’elle espérait que [le juge] exige que le cirque obtienne des permis du Service américain de la pêche et de la vie sauvage avant d’utiliser ces outils. Mais elle n’a pas pu dire précisément quels traitements devraient être autorisés ou combien de temps les éléphants devraient légalement pouvoir être gardés attachés.

    Je connais Kathleen Meyer, l’avocate qui représente les plaignants.

    Elle est une bonne avocate.

    Il est triste, toutefois, que la position en faveur des « droits des animaux » soit réduite à demander que l’on adopte un règlement concernant l’utilisation de crochets et d’aiguillons et que l’on exige des cirques qu’ils obtiennent des permis.

    L’idée que la position pour les « droits des animaux » concerne combien de temps les éléphants pourront être gardés enchaînés est perturbante à plusieurs niveaux.

    Combien de dollars donnés pour aider les animaux sont utilisés pour cette poursuite ?

    Et, ce qui est plus important encore, pourquoi penser que cette sorte de poursuite pourrait nous aider à nous diriger vers l’abolition de l’exploitation animale ou même participer à augmenter le moindrement la protection des animaux ?

    Peut-être que nous devrions envisager la possibilité que cet argent soit mieux dépensé s’il était destiné à expliquer aux gens pourquoi ils ne devraient pas visiter les cirques qui utilisent des animaux nonhumains.

    Mais cette question rejoint toujours celle du véganisme.

    Tant et aussi longtemps que nous tuons 56 milliards d’animaux par année pour l’alimentation (sans compter les animaux aquatiques), alors que notre meilleure justification est que nous apprécions le goût des produits animaux, il est peu probable que nous réussissions à développer le niveau de conscientisation qui pourrait nous mener plus loin qu’à une exploitation plus « humaine », qui ne procure que bien peu d’avantages aux animaux nonhumains, mais qui nous permet de nous sentir mieux lorsque nous les exploitons.

    Je comprends que ces groupes de protection des animaux aient besoin d’une fréquence stable de campagnes et de « victoires » afin de pouvoir lever des fonds.

    Mais n’allons pas penser que réglementer l’utilisation des chaines et des crochets nous permettra de faire du progrès.

    Gary L. Francione
    ©2009 Gary L. Francione

    http://www.abolitionistapproach.com/fr/2009/03/18/droit-animal-reglementer-lutilisation-des-crochets-et-des-aiguillons/

  • Arne Naess (1912 - 2009) : décès du fondateur de la "deep ecology" (par Hicham-Stéphane Afeissa)

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    Dans la préface des mélanges offerts à Arne Naess en 1982 à l’occasion de son soixante-dixième anniversaire, Ingemund Gullvag et Jon Wetlesen attiraient l’attention sur ce qui constituait, à leurs yeux, la spécificité de la recherche philosophique qu’Arne Naess aura conduite durant des décennies, tout en justifiant par la même occasion le beau titre – In Sceptical Wonder – donné à leur ouvrage d’hommage collectif :

    "Selon le mot bien connu d’Aristote, la philosophie commence avec l’étonnement.

    Il semble toutefois que de nombreux philosophes cessent bien vite de s’étonner, et se soucient plus de certaines réponses, qui leur sont particulières, que des questions qui les ont engendrées.

    Mais il est d’autres philosophes qui réussissent à maintenir en éveil leur étonnement, à interroger les anciennes réponses et à en poser de nouvelles.

    Ceux-là se distinguent par une certaine disposition d’esprit, une inclination au scepticisme, et plus particulièrement au scepticisme de l’école des pyrrhoniens, les zetetaï comme ils aimaient à s’appeler eux-mêmes, c’est-à-dire "ceux qui cherchent" ou encore "ceux qui interrogent"."

    L’homme qui est mort ce lundi 12 janvier 2009 à l’âge de quatre-vingt-seize ans était incontestablement de cette race là – très rare – de philosophes.

    S’étonnera-t-on d’apprendre que lorsqu’il fonda en 1958 une revue interdisciplinaire de philosophie et de recherches en sciences sociales, qu’il dirigera seul pendant plus de quinze ans en la hissant au rang des meilleures revues scientifiques européennes, il songea d’abord à l’intituler Zetetikos, avant d’opter pour Inquiry ?

    Chercheur, Naess l’aura été infatigablement tout au long de sa vie, de la même manière qu’il aura été un célèbre alpiniste ne reculant devant aucune difficulté ni aucune prise de risque
    .

    Né en 1912, le jeune Arne Naess se fera connaître du monde philosophique sans avoir encore rien publié en participant au titre d’auditeur libre aux séminaires du Cercle de Vienne animés par Friedrich Waismann et Moritz Schlick, où le brio de ses interventions lui donnera rapidement la réputation d’être "la nouvelle comète du firmament philosophique"
    .

    Familier de l’empirisme logique pendant plusieurs années, Naess ne reprendra pourtant jamais à son compte les thèses de cette école de pensée.

    C’est bien plutôt contre elle qu’il forgera ses premières armes en élaborant une alternative à l’approche atomiste du langage, défendue par le jeune Wittgenstein et Russell, à laquelle il donnera plus tard le nom d’"empirisme sémantique", voulant désigner par là une étude des multiples manières dont le langage peut servir dans des contextes particuliers .

    Après avoir soutenu sa thèse de doctorat à Vienne en 1936, Arne Naess reprendra la route de sa Norvège natale où il se verra confier, à l’âge de vingt-sept ans, la chaire de philosophie de l’université d’Oslo.

    Il occupera ce poste jusqu’en 1963, devenant ainsi pour longtemps l’unique professeur de philosophie du pays. Comme le note l’un de ses biographes :

    "Le milieu philosophique institutionnel en Norvège après la Seconde Guerre mondiale a été, dans une très large mesure, créé et durablement influencé par un homme et un seul : Arne Naess.

    Les recherches en sciences sociales qui se sont développées dans ce pays après la guerre lui doivent également beaucoup.

    Ses travaux, mais aussi son influence personnelle, ont créé un nouveau climat, favorable aussi bien à la philosophie qu’aux sciences sociales.

    L’on peut bien dire que c’est en fait toute une génération d’étudiants qui, d’une manière ou d’une autre, est redevable à Arne Naess, car c’est lui qui a mis en place et défini le système d’examen exigeant de tous les étudiants, quel que soit leur cursus, qu’ils passent des examens en philosophie (en logique et en histoire de la philosophie).

    Arne Naess est ainsi à l’origine de toute une "culture académique" dont il est difficile d’évaluer le rayonnement si l’on n’a pas reçu une formation au sein de l’institution universitaire norvégienne."

    De ce rayonnement, il est toutefois possible de se faire une idée au regard de la trentaine de livres et des centaines d’articles qu’Arne Naess nous a laissés et qui ont été traduits et publiés en une demi-douzaine de langues
    .

    Spécialiste internationalement reconnu de Spinoza, sur lequel il a beaucoup écrit, il s’est également attelé à la lecture et au commentaire de Kierkegaard, de Wittgenstein, de Carnap, de Heidegger, de Sartre, sans oublier Gandhi dont l’œuvre ne l’a jamais quitté.

    Après s’être intéressé à la philosophie des sciences et avoir côtoyé à cette occasion Karl Popper, Arne Naess s’est orienté vers la philosophie du langage, puis vers la logique et la philosophie de la communication, selon un ordre de progression nécessaire dont il ressaisira ultimement la cohérence en y reconnaissant les étapes progressives par lesquelles se constituait sa propre philosophie d’inspiration sceptique.

    Mais si l’œuvre de Naess n’avait compté que les travaux universitaires que l’on vient d’évoquer, il est plus que douteux que son auteur ait pu devenir cette véritable figure du génie national que pleurent aujourd’hui les Norvégiens et le monde avec eux
    .

    Le paradoxe veut en effet que le travail auquel Arne Naess devra la plus grande part de sa notoriété internationale ait été intégralement élaboré et publié après la cessation de ses activités universitaires en 1969 et, d’une certaine manière, indépendamment d’elles.

    Il faut attendre l’année 1972 pour lire pour la première fois sous sa plume une référence explicite à la doctrine à laquelle son nom restera désormais attaché : l’"écologie profonde" (deep ecology) – entendez : une vaste nébuleuse intellectuelle où se mêlent indistinctement des éléments de spiritualité, des données d’analyse scientifique, des propositions métaphysiques, toute une philosophie de l’environnement que Naess développera patiemment jusqu’à la fin de sa vie, non pas dans la solitude du penseur génial, mais dans la collaboration étroite avec un nombre de plus en plus grand de disciples, d’amis et de collègues qui transformeront la deep ecology en une plateforme de principes d’inspiration expressément pluraliste, et en un mouvement socio-politique d’envergure mondiale .

    De cette longue réflexion et de cette expérience commune sortira notamment, en 1989, son livre le mieux connu, Ecology, Community and Life-style, lequel sera suivi quelques années plus tard par son testament philosophique, Life’s Philosophy. Reason and Feeling in a Deeper World .

    La
    deep ecology aura ainsi permis au philosophe d’exercer une influence s’étendant très au-delà des cercles académiques, à tel point que l’on peut estimer sans exagération qu’Arne Naess aura été au XXe siècle l’un des très rares penseurs de l’écologie à avoir réellement modifié la façon dont, partout dans le monde, les hommes se représentent la nature et la place qu’ils y occupent, et par conséquent la façon dont ils doivent se comporter au sein de leur environnement naturel.

    http://www.nonfiction.fr/article-2064-p1-arne_naess__1912___2009__deces_du_fondateur_de_la_deep_ecology.htm

  • Brandon Walters : hommage au jeune héros d'"Australia"

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    Brandon Walters (né en 1995) est un jeune acteur aborigène australien qui a joué le rôle de Nullah dans le film Australia en 2008.

    Né de parents aborigènes, Janie et Paul[1], il a grandi dans une communauté autochtone près de Broome, en Australie-Occidentale[2].

    On lui a découvert une leucémie à l'âge de six ans, qui a pu être guérie après avoir passé un an dans un hôpital de Perth en 2003[3].

    Le réalisateur australien Baz Luhrmann était à la recherche d'un jeune garçon autochtone pour tenir le rôle de "Nullah" pendant plus de douze mois lorsque l'un des directeurs de casting du film a vu Walters avec son père à une piscine de Broome en 2007[2]; Walters avait également répondu à un appel radio recherchant des candidats pour les auditionner[4].

    Il reçut ensuite une lettre de Luhrmann disant qu'il l'intéressait énormément.

    Walters, qui n'avait jamais quitté l'Australie-Occidentale[3], et un groupe de garçons qui avaient été auditionnés pour le rôle ont été invités à Sydney, en Nouvelle-Galles du Sud pour faire des castings à la Fox Studios Australia[4].

    Sa famille et lui campaient avec Luhrmann à la Eighty Mile Beach à Broome quand Walters reçut le rôle et fut engagé pour le film[4],[5].

    Quand il rejoignit le reste des acteurs, il n'avait jamais entendu parler de Nicole Kidman ou de Hugh Jackman, les acteurs principaux du film[2].

    Walters avait vu seulement quelques films, mais selon Luhrmann il avait "l'essence d'un acteur"[3],[4].

    Bien que Kidman et Walters aient été intimidés lors de leur première rencontre, Nicole Kidman déclara qu'ils s'étaient mieux compris progressivement pendant le tournage du film et dit :

    "J'ai besoin de le protéger ... [et] si le film marche vraiment bien il va avoir besoin de beaucoup de protection"[1].

    Luhrmann et Kidman ont mis en place un Fonds d'affectation spéciale pour garantir l'avenir de Walters[6].

    Luhrmann, qui a également visionné Walters dans un film pour une campagne de publicité sur l'Australie, a affirmé :

    "Notre prochaine star fait environ quatre pieds de haut, a de longs cheveux d'or et est un garçon autochtone." [7].

    Références [modifier]

    1. a et b Sophie Tedmanson, « Brandon Walters - the real star of Australia [archive] », 18 novembre 2008, The Times. Consulté le 22 11 2008
    2. a , b et c Christine Sams, « New face of Australia [archive] », 27 mai 2007, The Sydney Morning Herald. Consulté le 22 11 2008
    3. a , b et c Katie Hampson, « Broome boy rides high in Aussie blockbuster [archive] », 18 avril 2007, The West Australian. Consulté le 22 11 2008
    4. a , b , c et d ‘AUSTRALIA’ welcomes BRANDON WALTERS [archive], 18 avril 2007, Bazmark Film II. Consulté le 22 11 2008
    5. Vanessa Mills, « Broome boy lands lead role in movie with Nicole [archive] », 17 avril 2007, Australian Broadcasting Corporation. Consulté le 22 11 2008
    6. Belinda Goldsmith, « Brandon Walters - the real star of Australia [archive] », 18 novembre 2008, Reuters. Consulté le 22 11 2008
    7. Baz Luhrmann tips big things for Australia star Brandon Walters [archive], 9 octobre 2008, Herald Sun. Consulté le 22 11 2008
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Brandon_Walters
  • Gaia s'attaque au gavage

    Pour le bien-être des animaux, il y a d'autres pistes à explorer

    Vidéo : la campagne "Faux gras"

    BRUXELLES - En cette période où le foie gras va s'inviter massivement sur les tables de réveillon, Gaia lance une nouvelle campagne contre le gavage des canards et plus particulièrement contre "les méthodes les plus cruelles utilisées dans les salles de gavage intensif" , indique Michel Vandenbosch.

    La campagne est appuyée par une vidéo tournée dans des salles de gavage d'un grand groupe industriel français dont les produits sont notamment vendus en grandes surfaces chez nous.

    Des centaines de canards rangés dans des cages de 20 cm de large, incapables de bouger et soumis pendant douze jours à un gavage intensif qui va voir leur foie décupler de volume.

    "La taille du foie écrase les autres organes et empêche les canards de respirer."

    Gaia veut mettre fin à cette souffrance atroce mais pas nécessairement au foie gras.

    "Il existe d'autres pistes, d'autres méthodes, qui sont moins cruelles. Que vous soyez amateur de foie gras ou non, il y a un seuil de l'inadmissible et il faut faire la part des choses" , conclut Michel Vandenbosch.

    De manière toujours originale, Gaia propose cette année son faux gras dans une série de magasins bio.

    Un paté végétal qui ressemble au foie gras et dont le goût peut faire illusion sur un petit toast.

    En savoir plus

    http://www.fauxgras.be

    http://www.dhnet.be/infos/faits-divers/article/238456/gaia-s-attaque-au-gavage.html

  • Des fêtes sans souffrance : recettes foie gras vegan + bûche végane + gâteau anniversaire vegan

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    1) FOIE GRAS VEGAN

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    http://www.animauzi ne.net/L- Imperial- de-Foie-gras- vegetal.html

    "L’Impérial de Foie gras végétal"

    - 500g de tofu tendre ;
    - 2 échalotes hachées ;
    - 20g de margarine végétale ;
    - 1 bouteille de vin liquoreux ;
    - 2 sachets d’agar agar (8g) ;
    - 1 c. à s. de miso ;
    - 30g de levure maltée en paillettes ;
    - sel et poivre ;
    - curcuma (pour la couleur) ;
    - pain.

    Faire fondre la margarine dans une poêle et y faire cuire à feu doux les échalotes pendant 20 minutes.

    Chauffer 1/2 litre de vin, y dissoudre l’agar agar et le curcuma puis porter à ébullition en fouettant.

    Mixer finement le tofu, le miso et les échalotes, ajouter la levure et l’assaisonnement puis mélanger la préparation au vin.

    Tasser dans un moule à cake huilé et placer au réfrigérateur pendant 3 ou 4 heures.

    Couper en tranches et servir frais, sur du pain, avec le reste de la bouteille de vin.

     

    2) BÛCHE DE NOËL

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    http://www.animauzi ne.net/Buche- de-Noel,605. html

    Pâte :

    - 150g de pâte à tartiner au chocolat noir ;
    - 4 c. à s. de farine ;
    - 70g de poudre d’amandes ;
    - 1 yaourt au soja nature ;
    - 50g de sucre ;
    - 1/3 de c. à c. de bicarbonate ;
    - un peu de café fort.

    Garniture :

    - 70g de margarine végétale ;
    - 70g de poudre de noisettes ;
    - 70g de sucre glace ;
    - des feuilles en chocolat.

    Dans une terrine, mélanger soigneusement la pâte à tartiner avec la poudre d’amandes et la farine.

    Ajouter un peu de café, le yaourt au soja, le sucre et le bicarbonate et mélanger jusqu’à obtenir une
    pâte lisse et brillante.

    Ajouter un peu de café si c’est trop sec.

    Verser la préparation dans un moule à cake huilé et cuire au four pendant 40 minutes à 180°.

    Contrairement à l’habitude, quand une aiguille piquée dans la pâte en ressort un rien collante
    encore, sortir le gâteau du four et le laisser refroidir complètement.

    Ecraser la margarine avec le sucre, puis ajouter à cette crème la poudre de noisette, et en garnir les côtés et le sommet du gâteau.

    Coller sur les bords des feuilles en chocolat.

    Réfrigérer le gâteau quelques heures (le mieux est de le préparer la veille).

     

    3) GÂTEAU D'ANNIVERSAIRE

    gateauannivegan.jpg

    http://www.veggiebu lle.fr/recettes- vegan/mon- gateau-dannivers aire-vegan/

    (Recette issue de Sinfully Vegan).

    Ingrédients :

    - 2 1/4 tasses de farine

    - 1 3/4 tasses sucre
    - 3/4 tasse cacao
    - 1 1/2 cuil. à café de levure
    - 1 1/4 cuil. à café de bicarbonate de soude
    - 1/2 cuil. à café de sel
    - 1 cuil. à café de vanille
    - 2 tasses de lait de soja
    - 1/4 tasse de mayonnaise vegan ou de crème épaisse vegan
    - 1/2 tasse de sirop d’agave ou de sirop d’érable

    Glaçage :

    - 2 briques de Soyatoo
    - un paquet de tofu
    - 1 1/2 tasses de chocolat fondu

    Préchauffez votre four à 190°C.

    Graissez 2 moules à gâteaux d’environ 20cm.

    Dans un saladier, mélangez la farine, le sucre, le cacao, la levure, le bicarbonate de soude et le sel.

    Dans un autre saladier, mélangez le lait de soja, la vanille, la mayonnaise vegan et le sirop d’agave.

    Versez petit à petit le mélange humide sur le mélange sec tout en remuant constamment.

    Répartissez la préparation dans les deux moules et mettez à cuire pendant 35 minutes ou jusqu’à ce que la pointe d’un couteau ressorte propre.

    Laissez refroidir complètement avant d’étaler le glaçage.

    Pour le glaçage : il est préférable de le préparer la veille.

    Autrement, faites le pendant que le gâteau est en train de cuire.

    Mélangez intimement tous les ingrédients du glaçage dans un
    blender ou un mixer et mettez à refroidir au réfrigérateur.

    Pour assembler le gâteau : coupez chaque gâteau en deux dans le sens de la longueur afin de former 4 morceaux.

    Placez le morceau du bas sur le plat de service et recouvrez de glaçage, ajoutez un autre morceau puis du glaçage, etc., le dernier morceau doit être placé à l’envers afin d’être parfaitement plat.

    Recouvrez le dessus puis l’ensemble du gâteau de glaçage au chocolat.

    Vous pouvez aussi saupoudrer le gâteau de copeaux de chocolat.

    Placez au réfrigérateur jusqu’au moment de servir.

  • Noël : fête des hommes, défaite des animaux

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    Noël : la Grande Bouffe

     

    "La ritournelle de Noël" (Le Nouvelliste)

    VERA WEBER - Fondation Franz Weber

    Il y a des choses qui ne sont jamais dites assez souvent, des faits et des vérités qu'ils nous faut entendre et réentendre pour enfin les comprendre, pour finalement saisir leur sens profond.

    Donc, et au risque de répéter ce que cent autres avant moi ont déjà prêché, je parlerai des fêtes de fin d'année...

    Une fois de plus Noël est sur le pas de la porte, une fois de plus il n'y aura pas de limites à la frénésie de la consommation.

    Et la crise financière n'y changera pas grand-chose !

    Les statistiques le démontrent : la crise amènera les consommateurs à dépenser un peu moins pour les cadeaux, mais plus pour la « bonne bouffe », pour les repas entre amis et en famille.

    Et là, réveillon oblige, tout est permis.

    Les super et hypermarchés se font concurrence à qui possède les étalages qui croulent le plus sous le caviar en tout genre, sous les terrines de foie gras de canard, les terrines tout court, les saumons fumés venus d'ici et d'ailleurs et sous les grosses pièces de viande de boeuf importées directement des forêts amazoniennes défrichées.

    La plupart des restaurants serviront à leurs clients indécis le chapon ou la dinde traditionnels, précédés par du homard ébouillanté vif, des écrevisses et du foie gras, ce faisant, oubliant de préparer un menu alternatif pour la gent végétarienne qui elle aussi se réjouit de passer les fêtes en famille et de savourer de bons plats préparés avec amour.

    Noël et Nouvel-An devraient être synonymes d'espoir, d'amour et de joie ; d'un point de vue spirituel, on ne peut bâtir le bien sur le mal, se réjouir aux frais d'autrui, savourer le fruit de la souffrance extrême d'un animal.

    C'est pourquoi, à Noël, période de trêve par excellence, encore plus qu'au long de l'année, nous devrions prendre conscience de l'énorme responsabilité qui nous incombe.

    Notre choix à tous, que nous soyons producteurs, distributeurs, restaurateurs ou consommateurs, a un impact direct et gigantesque sur notre planète, sur son environnement et sur tous ses habitants.

    Dans l'espoir que la crise financière freinera quand même un ou deux débordements et fera réfléchir l'un ou l'autre sur la vraie nécessité de faire souffrir par pur plaisir, j'accompagnerai, lors des repas festifs à venir, ma famille et mes amis d'un plat de légumes, de pain et d'une coupe de champagne.

    ***

    Commentaire - lundi 01 décembre 2008, 09:42

    "Bravo à Vera Weber.

    Personnellement, je n'ai rien à rajouter, sinon ceci : devenons vegans pour les animaux, avant de mourir complètement idiots.

    Vous captez à merveille l'essence de notre civilisation décadente : la religion de la surconsommation, l'indifférence à la torture et au meurtre des innocents, l'immense bêtise humaine qui se repaît (dans tous les sens du terme) de la souffrance de ceux qui ne sont pas à son image.

    L'humanité est une espèce qui ne vaut que dans son propre regard narcissique.

    Mais il suffit de se déplacer vers les bords, de la regarder en spectateur, pour s'apercevoir qu'elle ne vaut rien et que son règne de pacotille ne tardera pas à s'achever.

    Nous sommes les artisans de notre propre défaite, et, ce qui est plus grave, ceux de la défaite des autres animaux qui partagent avec nous cette planète.

    Nous sommes coupables et nous sommes sans excuse."

    http://www.lenouvelliste.ch/fr/news/invite/index.php?idIndex=862&idContent=120540

  • Noël : du "faux gras" pour remplacer le foie gras

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    L'association de défense des animaux GAIA a présenté jeudi à Bruxelles sa nouvelle campagne de fin d'année contre la souffrance des animaux pour le foie gras.

    Pour l'occasion, elle présente en alternative son propre produit, le "Faux Gras de GAIA", en vente dans différents magasins bio en Belgique.

    Le "Faux Gras de GAIA" est un pâté végétal qui est déjà commercialisé mais il sera mis en rayon avec un étiquetage de l'association de défense des animaux, au prix de 2,19 euros.

    Il présente la même texture que le foie gras et aurait un goût similaire.

    Agonie

    "La souffrance qu'on inflige aux animaux est silencieuse, mais réelle. Les canards sont rendus malades, affalés, ils halètent et ils n'en peuvent plus", a témoigné Philippe Lapaque, un ex-gaveur de canards français de la région de Pau.

    GAIA a également montré de nouvelles images filmées en caméra cachée, en 2008, qui proviennent de trois élevages français qui nourrissent des canards de force pour le foie gras.

    Ces images montrent plusieurs animaux agonisants ou morts, enfermés individuellement dans des cages minuscules.

    Les canards reçoivent un embout métallique de 20 cm de long enfoncé jusqu'au jabot. Après, la machine à gaver pneumatique envoie une pâtée de maïs gras, explique GAIA.

    Sans souffrance

    "Nous sommes plus que déterminés à mettre fin à la souffrance des canards et des oies pour la production intensive de foie gras", a déclaré Ann De Greef, directrice de GAIA qui revendique l'interdiction des systèmes les plus intensifs et les plus cruels.

    "Nous voulons mettre les alternatives respectueuses des animaux en première place dans l'agenda politique et social."

    Via un spot radio et des publicités dans des journaux, GAIA encourage les gens à choisir une alternative respectueuse des animaux et à ne pas manger de foie gras.

    En outre, un écran mobile circulera durant les vacances de Noël à travers des grandes villes du pays et des brochures seront distribuées aux passants qui pourront déguster des toasts de "Faux Gras de GAIA", garantis sans souffrance animale. (belga/ca)

    http://www.7sur7.be/7s7/fr/1524/Cuisine/article/detail/560151/2008/12/18/Du-faux-gras-pour-remplacer-le-foie-gras.dhtml

  • GAIA lance sa nouvelle campagne de fin d'année contre le foie gras

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    Philippe Lapaque, Michel Vandenbosch et Sébastien Arsac ( Stop Gavage )

    GAIA lance sa nouvelle campagne de fin d'année contre le foie gras : adaptez vos menus de fêtes et permettez aux oies et aux canards de passer également un joyeux Noël.

    Un ex-gaveur témoigne : « Les canards sont rendus malades, affalés, ils halètent et ils n'en peuvent plus.

    Au moment où il n'en peut plus, nous, on envoie et c'est ça le choc du gavage ! »

    GAIA a lancé aujourd'hui sa nouvelle campagne contre la souffrance des animaux pour le foie gras avec une conférence de presse au Bioshop de Bruxelles.

    Cette campagne se fait sous le signe des alternatives respectueuses des animaux. Pour l'occasion, GAIA présente son ‘propre produit', le « Faux Gras de GAIA » comme exemple d'une délicieuse et festive alternative.

    Le « Faux Gras de GAIA » est conçu pour attirer l'attention tout en étant vrai.

    En bonus bienvenu, le « Faux Gras de GAIA » sera aussi en vente pour 2,19 euros dans différents magasins bio en Belgique. Jusqu'à épuisement du stock. Plus d'informations à ce sujet sur le tout nouveau site internet : www.fauxgras.be et au 02/245 29 50.

    Invité d'honneur à la conférence de presse, Philippe Lapaque, un ex-gaveur de canards français de la région de Pau.

    Il a témoigné sur la souffrance des canards qu'il a, en tant que gaveur, engraissé pour des marques de foie gras qui sont aussi commercialisées en Belgique.

    « La souffrance qu'on inflige aux animaux est silencieuse, mais réelle.

    Les canards sont rendus malades, affalés, ils halètent et ils n'en peuvent plus » explique Lapaque.

    GAIA a également montré de nouvelles images filmées en caméra cachée qui proviennent de trois élevages français qui nourrissent des canards de force pour le foie gras.

    "Nous sommes plus que déterminés à mettre fin à la souffrance des canards et des oies pour la production intensive de foie gras » dit Ann De Greef, directrice de GAIA.
    « Dans tous les cas, les systèmes les plus intensifs et les plus cruels doivent être interdits. Nous voulons mettre les alternatives respectueuses des animaux en première place dans l'agenda politique et social. »

    Avec un spot qui sera diffusé les prochains jours sur différentes radios, des publicités dans huit journaux flamands et francophones qui apparaîtront entre le 19 et le 22 décembre, GAIA encourage les gens à choisir une alternative respectueuse des animaux et à ne pas manger de foie gras.
    Durant la période de Noël et du nouvel an, un écran mobile de 7m2 va circuler dans 7 villes flamandes et wallonnes (Anvers, Liège, Hasselt, Namur, Marche-en-Fammenne, Courtrai et Mons).
    Il montrera des images de la campagne et la souffrance dans les élevages pour le foie gras.
    Des bénévoles de GAIA distribueront des flyers et les passants pourront déguster de délicieux toast de « Faux Gras de GAIA », garantis sans souffrance animale !

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    - Eclaircissement : Adaptez vos menus de Fêtes GAIA utilise un pâté végétal qui existe déjà de Tartex, avec l'autorisation de l'entreprise.
    - L'ex-gaveur français témoigne sur la souffrance
    Philippe Lapaque travaillait il y a quelques années comme gaveur professionnel de canards pour Euralis, le producteur de foie gras le plus important.
    Il témoigne sur son expérience entre janvier 2003 et fin 2003, la période durant laquelle il était sous contrat chez Grimaud-Montfort, une filiale d'Euralis.
    Lapaque :
    « Au début, certains canards arrivent tant bien que mal à se retourner puis rapidement ils sont bloqués dans leur cage. Au début, il arrivait que le jabot des oiseaux éclate... dans ce cas, soit on recoud le canard à vif, soit on ne fait rien et l'on fait plus attention la prochaine fois, soit le canard meurt. Les canards sont rendus malades, affalés, ils halètent et ils n'en peuvent plus. Au moment où il n'en peut plus, nous, on envoie et c'est ça le choc du gavage ! »
    Monsieur Lapaque explique aussi qu'il a très souvent reçu des canards malades dès leur arrivée !
    - Nouvelles images en caméra cachée
    Son témoignage est soutenu par de nouvelles images qui montrent les inadmissibles conditions de vies des canards dans les élevages pour le foie gras d'Euralis.
    Elles ont été filmées en caméra cachée en France en 2008 dans 3 élevages sous contrat avec Euralis qui fournit le foie gras pour la plupart des marques de distributeur ainsi que ses propres marques : Montfort, Rougié, Bizac et Pierre Champion.
    Deux de ses marques sont également commercialisées en Belgique, dans les magasins Champion (Montfort) et Cora (Montfort et Bizac).

    http://www.gaia.be/fra/control.php?&topgroupname=&groupname=cp155