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  • Le soja bon pour les dents

     
     
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    Le soja semble également être bénéfique pour la santé dentaire. C'est ce qu'indique une étude japonaise à laquelle près de 4.000 étudiantes ont participé.

    L'étude a été publiée dans la revue scientifique BioMed Central Public Health.

    Le soja et les isoflavones qu'il contient protègent selon toute vraisemblance contre certaines affections des gencives et de la mâchoire.

    V. Li

    http://www.dhnet.be/dhjournal/archives_det.phtml?id=820237

  • RAC : NON à la battue aux cervidés d'Avilly (Oise)

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    Nous vous prions et vous remercions de bien vouloir réagir le plus rapidement possible en envoyant le texte ci-dessous, au Sous-préfet de Senlis, Oise à l'adresse suivante : sous-prefecture-de-senlis@oise.pref.gouv.fr

    NON A LA BATTUE DES CERVIDES PROGRAMMEE CETTE SEMAINE - AVILLY-SAINT-LEONARD - OISE

    À l'attention de Monsieur le Sous-préfet de Senlis, Michel SCHMIDT de LA BRELIE

    Monsieur le Sous-préfet,

    Le parc naturel régional Oise Pays de France n’existe qu’à une seule condition pour ce classement :

    Préserver la libre circulation des grands animaux dans le corridor naturel reliant la forêt de Chantilly à la forêt d’Halatte.

    En dépit et contre toutes les règles et dispositions réglementaires afférentes à cette mission, la Fédération de la Chasse , sous la pression incessante de la chasse à courre, impose une battue d’effarouchement des cervidés réfugiés dans le seul havre de paix qui subsiste, le marais d’Avilly.

    La clôture par grillage de cet espace de vie sera immédiatement mise en place après la battue.

    Derrière ce diktat, l’intolérable et outrecuidante exigence de la chasse à courre : obtenir un plan de chasse pour poursuivre et tuer encore plus dans un domaine où l’ONF refuse de préserver la biodiversité.

    De quel droit la Fédération de la chasse et la chasse à courre imposent leur loi bafouant la vocation même du parc régional ?

    Au nom de quel droit la chasse à courre décime nos forêts dans des massacres qui révoltent les habitants des villages riverains des forêts ?

    Au nom de quel droit seigneurial la chasse à courre oblige administrations et organismes à lui « servir » le gibier pour satisfaire son insatiable soif de sang ?

    Nous sommes des citoyens responsables de notre patrimoine naturel et vous demandons, en votre qualité de représentant de l’Etat, de faire respecter les dispositions juridiques ou réglementaires qui encadrent la mission du parc naturel régional et de faire interdire toute action destinée à chasser les grands animaux en période de mise bas pour être massacrés à la prochaine saison.

    Nous comptons sur votre sens des responsabilités pour que le droit soit enfin respecté et que les principes défendus au Grenelle de l’Environnement soient effectivement appliqués.

    Veuillez agréer, Monsieur le Sous-préfet, l’expression de notre haute considération.

    http://www.antichasse.com/mailings_new/battue_urgent.htm

  • One Voice : "Grenelle des animaux : beaucoup de bruit pour rien"

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    Dès le départ, One Voice a refusé de s’associer à la demande des associations d’un Grenelle des animaux.

    Pourquoi ?

    Les « mesurettes »

    Organisées de mars à juin, ces rencontres sont censées agir pour le bien-être des animaux en France. Les résultats du Grenelle de l’environnement, pourtant beaucoup plus médiatisé, ne font qu’asseoir notre position. Des « mesurettes » seront prises pour faire plaisir au public et endormir sa vigilance et ses revendications sur la condition animale.

    Par exemple…

    La corrida interdite aux moins de 16 ans ? Une bonne chose en soi. Mais la corrida sera-t-elle interdite pour autant lorsque la volonté de l’Etat de ne pas toucher aux "traditions" est clairement affichée ?

    La lutte contre le trafic ? Le problème de la commercialisation de millions d’animaux, ne provenant pas des pays de l’Est, qui souffrent et s’étiolent dans les animaleries, sera-t-il énergiquement traité ?

    Les vraies questions évitées

    Le programme du Grenelle des animaux détourne soigneusement les questions les plus délicates. Trois groupes de réflexion ont été mis en place portant sur le statut de l’animal, l’animal dans la ville et l’animal dans les activités économiques. Malheureusement et comme on pouvait s’y attendre il n’y aura débat que dans le titre. La présentation du Grenelle est claire.

    D’emblée, elle pose que le bien-être doit être conciliable avec le patrimoine culturel et religieux et le développement économique. En d’autres termes, les véritables questions telles que celles du foie gras, de l’expérimentation animale, des abattages rituels et même de l’élevage industriel ne seront pas remises en cause !

    L’animal « objet d’expérience »

    Dans le débat sur le statut de l’animal, une catégorie est particulièrement choquante. Ainsi il est admis d’office qu’au même titre qu’il y a des animaux domestiques, de compagnie ou sauvages, il y a des animaux dont la nature est d’être « utilisés en expérimentation ».

    Il y a là plus qu’un problème de terminologie ! La question concernant l’utilisation des animaux par les laboratoires est alors complètement écartée puisque présentée comme allant de soi !

    Or One Voice dénonce la politique de la France à l’égard de l’expérimentation animale, qui se refuse à évoluer et à suivre les directives européennes ! (voir p. 2-3).

    Elle mène campagne également contre la réglementation existante qui a deux poids deux mesures. Il n’y a pas des animaux de compagnie d’un côté et de laboratoire de l’autre. Le chien est le même, sa sensibilité aussi, qu’il soit au coin du feu ou sur la table de vivisection…

    Des protagonistes de choix !

    Le choix de certains protagonistes laisse également sans voix.

    Ainsi, pour animer le débat ayant pour thème la place de l’animal dans les activités économiques, on trouve le président du groupe chasse au Parlement, fervent défenseur de l’industrie du foie gras et aux prises de position discutables sur l’élevage industriel…

    À ses côtés, le président de l’Académie vétérinaire de France, auteur d’un rapport visant le remplacement du terme de bien-être par la notion de bientraitance… Comment alors un débat est-il possible ?

    On mentionnera également, parmi les participants, l'INRA, le CNRS, le GIRCOR (regroupement des scientifiques utilisant des animaux) et la FNSEA (exploitants agricoles) dans le groupe de travail sur le statut de l'animal, Handichiens et la SACPA (capture d’animaux) dans celui sur l'animal dans la ville…

    L’animal exploité

    Le groupe ayant pour thème l’exploitation de l’animal dans les activités économiques est sans nul doute celui qui devrait aborder les questions les plus problématiques, telles que l’utilisation des animaux dans les spectacles ou encore l’élevage industriel.

    Outre ses animateurs qui, comme on l’a vu, sont parties prenantes, la thématique de ce groupe est loin d’être pertinente et n’abordera pas le cœur des questions.

    En effet, son objectif déclaré est de trouver un moyen d’appliquer la réglementation déjà existante ! Il paraît impensable que, dans notre pays,  des tables rondes soient organisées pour tenter de faire appliquer la loi !

    Les vraies questions

    C’est tout le système qui doit être repensé. Il faut faire sauter les verrous des traditions  lorsqu’elles sont barbares.  Théodore Monod, notre parrain, a combattu pour cela toute sa vie.

    Les  vraies questions, celles que posent One Voice, sont écartées : l’esclavage - il n’y pas d’autre mot - des animaux dans les cirques ou les conséquences de l’élevage industriel sur le bien-être des animaux, la santé du consommateur et l’environnement…

    La question ne sera pas posée du bien-fondé de la souffrance engendrée par le gavage afin d’obtenir du foie gras, car c’est le patrimoine gastronomique…

    Rien non plus – et certainement encore moins – pour ceux qui aiment tuer le dimanche des animaux qu’ils ont eux-mêmes relâchés. Les chasseurs  sont étiquetés gestionnaires.

    Restons éveillés !

    Le plus grand risque de ces réunions n’est-il pas d’endormir la vigilance et les revendications des défenseurs des animaux ? Ces réunions ne pourraient-elles laisser croire que ceux qui nous gouvernent ne sont plus dépendants des lobbies pharmaceutiques, chimiques, agricoles et cynégétiques ?

    One Voice ne lâche pas prise et intensifie son combat pour que notre comportement moral vis-à-vis des animaux soit profondément et durablement modifié. 

    Prenons les choses en main.

    Chaque jour, à travers nos choix de consommation, nous changeons les choses. Ensemble, nous avons ce pouvoir.

    Faisons entendre  la voix des animaux, sans compromission !

    http://www.onevoice-ear.org/grenelle.html

  • GO VEGAN Radio (USA) : hommage à Bob Linden !

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    Une radio vegan pour les vegans, vous en rêviez ?
    Bob Linden l'a fait !

    By Claudette Vaughn

    Full of upbeat vegan vrooom, Bob Linden talks to us about all kinds of vegan verve topics.


    Abolitionist: What’s the aetiology of veganism in a insane world Bob?

    Bob: I don’t think that the world is so insane; it’s just the behaviour of its human inhabitants that is. The world is a beautiful, abundant, colorful, sensual, life-sustaining and supportive Garden of Eden, currently uncomfortably enduring and trembling from the temporary insanity of human(un)kind’s appetite for flesh. That is the unsustainable insanity that could make our species itself just temporary.

    The world in its intrinsic sanity is now showing quite normal signs of impatience and intolerance for that mass aberrant behavior of the human, who should know better. Those who do know better become vegan.

    What is insane about the world – war, violence, hunger, scarcity, disease, pollution?

    Cadaver eating and trans-species reproductive secretion and excretion consumption are at the root of all of that insanity. Wars are fought over competition for resources such as oil, water, and land, all squandered for meat and dairy.

    Violence is the main ingredient on our plate, if we are corpse eaters. We must remember that every meal that is fast food is slashed food. It is insane that we would seek nourishment from mass murder, a bloody stabbing, dismemberment, decapitation. The consumption of meat actually influences body physiology toward violent inclination.

    I invite you to listen to my program archived at GoVeganRadio.com for an interesting exploration of this subject. The insanity of hunger in an abundant world is more of the insanity of meat and dairy, where if all grain fed to animals were diverted to the human population, world hunger would end tomorrow.

    Equally insane is the dedication of an acre of land to the production of less than 200 pounds of so-called “edible” cow flesh, when tens of thousands of pounds of truly edible potatoes or carrots could be grown there. Yes it seems like an insane world, so full of suffering from disease and horrible death.

    Yet when Professor T. Colin Campbell of Cornell University exposed specifics of the China Project, the largest study ever between diet and health, he concluded that “70 to 80 per cent of all fatal disease is preventable, and the cause of that disease is animal protein, and not much of it.”

    It can seem like an insane world when accelerated environmental devastation seems to be the order of the day. That is the order because of the order placed for meat. Too bad the label doesn’t list the true ingredients – deforestation, soil erosion, desertification, global warming, toxic waste. Many people are recognising the insanity, seeking a solution, and concluding that it is to live vegan.

    It is the way.

    It is the counterbalance to a world gone crazy.

    Quoting a 65 year old man who just became vegan: “It is the truth of life”. And, it is spreading. Will it spread fast enough to save us from the insanity of potential extinction? 25% of 100,000 college students surveyed in the U.S. say that having access to vegan meals is important to them.

    Young people are recognising that if there is to be a world for them, we must go vegan. And each of us must do it.

    We can’t just leave it to Paul McCartney or the eccentric artist who lives down the street. It has to be a mass movement revolution because there’s no time for evolution. People know that there’s something wrong with the direction of the world, that it’s out of balance.

    Going vegan is about the only thing that can set things right. Personally, I’m optimistic – because it is the cause with the best food.

    Abolitionist: How long have you been a vegan?

    Bob: I am happily and deliciously vegan for over 20 years now after a 13 year period of pseudo-vegetarian pre-veganism. I was in my college cooking daze in 1971 when I looked down at my plate and realised it was someone's body upon it.

    I can claim food-source ignorance growing up in very urban non-agricultural New York City, where if you told me salami grew on a salami tree and peas grew in cans, I would have believed you.

    I was used to buying non-descript cellophane-wrapped "food cutlets"; but one night I saw "the body", and I realised that someone was killed to get to my plate, and that he or she probably suffered great pain getting there, presumably non-voluntarily.

    Propaganda would have us believe that animals recognise their reason for existence and voluntarily jump into frying pans. Propaganda ignores their feelings. They cry and they scream and they bleed.

    So, 33 years ago, I announced that I was going (what I thought was) "vegetarian", much to the horror of my future ex-mother-in-law, the butcher's wife, who yelled at me, "You're going to die if you eat like that!" Of course she's right, but statistically I will die further in the future than if I continued my flesh-eating ways.

    But at that pre-vegan, and seemingly pre-tofu (awareness) time (Paleozoic era?), I rationalised that maybe the oceans were here to feed us, and I continued to eat sea creatures, and by advice from "health food store nutritionists" bought their milk and cheese and eggs.

    Logically, ethically, I had to eliminate ocean animals from my diet, eventually recognising the suffering in their suffocation. I also learned that every glass of milk and every slice of cheese meant momma cows and baby calves would suffer the sadness of separation and the infanticide that becomes veal; and the slashed-food burger that momma becomes when she can give no more. And I learned that chickens go from shell to hell, debeaked, confined, ground alive.

    So today I have concluded that the only true "vegetarian" is a "vegan", and one who would show himself or herself "vegetarian" by having a cheese omelette and a glass of milk is accomplishing none of the objectives of vegetarianism, not impacting favorably on one's health, nor the environment, nor alleviating animal suffering.

    Abolitionist: What’s your perfect space Bob?

    Bob: Green with trees, colorful wild flowers, warm sunshine, blue skies, near water, birds singing, dogs running, cows mooing, ducks swimming, lambs playing, bunnies snuggling, horses neighing, pigs roaming, chickens clucking, deer grazing, butterflies dancing, organic vegan food, good music, NO car and truck noises, NO smell of flesh cooking, NO meat-eaters, hunters, or fishermen…

    Abolitionist: Tell us about your campaigns against circuses.

    Bob: You can read about that in the police blotter. I now have the dubious distinction of a perfect trifecta in Southern California over the past few years, having been arrested at circus protests at the Los Angeles Sports Arena, Arrowhead Pond in Anaheim, and the San Diego Sports Arena.

    I was never convicted of anything as I was merely exercising my constitutional right to free speech, but the bullhorn or megaphone can be a cop magnet, and false arrest is their solution for the disturbance that truth can bring, especially if my performance represents a disturbance to profits.

    In LA, for example, off-duty police are hired by the circus for security, so a threat to the circus is a threat to a paycheck. I suggest to attendees that they are better than this, that surely they are above attending a show based on the subjugation of the weaker, that we have evolved from a barbarism that would make unnatural tricks performed by the fearfully weak “entertainment”.

    I ask “what kind of example is this for children, what does it teach them – that power over another is good, that violence is entertainment?”

    I remind them that every ticket that they buy supports animal abuse, that maybe that dollar being placed on the counter might help buy another bullock to beat the elephant, or set of chains to keep her swaying neurotically in unnatural confinement, this magnificent familial animal who would roam 30 miles daily in the wild, but who instead was kidnapped from mother and habitat and beaten into compliance.

    “Hopefully today is not the day she goes berserk from such an unnatural life and breaks free from her chains and tramples your child – or transmits tuberculosis to your child.” I look at the king of beasts, the king of the jungle, in his tiny cage waiting to be summoned to perform. It is so sad. He is not treated as a king. He is lucky if the circus remembers to give him water in his steamy railroad car enclosure.

    “Welcome to the cruelest show on earth. The animals here have been brutally beaten for your entertainment. Henry Ringling North said that the animals perform based on fear. How much fear would it take for you to jump through a hoop of fire? Mommy, Daddy, please don’t take me to a show that hurts animals like the circus. I love animals!”

    Did you have a happy day at the circus today? Please remember that the animals never do.

    Abolitionist: A special interest of yours is speciesistic language. Language reinforces prejudice. If our language ok’s attitudes and referential meanings about animals then nonhuman animals will always be considered 'marginal considerations' to the serious business of life. Your thoughts please?

    Bob: Speciesism is pervasive in language and serves to reinforce the notion of non-human as sub-human, or even worse – as mere objects. Particularly bothersome to me are references to an animal as “it” as opposed to “he” or “she”, “him” or “her”. An animal is not an object or a thing, It was such bizarre thinking by Descartes that an animal is a mindless machine that allowed vivisection to emerge as acceptable “science”.

    Unfortunately, law often objectifies animals as property. In Defense of Animals’ campaign to change language from “owner” to “guardian” of companion animals is certainly admirable in reflecting more responsibility and stewardship in animal care.

    Okay, that’s one word down and about another 700,000 to go in the English language, replete with speciesist idiomatic expressions like “there’s more than one way to skin a cat” or “kill two birds with one stone”. I’m not the least bit interested in even one way to skin a cat or in killing any birds.”

    Perhaps we can “pull two carrots with one tug”. In “3 blind mice”, the wife cuts off their tails with a carving knife”, and I have never seen such a sight in my life and I hope that she’s arrested on animal cruelty charges.

    We humans feel so superior when we call someone a pig, cow, monkey, chicken, dog, rat, weasel, or snake. Such “demonization” makes it easier to conduct warfare on such sub-humans.

    The war against animals has itself been waged for a long long time. Massive slaughters are not “killing”, they are “culling”. Mechanized systematic murder is not “killing” it is “harvesting”, as if cows were corn and geese were grapes.

    Superior man may think he is being insulting calling someone “bird brain”, but the capacity of a bird’s brain is truly quite remarkable in its ability to navigate and remember long distance travel, to recall sometimes a thousand locations of stored food, to maintain a lifelong partnership with a mate.

    Often humans condemn others as “acting like animals”, but it is not the animals who are conducting deadly war, engaging in serial killing, murdering for fun, abusing their young and their elderly, and destroying the earth. Maybe humans should act more like animals.

    Until they do, I’m sure that when animals get upset with each other they will ask themselves – “why are you acting like such a human?”

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    Bob Linden

    Abolitionist: How long has your radio show ‘Go Vegan With Bob Linden’ been a part of Californian culture and what’s the general response been like to hearing your vegan viewpoints?

    Bob: The planet's first-and-only commercial vegan radio show, GO VEGAN WITH BOB LINDEN (www.GoVeganRadio.com 818-623-6477), has been broadcast for almost 3 1/2 years, now in Los Angeles and San Diego at the moment, and looking to add back San Francisco and then Seattle.

    Listener response has been most encouraging - often attracting stations' largest weekly audiences - because people are hungry for information and views not available elsewhere in the media (meaty-uh?).

    No parent wants to poison his or her child, so that parent should know that meat is fecal-covered, and those poopburgers present an E Coli food poisoning threat. No parent wants to kill his or her child, so that parent should know that in the age of Mad Cow, one bite of a carcassburger or flesh steak can be fatal, with symptoms dormant for years.

    Vegan issues encompass all that is of the greatest and gravest importance, from world peace, to sustainability and survivability, to human health, world hunger, morality and ethics.

    But the reaction to the show that is important to me is exemplified by the listener who approached me at an event recently and said "about 6 months ago I was just going up and down the radio dial and I stopped on your show. I just want you to know that for the last 6 months, I haven't eaten anything with animal ingredients".

    Abolitionist: How about sponsors of the radio station? Are they supportive? Any trouble from them?

    Bob: When I broadcast the very first show over three years ago, I feared that the radio station would change the locks on the building so that I wouldn't be able to do a 2nd show, considering that the subject matter would satirize and insult most of the other sponsors on the station, such as McDevil's, Murder King, When-Dies, Yucky Tucky K illing F or C ash, Up-chuck E Cheese, Outbreak Steak House, etc.

    So I booked Ingrid Newkirk, founder of PETA, for my first guest and figured if I only have one show, let's make it a big one!!! Fortunately, apparently, radio station ownership and management don't seem to listen to their own stations, so we have now aired probably 160, or so, shows.

    I must purchase the airtime from radio stations, which can be quite expensive. I attempt to cover those costs with advertising for vegan and cruelty-free products and services only, and donations and grants; I have some wonderful advertisers on the air who offer alternatives to animal0based products such as Vegenaise, Vegan Gourmet cheese alternatives, Chicken-Free-Chicken, Whole Soy creamy cultured soy, as well as healthy products like Lundberg organic rice, Kombucha elixirs, etc.

    Vegetarian restaurants have been supportive, as have animal rights groups including PETA, IN DEFENSE OF ANIMALS, LAST CHANCE FOR ANIMALS, FARM, etc. I did not foresee any financial challenges in covering the cost of the show when it first began, as it sold out within 2 weeks.

    Then along came 9/11 and the economy collapsed, definitely making it more difficult even 'til now. But somehow, the show must go on, and it has survived, giving the animals and a message of compassion at least one voice.

    Abolitionist: What kind of shows have you done so far?

    Bob: What kind of shows haven't I done?

    At the time when the program was first going on the air, a potential advertiser asked me "after 3 or 4 shows, what will be left to say?" A vegan show is about everything. Going vegan is the solution to just about all that ails this planet. Subjects range from animal experimentation to cookie recipes.

    Of course, there's a lot of deserved Bush - bashing, since he is no friend to animals nor environment. In fact, I point to the behavior of Bush and Cheney as positive proof of the presence of the human form of Mad Cow in the United Steaks.

    Guests have ranged from spokespeople for the ALF (Animal Liberation Front) to former United Steaks Attorney General Ramsey Clark, to celebrities like Linda Blair, Ed Asner, Casey Kasem, Alexandra Paul.

    And there are the people who do so much for animals. I am so heartened to know that they are everywhere in the world. They are the guests on my show who are a constant parade of modern day heroes and saints. I am basically a student of vegetarianism and the show is like a course study.

    I was interested to find a pilot vegetarian program in a California prison where inmates showed a 90 per cent reduction in behavioral problems. I had a group of African Americans whose decision to live biblically lead them to create a vegan village devoid of the heart disease, cancer, stroke, and violence suffered by their brothers and sisters on the standard American diet of death.

    When people ask me how I get my protein, I ask them how they avoid theirs, after Professor T. Colin Campbell of Cornell University informed the GO VEGAN audience that 70 to 80 per cent of fatal disease is preventable, and the cause of that disease is animal protein - and not much of it.

    I gasped to learn from Mad Cowboy Howard Lyman that euthanized dogs and cats get rendered into the human food chain along with chicken poop and feathers in animal feed. GO VEGAN WITH BOB LINDEN sees everything through the vegan filter - and sees war, conflict over resources including water and oil, avoidable only through a vegan world…

    Abolitionist: How far do you take the Ahimsa message?

    Bob: The invitation to GO VEGAN is as Ahimsa as a message can get, for the basis of peace is in living vegan, the basis of compassion is living vegan, the basis of sharing is living vegan. The lightest footprint would be made by the shoes of a vegan (non-leather, of course).

    It is great to be for peace, for non-violence, for justice, for the environment. If you are talking the talk - but with the blood of a murder victim dripping off your sandwich down your chin - are you really walking the walk? And all humans need to consider joining the vegan parade, or it is off the cliff!

    The continued abnormal practice of meat eating is a horrible death sentence for children who will be doomed to a thirsty, hungry, infertile, toxic world. With meat squandering a third of all resources, using half of freshwater supplies, accounting for half of all water pollution, as well as deforestation, erosion, desertification, and global warming, any responsible individual must decide to GO VEGAN.

    25 gallons of water to produce a pound of wheat, 2500 gallons to produce a pound of beef? 250 pounds of beef per acre, 30,000 pounds of potatoes? If all humans worldwide adopt the dead animal diet, oil reserves last less than 50 years; if all humans go vegan, oil supplies last longer than 250 years.

    Abolitionist: What other animal rights campaigns are you particularly drawn to?

    Bob: Obviously I oppose consumption of all animal products for "food", as well as clothing meaning leather, wool, fur, and silk. I am particularly dismayed by animal experimentation whose sadness is the betrayal read in the terrified eyes of the animal in the cages, asking us how we can be so removed from our hearts and how we can do the unthinkable.

    I also actively oppose animal exploitation in "entertainment" including circus, rodeo, bullfighting, horseracing, zoo, captive sea animal, "sport", as if hunting and fishing ever were, and the various and sundry campaigns that regularly arise, such as Adidas making kangaroos into shameful soccer shoes.

    Abolitionist: How would you convince a vivisector to give up their murderous ways?

    Bob: I would urge all vivisectors to please come out of their hidden, dark, windowless, dungeons and perform their "work" in full public view, lighted by bright sunshine, with glass walls, for all to see. Also, all animal experimenters, like sex offenders, should have to register with local governments so that residents can be alerted that there's a vivisector living in their neighborhood and they can take more diligent action to protect their animals and children.

    Abolitionist: You have said “Everyday is 9/11 for the animals” so you recognise an animal holocaust. Can you talk about that?

    Bob: The death camps are on overtime all the time to satisfy a hunger for cadaver and a thirst for blood. Ten billion innocents in the U.S. annually, ten thousand million innocents devoured in the automated atrocity of mechanized mayhem and murder, where there was once an Auschwitz, there is now a Cow-schwitz.

    It's a holocaust a minute, every hour, every day, for non-human animals and the human animals who eat them.. The poor innocent are born into a death sentence in an unnatural world, having committed no crime, subject to mutilation without anesthesia, intense confinement, beatings, stabbings, and boiling, dismembered, skinned alive, fully feeling, and subsidized by the cult of the meat eater.

    Nazi Germany exists today. It is the meat industry, just following orders, just slashing throats, for your orders - for hamburger, for pork, for breasts. Meat is mass murder, the product of an endless war on animals, the weakest most oppressed beings on earth, who have no voice, except their screams, who have no vote, except their tears, who have no ally, except the vegan.

    Abolitionist: Mock meats. Should we go there?

    Bob: Go anywhere where the food is vegan and not made of animals or animal ingredients. People transitioning from eating animals can now enjoy textures and flavors similar to foods familiar to them, without sacrificing anything (or anyone).

    So bring on the veggie burger and the tofu dog, the soy ice cream and the rice milk. There's vegan cheese that melts for pizza, nachos, and enchiladas.

    As long as there are no animal ingredients, who cares if what we are eating is called "chicken", "bull's penis", or "eye of a cannibal". As long as there are no animal ingredients, let's eat! But let's also remember our organic fruits and vegetables, nuts, grains, seeds, legumes...

    Abolitionist: As vegans we are aware of our clothing and accessories, what household cleansers we use, our décor and cosmetics etc. Is love non-exempt from the moral implications of animal rights?

    Bob: In terms of a greater love, or connected spirituality, or affection, going vegan is all about love, even loving the meat-eater in spite of his or her actions, being sympathetic to how brainwashed he or she must be, what a hell it must be to crave flesh to this day and make one's stomach a graveyard, without being repulsed by what is being swallowed or how "it" was prepared, or who "it" was.

    Abolitionist: What about dating a meat-eater – What’s gone through your mind when you are out on a date with a meat-eater or don’t you do it?

    Bob: I am not the best to ask about boy-girl affairs, as I mentioned that I became a vegetarian just prior to marrying the butcher's daughter. Chemistry and compatibility are a unique combination to come in one person, in a world where opposites often attract and eyes, brain, heart, and other body parts make for irrational counsel.

    What would seem more interesting - two vegan animal rights people living happily ever after in the matrimonial bliss of chronic complaint, yawn, "I know where you get your protein, I know your shoes aren't leather, I know you have a life" - or - "sweetie, that's so cute that you would want to go to the rodeo...you can't possibly know what happens to the animals..."

    But then, how much mouthwash qualifies as antiseptic, sanitizing a meat eater's mouth for a kiss. And could one really have an equal and understanding relationship if both haven't evolved to vegan? The mixed relationship (vegan and corpse eater) is challenging, naturally.

    Vegans look at the world in a particular way, making us picky, picky, picky in our already-reduced "meet market" universe. Right now, I'm perfectly happy to watch "Blind Date" on TV.

    Abolitionist: What is your long-term goal for the Movement and where do you see yourself 10 years down the track?

    Bob: Ten years from now it would be great if I were living a more decadent life at the beach in Hawaii, sucking organic coconut milk, perhaps again working as a Program Director of music radio stations - as was my "normal" career before my "animal calling".

    Ten years from now at that Hawaii location it would be great to say how thankful I was that meat was banned nine years earlier by the United Nations after its indisputable recognition as the greatest and worst threat to the survival and health of humankind, as greatest and worst cause of world hunger and environmental devastation including resource squandering, air and water pollution, global warming, deforestation, erosion, desertification, etc., and that meat was banned ultimately in recognition of the injustice of the pain, suffering, and murder of the innocent.

    Mad Cow, Bird Flu, Scrapie, CWD, Heart Attack, Cancer, Stroke, Diabetes , Arthritis, E Coli, Salmonella, and Listeria also I'm sure would have been considered in that meat ban 9 years ago, which then lead to a world of peace and a world of plenty.

    Disease was conquered, so animal experiments were discontinued. People, off meat, became more compassionate and aware through their vegan diets and chose not to wear any animal skins or hairs, or to attend shows where animals were exploited. It was curtains for Ringling Brothers.

    All McDonald's closed their doors for good. Yes, 10 years from now, it would be just perfect to celebrate 9 years of a vegan world. It would be great if there were a Museum of Vegetarianism, and university-level vegetarian course studies. (I'd like to teach a class in speciesist language. An animal would never be called an "it" again.

    Thanks to all the vegans for making the decision to be the best, most caring people on Earth, and thanks to all pre-Vegans with open minds, who think for themselves, who are about to join the most conscious movement in the world. It is the only way to peace.

    http://www.abolitionist-online.com/interview-issue03_bob.linden_go.vegan.shtml

  • La Corée du Sud veut classer le chien comme animal de boucherie

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    One Voice attire l’attention sur la volonté de la Corée du Sud d’accorder le statut d’animal de boucherie au chien, légalisant ainsi le commerce la viande de chien.

    Cette mesure – visant à produire une viande de qualité contrôlée – entraînerait une augmentation du nombre de chiens sacrifiés dans des conditions d’une cruauté extrême.

    Cette légalisation risquerait en outre d’être généralisée à d’autres pays d’Asie. 

    La Chine n’est pas le seul pays qui consomme de la viande de chien. La Corée du Sud abat chaque année des millions de  chiens selon des techniques d’une grande cruauté pour les transformer en viande de boucherie. Cette pratique traditionnelle n’était jusqu’alors pas encadrée de façon réglementaire.

    Fin mars 2008, le gouvernement sud-coréen a proposé que les chiens soient classés dans les animaux de production d’un point de vue juridique, mesure que certains gouvernements locaux ont déjà acceptée.

    Il s’agirait de considérer l’abattage et la transformation en viande des chiens de la même façon que pour le bétail. Les fermes-élevages de chiens seraient ainsi inspectés par les autorités sanitaires pour garantir aux consommateurs une viande de qualité.

    Les abus seront institutionnalisés

    Si cette proposition du gouvernement sud-coréen se concrétise, le commerce de la viande de chien deviendra une activité légale, qui permettra à tous les restaurants et magasins de proposer de la viande de chien sous toutes ses formes : conserve, saucisse, jambon...

    Des propositions de loi seront examinées en mai. Selon le gouvernement sud-coréen, l’organisation de la filière viande de chien permettra de réduire les actes de cruauté commis sur les chiens, notamment lors de l’abattage.

    One Voice souligne qu’au contraire, légaliser ce commerce entraînera une augmentation du nombre de chiens sacrifiés dans ce pays et rappelle les techniques d’abattage employées dans les fermes de chiens.

    Considérant que l’électrocution nuit à la qualité de la viande, les fermiers lui préfèrent la pendaison. Les chiens sont souvent brûlés en même temps, pour éliminer leur fourrure plus facilement.

    Les tympans crevés pour les empêcher d’aboyer

    L’élevage des chiens de boucherie est tout aussi sordide. Les aliments pour chiens étant jugés trop coûteux et néfastes à la qualité de la viande par les fermiers, ils les nourrissent de déchets et les privent d’eau.

    Pour rendre les chiens moins sensibles au bruit et éviter les aboiements, les fermiers percent parfois les tympans des chiots avec une aiguille. Les chiens sont entassés dans des cages dans les fermes, dans les véhicules qui les transportent et sur les marchés.

    Les chiens sont abattus à 7 mois et les chiennes, après avoir eu deux ou trois portées.

    Des chiens errants sont également capturés pour être vendus sur les marchés, où ils sont parfois battus à mort en public.

    Une prise de conscience éthique est nécessaire

    La légalisation de la viande de chien provoquera une augmentation des mauvais traitements pour réduire les coûts de production des fermiers et « préserver la saveur de la viande ».

    La mise à mort dans un abattoir agréé coûtera plus cher que les méthodes traditionnelles, qui continueront à être utilisées.

    La tradition ne légitime pas la maltraitance animale. Grâce à une prise de conscience éthique, des pays ont déjà renoncé à des traditions cruelles pour les animaux, comme la chasse à courre au Royaume-Uni.

    Outre la violence que cela entraîne, la consommation de viande de chien – ou de tout autre animal – va à l’encontre des recommandations du GIERC* pour limiter les changements climatiques et la pénurie d’eau.

    * Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat.

    Manifestez votre opposition à la légalisation du commerce de la viande de chien en écrivant à l’ambassade de Corée du Sud, 125, rue de Grenelle 75007 Paris.

    http://www.animaux-familiers.org/animal_machine/coree.html

  • Les farines animales bientôt de retour

    http://www.mutations-radicales.org/IMG/jpg/boeuf-squelette.jpg

    SANTE - Les farines animales ont été bannies de l'alimentation des animaux de rente en Suisse et dans l'Union européenne pour leur rôle dans la crise de la « vache folle ». Mais des groupes de travail préparent leur réintroduction.

    Etienne Dubuis

    L'alimentation des animaux de rente avec des farines animales, totalement interdite en Suisse depuis janvier 2001, devrait être réintroduite. L'événement ne fait guère de doute, même s'il est encore impossible de savoir quand il aura lieu.

    En Suisse comme au sein de l'Union européenne, les réunions se multiplient depuis quelques mois pour étudier le sujet et consulter les parties concernées.

    Ces produits ont beau traîner une très mauvaise réputation depuis qu'ils ont été tenus pour responsables de la « maladie de la vache folle » au début des années 90, ils possèdent trop d'avantages pour rester indéfiniment bannis.

    C'est qu'un mal a, en fait, succédé à un autre. « L'interdiction était nécessaire à l'époque pour combattre l'encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), explique Cathy Maret, porte-parole de l'Office vétérinaire fédéral (OVF). Mais il n'est pas raisonnable de la prolonger indéfiniment. Elle nous oblige à réduire en cendres une grosse partie de chaque animal abattu, soit d'énormes quantités de protéines, ce qui représente un gaspillage à la fois économique et écologique. »

    Et puis les circonstances ont changé. Il est moins impératif aujourd'hui de reconduire l'interdiction, étant donné que la situation sanitaire s'est pratiquement normalisée : la Suisse n'a pas connu un seul cas de « vache folle » en 2007.

    Il y a en revanche de nouvelles raisons de lever la prohibition : la hausse actuelle du prix mondial des céréales, du soja notamment, a considérablement renchéri les protéines d'origine végétale distribuées aux animaux de rente. Au grand dam des éleveurs.

    L'OVF se prépare à ce développement depuis des années déjà. Mais autant il souhaite la réintroduction des farines animales, autant il désire canaliser leur futur emploi de manière à éviter les errements passés. En 2004, il a ainsi fixé cinq conditions à leur retour.

    Primo, a-t-il décidé, seuls certains déchets d'abattage (dits de catégorie 3) pourront être utilisés : il sera hors de question, par exemple, de recycler des cervelles, susceptibles de transmettre l'ESB.

    Secundo, les farines animales ne seront plus offertes aux espèces herbivores (vaches et moutons) mais seulement aux omnivores (porcs et poules) : la raison n'est pas là sanitaire mais philosophique, elle correspond à un désir de moins perturber qu'avant « l'ordre naturel ».

    Tertio, tout « cannibalisme » sera évité: la farine de poule n'ira plus aux poules, ni celle des porcs aux porcs, à nouveau au nom de la morale.

    Quarto, des contrôles techniques devront permettre de détecter d'éventuels résidus interdits. Quinto, la Suisse franchira le pas le jour où l'Union européenne le fera, et pas avant.

    Ces conditions sont très exigeantes. L'interdiction de mélanger les « sous-produits » de porcs et de poules, par exemple, imposera une restructuration drastique des filières, qui devront devenir parfaitement étanches, de l'abattoir au moulin, contrairement à leurs habitudes passées.

    Quant aux contrôles de qualité prévus, ils nécessitent un appareillage sophistiqué qui n'a pas encore été mis au point. Bref, quoi qu'il arrive, aucun animal de rente ne sera nourri aux farines animales avant quelques années.

    Cela dit, les éleveurs de porcs et de volaille entendent passer le cap aussi vite que possible. Mais un délicat travail de lobbying les attend. Car si l'OVF s'est positionné en faveur d'un emploi raisonnable des farines animales, c'est le client qu'il faudra convaincre in fine.

    Or, le client a toujours en mémoire la crise de la vache folle et l'image de farines animales utilisées à... toutes les sauces.

    « Nous nous préparons à ouvrir différentes discussions, confie Ruedi Zweifel, directeur d'Aviforum, qui défend les producteurs d'œufs et de volaille. Nous devrions avoir prochainement une première rencontre avec la présidente des consommateurs de Suisse orientale. »

    L'Union suisse des paysans, qui représente toute la branche agricole, s'est aussi emparée du dossier. Pour plancher dessus, elle vient de mettre en place un groupe de travail de quinze membres représentant toutes les parties concernées, des producteurs aux consommateurs en passant par les distributeurs.

    « C'est une affaire hautement politique, expliquer Sandra Helfenstein, porte-parole de l'organisation. Notre but est de prendre le temps d'une discussion dans le calme. » La première réunion doit avoir lieu incessamment.

    Tous les yeux sont aujourd'hui tournés vers Bruxelles. Un feu vert de l'Union européenne, qui s'est montrée très stricte jusqu'ici, ne manquerait pas en effet de donner un signal essentiel à la Suisse. Or, là aussi, le changement est en cours.

    « Diverses mesures d'interdiction pourraient être levées à certaines conditions, avoue Marie Antonie Kerwien, attachée de presse de la Commission européenne pour les affaires de santé. Les Etats membres ont accompli un premier pas en ce sens le 22 avril dernier, en avalisant une proposition de la Commission autorisant l'usage de farine de poisson comme lait de remplacement des jeunes ruminants. »

    Un projet de recherche a de plus été lancé pour étudier la possibilité de tracer les farines animales de la façon la plus précise. Résultats attendus en 2009.

    http://www.letemps.ch/template/societe.asp?page=8&article=231187

  • Hartfort Hospital (USA) : établissement en torture spécialisée

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    Pigs used in laboratory research. This photo is NOT from Hartford Hospital.

    Adressez un courrier de pression invitant le Hartford Hospital (USA) à rejoindre 95% des établissements de formation médicale américains qui n'utilisent plus le "modèle" animal et à abandonner l'utilisation hautement cruelle de cochons à des fins d'enseignement en chirurgie traumatique.

    En effet, cet hôpital, en collaboration avec l'établissement de formation University of Connecticut School of Medicine, organise un cours (de boucherie...) d'une durée de 3 heures, que chaque stagiaire paie 1 500 $ pour massacrer des cochons adultes. Ces animaux reçoivent des coups de couteau dans différents organes au niveau de l'abdomen et de la poitrine, notamment dans les intestins, la vessie, les reins, le diaphragme, le foie, la rate et le coeur.

    Chaque mois, cinq cochons subissent 14 mutilations différentes. Après une stabulation prolongée, soit ils meurent pendant les interventions réalisées sur eux pendant les "cours", soit ils sont détruits à la fin de la session.

    Merci d'utiliser le modèle de courrier de protestation et les emails en blocs fournis ci-dessous.

    En France, on a, notamment, l'Ecole de chirurgie de Strasbourg qui se fait la main sur les cochons pour ses chirurgiens, un animal bien pratique et peu polémique, puisque la plupart des Français en dévorent avec avidité.

    Bien joué, les blouses blanches pleines de sang des innocents. Les animaux "vermines" (rats, souris,...) et à "viande" (cochons, moutons, chèvres, poisson, etc.) , ça émeut beaucoup moins le bon peuple contribuable que les chiens et les chats. Vous l'avez bien compris et appliqué à la lettre depuis le milieu des années 80.

    International Campaigns
    http://www.international-campaigns.org/

    * * *

    KINSHIP CIRCLE PRIMARY - PERMISSION TO CROSS-POST AS WRITTEN
    Stabbing Pigs To Teach Human Surgery?
    EMAIL kinshipcircle@ accessus. netFOR WORD DOC OF A FORMATTED LETTER.
    Easily modify letter and copy/paste it into an email or print out to fax or mail.
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    FULL CONTACT INFORMATION. Sample letter follows.
    ============ ========= ========= ========= ========= ========= ==

    Hartford Hospital
    80 Seymour Street; Hartford, CT 06102
    main ph: 860-545-5000; main fax: 860-545-5066
    web mail:
    http://www.harthosp .org/PatientVisi tors/ContactUs/ ContactForm/ default.aspx

    Mr. Elliot Joseph, President and CEO
    ph: 860 545-2100; email: ejoseph@harthosp. org

    Dr. Lenworth Jacobs, Director, Trauma Program/ATOM
    ph: 860-545-3112; fax: 860-545-5132; email: ljacobs@harthosp. org

    Erica Thompson, Coordinator, ATOM program
    ph: 860-545-3766; email: ethomps@harthosp. org

    Liz Pelletier, Animal Research Facility Manager/IACUC member
    ph: 860-545-3164; email: epellet@harthosp. org

    Dr. Laurine Bow, Director, Research Program
    email: lbow@harthosp. org

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    EMAIL BLOCK:
    All emails found. Some contacts have no available email.
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    ejoseph@harthosp. org, ljacobs@harthosp. org, ethomps@harthosp. org,
    epellet@harthosp. org, lbow@harthosp. org

    *Kinship Circlecannot guarantee validity of email addresses. During
    campaigns, recipients may change or disable their email addresses. Emails
    from government, corporate, or institute websites may be incorrect.

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    SAMPLE LETTER --  
    This letter is prepared to inform you about the issue.
    Try to shorten and personalize your letter before sending.
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    Dear Mr. Joseph, Drs. Jacobs and Bow, Ms. Pelletier and Ms. Thompson:

    As an advocate of viable medical research and training, I am dismayed
    Hartford Hospital relies upon old-fashioned animal experimentation for its
    Advanced Trauma Operative Management (ATOM) course.

    I understand Hartford Hospital, in collaboration with the University of
    Connecticut School of Medicine, oversees a 3-hour lab for which students pay
    $1,500 to injure adult pigs. The animals are stabbed in various organs of
    the abdomen and chest, including the bowel, bladder, kidney, diaphragm,
    liver, spleen and heart. Each month, five pigs undergo 14 different
    mutilations. After prolonged confinement, they either die during the drills
    or are destroyed at the end of the session.

    U.S. Department of Agriculture documents show Hartford Hospital regularly
    holds more than 100 pigs for ATOM exercises, along with mice, dogs, guinea
    pigs, rabbits and sheep for use in other experiments.

    Deliberately maiming pigs delays knowledge and squanders the state's
    resources. Experimenters cannot replicate human conditions in animals with
    physiological, cellular, genetic and psychological attributes significantly
    different from our own.

    Please join over 95% of American medical schools that do not use animals in
    surgical training. Most Advanced Trauma Life support courses have discarded
    live animal labs and the American College of Surgeons no longer recommends
    animal experimentation in its curriculum.

    I urge you to use animal-free techniques with human-focused results -- such
    as virtual reality simulators, hands-on physician mentoring, cadavers
    mechanically equipped to pump artificial blood through vessels and emulate
    live human surgery, etc.

    Animal-free research supplies data relevant to humans. It deletes overhead
    to confine, feed, conduct autopsies, and dispose of laboratory animals. A
    New England Journal of Medicine report (2007) highlights the "very detailed
    feedback and...more subtle measurement of trainee performance" surgical
    students gain from use of virtual reality simulators. Furthermore, the
    article summarizes, inanimate models are "safe, reproducible, portable,
    readily available, and...cost-effectiv e."

    Please terminate the use of live animals in surgical courses at Hartford
    Hospital. Animal labs not only numb students to pain and suffering, but also
    dissuade them from evolving with the most credible and proficient
    technologies available. Thank you for your valuable time and consideration.

    Sincerely,

    ============ ========= ========= ========= ========= ========= ==
    SOURCE OF INFORMATION / REFERENCE LINKS
    ============ ========= ========= ========= ========= ========= ==

    HartfordHospital is hell for animals
       
    http://www.uchckill smonkeys. com/harthosp. html
    Justin Goodman, CONNECTICUT FOR ANIMALS
       
    http://connecticutf oranimals. blogspot. com
        
    http://www.uchckill smonkeys. com
        justin_goodman@ sbcglobal. net

    Help us put FACTS in front of people!

    http://www.kinshipcircle.org/

    • Distribute mass quantities at conferences and exhibits nationwide.
    • Send you hard copies, upon request, for tabling, leafleting, demos, presentations. ..

    http://www.kinshipc ircle.org/ fact_sheets/ MODSacrificOneWo ntSaveOther. pdf 
    http://www.kinshipc ircle.org/ fact_sheets/ VivisectiLessonF utilityPH. pdf
    http://www.kinshipc ircle.org/ fact_sheets/ DyingForKibble. pdf

    60 FREE DOWNLOADS / GET YOUR FACTS SHEETS NOW:
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    KINSHIP CIRCLE
    Action Campaigns I Literature I Animal Disaster Aid Networking
    info@kinshipcircle. org or kinshipcircle@ accessus. net
    http://www.KinshipC ircle.org * http://www.kinshipc ircle.org/ disasters/

  • "Animalier de laboratoire" : la mort est mon métier

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    Pour en savoir plus : Fiche Onisep " boucher de laboratoire"

    Synonyme : "agent en soins aux animaux" [SIC !!!]

    Âmes sensibles s'abstenir !

    Si l'animalier de laboratoire veille au bien-être des animaux qui lui sont confiés, ces derniers sont toujours soumis à des expérimentations. Une modification du métier consécutive à la réglementation sur la conformité des animaleries.

    L'animalier des temps modernes est désormais chargé du confort des animaux (nettoyage des cages, changement des litières, soins pré- et postopératoires, alimentation…). Bien sûr, il tient toujours un balai, mais il doit aussi savoir manier une seringue. Et il doit veiller à l'éthique, donner son avis sur les conditions d'hébergement des animaux… Jusqu'à saisir les instances supérieures s'il constate que des animaux subissent des souffrances inutiles.

    D'où un changement de statut : les animaliers sont désormais des « agents en soins » aux animaux.

    Le métier exige plus que jamais rigueur, minutie et sens de l'observation.
    Après la 3e : Deux ans d'études pour préparer le BEPA animalerie spécialité laboratoire ou, trois, pour le BTA production spécialité animalier de laboratoire. Accès sur dossier scolaire et entretien.

    Pour en savoir plus : Fiche Onisep " boucher de laboratoire"

    -Mission:

    L'animalier assure et contrôle l'hébergement et l'entretien des animaux de laboratoire ainsi que la maintenance de leur environnement.

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    -Activité:

    Assurer l'entretien des animaux et de leur hébergement (renouvellement des litières, distribution de la nourriture, manipulations, contention, ...).

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    Contrôler et maintenir l'environnement des animaux : air (température, humidité, filtration...), lumière (horloge), suppression des nuisances (bruits, intrusion, ...).

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    Effectuer des interventions de base (injection, prélèvement, tatouage, ...).

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    Réaliser, éventuellement, des opérations élémentaires dans le cadre d'une procédure expérimentale sur l'animal en appliquant strictement un protocole.

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    Tenir un cahier d'observation et rendre compte de tout dysfonctionnement.

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    Procéder au marquage et à l'identification des animaux.

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    Tenir le registre des entrées et des sorties.

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    Entretenir le matériel destiné à l'unité d'élevage ; contrôler l'entretien des locaux.

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    Gérer l'évacuation des déchets en fonction de leur catégorie et des risques, dans le respect des règles d'hygiène et de sécurité de l'unité.

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    Compétences:

    Avoir des connaissances élémentaires en biologie animale*.

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    Avoir une connaissance opérationnelle des règles et pratiques de l'expérimentation animale sanctionnée par une autorisation de participer aux expérimentations (niveau II) ou la qualification de niveau III.

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    Avoir éventuellement le certificat de capacité pour l'élevage d'espèces non domestiques.

    http://www.vivisectioninfo.org/images/faqpic03.jpg

    Manipuler un animal (préhension, contention, tranquillisation, ...).

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    Appliquer des procédures sanitaires et des mesures thérapeutiques ponctuelles.

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    Travailler en milieu confiné ou en zone protégée.

     

    http://www.interet-general.info/IMG/Guantanamo-Camp-Delta-Mirador-18janvier2006-1-3.jpg

    Connaître, pour les appliquer, les réglementations relatives à une unité d'élevage (hygiène et de sécurité, expérimentation animale, ...) et les bonnes pratiques de laboratoire relatives à l'expérimentation animale.


    *Le niveau des connaissances mises en oeuvre est équivalent à celui qui peut être acquis lors d'une formation de niveau BEP.

    * * *

    !! À BAS LA VIVISECTION !!

    "Science sans conscience n'est que ruine de l'âme."

    Rabelais

  • Championnat de déterrage à Cluny : manifestation prévue le 17 mai

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    Adhérents, adhérentes du RAC et sympathisants, pouvez-vous aller à cette manif  contre le championnat de déterrage ?

    Cluny  le 17 Mai , l'après midi

    Groupez-vous pour vous rendre à Cluny, préparez des banderoles et pancartes.

    Extrait du texte informatif de Serre-vivante :

    Bonjour, voici quelques nouvelles au sujet de notre action en faveur du blaireau …

    - Un recours gracieux demandant l’annulation de l’autorisation accordée aux organisateurs du championnat partira demain à l’adresse du préfet de Saône-et-Loire.

    - Une manifestation se prépare pour le samedi 17 mai après-midi, portée par la CAPEN 71 et soutenue par tous ceux qui le voudront bien : le mot d’ordre en tête d’affiche « Rassemblement pour le respect de la biodiversité et de la vie sauvage ».

    - Pétition : nous avons atteint ce soir 6891 signatures … C’est bien mais il faut continuer à mobiliser vos réseaux ! Si vous n'avez pas encore signé : http://www.cyberacteurs.org/actions/action.php?id=218

    http://www.antichasse.com/mailings_new/manif_cluny.htm

  • Montreur d’ours à la fête médiévale du Pic Saint Loup le 3 mai 2008

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    Le montreur d’ours Frédéric CHESNEAU sera présent avec l’ourse Julia lors de la fête médiévale du pic Saint Loup organisée par la communauté de communes du pic Saint Loup aux Matelles, le samedi 3 mai 2008.

    AVES FRANCE dénonce une nouvelle fois ces spectacles de dressage des animaux sauvages.

    L’ourse Julia, vedette de la télévision et des reportages émouvants sur le montreur d’ours Frédéric Chesneau, est une nouvelle fois sur les routes. AVES FRANCE souhaite à nouveau dénoncer les spectacles de montreurs d’ours, qui encouragent certains zoos à fournir des animaux de scène.

    Car si l’ourse Julia est considérée comme « bien traitée » par la presse, il faut rappeler que lors de ses déplacements, l’ourse est confinée dans sa cage en attendant de se donner en spectacle.

    Le samedi 3 mai, ses prestations auront lieu à 14h et à 16h ; un « numéro mêlant émotion et humour autour du dressage de Julia, Ours Brun adulte d’environ 200 kg » assure le programme de la fête médiévale.

    Nous vous invitons à alerter les organisateurs sur le sort de ces animaux captifs et à télécharger le manifeste contre les spectacles de montreurs d’ours, signé par un collectif d’associations de protection animale.

    Lettre-type à envoyer à : mairie.matelles@wanadoo.fr et info@ccpsl.com

    "Monsieur le Maire, Mesdames et Messieurs les organisateurs,

    J’ai appris qu’un montreur d’ours serait présent lors de la fête médiévale qui se tiendra le samedi 3 mai aux Matelles.

    Coupé de son milieu naturel, soumis à un dresseur, contraint d’exécuter des tours stupides pour divertir... l’ours n’est pas un animal de foire. Ce n’est pas ainsi que sera donné aux enfants le goût d’agir et de protéger les ours, de respecter l’environnement dans lequel ils vivent.

    Les associations ont réussi à mettre un terme au dressage des ours dans des pays comme la Bulgarie où les montreurs d’ours étaient pourtant nombreux et dans la pure tradition du pays, comment accepter qu’en Europe, cette activité puisse encore se poursuivre ?

    Même si ces animaux ont, pour la majorité d’entre eux, toujours été captifs, cela ne retire rien au calvaire de leurs vies sur les routes, dans de minuscules cages, pour finir exhibés devant le public, craint de nature.

    Même si ces spectacles sont légaux et que les montreurs d’ours possèdent des autorisations, vous devez reconnaître que l’ours n’est pas un animal de foire et qu’il n’a rien à faire dans une fête de village, au milieu de la foule.

    AVES FRANCE et les sympathisants de la cause des animaux sauvages vous demandent, Monsieur le Maire, Mesdames et Messieurs les organisateurs, de faire annuler la venue de ce montreur d’ours.

    Nous vous remercions par avance de votre compréhension et de votre soutien."

    Téléchargez le manifeste contre les montreurs d’ours

    Christophe CORET

    Président de l’association AVES France - Maison des associations - 11 avenue Pasteur -BL n°23 - 76000 ROUEN - Tél. : 02.76.00.82.68 - 06.28.08.23.46 - contact@aves.asso.fr